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#GOGREEN : pourquoi c’est important que de grands groupes s’y mettent ?

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Article réalisé en partenariat avec Les Galeries Lafayette ♡ Pour en savoir plus à propos des partenariats Go Green cliquez ici !

Si vous traînez vos sabots sur les réseaux sociaux, vous avez sûrement vu passer la nouvelle : les Galeries Lafayette lancent le mouvement Go for Good pour une mode plus responsable.
Je vois d’ici votre sourcil droit se soulever. Galeries Lafayette ? Mode responsable ? Mais bien sûr, et ma grand-mère a inventé un aspirateur à CO2 pour sauver le monde.

La méfiance est de mise… Et pour cause. Les scandales ont souvent entaché les grands groupes et ça ne part pas avec un peu de Mir Laine (même celui avec le bouchon vert à l’Aloe Vera).  

La première réaction, impulsive et répulsive, c’est de hurler au greenwashing. Forcément, se dit-on, une grande entreprise qui se lance dans le développement durable, ça sent le sapin (brûlé). Comment combiner deux notions aussi antagoniques que la génération de profit et la préservation de l’environnement ? Est-il possible de gagner de l’argent en faisant du bien à la planète ?

Une entreprise, rien qu’en existant, produit et donc pollue. C’est d’une logique implacable, aussi vrai que le feu qui brûle et l’eau qui mouille (et qui va finir la journée avec Charlie & Lulu en boucle dans le cerveau…? hinhinhin – rire diabolique).
Deuxième vérité, nous vivons dans une économie capitaliste qui implique une croissance continue de la production et, par conséquent, de la consommation. Et pour le moment, personne n’a trouvé le bouton OFF : on est obligés de baisser petit à petit le volume de cette musique tonitruante.

A partir de là, il y a plusieurs attitudes possibles pour les entreprises : elles ont le pouvoir de faire les choses dans le bon ou le mauvais sens.
Il y a celles qui ne font RIEN en se disant “je vais prendre tout ce que je peux tant que c’est possible”, comme le mec qui ramasse les Boyards jusqu’à la dernière seconde et manque de se faire écraser une jambe sous la grille de la Salle du Trésor.
Il y a celles qui font un tout petit peu et qui en parlent beaucoup (“Chéri-e regarde ! J’ai rangé mes chaussettes !”).  
Et puis il y a celles qui font de vrais efforts depuis plusieurs années, qui n’osaient pas en parler, par humilité et par peur qu’on leur dise que “c’est pas assez”.

C’est le cas des Galeries Lafayette. Après 10 ans de cheminement sur la responsabilité sociale de l’entreprise et presque 2 ans de travail en coulisses sur une mode plus engagée, ils sortent enfin du bois en lançant Go for Good dans tous les magasins Galerie Lafayette de France et sur leur boutique en ligne.

Le principe de Go For Good, c’est de proposer un large choix de produits plus justes et plus durables (et toujours beaux, tant qu’à faire) dans toutes les catégories : mode, cosmétiques, food, déco, kids…
L’événement qui entoure le lancement prend fin mi octobre, mais le mouvement, lui, va se pérenniser.

Forcément, des tas de questions se posent. Vous me connaissez, j’ai sauté sur mon destrier (mon vélo… laissez-moi romancer !) et je suis partie fouiner pour comprendre ce qu’il y a derrière.

 

C’est l’un des aspects qui font tourner en bourrique quand on cherche à s’habiller plus éthique : les marques sont éparpillées et on s’est tous pris-es à rêver d’un magasin qui pourrait les regrouper.

Ce qui est intéressant dans l’approche des Galeries Lafayette, c’est que ce ne sont pas 10, ni 20 marques qui proposent des produits responsables, mais… 500 !
Et l’éventail est large : en terme de prix, on compte aussi bien des marques accessibles, comme Vero Moda, que des marques de luxe type Chopard (à prononcer avec un caniche royal à ses pieds).

De même, on retrouve des petites marques “artisanales”, par exemple Le Baigneur qui fabrique des savons à la main dans son atelier parisien, et des marques plus connues du grand public comme Claudie Pierlot qui s’est embarquée dans l’aventure en lançant pour l’occasion sa première collection capsule eco-friendly.

