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La francophonie, notre combat pour la diversité du monde

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La francophonie est pour moi, et pour beaucoup d’entre nous, un combat pour le rayonnement de notre langue et la diversité du monde.

À l’orée de ma retraite du service public, ayant eu le privilège d’être délégué général du Québec en France (2000-2005) et administrateur de l’Organisation internationale de la Francophonie (2006-2015), j’aurai consacré près de 30 ans à contribuer à l’approfondissement des liens franco-québécois et au développement d’une francophonie concrète et utile. Dans une rare complicité avec le secrétaire général de la Francophonie, le président Abdou Diouf, j’aurai poursuivi cet engagement pendant 10 ans en tant que numéro 2 de l’OIF. J’aurai inscrit mes pas dans ceux d’illustres prédécesseurs (Jean-Marc Léger, Jean-Louis Roy…) qui ont apporté leur énergie et leur militantisme à cette organisation atypique du système international.

Sur la scène québécoise

Aujourd’hui, je constate que les Québécoises et les Québécois méconnaissent souvent ce que nous avons construit. En tant qu’ancien administrateur de l’OIF, j’ai longtemps hésité à sortir de ma réserve, choqué de lire et d’entendre ces dernières années tant de faussetés sur la francophonie. Nous avons laissé ces contre-vérités se répandre sans dire haut et fort l’importance, pour l’humanisation de la mondialisation, des grandes organisations linguistiques et culturelles comme la Francophonie.

Au Québec, malgré notre devise, il semblerait que nous ayons oublié ce que la francophonie nous a apporté en fait d’ouverture au monde et de solidarité. Et ce que nous avons apporté en retour en accueillant deux Sommets des chefs d’État et de gouvernement, les Jeux de la Francophonie, mais aussi le siège de l’Agence universitaire de la Francophonie, l’Institut de la Francophonie pour le développement durable, TV5, le premier Forum mondial de la langue française, l’Observatoire démographique et statistique de l’espace francophone à l’Université Laval, l’Observatoire de la Francophonie économique à l’Université de Montréal, le Centre FrancoPaix de l’UQAM, le Centre de la francophonie des Amériques, et c’est sans compter le foisonnement de réseaux militants de la société civile.

Pour soutenir l’élan de notre langue, promouvoir la diversité des expressions culturelles, le développement durable, l’éducation et la formation professionnelle, la Francophonie a toujours été notre alliée, notre démultiplicatrice. Elle l’a été, par exemple, pour généraliser le modèle des Centres de lecture et d’animation culturelle, ces « bibliothèques de l’espoir » conçues par les Québécois Philippe Sauvageau et Lucie Alexandre. Ce fut une réussite internationale : plus de 300 de ces centres permettent à 5 millions de jeunes dans une vingtaine de pays d’avoir accès à la lecture, à la culture, au numérique et à l’éducation citoyenne.

Forum de solidarité

Il faut prendre conscience de l’importance de la Francophonie internationale comme forum de solidarité majeur quant aux défis climatiques, démocratiques, sécuritaires, migratoires. Ces défis concernent au premier chef la jeunesse, si nombreuse, si volontaire, mais hélas si entravée dans la plupart des pays francophones du Sud. Pour corriger ces inégalités, nous devons mettre l’expertise des Offices jeunesse internationaux du Québec dirigés avec dynamisme par Michel Robitaille au service de la jeunesse francophone. C’est le sens de la proposition d’un Office francophone de la jeunesse que Louise Beaudoin, Benjamin Boutin et moi-même appelons de nos voeux.

L’Afrique est le continent de tous les espoirs et de toutes les convoitises. Nous avons développé, avec cette région du monde, des relations de confiance et de respect. C’est sur cette base qu’il nous faut intensifier nos échanges avec ce continent, dans tous les domaines.

