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Styles De Vie

30 week-ends à 2 heures de Paris

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Avant que l’hiver ne s’installe définitivement au cœur de la capitale, voici venu le temps de quelques escapades à une, deux ou trois heures de Paris. En train, en voiture ou en avion, jouons la carte de la grande évasion culturelle.

SAINT-MALO

On y va pour… Le départ de la Route du rhum, donné tous les quatre ans au large de la cité corsaire depuis quarante ans. Coup d’envoi le 4 novembre à 14 h, mais, dès le 24 octobre, les quelque 120 monocoques et multicoques en lice pour cette 11e transat en solitaire jusqu’à Pointe-à-Pitre seront amarrés au pied de la ville close et le village de la course dressé sur les quais. Soit deux week-ends entiers pour approcher voiliers et skippers. Entre autres têtes d’affiche, François Gabart, vainqueur 2014, et Armel Le Cléac’h, vainqueur du dernier Vendée Globe, et leurs trimarans Ultime géants.

On dort. À l’Océania 4-étoiles, en position stratégique face à la plage et à deux pas des quais. Chambre double à partir de 152 €. 2, rue Joseph-Loth, chaussée du Sillon (35400). Tél.: 02 99 56 84 84.

BOMMES

On y va pour… Une luxueuse escapade au Château Lafaurie-Peyraguey, 1er grand cru classé de sauternes, devenu fin juin le deuxième hôtel Lalique (après la Villa Lalique en Alsace). Le domaine appartient à Silvio Denz, le PDG de la prestigieuse maison. L’ancienne bâtisse du XIIIe siècle abrite dix chambres, trois suites, une table gastronomique et une cave de 350.000 bouteilles. Lady Tina Green et Pietro Mingarelli, les décorateurs, ont opté pour un style «country chic», rehaussé comme il se doit d’incrustations et de lustres en cristal.

On dort. Sur place évidemment. Chambre double à partir de 250 € avec le petit déjeuner. Visite et dégustation à partir de 20 € par personne. Lieu-dit Peyraguey (33210). Tél.: 05 24 22 80 11.

LHOMME

On y va pour… Une partie de campagne dans la vallée du Loir, au Domaine de la Richardière, en plein vignoble de jasnières, ce vin blanc AOC dont le petit village sarthois a le secret. Cette belle adresse fut d’ailleurs un fief viticole avant son récent réaménagement en quatre gîtes design, dotés chacun d’un atelier d’artiste ouvert sur les bois, les champs, les vignes et planté d’un chevalet. Marc et Nathalie, les nouveaux propriétaires, sont respectivement architecte et peintre-graveur. Et Nathalie se fera un plaisir de guider vos coups de pinceau.

On dort. Dans un gîte pour deux à quatre personnes, de 130 € à 170 € le week-end de 2 nuits (vendredi et samedi), denrées de première nécessité prévues. Repas sur demande. La Richardière (72340). Tél.: 02 43 38 22 46.

CARNAC

On y va pour… Les fameux alignements de menhirs, 3000 monuments de granit, et pas deux semblables, postés au garde-à-vous sur 4 km depuis la nuit des temps. Rouverte après travaux avant l’été, la Maison des mégalithes en offre une introduction avec vidéo, écrans numériques, expositions, librairie et terrasse panoramique. L’automne est en outre la bonne période pour (re)découvrir tranquillement ce site mystérieux vieux de plus de 6000 ans. Accès libre de 10 h à 13 h et de 14 h à 17 h.

On dort. À l’hôtel Le Tumulus 3-étoiles, une valeur sûre avec table courue et spa, à cinq minutes à pied du bourg. Viser une junior suite avec terrasse en rez-de-jardin, 195 € la nuit ou 291 € à deux en demi-pension. Chemin du Tumulus (56340).Tél.: 02 97 52 08 21.

LES SABLES-D’OLONNE

On y va pour… «Otto Dix. Estampes» au Musée de l’abbaye de Sainte-Croix, temple vendéen de l’art moderne et contemporain. L’occasion de (re)découvrir ce peintre allemand, marqué par la Grande Guerre. Parmi la centaine d’œuvres (prêt exceptionnel du Zeppelin Museum de Friedrichshafen) figure notamment une série de cinquante gravures à l’eau-forte de 1924 intitulée «La Guerre». Cette exposition s’inscrit dans le cadre du centenaire de l’armistice de 1918. Du 14 oct. au 13 jan., entrée 5 €. Rue de Verdun (85100). Tél.: 02 51 32 01 16.

On dort. Au Côte Ouest Hôtel Thalasso & Spa, superbe 4-étoiles griffé M Gallery by Sofitel. Chambre avec balcon face à l’Océan à partir de 225 €. Lac de Tanchet, route du Tour-de-France (85100). Tél.: 02 51 21 77 77.

