Connect with us

Technologie

Le mème, de blague obscure à arme électorale

Published

on

[ad_1]

De faux journaux satiriques comme Le Revoir (à ne pas confondre avec Le Devoir), on en a déjà vu : le Journal de Mourréal, La Pravda, Le Navet. Le Revoir, en plus de ne pas être un vrai média, ne perd pas de temps à écrire des articles. Il publie plutôt des captures d’écran d’articles… qui n’existent pas.

Le contenu du Revoir, une page Facebook, est complètement loufoque et calqué sur l’actualité de la campagne électorale. « Québec solidaire promet de nationaliser François Lambert », peut-on lire dans une de ses publications. « L’Université McGill déménagera en Ontario advenant une défaite libérale », mentionne une autre d’entre elles.

Lancé il y a à peine deux semaines, le 10 septembre, en pleine campagne électorale, Le Revoir a connu un succès assez fulgurant. Sa page compte désormais près de 7000 abonnés. Mais ses publications réussissent à atteindre un auditoire qui pourrait rendre jaloux certains médias.

Selon Alain, un des gestionnaires de la page, la publication la plus populaire a atteint 132 000 personnes. Sa toute petite équipe réussit à rejoindre à peu près la moitié du nombre de personnes sur Facebook que le journal dont elle parodie l’identité visuelle, Le Devoir, qui compte 274 000 abonnés. Au cours de la dernière semaine, la page du Devoir a généré quelque 44 000 interactions sur ses 246 publications. Le Revoir en a généré près de la moitié moins, soit 21 000, sur 79 publications.

Alain est assez fier de ce que sa petite bande et lui ont pu accomplir en si peu de temps. Avec peu de ressources, ils rivalisent presque certains médias établis sur Facebook. « En même temps, ce n’est pas juste. Eux, ils publient des gros articles sérieux et nous, on arrive avec des blagues qui punchent. C’est sûr que c’est plus facile pour nous », lance-t-il.

Puisque nous sommes à une époque où tout se vit sur le web, Alain n’a jamais rencontré les cinq autres personnes qui gèrent la page avec lui. Ils sont amis Facebook depuis des années et partagent le même sens de l’humour, mais c’est tout.

« On veut s’amuser. C’est un défoulement par rapport à ce qu’on voit dans les médias, de pouvoir le prendre et le parodier et le tourner à la satire. C’est notre vision tordue des événements et de l’actualité, explique l’homme de 45 ans. En ce moment, il y a un clash des générations. C’est un peu là-dessus qu’on joue. »

Un mème, c’est une unité de communication simple. Ça se partage facilement sur les réseaux sociaux. Ça ne demande pas un gros investissement de temps. Ça utilise les codes culturels actuels. C’est ce qui fait que ça va résonner et que les gens vont réagir tout de suite.

Alain, un des gestionnaires de la page Facebook Le Revoir

Cet écart générationnel, on le voit dans la page du Revoir, où les discussions dans les commentaires se déploient à coup de mèmes et d’images animées. Selon Alain, l’auditoire est pour la plupart composé d’universitaires et de cégépiens. La page a d’ailleurs connu son premier succès en misant sur des mèmes à propos des universités.

Justement, pourquoi publier de fausses captures d’écran d’articles plutôt que d’écrire des textes satiriques sur un site web, comme le fait le Journal de Mourréal, par exemple? « Parce que c’est ça que le monde lit aujourd’hui! Ils lisent juste le titre! Pourquoi est-ce qu’on se taperait la production d’un faux article? » répond du tac au tac Alain.

Celui qui a déjà travaillé en marketing sur les réseaux sociaux comprend bien les rouages du web. Il dit avoir observé avec fascination la campagne électorale de 2016 aux États-Unis. Il a vu que les mèmes y ont joué un rôle prépondérant en misant sur les émotions des internautes.

« Il faut trouver des dénominateurs communs, des choses qui vont résonner vite chez les gens, qui vont vite provoquer quelque chose chez eux, explique-t-il. On le voit si les gens commencent à cliquer sur “J’aime” tout de suite. C’est là que ça va décoller. Ensuite, ça va être de plus en plus diffusé. Ça devient comme une boucle de rétroaction. » Il mentionne que l’équipe analyse souvent ses publications pour tenter de comprendre ce qui a fonctionné, et pourquoi.