J’ai quand même été surprise de retrouver certaines marques comme Nike qui ne me semble pas – comme ça, au doigt mouillé – être la firme engagée de référence. Toutes les explications sont à retrouver… Au chapitre suivant (vieille technique de JT “après la pub, l’incroyable histoire de la loutre qui a sauvé un chaton de la noyade”)

Et nous revoici avec notre paire de Cortez dans les pattes : tiens, tiens… vous ici ?!

L’explication est simple : Go for Good, qui ne prétend pas être un organisme d’audit de la responsabilité sociale des entreprises, se focalise avant tout sur les produits et non sur les marques. Certaines ont l’intégralité de leurs produits estampillés, d’autres seulement quelques-uns.
Les baskets Nike, qui ont été produites avec plus de 50% de matières recyclées, sont donc éligibles.

Ce filtre permet de valoriser toutes les enseignes qui font un effort et sont sur le chemin d’une production plus vertueuse, même si elles n’ont pas encore passé 100% de leurs produits du côté responsable de la force.
Un peu comme dans ces écoles bienveillantes qui abolissent les mauvaises notes : ici, la carotte, c’est le tampon Go for Good en rayon. C’est une façon de les inciter à faire leurs devoirs, même si elles commencent par s’attaquer à leçon d’art pla : elles seront prêtes pour bosser sur l’algèbre ensuite. Et le petit camarade en face, voyant cette belle récompense, aura lui aussi envie de l’obtenir. La métaphore de la cour de récré marche finalement assez bien pour le monde de l’entreprise ;-).

 

Pour décrocher le tampon, il faut cumuler un ou plusieurs de ces 38 critères (et ouais, on ne fait pas non plus un produit éthique comme on enfile un slip !). Les plus récurrents sont la fabrication en France, l’utilisation de matériaux recyclés, le coton bio, le délavage responsable. Chaque fois que c’est possible, ces critères reposent sur des labels externes, officiels et reconnus (GOTS, PETA-Approved Vegan…), sauf quand il n’en existe pas encore, comme c’est le cas sur le tannage végétal par exemple.

 

Je ne vais pas vous contredire : dans un pays où chaque personne jette en moyenne 12 kilos de vêtements par an, clairement, il vaudrait mieux user ses habits jusqu’à la corde. Puis manger ce qu’il en reste, tant qu’on y est, pour être totalement zéro déchet.

Plus sérieusement : si je suis totalement pour privilégier les achats d’occasion, le troc et la fabrication maison, il arrive qu’on ait un besoin particulier qui ne se déniche pas chez le biffin du coin. Une paire de collants non troués pour ne pas avoir l’air de Dame Ginette au prochain dîner de boulot, par exemple. Ou tout simplement – humains imparfaits et avides que nous sommes – avons peut-être envie, de temps en temps, d’un nouvel habit .

Dans ce cas, c’est toujours chouette de trouver chaussure neuve à son pied, mais pas n’importe laquelle : une bien fabriquée, qui traverse les années et qui ne va pas se démoder à peine les portes du magasin passées.

Le mot d’ordre, comme toujours : acheter moins mais mieux !

Car c’est bien ce que revendique la démarche Go for Good : consommer en moins grande quantité et choisir les articles que l’on achète en fonction de leur qualité, de leur impact social et environnemental.

Bien sûr, pour que les Galeries Lafayette existent, il faut que les magasins vendent. Cela vaut même pour les marques les plus vertueuses qui soient, comme Patagonia.
Mais la croissance n’est plus l’unique objectif : l’enseigne veut devenir une “référence mondiale d’un commerce à la française, éthique et responsable”.
Et pour aller dans ce sens, elle met des choses en place en plus des produits Go for Good dans ses rayons, par exemple :