LA BAULE

On y va pour… S’envoler au-dessus des flots en «foils», à La Baule. Le Cercle nautique La Baule Le Pouliguen Pornichet (CNBP) a ouvert cet été la première école de voile multisupport à foils. Le foil, c’est naviguer et voler en même temps sur des planches à voile, des catamarans et à terme sur des dériveurs skiff (aileron placé sous une coque). Des stages sont ainsi proposés les week-ends avec une partie pratique et théorique (à partir de 220 €). L’occasion aussi de profiter de la plus belle baie du littoral français, dont la plage a subi plusieurs réaménagements l’année dernière.

On dort. À l’Hermitage Barrière. Ce mastodonte de l’hôtellerie est un des rares hôtels en France directement posé sur la plage. Fraîchement rénové il est connecté au resort Barrière, qui comprend notamment un des plus fameux clubs de tennis de l’Hexagone. 5, esplanade Lucien-Barrière. Autour de 300 €. Tél.: 02 40 11 46 46.

MOUILLERON-SAINT-GERMAIN

On y va pour… Visiter le nouveau Musée Georges-Clemenceau, ouvert en juin dans sa maison natale, celle de ses grands-parents maternels, rue de la Chapelle, un comble pour ce futur anticlérical… Le «Père la Victoire» y avait vu le jour le 28 septembre 1841. Et c’est dans cette même petite commune vendéenne de Mouilleron-en-Pareds (qui a fusionné en 2016 avec Saint-Germain-l’Aiguiller) que naquit, en 1889, juste à côté, rue du Temple, un autre futur grand homme politique et militaire, Jean de Lattre de Tassigny. Billet jumelé pour les deux propriétés: 6 €. 18, rue du Temple (85390). Tél.: 02 51 00 38 72.

On dort. À La Boisnière, une ancienne ferme du XVIIIe, proche du village et rénovée en maison d’hôte. Chambre double à 77 € avec le petit déjeuner. Mouilleron-en-Pareds (85390). Tél.: 02 51 51 36 39.

POITIERS

On y va pour… Découvrir le patrimoine poitevin à travers un jeu d’énigmes baptisé «Viking 2.0» jalonné des monuments phares de la ville. Et on y va aussi pour le jazz, qui fait son festival à Saint-Benoît, commune du Grands Poitiers, du 27 au 29 septembre 2018, avec notamment le groupe Electro Deluxe, Victoire de la musique jazz en 2017.

On dort. à l’Hôtel Mercure Poitiers Centre, dans une ancienne chapelle de jésuites de 1854, à deux pas de la gare. Chambre double à partir de 108,30 euros. 14, rue Édouard-Grimaux (86000). Tél.: 05 49 50 50 60.

TROUSSAY

On y va pour… Les châteaux de la Loire, qui ne sont pas tous grands! Il en existe des plus petits que Chambord, Chenonceaux ou Cheverny. Beauregard, Troussay, Talcy, Fougères-sur-Bièvre, demeures privées, ont décidé de se regrouper dans une offre touristique à travers un pass unique dénommé «5 petits châteaux» (34 €), qui permet la visite des cinq monuments avec un même ticket. Une belle initiative pour attirer le regard sur de petites merveilles du patrimoine où séjournèrent dans nombre d’entre elles François Ier. Des châteaux qui ont hérité de la Renaissance de superbes décors, comme à Beauregard, dont la galerie de 327 portraits illustres est exceptionnelle.

On dort. Dans l’un d’entre eux, au château de Troussay, dit «le plus petit château de la Loire». Un bijou de la Renaissance qui propose quelques chambres d’hôte de très bon goût (de 180 à 280 € petit déjeuner compris). Tél.: 06 70 63 10 94.

MULHOUSE

On y va pour… Pour les bonsaïs. La métropole alsacienne cultive des liens étroits avec le Japon depuis une quinzaine d’années. Rien d’étonnant qu’elle accueille cette année le Congrès mondial du bonsaï durant 3 jours (du 12 au 14 octobre 2018). L’événement est d’importance puisqu’il a lieu chaque année dans une ville différente du globe et rassemble des passionnés venus du monde entier. Les 240 plus beaux bonsaïs d’Europe y seront exposés. La manifestation s’inscrit dans le cadre de Folie’Flore, 10.000 m2 de jardins éphémères mis en scène, en lumière et en musique, au parc des expositions (du 4 au 14 octobre 2018).

On dort. À l’hôtel Bristol, un charmant 3-étoiles du centre-ville. Certaines chambres disposent d’une baignoire spa. L’établissement, très traditionnel, est remarquable pour son emplacement à proximité du centre piétonnier et à 500 mètres seulement du parc des expositions. 18, avenue de Colmar. Autour de 90 €. Tél.: 03 89 42 12 31.

TROYES

On y va pour… Tout savoir sur la culotte Petit Bateau, une trouvaille de l’entreprise de bonneterie Valton. Inspiré par la comptine Maman les p’tits bateaux, le fils de la maison eut l’idée de couper les jambes d’un caleçon long. Une idée sacrément «culottée» à l’époque, en 1918. Un siècle plus tard, le Musée de la bonneterie fête «Les 100 ans de l’invention de la culotte Petit Bateau» avec une joyeuse rétrospective de l’indémodable sous-vêtement, vendu aujourd’hui à 4,7 millions d’exemplaires par an. Jusqu’au 30 décembre, entrée 3 €. 4, rue Vauluisant (10000). Tél.: 03 25 43 43 20.