En éducation, santé, infrastructures, électrification, environnement, numérique, économie sociale, culture, les besoins sont immenses. Un Sommet Québec-Afrique ne manquerait pas de sujets d’intérêt ! De même qu’un Davos de la Francophonie, qui ferait la promotion d’une vision plus équilibrée des relations économiques internationales.

Les perspectives démographiques de l’Afrique francophone (700 millions de francophones en 2050) peuvent faire rêver, mais elles mettent en relief le défi urgent de l’éducation. Dans un contexte de diversité linguistique, l’enseignement des langues française et nationales constitue l’enjeu prioritaire de la francophonie africaine. Certes, la mobilisation d’enseignants, l’ouverture de l’Institut francophone pour l’éducation et la formation (IFEF) à Dakar et le programme École et langues nationales en Afrique (ELAN) vont dans le bon sens, mais ils sont sous-proportionnés par rapport aux besoins. L’éducation est la mère de toutes les batailles !

Les résultats du combat que nous avons remporté à l’UNESCO en 2005 pour la sauvegarde de la diversité culturelle dans la mondialisation sont mis en péril par le développement d’entreprises du numérique oligopolistiques et la montée des populismes destructeurs d’un certain ordre international.

Dialogue interculturel

Dans un monde où le « village planétaire » est en passe de se transformer en une planète de villages, plus encore de communautés balkanisées, la Francophonie doit se recentrer et être aux avant-postes du dialogue interculturel pour porter une vision du monde plus solidaire, plus équitable et plus démocratique. C’est pour cela que son véhicule institutionnel principal, l’OIF, a vocation à demeurer un acteur clé des relations internationales. Elle doit fédérer, rassembler, mobiliser les bâtisseurs d’un monde plus juste. Notre langue en partage est un outil fédérateur et facilitateur du vivre-ensemble.

Pour autant, l’OIF, cette jeune organisation qui aura 50 ans en 2020, doit avoir le souci permanent de servir ses États membres et leurs populations, mais aussi de s’adapter aux nouvelles réalités du monde. Rien n’est joué d’avance. Le travail, la passion et le dévouement de milliers de militants et de centaines de fonctionnaires internationaux qui font vivre les idéaux de la francophonie valent que nous, Québécois, continuions à nous y investir avec nos partenaires. L’ambitieuse politique pour le français d’Emmanuel Macron et les perspectives du Sommet d’Erevan (où la première stratégie pour l’égalité femme-homme, après 25 ans d’actions dans ce domaine, devrait être entérinée) doivent nous encourager à aller de l’avant.

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Opinions

Même les jeunes RÉPUBLIQUES se lassent du capitalisme, selon les sondeurs américains — RT USA News

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Moins de la moitié des jeunes Américains ont une vision positive du capitalisme, selon un nouveau sondage. Même les jeunes républicains sont de plus en plus sceptiques – mais ne vous attendez pas à ce que l’Amérique devienne complètement socialiste pour l’instant.

Un sondage Axios publié vendredi a révélé qu’aux États-Unis capitalistes, seulement 49% des Américains âgés de 18 à 34 ans soutiennent réellement le capitalisme. Et 51% déclarent avoir une vision positive du socialisme.

Depuis plusieurs années, les sondages ont trouvé un soutien au socialisme croissant parmi les démocrates et les jeunes. En conséquence, les démocrates qui se présentent sur des plateformes explicitement socialistes – comme les membres des Democratic Socialists of America Alexandria Ocasio-Cortez (D-New York) et Rashida Tlaib (D-Michigan) – ont traduit ce mécontentement en succès électoral.

