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Élections Québec 2018: que deviennent les députés défaits?

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Les électeurs se sont prononcés, expulsant au début de la semaine des dizaines de députés de leur siège à l’Assemblée nationale. Mais que vont devenir ces élus, au lendemain d’une fin de carrière qu’ils n’avaient pas, pour la plupart, anticipée ?

Si les mouvements du passé sont garants de l’avenir, un tiers pourrait bien retrouver vie dans… un poste électif, à l’échelle fédérale, provinciale ou municipale, ou encore rebondir dans la fonction publique, à titre de diplomate ou de haut fonctionnaire dans un organisme ou une société d’État. C’est, en tout cas, ce qu’indique une étude de la transition des politiciens ayant quitté leur poste ou ayant perdu depuis l’élection de 2003 réalisée par Le Devoir.

Des 181 députés retracés, défaits ou ayant pris leur retraite dans les 15 dernières années, un tiers en effet ont poursuivi leur carrière à un autre échelon dans l’univers d’où ils se sont fait extraire, comme conseiller politique, député fédéral ou encore maire de leur municipalité, ou sont restés accrochés à l’appareil gouvernemental comme diplomate, haut fonctionnaire ou employé d’un organisme ou d’une société d’État.

De la politique à la politique ? Le phénomène n’étonne pas Rémy Trudel, ex-député péquiste défait par le libéral Daniel Bernard en 2003. Il est aujourd’hui professeur à l’École nationale d’administration publique (ENAP). « On l’a souvent dit : la politique est une drogue dure, lance-t-il à l’autre bout du fil. C’est difficile de quitter ce milieu. Mais la tendance s’explique également par le fait que la réinsertion professionnelle, après avoir occupé un siège à l’Assemblée nationale, n’est pas aussi facile qu’on pourrait le croire. »

La réalité risque en effet de rattraper les politiciens défaits. « Le marché du travail a une image plutôt négative et péjorative du métier de politicien », résume Simon-Pierre Diamond, porté dans l’opposition par la vague adéquiste de 2007 puis ramené dans sa condition d’avocat un an et demi plus tard. Il a été le plus jeune député de l’histoire du Québec. Il est aujourd’hui vice-président du cabinet Ryan Affaires publiques, une boîte de communication stratégique.

L’après-défaite, selon lui, « c’est une étape douloureuse, en général, dit-il. Il n’y a rien qui nous prépare à ça et je peux comprendre que plusieurs décident de revenir vers la politique, comme solution à leur problème »… de réinsertion.

 
Cynisme 

Le cynisme de la population par rapport à la politique est ambiant. Il est aussi persistant après une défaite électorale pour un grand nombre d’ex-députés, assure M. Trudel, qui ajoute : « L’étiquette souverainiste vient porter une deuxième tache sur votre curriculum vitae. Bref, tu deviens professionnellement neutre en sortant de la politique, mais jamais dans le regard de l’autre ».

L’homme sait d’ailleurs de quoi il parle, lui qui, en 2003, espérait retrouver un poste de professeur, son principal métier, à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, un établissement qu’il a lui-même fondé en 1983. « J’étais naïf. Ça ne s’est jamais produit ». « Dans mon cas, l’étiquette d’avocate s’est ajoutée à celle de politicienne, ce qui a été un double handicap », dit en souriant Catherine Morissette, élue dans Charlesbourg en 2007, défaite en 2008. Elle portait elle aussi les couleurs de l’ADQ. « Une défaite électorale n’est pas une fin de carrière planifiée. On n’y est jamais vraiment préparé. Et puis, il y a le sentiment du devoir accompli qui manque. En quatre ans, on ne peut pas arriver à atteindre tous les objectifs que l’on s’est fixés. Et c’est ce qui donne envie d’y retourner ».

La politique tache. Mais l’exercice du pouvoir législatif, lui, peut malgré tout devenir un atout au moment de revenir à la vie civile. Des députés défaits depuis 2003, 16 % en font la démonstration, en ayant atterri dans le domaine du lobbying ou de la consultation, indique l’analyse des trajectoires passées. Une fonction qui puise dans leur connaissance du milieu complexe qu’ils ont fréquenté.

Simon-Pierre Diamond entre dans ce cas de figure, mais assure que la consultation et le lobbying n’est pas une porte de sortie pour autant facile à ouvrir. « Il y a beaucoup de compétition dans ce milieu », dit-il. « Et puis, il y a désormais des règles strictes à respecter », comme une période de transition, un purgatoire imposé pour ne pas devenir conseiller dans un milieu avec lequel le député, comme ministre, par exemple, a frayé.