On dort. En centre-ville, à l’Hôtel de la Poste & Spa, un ancien relais de poste, joliment thématisé «fiacres et chevaux» et doté d’un spa Nuxe. Chambre double à partir de 130 €. 35, rue Émile-Zola (10000). Tél.: 03 25 73 05 05.

SÉLESTAT

On y va pour… Visiter la Bibliothèque humaniste, rouverte fin juin, dotée d’une extension griffée Rudy Ricciotti (le Mucem à Marseille). L’endroit abrite des centaines de manuscrits médiévaux, parmi lesquels les 670 volumes légués en 1547 par l’avocat-écrivain Beatus Rhenanus à sa ville, réputée alors dans tout le Saint Empire romain germanique pour son école latine. Des écrans numériques offrent aujourd’hui la possibilité de feuilleter ces écrits du temps jadis (presque) comme des magazines. Étonnant. Entrée 6 €, visite guidée 2 €. 1, place Docteur-Maurice-Kubler (67600). Tél.: 03 88 58 07 20.

On dort. À L’Hostellerie de la Pommeraie, 14 vastes chambres et suites dans une demeure Renaissance entre classicisme italien et cosy alsacien. Chambre double et petit déjeuner à partir de 105 €. 8, boulevard du Maréchal-Foch (67600). Tél.: 03 88 92 07 84.

COMPIÈGNE

On y va pour… Le centenaire de l’Armistice, signé le 11 novembre 1918 en forêt de Compiègne, près de Rethondes. Il fait l’objet dans l’Oise, premier département libéré, de multiples manifestations. À Compiègne, le Musée de l’Armistice récemment rouvert après une importante rénovation a été agrandi et modernisé. Le wagon mythique 2419 D, détruit par Hitler en 1940 et remplacé par une voiture de la même série, a été aménagé avec le mobilier d’origine, encriers, lampes de bureau et téléphone de campagne compris. C’est celui-ci que l’on visite aujourd’hui entre autres lieux sur le sentier de la mémoire.

On dort. On dort chez le compositeur Léo Delibes dont l’ancienne villa, un chalet anglo-normand des environs de Compiègne, propose trois chambres d’hôte. La maison de l’auteur de Lakmé, noyée dans la verdure, a fait le choix d’une déco chic, très campagne, avec de beaux tissus fleuris. La maîtresse de maison donne aussi des cours de cuisine. Choisy-au-Bac. Tél.: 06 62 43 12 95.

LE TOUQUET

On y va pour… Hervé Di Rosa. Les peintures populaires de ce pionnier de l’art modeste, influencées par la BD, le rock et le graphisme, investissent le musée de la ville à partir du 20 octobre.

On dort. Au Westminster Art Déco, à deux pas du centre. Chambre double à partir de 162 €. Avenue du Verger, 62520 Le Touquet-Paris-Plage. Tél.: 03 21 05 48 48.

BAVAY

On y va pour… Remonter le temps jusqu’au IIe siècle sur le site archéologique de la cité gallo-romaine de Bagacum Nerviorum. L’exposition «Nouveaux regards sur le trésor des bronzes de Bavay» présente les derniers éclairages scientifiques sur la composition, la datation, l’histoire et l’enfouissement de plus de 370 objets en bronze, parmi lesquels de délicates statuettes de divinités. À découvrir également, le forum en 3D sur grand écran et, sur tablette, sa restitution en réalité augmentée. Jusqu’au 22 janvier, entrée 5 €. Allée Chanoine-Biévelet (59570). Tél.: 03 59 73 15 50.

On dort. À Maubeuge (15 km), à l’Atelier 117, un 3-étoiles impeccable avec restaurant. Chambre double à partir de 81 €. 117, av. Jean-Jaurès (59600). Tél.: 03 27 62 15 00.

ROUBAIX

On y va pour… La Piscine. Le musée d’art et d’industrie rouvre le 20 octobre avec 2000 m2 de surface supplémentaire et une affiche prestigieuse: Hervé Di Rosa et Alberto Giacometti.

On dort. À l’hôtel Mercure, établissement chic et sobre dans un bel immeuble Art déco à 300 mètres du musée. Chambre double à partir de 90,25 €. 22, av. Jean-Lebas, 59100 Roubaix. Tél.: 03 28 52 13 98.

LÉMERÉ

On y va pour… La fleur d’or du chrysanthème est à l’honneur au château du Rivau, qui, les 27 et 28 octobre prochain, accueille le Festival des fleurs d’automne. Une originalité qui rappelle que les jardins peuvent aussi à la morte-saison nous séduire. Cascades florales et autres décorations orneront la façade du Rivau. À voir aussi la forteresse, le pressoir, la grange de la Toison-d’Or, les écuries royales et les jardins de ce lieu historique du Val de Loire, inséré dans un paysage rural totalement préservé.