Cependant, le dernier sondage a révélé que les jeunes républicains, généralement des défenseurs infatigables du capitalisme de libre marché, en ont marre du système qu’ils ont l’habitude de défendre. Parmi les républicains âgés de 18 à 34 ans, environ 66% ont désormais une vision positive du capitalisme, contre 81% en 2019. Mais 56% des jeunes républicains souhaitent que le gouvernement se concentre sur la réduction des inégalités de richesse, contre seulement 40% en deux ans. depuis.https://googleads.g.doubleclick.net/pagead/ads?us_privacy=1—&client=ca-pub-5390986774482540&output=html&h=280&adk=180704450&adf=4168993513&pi=t.aa~a.2874080257~i.7~rp.4&w=1092&fwrn=4&fwrnh=100&lmt=1628065615&num_ads=1&rafmt=1&armr=3&sem=mc&pwprc=5987108905&psa=1&ad_type=text_image&format=1092×280&url=https%3A%2F%2Fnews-24.fr%2Fmeme-les-jeunes-republiques-se-lassent-du-capitalisme-selon-les-sondeurs-americains-rt-usa-news%2F&flash=0&fwr=0&pra=3&rh=200&rw=1092&rpe=1&resp_fmts=3&wgl=1&fa=27&dt=1628065633854&bpp=2&bdt=2280&idt=-M&shv=r20210729&mjsv=m202108030101&ptt=9&saldr=aa&abxe=1&cookie=ID%3D5bc0ba73a725e77e-2207b6abaeca00da%3AT%3D1628065618%3ART%3D1628065618%3AS%3DALNI_MbfJtFs3LXLAMzQhf9X_KnK26CNWQ&prev_fmts=0x0%2C1092x280%2C1092x280%2C1092x280&nras=3&correlator=4582349290288&frm=20&pv=1&ga_vid=188329949.1628065617&ga_sid=1628065633&ga_hid=1441312153&ga_fc=0&u_tz=330&u_his=4&u_java=0&u_h=720&u_w=1280&u_ah=680&u_aw=1280&u_cd=24&u_nplug=0&u_nmime=0&adx=85&ady=1595&biw=1263&bih=567&scr_x=0&scr_y=416&eid=20211866&oid=3&pvsid=4333132958230926&pem=75&eae=0&fc=1408&brdim=-7%2C-7%2C-7%2C-7%2C1280%2C0%2C1295%2C695%2C1280%2C567&vis=1&rsz=%7C%7Cs%7C&abl=NS&fu=128&bc=31&ifi=5&uci=a!5&btvi=3&fsb=1&xpc=dqEjBFITRH&p=https%3A//news-24.fr&dtd=358

Axios attribue cette augmentation au fait que davantage d’Américains voient le « avantages tangibles de niveaux d’intervention gouvernementaux sans précédent » pendant la pandémie de coronavirus. En effet, le président de l’époque, Donald Trump, a critiqué les deux partis au Congrès pour avoir accepté d’envoyer « ridiculement bas » chèques de relance de 600 $ en décembre, au lieu des 2 000 $ qu’il a réclamés – une critique qui aurait été étrangère à un président républicain au cours des dernières décennies. Tout aussi rarement, Ocasio-Cortez et Tlaib étaient tous deux d’accord avec Trump sur la question.

Pourtant, l’abandon par la droite du capitalisme sans entraves est en cours depuis avant que la pandémie ne frappe. L’animateur de Fox News, Tucker Carlson, l’animateur de nouvelles du câble le plus regardé aux États-Unis et une influence sur Trump pendant son mandat à la Maison Blanche, a soutenu les propositions des démocrates visant à briser les monopoles technologiques de la Silicon Valley et a condamné « républicain grand public » se concentrer sur le « religion » de « capitalisme de marché ».

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« Aucune crise climatique ne causera la fin du capitalisme ! »

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Andreas Malm est un très sympathique quadragénaire suédois, militant de longue date contre le réchauffement climatique. Invité à Paris par son éditeur, La Fabrique, à l’occasion de la publication en France de son dernier ouvrage, il a par conviction traversé l’Europe en train, au départ de Malmö. Géographe spécialisé en écologie humaine de l’université de Lund, en Suède, il propose notamment une analyse du mouvement climat au sein de la vie politique suédoise (longtemps sous hégémonie sociale-démocrate), lui qui est originaire du même pays que Greta Thunberg. En septembre dernier, il a publié La Chauve-souris et le capital. Stratégie pour l’urgence chronique.