« Si ça ne génère pas rapidement de l’engagement (NDLR : des « J’aime », des partages et des commentaires), Facebook ne va pas le propager pour le fun. »

Une page de Québec solidaire clandestine

Personne à Québec solidaire (QS) ne connaît l’identité des sept internautes qui gèrent la page Québec solidank. Pourtant, ces militants de longue date ont créé un « politburo » sur Facebook qui est devenu en quelque sorte l’aile non officielle de mémétique du parti.

« On était quelques membres de QS, on s’est dit qu’on voulait être capable de communiquer nos idées libres du carcan des médias conventionnels. On était tous et toutes des gens qui aimaient bien le jeu du mème », raconte celui qui s’identifie seulement comme « un porte-parole du Politburo de Québec solidank ». À entendre sa voix, il doit être dans la fin vingtaine ou le début de la trentaine. Il assure que tous les gestionnaires de la page ont moins de 35 ans.

Pour des gestionnaires d’une page qui publie souvent des mèmes américains traduits (ou non) en français et adaptés à la sauce québécoise, ils sont drôlement bien organisés. Certains des mèmes de la campagne sont prêts depuis un mois. Lors des débats des chefs, les gestionnaires ont créé une sorte de cellule de coordination sur Facebook, où ils se partageaient des tâches pour réagir le plus rapidement possible aux propos des politiciens.

Eux aussi ne se sont pour la plupart jamais rencontrés en personne.

Les gens à Québec solidaire ne savent pas qui est derrière Québec solidank, et c’est vraiment important. Si demain, Gabriel Nadeau-Dubois ou Manon Massé se faisaient demander qui nous sommes, ils diraient : “On ne le sait pas.”

Un porte-parole du Politburo de Québec solidank

Leur succès est considérable. Du 19 au 25 septembre, la page de Québec solidank a atteint 702 000 personnes sur Facebook. Sa publication la plus populaire, une vidéo d’Alakazou qui prépare des sandwichs au gazon « pour nourrir sa famille avec 75 $ », a rejoint 325 000 personnes et a été vue 151 000 fois.

Une photo montrant le président américain, Donald Trump, et le chef de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, en train de boire un verre d’eau, a aussi été une réussite. « Ça a atteint 269 000 personnes. C’est beaucoup pour quelque chose qui a pris 30 secondes à faire », dit le porte-parole.

L’auteur s’excuse pour son manque de talent en mémétique. CLIQUEZ POUR AGRANDIR. Photo : Capture d’écran – Facebook/Radio-Canada

Celui-ci explique le succès des mèmes par leur capacité à communiquer simplement des idées complexes et à toucher une corde sensible chez l’auditoire. « [Les gens] sont tout le temps fâchés et à un moment donné, ils se disent : “Crisse, il n’y a personne qui parle pour moi, personne n’exprime ma colère.” Puis là, ils arrivent sur Facebook et il y a un mème qui dit exactement ce qu’ils veulent dire. »

De nombreuses pages de mèmes très populaires se sont d’ailleurs converties en plateformes non officielles de QS, le temps de la campagne. Les pages Fruiter (142 313 abonnés), Lynternait (87 059 abonnés) et Mèmes gastro-entérite (50 352 abonnés) ont créé la surprise en arborant l’orange solidaire pendant la campagne.

La page Québec fier, qui a fait beaucoup de bruit avant le déclenchement de la campagne, mise elle aussi sur des mèmes et des images faciles à relayer pour propager des idées conservatrices que son gestionnaire considère comme peu présentes dans les médias traditionnels.

Les mèmes politiques trahissent souvent un lourd cynisme, un désabusement envers le système politique. On y ressent un certain désespoir, une volonté d’ériger la politique en spectacle, d’en faire la chute d’une blague. On ne se surprendra pas que cette façon de communiquer est propre aux jeunes, pense Alain.

« Je me demandais l’autre jour si on y contribuait [au cynisme politique]. Mais ce n’est pas de notre faute. Ce sont les partis qui n’arrivent pas à offrir quelque chose [qui plaît aux gens]. On est dans un monde où les choses n’ont pas changé depuis 30 ans », soutient-il.