On dort. Au château du Rivau, qui propose aussi depuis peu sept chambres d’hôte, dans une décoration soignée avec des meubles d’époque, comme dans la chambre d’Henri II un magnifique coffre Renaissance. Tomettes au sol et ambiance feutrée ajoutent au charme des lieux (250 € petit déjeuner compris pour deux pers.) Tél.: 02 47 95 77 47.

ILLIERS-COMBRAY

On y va pour… Marcel Proust. La maison de tante Léonie, ainsi s’appelle-t-elle dansÀ la recherche du temps perdu, fut celle de Jules et Élisabeth Amiot (oncle et tante paternels de Marcel) dans un petit village près de Chartres. Proust y passa vacances de Pâques et étés entre 6 et 9 ans. Cette demeure, dont plus tard une certaine madeleine lui raviva le souvenir, est restée quasi intacte. Remeublée en partie avec le mobilier de Proust, laissé en héritage à Céleste Albaret, sa gouvernante, les lieux respirent un enivrant parfum d’autrefois. Épargnée par une muséographie moderne, la maison d’Illiers-Combray se parcourt avec délice. La commune est la seule de France à avoir accolé une œuvre de fiction à son nom. S’y ajoute la mémoire de visiteurs célèbres, comme Luchino Visconti ou Maria Callas.

On dort.  À l’hôtel Au Grand Monarque, un grand classique au rendez-vous du chic, ancien relais de poste qui en a gardé le charme. Bien situé dans le centre de Chartres. Un spa ajoute au plaisir d’y loger. 22, place des Épars. Tél.: 02 37 18 15 15.

CHAUMONT-SUR-LOIRE

On y va pour… La belle correspondance entre nature, œuvres contemporaines et patrimoine, avec le 27eFestival international des jardins, les expositions de la 10e saison d’art dans le château et le parc des «Prés du Goualoup» et les «splendeurs d’automne» du domaine, jusqu’au 4 novembre 2018.

On dort. Au Logis de Chaumont, une maison pleine de charme dotée de quatre chambres, à la fois rustique et contemporaine, à 500 mètres du château. À partir de 96 € la nuit. 53-55, rue du Maréchal-Leclerc (41150). Tél.: 02 54 20 30 68.

SANCERRE

On y va pour… Boire et pédaler! Un dimanche dans les vignes à bicyclette, c’est la jolie proposition du club cyclotourisme de Cosne-sur-Loire, qui organise le 14 octobre prochain son 41e Rallye des vignobles. Trois parcours de 44 km, 73 km et 101 km sont proposés à travers les coteaux du Giennois et à Pouilly-sur-Loire. La traversée de la Loire se fera au Pavillon du Milieu de Loire (500 km en amont, 500 km en aval), puis prendra la direction de Sancerre avec une halte à la cave de la Mignonne et une visite de Chavignol, le village du crottin! Une excursion dans les paysages du Sancerrois, qui comptent parmi les plus beaux du vignoble français. Tél.: 03 86 26 70 88.

On dort. En chambre d’hôte au Cep en Sancerrois, un ancien presbytère. La décoration est classique dans un style dépouillé et rustique. 2, rue Maréchal-Mac-Donald, à Sancerre. Tél.: 06 24 56 30 66. De 95 à 110 € petit-déjeuner compris.

MOULINS

On y va pour… Jouer. Les enfants qui aiment lire ont aussi droit à leur musée. Ouvert en 2005, le Musée de l’illustration jeunesse à Moulins, dans l’Allier, conserve plus de 3800 planches originales de styles et de courants variés de l’illustration. Sa collection de plus de 11.500 albums illustrés et ouvrages d’analyse de l’illustration jeunesse, dont certains sont consultables en libre accès dans la salle de lecture, est unique. Installé dans le prestigieux hôtel de Mora, au cœur de la ville, le musée présente une exposition de la collection de Véronique Michel-Dalès, créatrice de l’entreprise Djeco, soit 200 œuvres, dont nombre de jouets, qui constituent une collection privée unique. (Jusqu’au 6 janv. 2019.)

On dort. Au Mercure-Hôtel de Paris, le plus bel hôtel de la ville, construit en partie sur l’emplacement d’une ancienne école que fréquenta Coco Chanel. Très beau spa. 21, rue de Paris. Autour de 150 €. Tél.: 04 70 44 00 58.

FERNEY-VOLTAIRE

On y va pour… La réouverture du château de Voltaire en juin dernier, après des années de rénovation, est l’occasion de découvrir une nouvelle muséographie centrée sur Voltaire et les valeurs de tolérance. Remeublé, on visite l’antichambre, la salle à manger-bibliothèque et le cabinet des tableaux, entre autres pièces de cette demeure aux portes de Genève. Parmi les icônes, on peut admirer le célèbre portrait de Voltaire, pastel attribué à Maurice Quentin de La Tour et un buste fameux du philosophe par Houdon. Acquis par l’État en 1999, le château de Ferney-Voltaire a gardé sa physionomie extérieure d’origine mais a subi d’importantes transformations au XIXe siècle.

