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Bio VS. local VS. vegan VS. équitable : LET’S FIGHT !

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Article réalisé en partenariat avec les magasins bio Naturalia ♡ Pour en savoir plus à propos des partenariats Go Green cliquez ici !

Ce matin, au réveil, la mèche encore collée sur le front, j’ai lu que “71,5 % des Français sont désormais concernés par la consommation responsable”. De quoi me mettre de bon poil : enfin, on avance dans le bon sens. Le tableau des fruits et légumes de saison trône sur tous les frigos, les steaks de boeuf n’ont plus la cote (hinhin), les pesticides ont une réputation si sulfureuse qu’ils semblent droit sortis d’un roman apocalyptique de Stephen King.

On est donc de plus en plus nombreux à vouloir manger mieux. Ah. Nous y sommes. Mieux, ça signifie quoi exactement ?

Je vous aurais bien sorti une définition du Petit Robert en 7 mots, on aurait bouclé tout ça vite fait – bien fait, et j’aurais pu finir mon épisode des Princes de l’Amour en sirotant mon smoothie.

Evidemment, c’est plus compliqué que ça. Il y a des dizaines de façons de manger responsable : bio, local, agriculture raisonnée, végétarien, vegan, circuits courts, équitable, solidaire, petits producteurs, non transformé, zéro déchet, freegan, potager, cueillette sauvage… Et je m’arrêter ici, car la liste est longue comme un jour sans pain (à base de blés anciens).

C’est super, me direz-vous, autant de façons de consommer mieux, comme ça chacun choisit ce qui lui convient comme au buffet à volonté du club de vacances !

Sauf que… (Bruit de disque rayé) (Ok plus personne n’écoute de disque. Donc silence dramatique de Spotify hors connexion) Il règne une grande confusion, accentuée par une grosse cuillerée d’injonctions qui se faufilent dans nos filets à provisions.

Et c’est vrai qu’il y a de quoi se coller une migraine digne d’une soirée arrosée de pinard non certifié.

Quand je fais mes courses, j’arrive d’un pas assuré dans le rayon, le menton bien droit, l’oeil fixe : je tiens fermement mon sac en toile de jute de la main gauche, bien décidée à y fourrer mes denrées pour la semaine.
Soudain, première suée : la margarine. Elle est bio et vegan, mais en scrutant les ingrédients, je me rends compte qu’elle contient de l’huile de palme… Et elle est fabriquée hors de France, certainement à la chaîne dans une grande usine… Et elle est vendue dans un emballage en plastique…  Mes jambes flageolent, j’entends les voix des collègues à la pause déj “ah c’est bien beau de manger végé mais tu achètes des produits qui polluent” puis mon cerveau fait défiler les commentaires des réseaux sociaux “et les petits producteurs alors ?”, “les animaux comptent plus que les Hommes pour toi ?”.

Pourtant pleine de bonne volonté, me voilà figée au rayon frais comme un lapin pris dans les phares d’une voiture.

Comme je n’ai pas envie de me cloîtrer chez moi avec pour seule nourriture mon plant de basilic flétri et mes restes de compost, j’ai décidé de mettre un mini coup de bambou aux idées reçues dans ces matchs (labellisés 100% bio & amicaux !) :

LOCAL VS. BIO

On entend souvent dire que “Le local, c’est mieux que le bio” ou sa variante “Le bio, c’est industriel, il vaut mieux acheter chez les petits producteurs” ou encore mon préféré en version conspirationniste “Le bio, ça n’existe pas”. Voilà. Et Pokemon Go est un outil développé par la CIA pour la surveillance de masse.

Bien sûr, consommer local, dans l’absolu, c’est plein de vertus : ça permet de soutenir les emplois de proximité, la pollution générée par le transport est – a priori – moins élevée. Mais il est important de ne pas se jeter corps et âme sur le premier paquet de petits beurres estampillé “de nos régions”.