Si, dans l’ensemble, l’après-carrière d’un élu se joue en parts égales dans le secteur public et le secteur privé, indique notre analyse, elle conduit aussi dans des proportions faibles, environ 7 %, les députés défaits autant dans le monde de l’éducation, de la finance et de la santé que de celui des médias, qui a recruté dans les dernières années plusieurs de ces « ex ». Mario Dumont, ex-chef de l’ADQ, Bernard Drainville, ex-porteur de la charte des valeurs pour le Parti québécois ou encore Claude Roy, passé de l’ADQ à Radio X, en font partie.

« Les élus ont une capacité d’analyse et une aptitude à raconter des histoires aux gens, ce qui en fait de bons candidats pour commenter l’actualité, dit M. Trudel. Ils sont capables de parler aux gens avec un langage qu’ils ont apprivoisé ».

Trajectoires divergentes

Ils sont aussi capables de bien plus. Et parfois même dans des perspectives inusitées. Demandez à Bernard Brodeur, libéral, défait dans Shefford en 2007, devenu propriétaire d’un vignoble à Roxton Pond, ou à Rémy Désilets, passé du siège de l’Assemblée nationale pour le PQ en 2003 à celui d’un camion. Après deux tentatives de réélection, il est devenu chauffeur de poids lourds pour une compagnie de transport de marchandises.

Dans l’ensemble, ces rares carrières sont plutôt sur des trajectoires divergentes, ce qui n’est pas le cas des conseils que donnent aujourd’hui les députés anciennement défaits à ceux et celles qui viennent fraîchement de l’être. « Il faut se donner le temps de rebondir », disent en choeur Rémy Trudel, Simon-Pierre Diamond et Catherine Morissette qui, elle, ajoute : « Une défaite électorale, c’est un deuil. Il faut le vivre. C’est une décision que l’on se fait imposer ». « La coupure est drastique, dit M. Diamond, d’autant que la campagne ne nous laisse pas le temps de réfléchir ». « La vie politique nous coupe de la réalité, dit M. Trudel. Et il faut se donner le temps d’y revenir », et ce, même si ce retour, reconnaissent-ils, ne peut être que brutal.

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Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

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Akio Kashiwagi, John W. Gates, Tommy Renzoni, Phil Ivey, Kerry Packer ou encore Archie Karas… Ces noms ne vous évoquent rien? Ces légendaires joueurs de baccara ont brillé par leurs performances exceptionnelles. Multipliant les gains au fil des années, ils nous ont permis d’identifier quelques approches qui fonctionnent. Aujourd’hui, découvrez certains de leurs secrets:

Apprenez à marcher avant de courir

Premièrement, vous devez absolument connaître les règles du jeu. Avant de maîtriser les stratégies et autres astuces professionnelles du baccara, il faut vous familiariser avec les bases du jeu. Même les plus grands joueurs de l’histoire ont d’abord dû apprendre à jouer. Puis c’est à force de pratique et de stratégie qu’ils ont réussi à se perfectionner pour atteindre les sommets.

Commencez donc par étudier le but principal du jeu et la valeur des cartes. Découvrez aussi les différents types de paris (banquier, joueur ou égalité), apprenez à fixer et gérer votre bankroll, essayez de contrer l’avantage de la maison, etc. Ensuite, vous pourrez passer à une véritable stratégie de baccara. Il en existe beaucoup, à choisir selon les situations et vos aptitudes: systèmes 1-3-2-4, d’Alembert, Fibonacci, Labouchere ou encore Martingale.

Et contrairement à ces légendes qui jouaient dans des établissements physiques, vous avez la possibilité de tester des parties gratuites en ligne. Pratique pour vous exercer sans miser!

Gérez votre budget

Deuxièmement, vous devez fixer un budget et le respecter. Il est essentiel de jouer de manière responsable, afin d’éviter les situations délicates voire désastreuses. Par exemple, vous pouvez allouer 100 $ à votre session de jeu. Et une fois cette somme épuisée, quittez la table. Cela vous permettra de réduire vos pertes et même de protéger vos gains.

Si les grands joueurs de l’histoire du baccara ont pu multiplier leurs gains de façon aussi spectaculaire, ce n’est pas uniquement grâce à la chance. Même si elle a joué en leur faveur, une bonne gestion de leur bankroll leur a aussi permis d’optimiser leurs gains au fil des parties.

Misez sur le banquier

Comme expliqué, il existe trois types de paris au baccara: le joueur, la banque et l’égalité. De manière générale, vous ne pouvez pas vous tromper en misant sur le banquier. En effet, ce pari est gagnant dans plus de 50 % des cas. Toutefois, notez que l’établissement prélève alors une commission sur ces gains, afin de conserver un certain avantage.