On dort. À la Réserve Genève, une valeur sûre des proches environs de Ferney-Voltaire, hôtel lodge luxueux posé au bord du lac Léman et qui bénéficie de l’expertise d’un groupe dont les établissements cultivent l’excellence à Paris comme à Saint-Tropez, notamment. 301, route de Lausanne, à Bellevue. Superior room à partir de 650 CHF (576 €). Tél.: 00 41 22 959 59 59.

LYON

On y va pour… La rétrospective Bernar Venet au Musée d’art contemporain de Lyon. Des premières performances, dessins, diagrammes, peintures, jusqu’aux photographies, pièces sonores, films et sculptures, un ensemble de 170 œuvres retrace à rebours (2019-1959) soixante ans de création de l’artiste pionnier de l’art conceptuel. Le parcours commence par les sculptures monumentales qui dessinent des lignes géomètriques d’acier au tas de charbon des débuts. Le travail de Bernar Venet, hier iconoclaste, rentre aujourd’hui dans le rang des institutions. Au MAC de Lyon jusqu’au 6 janv.

On dort. À la Villa Maïa, le dernier-né des 5-étoiles lyonnais, décoré par Jacques Grange. L’hôtel, juché sur la colline de Fourvière, offre des chambres avec une vue époustouflante sur la capitale des Gaules. Très beau spa avec une vaste piscine couverte. 8, rue Pierre-Marion. Ch. double 450 €. Tél.: 04 78 16 01 01.

CORDES-SUR-CIEL

On y va pour… S’offrir un voyage dans le temps. Joyau d’art gothique, Cordes-sur-Ciel est avant tout une destination magique, qui, pendant l’arrière-saison, permet de replonger dans la France médiévale, comme si l’on se promenait entre les pages d’un livre d’histoire. Si, à 25 km de cette «cité médiévale montant à l’assaut du ciel», on trouve la forteresse de Penne, objet d’une campagne de reconstruction en lien avec les hauts lieux du patrimoine européen, Cordes, qui fut élu «village préféré des Français» en 2014, vaut surtout pour son héritage architectural exceptionnel. Parcourir Cordes, se perdre dans les venelles de la commune, admirer la ville haute, les somptueuses demeures aux façades sculptées, franchir les seuils, visiter le Jardin des paradis, le Musée du chocolat ou le Musée Charles-Portal, qui raconte l’histoire de la ville, c’est la promesse de grands souvenirs. Sans oublier que, depuis de nombreuses années, les artistes, les potiers et autres artisans d’art restent très dynamiques.

On dort. À l’Hostellerie du Vieux Cordes. Le prestigieux hôtel du Grand Écuyer d’Yves Thuriès ayant hélas fermeé, cet établissement 3-étoiles, labélisé Logis de France, permet de demeurer pour la nuit dans la ville haute… Sans oublier le restaurant gastronomique! Prix moyen pour une chambre pour deux: 98 €. 21, rue Saint-Michel (81170). Tél.: 05 63 53 79 20.

TOULON

On y va pour… La rue des Arts. Une artère réhabilitée du centre-ville, sur une idée du très dynamique Jacques Mikaélian, où il fait bon désormais flâner en levant les yeux pour admirer les photos de Michel Eisenlohr (jusqu’au 28 décembre 2018). À travers une vingtaine de grands formats, l’artiste fait dialoguer la lumière et des architectures anciennes et modernes du Var. On y reconnaît notamment l’Opéra de Toulon, qui se distingue par sa programmation éclectique. Faites également un détour par la Maison des arts, où Michel Eisenlohr expose un reportage réalisé en 2002 en Syrie, qui a aujourd’hui valeur de documentaire (jusqu’au 24 novembre 2018). Au fil de la balade, poussez la porte des 42 galeries et boutiques qui mettent toutes la création à l’honneur. Ainsi que celle de l’ancien évêché (69 cours Lafayette) pour les derniers jours de Design Parade.

On dort. Aux Voiles, petit hôtel de charme dans le quartier du Mourillon, qui surplombe la mer. Les 17 chambres ultralumineuses (dont 8 avec vue) évoquent la Méditerranée, dans un style minimaliste. Ne manquez pas de grimper sur le toit-terrasse pour admirer la grande bleue en dégustant un café. 124, rue Gubler. Ch. double à 115 € sans pdj. Tél.: 04 94 41 36 23.

NAJAC

On y va pour… Assister au concert du groupe américain Handsome Family, le 2 oct. 2018. Au Camping des étoiles (sur réservation au 06 22 03 00 69). Mais surtout, on y va pour monter visiter l’impérieux château de Najac, perché sur une arête rocheuse et construit au milieu du XIIIe siècle. Classé monument historique, ce castel fait partie d’un réseau de châteaux royaux situés dans la vallée de l’Aveyron. Dans le cadre verdoyant de ce splendide village médiéval, on pourra également se balader le long d’une rue unique et flâner dans le village qui compte notamment de nombreux artisans, et créateurs.