Or, il y a 30 ans, on ne communiquait pas notre désespoir politique à coup d’images de dessins animés japonais truffées de propos sarcastiques.

[ad_2]

Source link

قالب وردپرس

Technologie

TELUS adopte une nouvelle promesse de marque

Published

on

By

TELUS annonce l’évolution de la promesse judi slot online de sa marque, qui devient «Créons un futur meilleur». Au cours des deux dernières décennies, la promesse de la marque TELUS, «Le futur est simple», a aidé les Canadiens à adopter de nouvelles technologies comme la 4G LTE, la 5G, la fibre optique, IdO, les solutions de santé virtuelles et l’intelligence artificielle. Tandis que nous continuons de composer avec la pandémie mondiale et de constater des changements sociaux importants, la marque voulait continuer de travailler de concert avec les communautés locales pour avoir une incidence sociale positive durable.

Les Canadiens remarqueront également des changements apportés à l’identité visuelle emblématique de la marque dans la publicité et les communications. Les animaux-vedettes qui sont allés droit au cœur des Canadiens au fil des ans demeureront, mais ils seront mis en vedette d’une façon plus authentique et faisant ressortir leur beauté naturelle.

Pendant 20 ans, nous avons été guidés par la promesse de notre marque, le futur est simple. Nous avons tiré parti de la technologie afin de générer des retombées positives sur les plans humain et social pour nos clients, les membres de notre équipe et les citoyens du monde entier», indique Darren Entwistle, président et chef de la direction de TELUS. La pandémie a poussé bon nombre d’entre nous à remettre en question ce que nous considérions comme important, incluant les valeurs qui nous sont chères. TELUS demeure passionnée dans ses engagements envers les nombreux intervenants qu’elle sert et plus inspirée que jamais à soutenir des réalisations incroyables et communes qui répandent le bien et aident nos concitoyens dans le besoin. À cet égard, la nouvelle promesse de notre marque – Créons un futur meilleur – convie tout le monde à se joindre à nous, pour que nous puissions ensemble rendre le monde simplement meilleur.»

Continue Reading

Technologie

La tech agricole Farmers Edge entre en Bourse à 18 fois ses revenus

Published

on

By

Le spécialiste des logiciels destinés aux fermiers Farmers Edge (FDGE, 19,98$) connaît une solide entrée en Bourse avec un gain de 17,5% à sa première séance en Bourse, le 3 mars.

Cette appréciation est nettement moins spectaculaire que celle d’autres fournisseurs de logiciels qui ont fait le saut en Bourse depuis un an, mais le cours initial se situe tout de même dans le haut de la fourchette prévue de 10 à 17$.

Cela confère à la recrue de Winnipeg une valeur de plus de 834 millions de dollars, soit 18 fois les revenus de 45 à 47 M$ estimés pour 2020 (si le maximum d’actions est émis).

Ses revenus ont presque doublé par rapport à 2019, mais la société accuse un déficit d’exploitation estimé à 29 à 33 M$ en 2020, indique le document de marketing des courtiers.

Autrefois une société d’experts-conseil en agronomie, Farmers Edge offre désormais diverses solutions logicielles par abonnement aux fermiers qui visent à améliorer la productivité des récoltes et mieux gérer les émissions de gaz à effet de serre, par exemple.

Mise au point depuis 2015, sa plateforme logicielle d’analyse en nuage FarmCommand mine plus de 3 milliards de points de données pour fournir aux agriculteurs des analyses en temps réel à l’acre, ainsi que des modèles de rendement prédictif et des alertes accompagnées de recommandations, peut-on lire dans le prospectus de 247 pages.

«Nous croyons être les pionniers de l’utilisation de données dans l’agriculture et qu’il n’y a aucune autre société qui fait ce que nous faisons. Nous sommes déterminés à créer le premier écosystème agricole numérique entièrement connecté centré sur les succès des agriculteurs», se targue l’agriculteur, fondateur et chef de la direction Wade Barnes qui signe une lettre, dans le prospectus.

La société attribue les pertes accumulées de 363,4 M$ à la fin de 2019 aux investissements importants consacrés à l’élaboration de sa plateforme technologique et aux efforts de croissance.

On y apprend aussi que la société compte 500 employés dans six pays dont le Brésil, l’Australie, la Russie et l’Ukraine.