De plus, il est important de capitaliser sur les séries. De ce fait, si vous gagnez en pariant sur le banquier, continuez à miser dessus. Mais attention, restez prudent et modéré. Sachez vous arrêter avant que ce pari ne devienne perdant. Ici encore, c’est un conseil que les joueurs légendaires ont eux-mêmes mis en pratique pendant leurs heures de gloire.

Jouez de courtes sessions

Enfin, il est mieux de jouer pendant de courtes sessions. Afin d’être plus performant au baccara, vous devez gérer votre temps correctement. Cela réduira aussi le phénomène d’accoutumance qui peut devenir néfaste s’il n’est pas maîtrisé.

Dans la mesure du possible, planifiez donc un certain nombre de parties à chaque session de jeu. Une fois ce nombre atteint, quittez la table de baccara. Même si vous êtes en train de gagner, soyez raisonnable et arrêtez de jouer.

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Denis Coderre propose un marché public dans le Vieux-Montréal

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Denis Coderre promet d’implanter un marché public au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, s’il est porté au pouvoir en novembre prochain. Cette proposition fait suite à une rencontre qu’il a eue la semaine dernière avec les commerçants du marché Bonsecours. Mais ceux-ci préviennent qu’ils ne souhaitent pas des étals de fruits et de légumes semblables à ceux des marchés Jean-Talon et Atwater.

« Ville-Marie a besoin d’un marché et le marché Bonsecours pourrait être un marché public, au même titre qu’Atwater et Jean-Talon », a soutenu Denis Coderre jeudi matin, alors qu’il présentait les candidats de son équipe dans les arrondissements de Rosemont–La Petite-Patrie et d’Outremont. Selon le candidat, ce projet permettrait de faire du marché Bonsecours un lieu de destination pour les touristes, mais aussi pour les Montréalais. Il a indiqué avoir rencontré l’ensemble des commerçants à ce sujet la semaine dernière.

Denis Coderre a précisé qu’il habitait non loin du marché Bonsecours et qu’il pourrait aller chercher ses fruits et légumes à pied. Au passage, il a affirmé que le bâtiment patrimonial était dans un état « pitoyable » et qu’il faudrait y voir.

Jointe par Le Devoir, Anne de Shalla, propriétaire de la boutique Signatures Québécoises du marché Bonsecours, confirme que les commerçants ont rencontré M. Coderre pour lui présenter leur vision d’avenir. Mais dans le plan d’affaire présenté au candidat à la mairie, il n’était pas envisagé que le marché Bonsecours devienne un marché de fruits et légumes uniquement, a-t-elle expliqué. Les commerçants souhaitent simplement que le marché Bonsecours soit doté de la même structure administrative que les marchés Atwater et Jean-Talon, a-t-elle indiqué.

« On voudrait gérer le marché Bonsecours nous-mêmes. On aimerait prendre la relève des fonctionnaires », a-t-elle dit en évoquant des lacunes telles que l’entretien des lieux et les heures d’ouverture jugées inadéquates par les commerçants. À l’heure actuelle, le marché Bonsecours abrite des boutiques de mode, d’artisanat et de bijoux.

« Notre vision, c’est de rendre le marché Bonsecours comme un marché public avec les mêmes droits que le marché Atwater ou le marché Jean-Talon », précise-t-elle. « On voudrait continuer avec les produits qu’on a déjà et ajouter des produits du terroir, mais on ne veut aucunement ressembler au marché Jean-Talon ou au marché Atwater pour ce qui est du contenu. »

Le marché Bonsecours, qui accueillait 15 commerces avant la pandémie, n’en compte plus que huit. Comme des espaces sont demeurés vacants, Mme de Shalla évoque la possibilité d’ajouter des boulangeries, charcuteries, des comptoirs de plats à emporter, des pop-up shops, ainsi que des boutiques proposant des produits du terroir. « On ne va pas se mettre à vendre des salades sur le parvis Bonsecours. Ce n’est pas ça l’objectif. »

En après-midi, Ensemble Montréal a soutenu que le projet de transformation du marché Bonsecours serait précisé à automne. « Quoi qu’il en soit, M. Coderre, qui a rencontré les marchands du marché Bonsecours, souhaite bien sûr répondre aux besoins exprimés par les commerçants », a indiqué Elizabeth Lemay, attachée de presse chez Ensemble Montréal.

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Nous sommes de retour»: les festivals d’été reprennent à Montréal

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Dans le quartier des spectacles, des tests de son étaient en cours vendredi soir sur la scène d’une comédie musicale — au deuxième jour du festival Juste pour rire. Les billets pour de nombreux spectacles en plein air gratuits du festival — limités par la réglementation COVID-19 — avaient trouvé preneurs.

Deux coins de rue plus loin, une centaine de personnes assistaient à une prestation acoustique du Isaac Neto Trio – dans le cadre du dernier week-end du Festival international Nuits d’Afrique, une célébration de la musique du continent africain et de la diaspora africaine.