On dort. Au Logis L’Oustal Del Barry. Ne serait-ce que pour jouir du privilège de se réveiller en ayant une vue imprenable sur les gorges de l’Aveyron… Et le château! Place du Bourg (12270). Chambre double autour de 83 €. Tél.: 05 65 29 74 32.

AIX-EN-PROVENCE

On y va pour… «Chagall, du noir et blanc à la couleur», plus de cent œuvres de tous styles – peintures, dessins, lavis, gouaches, collages, sculptures, céramiques – réalisées par l’artiste de 1948 à la fin de sa vie (1985). Elles seront présentées à l’Hôtel de Caumont-Centre d’Art, monument historique du XVIIIe. L’exposition ouvre le 1er novembre 2018 et dure tout l’hiver, jusqu’au 24 mars 2019. Entrée: 14 €. 3, rue Joseph-Cabassol (13100). Tél.: 04 42 20 70 01.

On dort. À l’Hôtel Particulier Le 28, élégante maison d’hôte en plein centre, avec piscine, spa, bar et restaurants. Chambre double à partir de 200 €. 28, rue du 4-Septembre. Tél.: 07 83 15 75 92.

L’ISLE-SUR-LA-SORGUE

On y va pour… La Filaventure, le nouveau musée sensoriel des fibres nobles, ouvert cet été dans la manufacture Brun de Vian-Tiran par Pierre et Jean-Louis Brun, septième et huitième génération aux commandes de cette entreprise familiale fondée en 1808. Ce parcours découverte explique les quinze étapes nécessaires à la transformation en étoffes des précieuses laines (cachemire, mohair, alpaga, yangir…) venues des cinq continents. Une boutique, toute neuve également, parachève la visite. Entrée: 7,50 €. Av. de la Libération (84800). Tél.: 04 28 70 28 00.

On dort. Au Grand Hôtel Henri, 4-étoiles, une institution depuis 230 ans, design grand chic et table bistronomique. Chambre double à partir de 115 €. 1, cours René-Char (84800). Tél.: 04 90 38 10 52.

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MAPEI Canada inaugure l’agrandissement de son usine à Laval, au Québec

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LAVAL, QC, le 15 sept. 2023 /CNW/ – MAPEI Inc., un renommé fabricant de produits pour l’industrie du bâtiment au Canada depuis 1978 faisant partie du Groupe MAPEI, a inauguré hier soir l’agrandissement de son installation phare à Laval, au Québec, lors d’une cérémonie qui célébrait l’ouverture officielle de la nouvelle usine de production de poudre et du nouvel entrepôt.

Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI, ainsi que Simona Giorgetta, actionnaire et membre du conseil d'administration. (Groupe CNW/MAPEI Inc.)
Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI, ainsi que Simona Giorgetta, actionnaire et membre du conseil d’administration. (Groupe CNW/MAPEI Inc.)

« Maintenant que les lignes de poudres et d’adjuvants sont opérationnelles, MAPEI Laval figure parmi les usines les plus grandes et les plus technologiquement avancées du réseau de MAPEI Amérique du Nord », dit Marco Roma, directeur général de MAPEI Canada. « Cette nouvelle installation nous permet de répondre aux besoins croissants du nord-est du Canada en matière de matériaux de construction, d’adjuvants pour béton et d’agents de mouture pour ciment », ajoute-t-il.

Entre autres, l’augmentation de la production à Laval créera un effet d’entraînement qui permettra une production plus équilibrée au Canada.

« En améliorant notre capacité à déplacer la production en conséquence pour une plus grande localisation entre nos usines du Québec, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique, nous pouvons réduire notre empreinte carbone partout au pays en effectuant des livraisons plus rapides sur des distances plus courtes lors du transport des fournitures vers les chantiers de construction », dit M. Roma.

Maximiser l’utilisation de matériaux locaux fait partie du pilier MAPEI qui vise à améliorer la durabilité dans le domaine de la construction. Cela fait partie de la philosophie qui a permis à MAPEI de participer à la construction et à la rénovation de certains des bâtiments et infrastructures les plus remarquables du Canada, allant du Centre aquatique Minoru à Richmond, en Colombie-Britannique, au Centre Avenir à Moncton, au Nouveau-Brunswick, en passant par la station Union à Toronto, en Ontario, pour n’en nommer que quelques-uns.

« Notre présence au Canada est née d’une occasion liée aux Jeux olympiques de Montréal qui ont eu lieu en 1976 », disent Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI. « Nous avons été appelés à fournir des produits pour l’installation des pistes d’athlétisme olympiques. Nous avons eu un effet tellement positif au pays que nous avons décidé en 1978 d’investir et d’ouvrir, ici même à Laval, notre première usine hors de l’Italie. Ce fut le début de notre stratégie d’internationalisation qui définit toujours l’entreprise aujourd’hui. Au cours des cinq dernières années, nous avons décidé de diversifier les marchés en ajoutant des lignes de produits qui n’étaient pas offertes au Canada à l’origine, mais qui étaient déjà bien étendues et rigoureusement testées par MAPEI en Europe, comme les additifs et les revêtements de sol industriels. Voilà ce qui a mené au projet d’agrandissement. »