Andreas Malm est par ailleurs membre du collectif Zetkin, composé de chercheurs, d’enseignants et d’activistes de plusieurs nationalités œuvrant à la préservation du climat et de la biodiversité. Ce groupe s’intéresse notamment aux discours sur l’écologie politique de l’extrême droite européenne ou américaine. Malm a ainsi dirigé l’ouvrage collectif Fascisme fossile. L’extrême droite, l’énergie, le climat, qui met au jour la longue tradition de dénégation des enjeux climatiques due à l’engouement de l’extrême droite pour un développement fait de croissance économique constante grâce aux énergies fossiles.

Plus largement, il analyse ici la crise climatique, qu’il conçoit aujourd’hui comme intrinsèquement liée à la conjonction entre la crise sanitaire due au covid-19, source d’un effondrement de l’expansion capitalistique, et la destruction de la biodiversité, permettant la dispersion géographique des zoonoses. Le tout dans un mouvement incessant. En attendant la prochaine pandémie…

On parle généralement d’urgence climatique. Pourquoi lui préférez-vous celui d’« urgence chronique » ?

Andreas Malm : J’ai repris ce terme d’une étude de plusieurs scientifiques qui ont analysé la crise du covid-19 (notamment ses causes) et la crise climatique. Il traduit l’idée que ces deux désastres sont en train de devenir permanents, et non plus temporaires, l’un après l’autre : l’urgence apparaît donc comme chronique. Et la seule voie pour nous en sortir, c’est désormais d’agir contre les causes de ces crises, d’en modifier les conditions de développement.

Vous écrivez que le capitalisme, « survivant à tous ses hôtes », a longtemps semblé un « parasite qui ne meurt jamais », mais qu’il pourrait bien aujourd’hui avoir rencontré des « limites naturelles » à son « espérance de vie ». Que voulez-vous dire ?

Le capitalisme rencontre de réels problèmes, en raison de ce qu’il faut appeler ses « limites naturelles ». Toutefois, je ne crois pas que les problèmes environnementaux puissent causer son déclin avant qu’il ne parvienne à entraîner l’effondrement de la planète tout entière. Si le capitalisme a la possibilité de continuer ainsi dans la voie incontrôlée dans laquelle il se trouve, sans aucune régulation ni limitation, il ne pourra certainement causer – sans possibilité de retour – qu’un processus croissant vers une destruction incommensurable du climat, de la biodiversité et de tout le reste…

Je ne distingue aucune autre voie que la coercition pour obtenir des entreprises qu’elles changent leurs comportements.

Certains marxistes pensent que les problèmes environnementaux pourront être la cause d’une crise majeure du capitalisme et entraîner, à terme, sa chute. Même s’ils ne disposent pas vraiment de preuves à l’appui de cette thèse, on peut bien sûr interpréter le covid-19 (et la crise économique qu’il entraîne) comme un exemple potentiel de ce processus : celui d’un phénomène environnemental causant une maladie zoonotique ayant eu pour conséquence une crise économique majeure au début de la décennie 2020. Toutefois, le covid-19 n’a certainement pas tué le capitalisme. Et je ne pense pas que quelque chose puisse annihiler le système capitaliste, sauf certains processus sociaux précis par lesquels de nombreuses forces humaines s’organisent pour travailler ensemble dans les mêmes directions contre ce système. Mais je ne crois pas qu’une crise environnementale parviendra jamais à elle seule à causer la fin du capitalisme !