Pour commencer, le local n’est pas un label : il n’y a donc pas de critères précis à respecter. Ca implique plusieurs choses, et la première, c’est que la distance n’est pas restrictive. On peut acheter un produit français qui est fabriqué à Marseille lorsqu’on habite à Lille : il aura donc parcouru 1000km pour arriver dans nos assiettes.

Ensuite, les termes “local” ou “fabriqué en France”, peuvent être confus : c’est parfois l’auberge espagnole dans la composition avec des ingrédients qui viennent de toute l’Europe et finalement, seule la dernière étape a été réalisée en France.

De la même façon, local n’est pas forcément synonyme de “petit producteur” : si j’habite à Buigny-Saint-Maclou, je suis à 3km de la Ferme des 1000 Vaches qui est tout sauf une petite exploitation familiale bucolique où chaque animal a un prénom. Ca paraît logique, mais comme dirait Tata Gisèle, “ça va mieux en le disant”.

Enfin, la production locale n’interdit pas l’utilisation de pesticides, contrairement au bio.

Bien sûr, le bio ne montre pas toujours patte verte non plus (cf. le dernier chapitre de cet article… #teasingdefolie)

Le graal étant bien sûr le mariage du bio, local et de saison, comme chez Naturalia qui favorise les produits biologiques made in France et locaux (moins de 150 km) : par exemple, les 2/3 des fruits et légumes proviennent de France et les producteurs régionaux fournissent le pain et les produits frais de chaque magasin.

ÉQUITABLE VS. LOCAL

Là encore, des puristes du local braquent les bonnes âmes avec leurs poireaux normands et dégainent leurs meilleurs arguments : “L’équitable, c’est pas du tout écolo, ça vient de l’autre bout du monde”.

Certes, la majorité des produits équitables sont importés : la démarche, avant tout solidaire, est fondée sur le soutien des petits producteurs dans des pays où les droits humains sont souvent bafoués. Quand des multinationales s’engouffrent dans la brèche de la production à bas coût, non durable ni juste, le commerce équitable garantit aux travailleurs des revenus stables et des conditions de travail décentes. La base, en somme.

Ensuite, sur l’argument du bilan carbone, si on regarde de plus près, les produits équitables ne sont pas forcément plus polluants que les produits conventionnels, même s’ils parcourent parfois des milliers de kilomètres : le transport ne représente que 10 à 20% dans le bilan carbone d’un produit. Chez Naturalia, par exemple, les produits qui viennent de loin sont importés par bateau.
Ce qui compte surtout, c’est le mode de production. Or, les produits équitables sont fabriqués, pour la plupart, selon des méthodes respectueuses de l’environnement : culture très peu mécanisée, peu ou pas d’intrants chimiques, transport maritime groupé…

Et dans tous les cas, ces produits ne sont généralement pas cultivables localement (café, chocolat, thé…) : s’ils sont importés, autant que ce soit dans le cadre de partenariats équilibrés pour les producteurs.

Pour les autres produits, ceux qui sont disponibles ici, il est préférable d’opter pour des modes de distribution en circuit court, c’est à dire avec un minimum d’intermédiaires.
Naturalia travaille régulièrement en direct avec des producteurs français dans le cadre de partenariats durables et transparents. Certains produits locaux peuvent même être compatibles avec les critères du commerce équitable, comme ceux qui sont estampillés Bio Solidaires.

Ce sont donc deux démarches complémentaires : allez #peace, faites-vous un bisou.

VEGGIE / VEGAN VS. ÉQUITABLE & BIO

Ah, voilà un poncif usé jusqu’à la corde : “Etre végétarien ou végétalien, c’est se préoccuper davantage du bien-être animal que des Hommes et de l’environnement” ou “on ferait mieux de s’occuper des enfants qui crèvent de faim plutôt que des conditions de vie des poulets en batterie”.

Mmm… Bon. Je pourrais faire une dissertation de 10 pages sur le sujet mais je vous perdrais tous en cours de route (et j’ai un épisode des Princes de l’Amour à terminer), alors je vais tenter de développer une réponse succincte.