Doubler les revenus récurrents

Farmers Edge pourrait récolter environ 132 M$ si les courtiers exercent l’option de sur-allocation prévue. La Banque Nationale et la Banque CIBC co-pilotent l’émission strictement canadienne à laquelle participe trois autres courtiers.

Les fonds récoltés rembourseront 14,5 M$ de dettes dues à l’assureur Fairfax Financial (FFH, 529,37$), un important bailleur de fonds et le principal actionnaire.

Quelque 80 M$ financeront des projets expansion et des acquisitions sélectives potentielles. Enfin, 20 M$ iront au fonds de roulement.

L’entreprise veut élargir son offre d’abonnement gratuit pour la première année à plus de fermiers. Plus sa plateforme récolte de données par acre, plus les analyses et les recommandations aux fermiers se rafineront.

Sa meilleure santé financière pourrait aussi attirer de nouveaux partenaires qui offriront sa technologie dans le domaine agricole et de l’assurance. 

La société veut doubler à 125 M$ ses revenus récurrents annuels, accroître ses revenus totaux à un rythme annuel composé de 40 à 50% et dégager un bénéfice d’exploitation de plus de 15 M$, d’ici deux ans.

L’entreprise a notamment conclu un partenariat avec Google, qui lui fournit depuis peu des services d’hébergement, afin de mettre au point de nouveaux produits destinés aux grands fournisseurs de services du secteur agricole. Natasha Mainville, directrice principale des programmes de recherche chez Google Brain, se joint d’ailleurs au conseil de Farmers Edge.

Outre Fairfax qui détient 59,9% des actions, Farmers Edge compte aussi le négociateur japonais de matières premières Mitsui & Co. et la société d’investissement Osmington, appartenant à l’héritier de la famille Thomson, parmi ses actionnaires.

Continue Reading

Technologie

NEC Canada accueille Combat Networks en tant que revendeur officiel de UNIVERGE® BLUE CLOUD SERVICES

Published

on

By

TORONTO–(BUSINESS WIRE)–NEC Canada, Inc. (NEC), une filiale en propriété exclusive de NEC Corporation of America et fournisseur de premier plan et intégrateur de solutions avancées en matière de TI, de communications et de réseautage, a annoncé aujourd’hui que Combat Networks est devenu un revendeur du tout nouveau UNIVERGE ® BLUE CLOUD SERVICES.

Combat Networks est un intégrateur canadien de solutions de réseau axé sur la fourniture de solutions et de services complets de réseaux stratégiques.

NEC UNIVERGE BLUE offre l’une des plateformes de services de nuage les plus larges au monde, avec accès à des services allant du système téléphonique intégré à la vidéoconférence, au webinaire, au chat, au partage de fichiers et au centre de contact. Ces solutions comprennent UNIVERGE BLUE® CONNECT, une solution entièrement intégrée de communications unifiées en tant que service (UCaaS) et UNIVERGE BLUE® ENGAGE, une solution de centre de contact en tant que service (CCaaS) pour les entreprises de toutes tailles.

« NEC s’engage à aider les entreprises à répondre aux exigences de la main-d’œuvre numérique d’aujourd’hui grâce à notre canal de partenaires hautement qualifiés. La capacité de Combat Networks de permettre la migration de ses clients vers le nuage est un facteur clé de cette relation stratégique entre NEC et Combat », a déclaré Don Stewart, vice-président de NEC Canada.

« C’est un honneur incroyable d’entrer dans ce partenariat avec NEC, non seulement parce qu’ils sont un leader de confiance et une marque respectée dans l’espace mondial des communications unifiées, mais, comme Combat Networks, ils placent également les clients en priorité », a déclaré Greg Curry, directeur de la technologie chez Combat Networks. « Les partenaires sont des conseillers informatiques de confiance auprès de la communauté des affaires et je suis fier que nous ayons fait de Combat Networks l’entreprise exemplaire axée sur le client qu’elle est aujourd’hui. Notre formule a été assez simple : tout d’abord, fournir des applications nuage hautement fiables et sécurisées, faciles à utiliser et à gérer, riches en fonctionnalités qui permettent aux utilisateurs de communiquer comme ils veulent, où ils veulent et quand ils veulent. Et puis, renforcer ces produits avec les ressources de vente, de marketing, d’intégration, de facturation et de support technique nécessaires. Avec cet objectif, Combat Networks a bâti une communauté de partenaires active qui est forte et en pleine croissance. En faisant équipe avec NEC, nous sommes impatients de travailler ensemble pour fournir nos solutions UCaaS et CCaaS afin d’aider à améliorer les communications pour un public mondial plus large. »