« MAPEI Amérique du Nord avance à grands pas », dit Luigi Di Geso, président-directeur général de MAPEI Amérique du Nord. « Cet ajout répondra à une croissance qui a commencé ici même, dans une installation alors modeste qu’on ne reconnaitrait pas aujourd’hui, et qui était pourtant à la fine pointe de la technologie il y a quelques années seulement. »

La nouvelle ligne de production de poudre produira annuellement 30 000 tonnes par quart de travail. La nouvelle ligne de production d’adjuvants produira annuellement 7 000 tonnes par quart de travail. L’agrandissement de l’espace d’entreposage pourra dorénavant rendre plus efficace la distribution de toute cette production : 4 715 m² (50,750 pi²) supplémentaires s’ajoutent aux 11 892 m² (128,000 pi²) que constituent l’usine de polymères, le centre d’excellence en R. et D. pour la construction en béton et le siège social canadien, qui sont également sur place.

« Avec 11 lignes de produits couvrant tous les aspects de la construction, MAPEI Inc. est prête à atteindre des sommets encore plus élevés que jamais en aidant à construire le Canada de manière plus durable, et ce pour de nombreuses années à venir », ajoute M. Di Geso.

Parmi les invités d’honneur qui ont pris la parole au cours de la cérémonie, Son Excellence Andrea Ferrari, Ambassadeur d’Italie au Canada, et l’Honorable Tony Loffreda, Sénateur au Sénat du Canada.

L’année 2023 marque le 45e anniversaire de MAPEI au Canada, sous le nom de MAPEI Inc. En plus de l’emplacement à Laval, MAPEI Canada possède des installations de production à Maskinongé, au Québec, à Brampton, en Ontario, et à Delta, en Colombie-Britannique, ainsi qu’un centre de distribution à Calgary, en Alberta. Elle peut également se vanter de ses Services techniques, présents partout au pays et sans égal dans l’industrie. Pour plus de renseignements, consultez le www.mapei.ca.Au sujet de MAPEI

Fondée en 1937 à Milan, MAPEI est aujourd’hui l’un des principaux fabricants mondiaux de produits chimiques pour l’industrie du bâtiment et a contribué à la construction de certaines des créations architecturales et d’infrastructure les plus importantes au monde. Avec 102 filiales exerçant leurs activités dans 57 pays et 90 usines de fabrication dans 35 nations, le Groupe MAPEI emploie environ 11 900 personnes dans le monde. Les fondements du succès de l’entreprise sont la spécialisation, l’internationalisation, la recherche et le développement, ainsi que la durabilité.

MAPEI Amérique du Nord, dont le siège social est situé à Deerfield Beach, en Floride, compte les filiales MAPEI Corporation (pour les États-Unis), MAPEI Inc. (pour le Canada) et MAPEI Caribe (pour Porto Rico et les autres îles des Caraïbes). Celles-ci regroupent 28 installations où travaillent environ 1 800 employés. Les installations MAPEI sont certifiées selon les normes de qualité ISO 9001 et ISO 14001. MAPEI est un fabricant soucieux de l’environnement qui réinvestit 5 % de ses recettes dans la R. et D., et qui offre également de la formation aux architectes, aux entrepreneurs, aux installateurs et aux distributeurs par l’entremise de l’Institut technique MAPEI. Pour en savoir plus sur MAPEI, consultez le www.mapei.com ou composez le 1 800 42-MAPEI (1 800 426-2734).

SOURCE MAPEI Inc.

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Le Gala Elles reconnaissent célèbre les femmes remarquables de l’industrie de la construction

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MONTRÉAL, le 18 sept. 2023 /CNW/ – Les Elles de la construction sont fières d’annoncer le retour du Gala Elles reconnaissent, un événement destiné à célébrer les femmes exceptionnelles qui ont joué un rôle primordial dans l’industrie de la construction. Cette soirée promet glamour, réseautage et reconnaissance, offrant aux invitées une opportunité unique d’assister à une cérémonie de remise de prix spéciale mettant en valeur les femmes les plus remarquables et influentes du secteur. Le Gala aura le privilège de compter sur deux présidentes d’honneur : Lyne Laperrière, Directrice des ressources humaines chez Demospec Groupe, et Danièle Henkel, Présidente de Henkel Média et Fondatrice des entreprises Danièle Henkel Inc.

Le Gala Elles reconnaissent se tiendra le jeudi 5 octobre 2023, de 17h30 à 21h, au Théâtre Paradoxe situé au 5959 Boulevard Monk, Montréal, QC, H4E 3H5. Des discours mettront en lumière le parcours inspirant et les obstacles surmontés par des femmes pour réaliser leurs rêves dans le domaine de la construction.