Premièrement, pourquoi est-ce qu’on devrait systématiquement opposer les victimes ? Ce n’est pas parce que certains choisissent une cause “prédominante”, ici le bien-être animal, qu’ils essuient leurs pieds crottés sur la pauvreté et l’environnement.

Au contraire, souvent, le végéta*isme résulte d’une prise de conscience globale de la chaîne alimentaire et s’accompagne d’une consommation plus raisonnée, respectueuse de la nature dans son ensemble, à savoir la terre et ceux qui vivent dessus.

D’ailleurs, sans vouloir enfoncer le clou (de girofle, je suis pour la non-violence), on sait que les 2/3 des terres agricoles dans le monde sont utilisées directement ou indirectement pour l’élevage, au lieu d’aller droit vers nos petits estomacs gargouillants. De même, l’élevage est responsable d’environ 14,5 % des émissions de gaz à effet de serre.

Alors oui, le-la végéta*ien-ne n’est pas toujours parfait-e : parfois, il lui arrive de prendre l’avion, de se tromper de poubelle de tri, de manger des avocats mexicains et du faux camembert avec des additifs. Mais soyons indulgents / tolérants / bienveillants (questionnaire à choix multiples), arrêtons de nous crêper le chignon comme des moyen-âgeux et faisons avancer les causes en parallèle : on a – à peu près – tous envie de manger des produit sans souffrance, qu’elle soit animale, humaine ou environnementale.

Dans les magasins Naturalia, on trouve tout un rayon pour consommer vegan sans se prendre le chou : des produits gourmands (faut pas déconner avec le goût) et TOUJOURS bio. Pour les parisiens & franciliens, il y a même 5 magasins 100% vegans : de vrais petits paradis cruelty-free.

BIO… VS. BIO

La phrase type “Mon bio est plus bio que ton bio” pourrait se traduire de la façon suivante : “Est-ce qu’il vaut mieux a) consommer du bio de grandes surfaces, b) du bio de magasin bio ou c) acheter bio au marché ?”
Vous avez 4 heures, les calculatrices sont interdites.

C’est vrai, tous les bio ne sont pas équivalents. A la base, les seules exigences du label AB sont la non-présence de pesticides et au minimum 95% d’ingrédients bio pour les produits transformés. Et c’est à peu près tout.
On peut donc trouver, notamment en grandes surfaces, des tomates bio avec un bilan écologique à faire rougir Monsieur Hulot : produites sous serre en Espagne avec une consommation d’énergie 10 à 110 fois plus importante que la culture à ciel ouvert, puis importées en camion frigorifié sur plusieurs centaines de kilomètres.

Autre point noir de la plupart des produits bio en supermarché : pour des raisons de non-contamination avec les fruits et légumes conventionnels, ils sont vendus dans des emballages. Tant d’efforts à cultiver un concombre sans intrants chimiques pour qu’il finisse sa vie dans une barquette en plastique qui mettra 1000 ans à se dégrader dans l’environnement… Ca gratte un peu la conscience verte.
Clairement, le principal point positif, c’est de rendre le bio plus accessible : généraliser l’agriculture sans pesticides et permettre à des budgets serrés d’accéder à des produits sans pesticides.

Dans les magasins bio, les prix sont généralement perçus comme plus élevés, mais il faut là encore considérer la démarche dans son intégralité.
A l’inverse du bio “low-cost”, chez Naturalia, aucun des fruits et légumes n’est issu de serres chauffées. On y trouve aussi de nombreux produits issus de labels alternatifs, comme Bio-cohérence, Demeter et Nature & Progrès, qui vont plus loin que la charte Agriculture Biologique en exigeant 0% d’OGM, 100% d’ingrédients bio dans les produits transformés et la juste rémunération des agriculteurs.

De même, par rapport à d’autres mode de distribution, les magasins bio comme Naturalia permettent à de petites marques solidaires et/ou à taille humaine, qui n’ont pas les moyens ou le souhait d’être distribués en grande surface, de trouver des débouchés et de pérenniser leur projet.