Alors que la capacité des sites est limitée en raison de la pandémie de COVID-19, les organisateurs du festival se disent heureux d’être de retour, mais attendent avec impatience l’année prochaine en espérant que les restrictions aux frontières et les limites de capacité n’affecteront pas leurs plans.

Charles Décarie, le président-directeur général du Groupe Juste pour rire, a déclaré qu’il s’agissait d’une «année de transition» et que son équipe a conçu un festival en naviguant à travers les contraintes imposées par la Santé publique.

Lorsque la planification a commencé en février et mars, les organisateurs ont planché sur une multitude de scénarios avec différentes tailles de foule, allant de l’absence de spectateurs à la moitié de la capacité habituelle, a déclaré M. Décarie.

«Vous devez construire des scénarios, a-t-il expliqué. Vous devez planifier un peu plus que d’habitude parce que vous devez avoir des alternatives.»

Comme par le passé, les festivals incluent à la fois des spectacles en salle payants et des représentations en plein air gratuites. À l’extérieur, il y aura moins de scènes et des foules plus petites que dans les dernières années, a précisé M. Décarie. Les spectacles en salle fonctionneront à 30 % de leur capacité, tandis que les spectacles à l’extérieur auront environ 10 à 20 % de du nombre de spectateurs d’avant la pandémie.

«Normalement, nous accueillons environ un million de personnes pendant les festivals sur 15 jours, et cette année, nous serions heureux si 200 000 personnes nous rendent visite au cours des deux prochaines semaines», a indiqué M. Décarie.

Au Québec, les événements extérieurs ont une capacité maximale de 5000 personnes, qui doivent être divisées en sections distinctes de 500 personnes. Les événements en salle sont limités à 3500 spectateurs, qui doivent s’asseoir en sections de 250 personnes, avec des entrées et des toilettes séparées pour chaque section.

En raison des restrictions frontalières, que M. Décarie qualifie de «préoccupation majeure», certaines prestations sont filmées à New York et à Los Angeles et seront diffusées en ligne.

«C’est ainsi que nous avons pu joindre des talents internationaux, a-t-il déclaré. Nous avons décidé de changer notre façon de procéder, et nous sommes allés vers eux.»

Les spectacles en personne mettront pour leur part en vedette des artistes locaux, a-t-il déclaré.

D’autres festivals montréalais affirment également qu’ils prévoient de contourner les restrictions frontalières en se concentrant sur les artistes locaux.

Le Festival international Nuits d’Afrique présente des artistes locaux et des prestations enregistrées des années précédentes, a mentionné vendredi la directrice générale et co-fondatrice du festival, Suzanne Rousseau.

«Les premières nuits, en particulier, étaient incroyables», a-t-elle déclaré à propos du festival, qui a débuté le 6 juillet et se poursuit jusqu’à dimanche. Les artistes disaient: «C’est mon premier spectacle devant public depuis un an et demi».»

Le volet extérieur du festival consiste en deux petites scènes de style «cabaret», a commenté Mme Rousseau. Au lieu d’une scène principale, un spectacle son et lumière est projeté sur un bâtiment. Il présente des prestations filmées qui portent sur les 35 ans d’histoire du festival.

«Ce qui est important, c’est que les festivaliers puissent venir voir des spectacles en personne, a-t-elle déclaré. Et d’avoir des prestations en ligne pour les gens qui ne peuvent pas se rendre à Montréal ou qui ne peuvent pas voyager.»

Mme Rousseau a affirmé qu’elle espère conserver certains des volets en ligne dans les années à venir, mais qu’elle souhaite également organiser un festival plus important l’année prochaine.

«On est vraiment content d’avoir fait un festival cette année, ça nous prépare pour l’année prochaine, a-t-elle déclaré. Cela nous donne l’ambition d’être prêts à recevoir plus de monde, plus de performances et une expérience complète.»

Certains des grands festivals d’été de Montréal, dont le Festival international de Jazz de Montréal, ont été repoussés au mois de septembre. Mme Rousseau a toutefois soutenu qu’elle n’avait jamais envisagé de retarder l’édition de cette année du festival Nuits d’Afrique.

«C’est vraiment important d’être là pendant l’été. Il n’y avait aucun doute que nous allions le faire», a-t-elle déclaré.

Francis Bouchard, un porte-parole de Tourisme Montréal, un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du secteur touristique de la ville, a indiqué qu’avec les événements reportés, la période des festivals durera jusqu’en octobre de cette année. Il est encourageant, a-t-il dit, de constater que des festivals et des événements qui ont été reportés ou annulés l’année dernière soient de retour cet été et cet automne.

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