À propos de UNIVERGE BLUE CONNECT & UNIVERGE BLUE

Les entreprises ont besoin d’outils faciles à déployer et à utiliser et ils doivent offrir aux utilisateurs une expérience intégrée. Construites autour d’une technologie innovante et propriétaire, UNIVERGE BLUE CONNECT et UNIVERGE BLUE ENGAGE sont des solutions nées dans le nuage et conçues spécifiquement pour les entreprises de toutes tailles. Les solutions sont élégantes, fiables et faciles à déployer, tout en restant hautement évolutives et extrêmement rentables.

NEC UNIVERGE BLUE CONNECT est une plateforme de communications unifiées d’entreprise basée sur le nuage qui combine un système téléphonique complet basé sur le cloud, le chat, la vidéoconférence, la synchronisation et le partage de fichiers, le tout disponible pour les utilisateurs par le biais des applications de bureau, Web et mobiles. Elle est intuitive, fiable et facile à déployer, tout en restant hautement évolutive et extrêmement rentable.

NEC UNIVERGE BLUE ENGAGE est un centre de contact basé sur le nuage conçu pour répondre aux besoins de l’entreprise, du petit canal à l’environnement multi-canal large et sophistiqué. Uen solution CCaaS dynamique, elle combine des fonctionnalités robustes avec une fiabilité de qualité opératoire et des services de déploiement et de support de classe mondiale. NEC UNIVERGE BLUE ENGAGE aide les entreprises à se différencier de la concurrence là où cela compte le plus – l’expérience client.

Pour plus d’informations sur UNIVERGE BLUE, visitez https://www.univergeblue.com/

À propos de Combat Networks

Depuis juillet 2001, Combat Networks accompagne ses clients en concevant et en construisant des réseaux performants à la fine pointe de la technologie. Nous avons installé et formé des solutions de fournisseurs soutenues, et nous effectuons la maintenance, la surveillance (NOC) et le dépannage selon les besoins. Basé à Ottawa et ayant des bureaux partout au Canada, nous desservons bon nombre des plus grands ministères fédéraux et provinciaux du pays, des services de santé, des services de police, des municipalités et des entreprises de Fortune 1000. Notre mission d’entreprise est d’être reconnue par nos clients comme la ressource externe la plus compétente, la plus réactive et la plus avantageuse pour les infrastructures réseau où la sécurité, la performance et la fiabilité sont des exigences vitales. Tout le monde chez Combat est concentré et dévoué à votre réussite en fournissant une solution complète de cycle de vie réseau, allant de la planification réseau et de la gestion de projet en passant par le support après-vente et les services de transition réseau. Combat a les personnes, les compétences et les produits nécessaires pour travailler pour vous dans toutes les étapes du cycle de vie de l’infrastructure réseau. Visitez-nous à www.combatnetworks.com

À propos de NEC Corporation of America

NEC Corporation of America (NEC) est un intégrateur technologique leader offrant des solutions qui améliorent la façon dont les gens travaillent et communiquent. NEC propose des solutions intégrées pour la société qui sont alignées sur les priorités de nos clients afin de créer une nouvelle valeur pour les personnes, les entreprises et la société, avec un accent particulier sur la sécurité, la sureté et l’efficacité. Nous offrons l’un des portefeuilles les plus solides et les plus innovants du secteur en matière de communications, d’analyse, de sécurité, de biométrie et de solutions technologiques qui libèrent le potentiel de productivité des clients. Grâce à ces solutions, NEC combine ses meilleures solutions et technologies, et exploite un écosystème de partenaires robuste pour résoudre les problèmes commerciaux les plus complexes d’aujourd’hui. NEC Corporation of America est une filiale en propriété exclusive de NEC Corporation, un leader mondial de la technologie avec une présence dans 160 pays et un chiffre d’affaires de 25 milliards de dollars.