Cerise sur le gâteau (ou myrtille sur le granola), une part importante des investissements est consacrée à l’éco-conception des magasins : matériaux durables, éclairage basse consommation, végétalisation de l’espace.

Bien sûr, le bio issu du marché de producteur est aussi une excellente option, mais je ne vous apprends rien : on y trouve surtout des fruits et légumes, éventuellement quelques bières et de la confiture… Pas de quoi tenir un siège (Oui les expressions des années 50 c’est mon pêché mignon. Merde, j’ai remis ça).

 

On arrive donc au même constat pour toutes ces démarches : elles sont parallèles, se complètent, comme Laurel & Hardy, Bonnie & Clyde, Nabilla et Thomas (promis, après j’arrête la téléréalité).

____


Alors arrêtons de se comparer la taille de la courgette sans OGM, de toiser les graines de chia du voisin.

Manger responsable, c’est avant tout manger consciemment :

  • Respecter ceux qui sont à l’origine de la nourriture qu’on se glisse dans le gosier : les agriculteurs, la terre, les êtres-vivants (oui, même ce vieux verre de terre qui se tortille au fond du jardin)
  • S’intéresser à ce qu’il y a dans nos assiettes : (se) poser des questions sur la provenance, les conditions de fabrication, les femmes et les hommes qui sèment
  • Encourager ceux qui ne se sont pas lancés et être solidaire avec ceux qui avancent pas à pas, comme nous (bannir les “gnagnagna moi je mange mes épluchures et pas toi”)
  • Consommer les justes quantités pour éviter de gaspiller cette nourriture qui a demandé tant d’efforts à produire (ne pas céder à la tentation du “Qui me finit ce gratin de patates ?” au déjeuner dominical, alors qu’on a déjà ouvert le premier bouton du pantalon)
  • Apprécier ce qu’on mange, cuisiner soi-même quand on peut, se faire plaisir…

 

La nourriture bonne & bien faite, c’est que de l’amour ♥ ! (variante musical de la conclusion : Heal the world de Mickaël Jackson)

 

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Louis Vuitton crée Charlie, sa première basket unisexe et écoresponsable

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Ces dernières saisons, les créateurs de mode popularisent les collections mixtes. Alors que le sac à main se fait de plus en plus unisexe, la maison Louis Vuitton dévoile sa première paire de baskets faites pour tous.t.e.s.

Et pour pousser l’innovation encore plus loin, Charlie, du nom de cette sneakers mixte, est fabriquée à partir de 90% de matériaux recyclés et biosourcés. Lire aussi : Mode et écologie : pourquoi est-il si difficile de changer nos habitudes de consommation ?

Charlie, une chaussure qui fait attention à son empreinte

Il ne sera pas nécessaire de se tourner vers tel ou tel rayon genré pour la trouver. Charlie est une paire de baskets unisexe, donc destinée à être portée par tous.

La gamme de pointures est large, allant d’une taille 34 au 47, et son design est lui intemporel : ce sont d’élégantes baskets blanches, habillées d’un logo noir Louis Vuitton. Alors pour varier le style, Charlie est imaginée en deux versions : basket basse et basket montante.

Et si son look a vocation de séduire le plus grand nombre, les détails de sa conception pourraient en intéresser plus d’un. Car comme le précise l’enseigne, le processus de conception circulaire de Charlie « a été appliqué de manière holistique ». Autrement dit, la démarche éco-responsable a été respectée depuis l’étape de la création jusqu’au passage à la Manufacture de souliers Louis Vuitton de Fiesso d’Artico, en Italie.

Résultat ? Les lacets sont entièrement recyclés, et la semelle de la chaussure est composée à 94% de gomme recyclée au minimum, un record en la matière. De la semelle intérieure au patch de la languette réalisé en ECONYL®, tout a été éco-conçu.