« Le Gala Elles reconnaissent est une opportunité de favoriser le réseautage et de renforcer les liens au sein de notre industrie en rassemblant des professionnels influents et des entrepreneurs inspirants. Cet événement a pour objectif de reconnaître et de célébrer les réalisations exceptionnelles des femmes dans l’industrie de la construction. Depuis des décennies, elles ont joué un rôle significatif dans le succès et l’innovation de ce secteur, et il est grand temps de leur accorder la reconnaissance qu’elles méritent amplement. »
– Lyne Laperrière, Directrice des ressources humaines, Demospec Groupe

« Nous sommes fiers d’honorer ces femmes qui ont apporté une contribution inestimable au secteur de la construction et qui sont une source d’inspiration pour les générations futures. Le Gala Elles reconnaissent est une occasion unique de célébrer leurs réalisations et de se laisser inspirer par leurs brillants parcours. »
– Danièle Henkel, Présidente de Henkel média et Fondatrice des entreprises Danièle Henkel inc.

Le Gala Elles reconnaissent est soutenu par de nombreux commanditaires, dont Groupe RP. Pour de plus amples informations, rendez-vous sur le site web officiel de l’événement sur www.ellesdelaconstruction.com.

SOURCE Les Elles de la construction

Renseignements: Relations de presse ; Yasmina Wahdani, 514-209-0799, ywahdani@exponentielconseil.com ; Gaëlle Gilles, 438 404-3553, communications@ellesdelaconstruction.com

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Préparez votre maison pour l’hiver afin d’éviter les réclamations d’assurance

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(NC) Se prélasser au coin du feu. Construire un fort dans la cour enneigée. Regarder un bon film au chaud. Au Canada, on peut faire une foule de choses agréables quand on passe l’hiver à la maison. Mais présenter une réclamation d’assurance habitation n’en fait pas partie.

Suivez nos conseils pour bien préparer votre maison pour un autre hiver enneigé et en profiter pleinement sans vous inquiéter des imprévus.

Inspectez, dégagez et nettoyez l’extérieur de la maison
Vous assurer que l’extérieur est bien entretenu est une étape clé de la préparation de votre maison pour l’hiver. Avant que les températures glaciales ne deviennent une réalité quotidienne, débarrassez-vous des feuilles et autres débris qui se sont accumulés dans les gouttières pour empêcher la formation de barrières de glace pendant l’hiver. Videz et fermez les conduites d’eau extérieures pour éviter les dégâts d’eau causés par le gel et l’éclatement des tuyaux.

Il est maintenant temps d’inspecter les coupe-froid autour des portes et des fenêtres. Trouver et réparer les fissures et les interstices aide à prévenir les pertes de chaleur et la hausse de votre facture d’électricité, tout en préservant l’intégrité architecturale de votre maison.

Vérifiez la sécurité à l’intérieur de la maison
La sécurité incendie et la qualité de l’air à l’intérieur de la maison sont importantes tout au long de l’année, mais l’ajout d’une vérification à votre liste de préparation pour l’hiver peut vous assurer que tout est en parfait état.

Vérifiez le fonctionnement de vos détecteurs de fumée et de monoxyde de carbone. Et pendant que vous y êtes, prenez note de la date d’expiration de chaque détecteur. Selon le modèle, on devrait les remplacer tous les cinq à dix ans.

Ensuite, assurez-vous que vos extincteurs sont en bon état de fonctionnement et facilement accessibles. Si vous n’en avez pas, ajoutez-les en priorité à votre liste d’achats. En compagnie des autres membres de la famille, prenez le temps d’apprendre quand et comment vous en servir correctement.

Par souci de sécurité, vous pouvez également envisager de vous procurer une trousse de mesure du radon à long terme, qui comprend un détecteur. La ventilation, les points d’entrée, les drains et même la composition du sol peuvent avoir des répercussions sur votre exposition au radon, un gaz potentiellement cancérigène créé lorsque l’uranium présent à l’état naturel se désagrège. L’étage le plus bas de la maison est l’endroit idéal pour installer un détecteur de radon. Surveillez-le régulièrement pour votre sécurité et celle de votre famille.

Inspectez votre générateur d’air chaud et vos autres appareils de chauffage
Compte tenu de l’arrivée imminente de l’hiver et du temps froid, il est essentiel de faire des vérifications de routine et de voir à l’entretien de votre générateur d’air chaud pour vous assurer qu’il fonctionne efficacement et en toute sécurité, afin que vous puissiez rester bien au chaud pendant toute la saison froide.

Pour procéder vous-même à une inspection de base, vérifiez que la zone autour du générateur d’air chaud est exempte d’objets et de débris, examinez les tuyaux et les raccords pour déceler tout signe de dégradation et assurez-vous de remplacer les filtres selon le calendrier recommandé par le fabricant. Une inspection et un nettoyage annuels par une équipe technique d’entretien qualifiée sont aussi recommandés.

Si vous avez des appareils de chauffage au bois et des foyers dans votre maison, vous devriez retenir les services d’une équipe d’inspection de cheminée certifiée pour les examiner et les nettoyer avant de commencer à les utiliser. Cela réduit le risque d’incendie lié à une cheminée.

Découvrez d’autres conseils sur la façon de protéger votre maison tout au long de l’année au cooperators.ca.

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