Pour les demandes des médias:

© 2021 NEC Corporation of America. NEC est une marque déposée de NEC Corporation. Tous droits réservés. Les autres marques de produits ou de services mentionnées sont les marques déposées de leurs propriétaires respectifs.

Continue Reading
Styles De Vie7 mois ago

MAPEI Canada inaugure l’agrandissement de son usine à Laval, au Québec

Styles De Vie7 mois ago

Le Gala Elles reconnaissent célèbre les femmes remarquables de l’industrie de la construction

Styles De Vie7 mois ago

Préparez votre maison pour l’hiver afin d’éviter les réclamations d’assurance

Styles De Vie7 mois ago

Quatre façons de commencer à travailler dans le domaine des ventes

Styles De Vie7 mois ago

La Commission indépendante soutient le recours de la Cour suprême contre le déni des droits des non-francophones par le Québec

Styles De Vie7 mois ago

Justin Trudeau est un raciste contre les Noirs et les Premières Nations – 14 signes

Styles De Vie7 mois ago

Enfants aux études loin de la maison : Trois conseils pour veiller à la santé de leurs finances

Styles De Vie7 mois ago

Règles et règlements que toutes les entreprises canadiennes doivent connaître

Styles De Vie7 mois ago

Épargnez pour l’avenir grâce à nos trucs financiers pour la rentrée

Styles De Vie7 mois ago

Efficacité énergétique: 10 façons économiques de l’améliorer

Actualités2 années ago

Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

Affaires2 années ago

Retard de vol : le devoir de la compagnie envers ses passagers

Anglais3 années ago

Nostalgia and much more with Starburst XXXtreme

Opinions3 années ago

Même les jeunes RÉPUBLIQUES se lassent du capitalisme, selon les sondeurs américains — RT USA News

Opinions3 années ago

« Aucune crise climatique ne causera la fin du capitalisme ! »

Opinions3 années ago

Innovation : le capitalisme « responsable », faux problème et vraie diversion

Opinions3 années ago

Vers la fin du Capitalocène ?

Opinions3 années ago

Le “capitalisme viral” peut-il sauver la planète ?

Opinions3 années ago

Livre : comment le capitalisme a colonisé les esprits

Opinions3 années ago

Patrick Artus : « Le capitalisme d’aujourd’hui est économiquement inefficace »

Anglais5 années ago

Body found after downtown Lethbridge apartment building fire, police investigating – Lethbridge

Santé Et Nutrition4 années ago

Comment aider un bébé à développer son goût

Anglais5 années ago

Head of Toronto Community Housing placed on paid leave

Styles De Vie5 années ago

Salon du chocolat 2018: les 5 temps forts

Anglais5 années ago

This B.C. woman’s recipe is one of the most popular of all time — and the story behind it is bananas

Santé Et Nutrition6 années ago

Gluten-Free Muffins

Santé Et Nutrition5 années ago

We Try Kin Euphorics and How to REALLY Get the Glow | Healthyish

Anglais5 années ago

Man facing eviction from family home on Toronto Islands gets reprieve — for now

Anglais6 années ago

Condo developer Thomas Liu — who collected millions but hasn’t built anything — loses court fight with Town of Ajax

Anglais5 années ago

27 CP Rail cars derail near Lake Louise, Alta.

Anglais5 années ago

Ontario’s Tories hope Ryan Gosling video will keep supporters from breaking up with the party

Styles De Vie6 années ago

Renaud Capuçon, rédacteur en chef du Figaroscope

Mode5 années ago

Paris : chez Cécile Roederer co-fondatrice de Smallable

Anglais5 années ago

Ontario Tories argue Trudeau’s carbon plan is ‘unconstitutional’

Anglais5 années ago

100 years later, Montreal’s Black Watch regiment returns to Wallers, France

Anglais5 années ago

Trudeau government would reject Jason Kenney, taxpayers group in carbon tax court fight

Styles De Vie5 années ago

Ford Ranger Raptor, le pick-up roule des mécaniques

Technologie5 années ago

Los Angeles poursuit The Weather Channel pour atteinte à la vie privée

Affaires5 années ago

Le Forex devient de plus en plus accessible aux débutants

Anglais4 années ago

The Bill Gates globalist vaccine depopulation agenda… as revealed by Robert F. Kennedy, Jr.

Trending

slot server jepang
judi slot pulsa