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L’Événement Evening Dresses Show Retourne À Salerno Du 1 Au 3 Septembre 2021 Inaugurant La Saison Internationale Du Prêt-À-Porter

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Le calendrier du prêt-à-porter prévu pour septembre prochain, avec les collections printemps-été 2022, débutera avec l’événement EVENING DRESSES SHOW (Edshow), qui revient, pour la troisième saison consécutive, dans la somptueuse gare maritime Zaha Hadid de Salerno, portant à 60 le nombre d’exposants avec des propositions de prêt-à-porter « soirée » et « cocktail », produites dans les huit régions du sud de l’Italie (Abruzzo, Basilicata, Calabria, Campania, Molise, Puglia, Sardegna et Sicilia).

Déjà inscrit au programme des défilés internationaux de la Conférence des Régions et Provinces Autonomes publié sur le site Regioni.it, Edshow est une vitrine internationale dédiée exclusivement aux looks de soirée et cocktail pour femmes, hommes et enfants.

L’édition à venir a un sens bien particulier, qui se résume dans le slogan « Come back to life », choisi pour la nouvelle affiche : l’envie de recommencer et de revenir à la vie.

Le spectacle des tenues de soirée est conçu et organisé par l’association IFTA avec le soutien de l’ICE- Agence italienne pour le commerce extérieur qui a pour mission la promotion à l’étranger et l’internationalisation des entreprises italiennes au sein du Plan d’exportation du Sud (PES 2) et de la région Campania. Il implique une soixantaine d’entreprises du huit régions méridionales : Abruzzo, Basilicata, Calabria, Campania, Molise, Puglia, Sardegna et Sicilia.

Mais pas seulement ! Grâce à la plateforme Fiera Smart 365, lancée par l’Agence ICE et connectée à ses 78 bureaux à travers le monde, les entrepreneurs qui participeront au salon de Salerno auront l’opportunité d’avoir un premier contact avec des détaillants internationaux qui ne pourront pas assister à l’événement en présentiel.

Une autre nouveauté de l’édition 2021 sera la section spéciale dédiée à l’élégance vestimentaire masculine avec 12 marques sélectionnées parmi les marques Made in Italy les plus dynamiques et intéressantes.

Pendant les trois jours du salon, des rencontres B2B auront lieu avec des acheteurs étrangers invités par l’Agence ICE et avec les meilleurs distributeurs et showrooms basés à Milan.

Edshow débutera avec une exposition des collections présentées en revue, dirigée par Titti Baiocchi pour MB Agency, l’un des noms les plus connus et les plus importants dans le domaine des défilés de mode internationaux.

La soirée du 2 septembre, vous ne verrez sur le podium que les entreprises de vêtements et l’avant-première d’un nouveau projet signé IFTA et SOUTH ITALIAN FASHION, le consortium d’entreprises de mode indépendantes né dans la région Campania pour valoriser et promouvoir, dans le monde, la créativité, l’élégance et « la culture du savoir-faire» qui caractérisent l’unicité du tissu du Sud.

L’une des trois collections du spectacle sera dédiée à la mode musulmane.

Une avant-première visant à annoncer un projet commercial international qui présentera à l’étranger, dans un calendrier qui sera bientôt défini, 30 collections pour femmes musulmanes créées avec des critères, des goûts et des procédures de confection exclusivement italiens.

Né pour aider les petites entreprises du Sud à franchir d’importants seuils commerciaux, le projet dédiée aux tenues musulmanes devient donc une prodigieuse rampe de lancement pour les entreprises prêtes à produire et commercialiser la nouvelle Couture musulmane conçue et réalisée dans leurs ateliers.

Quelques exemples : La robe-manteau crée par Sartoria 74 ; les petites robes noires de Simonetta Ricciarelli qui a lancé sa première collection de petites robes fourreau noires ; les caftans du soir aux couleurs de la côte amalfitaine de La Dolce Vita ; les chemisiers doux du soir de FMConcept ; les costumes fluides en soie bleu de Chine et rose shocking de Gianni Cirillo ; the grand soirée de Michele Miglionico, Nino Lettieri, Melina Baffa, Ferdinand, Valentina d’Alessandro, Maria Elena di Terlizzi, l’enfant prodige Arianna Laterza, jusqu’à la robe de soirée durable de Nanaleo et les longues chemises blanches à fermeture magnétique de Youareu.