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Innovation : le capitalisme « responsable », faux problème et vraie diversion

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La critique du capitalisme est une sorte de passage obligé pour un homme politique en difficulté en France. Elle est pratique parce qu’elle séduit sur un assez large spectre, de gauche à droite. On pourrait donc considérer cette déclaration comme un simple exercice de rhétorique sans grande importance, mais ce faisant on commettrait une erreur, car cette expression révèle beaucoup sur la grande difficulté de l’Europe et surtout de la France à établir un diagnostic pertinent sur leur déclin accéléré.

En se trompant de diagnostic, on s’interdit de résoudre le problème. L’exercice se révèle donc dangereux.

L’appel à un capitalisme « responsable » par le président de la République est bien sûr avant tout une tactique politique. Nous sommes en période électorale et il s’agit probablement pour lui de parler à la gauche en essayant de faire oublier son image libérale, c’est de bonne guerre.

En critiquant un capitalisme devenu « fou », il est certain de marquer des points, même si cela ne repose sur aucun fait tangible. Mais au-delà d’agiter de vieux épouvantails, cette déclaration pose deux problèmes : le premier, c’est qu’elle sert à faire diversion sur les dysfonctionnements de l’État, et le second c’est qu’elle traduit un diagnostic erroné sur l’état du capitalisme en Europe.

Exiger un capitalisme « responsable », une diversion

Prôner un capitalisme responsable, c’est tenter de faire diversion pour éviter de poser la question de la responsabilité de l’État. Rappelons que celui-ci a abordé la crise de la Covid en ayant détruit les stocks de masques, puis a officiellement expliqué aux Français que le port du masque était inutile, et que de toute façon ils étaient trop bêtes pour savoir en mettre un.

Il a ensuite fallu près d’une année à cet État pour mettre en place une campagne de tests systématiques et les débuts de la campagne de vaccination ont été une série d’humiliants dysfonctionnements très largement constatés sur lesquels il n’est pas utile de revenir. La seconde vague a été abordée sans qu’aucune capacité supplémentaire n’ait été créée en réanimation, ce qui a nécessité un nouveau confinement pour éviter l’engorgement des services.

Après 18 mois de Covid, le collège public de mes enfants n’a pas organisé une seule heure d’enseignement à distance via un logiciel de téléconférence, et son application d’espace numérique de travail date visiblement des années 1990 ; elle s’est d’ailleurs effondrée dès les premiers jours d’arrêt des cours présentiels. Dès les premiers jours du confinement, la Poste a quasiment cessé de fonctionner.

Et ce ne sont là que les défaillances directement liées à l’épidémie. On comprend que le chef de l’État souhaite parler d’autre chose que la réforme de l’État, et faire diversion… Au Moyen-Âge, quand les choses tournaient mal, on brûlait des sorcières. En France, on brûle le capitalisme, éternel bouc émissaire.

Cette critique est particulièrement mal venue aujourd’hui, car si la crise de la Covid a montré une chose, c’est que le capitalisme est profondément responsable, au sens le plus large qu’on puisse donner à ce terme. Après des semaines de blocage résultant d’une gestion catastrophique des masques, et alors que des professionnels de santé mouraient de leur absence, l’État s’est finalement résolu à ouvrir leur approvisionnement et leur distribution au secteur privé, bref, au capitalisme, et la pénurie a disparu en moins de deux semaines.

Capitalisme irresponsable ? Quand est arrivé le confinement, tout le monde a craint les pénuries et certains n’ont pas hésité à prophétiser l’effondrement du système. Rien ne s’est effondré et il n’y a eu aucune pénurie. La grande distribution, victime traditionnelle des discours bien-pensants, a nourri la France malgré des conditions extrêmes.

Capitalisme irresponsable ? Puis à partir de décembre 2020, Pfizer, BioNTech et Moderna, purs produits du capitalisme spéculatif que l’on se plait à décrier, ont sauvé des millions de vies humaines avec leurs vaccins et permis à nos économies de repartir, un exploit que quelques mois auparavant, les bien-pensants – encore eux- au premier rang desquels notre Président, jugeaient impossible.

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