L’étude du voile islamique avec les différentes options et usage dans différents pays, conçues pour harmoniser les tenues de soirée proposées est importante pour tout le monde.

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LVMH continue son ascension, tiré par son activité Mode et Maroquinerie

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Paris (awp/afp) – Le numéro un mondial du luxe LVMH continue son ascension en affichant un bénéfice de 5,3 milliards d’euros au premier semestre, soit nettement mieux qu’avant la pandémie, notamment grâce aux performances de sa branche Mode et Maroquinerie.

« LVMH réalise un excellent semestre », s’est réjoui le PDG de LVMH Bernard Arnault dans le communiqué diffusé lundi par le groupe, qui a ainsi décuplé son bénéfice net entre janvier et juin par rapport à l’année 2020, marquée par la pandémie de Covid, et qui le voit augmenter de plus de moitié (+62%) par rapport au premier semestre 2019, période de référence avant pandémie.

Les ventes du groupe de Bernard Arnault, première fortune française et deuxième mondiale selon Forbes, se sont établies au premier semestre à 28,7 milliards d’euros, en hausse de 53% (+11% par rapport à 2019).

« Dans le contexte actuel de sortie de la crise sanitaire et de reprise de l’économie mondiale, (…) LVMH est en excellente position pour poursuivre sa croissance et renforcer encore en 2021 son avance sur le marché mondial du luxe », a jugé M. Arnault.

Le résultat opérationnel courant du premier semestre 2021 est de 7,6 milliards d’euros, en croissance de 44% par rapport au premier semestre 2019 et plus de 4 fois supérieur à celui de 2020. La marge opérationnelle courante ressort à 26,6%, en hausse de 5,5 points par rapport à 2019.

Le groupe aux « 75 maisons » est notamment porté par une « performance remarquable de l’activité Mode et Maroquinerie », la division phare du géant du luxe qui a engrangé 13,9 milliards d’euros à elle seule, soit une progression de 38% par rapport à 2019 grâce aux performances de Louis Vuitton, Dior, Fendi, Loewe et Céline qui « gagnent partout des parts de marché et atteignent des niveaux records de ventes et de rentabilité ».

« Une croissance qui bénéficiera à la France »

Les ventes de vins et spiritueux augmentent de 12% par rapport à 2019 à 2,7 milliards d’euros (+44% par rapport à 2020) portées par une demande soutenue aux Etats-Unis et un fort rebond en Chine, explique le groupe qui a pris en début d’année une participation de 50% du capital de la Maison de champagne Armand de Brignac, marque de champagne du célèbre chanteur et producteur américain Jay-Z.

La division Montre et Joaillerie progresse de 5% à 4 milliards d’euros (+71% par rapport à 2020), à la faveur de l’acquisition de Tiffany’s.

Parfums et cosmétiques restent en recul (-3% par rapport à 2019) mais le groupe note des « avancées rapides de ventes directes ».

Dans la distribution sélective, Sephora montre une bonne performance mais DFS est encore pénalisé par la reprise limitées des voyages internationaux, et les ventes reculent globalement. Même chose pour les parfums et cosmétiques, même si les ventes directes avancent.

« La croissance de LVMH bénéficie aujourd’hui, et bénéficiera encore davantage dans l’avenir, à la France, premier bassin d’emploi, principal pays d’origine de nos produits, auquel nos maisons sont fières d’apporter leur contribution », assure Bernard Arnault qui a inauguré récemment la Samaritaine en présence du président de la République Emmanuel Macron.

Les résultats semestriels des concurrents français de LVMH sont attendus mardi soir pour Kering et vendredi matin pour Hermès.

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