  • Pour éviter la surconsommation, les magasins ont intégré de nouveaux services de location, de réparation et de recyclage : location de chaussures et de vêtements, ateliers d’entretien, collecte de vêtements usagés avec Le Relais
  • Aucun invendu n’est brûlé ni jeté à la poubelle : chaque magasin a une convention avec une association locale et donne les stocks restants, soit 90 000 pièces neuves revalorisées chaque année
  • La pédagogie autour d’une consommation différente est mise au premier plan : dans les rayons comme sur le site dédié, la transparence est de mise et on peut retrouver tout l’historique sur les engagements des marques/produits. En parallèle, des ateliers d’upcycling, des animations et des talks thématiques – comme celui sur l’incroyable navire Plastic Odyssey – sont organisés en magasin

 

Les aspects purement événementiels prennent fin mi octobre, mais le mouvement est pérenne. La plupart des produits qui étaient dans un corner dédié se retrouveront dans les rayons habituels du magasin et la signalétique sera conservée pour que les consommateurs puissent identifier facilement les produits responsables.

L’objectif est d’intégrer de plus en plus de produits responsables et d’inciter les marques qui n’ont pas sauté le pas à se mettre en marche : le cahier des charges défini pour Go for Good sera utilisé pour les achats des prochaines saisons.

Les Galeries Lafayettes veulent réellement être moteur dans la mode responsable et tirer le secteur vers le haut. Aussi, les critères sont voués à évoluer : par exemple, si toute les marques de mode se mettent à utiliser 50% de matériaux recyclés, le pourcentage d’exigence sera augmenté pour que personne ne se repose peinard sur son hamac avec un verre de Pulco citron à la main.

 

Conclusion ?

Après avoir fait moult aller-retours dans les rayons des Galeries, lu les panneaux, parcouru le site dédié, interviewé les équipes, assisté à des conférences… Je peux vous dire que, si la démarche n’est pas exactement parfaite, elle est réellement vertueuse.

Pour ma part, je suis convaincue qu’il est important que les grands groupes soient impliquées dans la préservation de la justice sociale et de l’environnement : nos petits gestes sont importants, mais ils sont encore anecdotiques face à des entreprises mastodontes. Chiffre édifiant que rappelait Coline dans l’un de ses derniers articles, 100 entreprises sont responsables de 70% des émissions de gaz à effet de serre.

Bien sûr, on peut appeler au boycott mais soyons conscients que ces actions radicales restent, quoiqu’on en dise, le fait d’une poignée de citoyens militants : la plupart des consommateurs continuent d’acheter sans se préoccuper outre mesure des conséquences éthiques et écologiques des produits (sinon Primark, Starbucks et Burger King ne seraient pas installés à tous les coins de rue).  

Du coup, offrir dans des rayons d’un magasin de mode ou d’alimentation la possibilité de consommer mieux, c’est rendre ces produits plus accessibles, c’est commencer à éveiller les consciences par l’acte d’achat. Si la démarche est en plus accompagnée de supports pédagogiques qui ont vocation à expliquer les engagements de façon simple et transparente, cela participe à sensibiliser de nouvelles personnes, à faire bouger les lignes à plus grande échelle.  

Ensuite, et c’est l’un des points essentiels, un grand magasin comme les Galeries Lafayette a un réel pouvoir incitatif vis à vis des autres marques : des enseignes comme American Vintage et Ba&sh ont par exemple créé des collections capsule en coton bio suite à l’appel Go for Good. Un petit pas, certes, mais un vrai pied dans la porte d’une fabrication plus responsable pour ces entreprises : si elles ont pu le mettre en place pour une partie de leur collection, elles sont capables de le faire pour l’ensemble.
Et ça commence déjà à titiller d’autres marques qui souhaitent intégrer des critères Go fo Good dans leurs futures productions.

Finalement, on est tous dans la même barque, alors autant ramer ensemble dans la bonne direction… Non ? 

 

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Mode

Louis Vuitton crée Charlie, sa première basket unisexe et écoresponsable

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Ces dernières saisons, les créateurs de mode popularisent les collections mixtes. Alors que le sac à main se fait de plus en plus unisexe, la maison Louis Vuitton dévoile sa première paire de baskets faites pour tous.t.e.s.

Et pour pousser l’innovation encore plus loin, Charlie, du nom de cette sneakers mixte, est fabriquée à partir de 90% de matériaux recyclés et biosourcés. Lire aussi : Mode et écologie : pourquoi est-il si difficile de changer nos habitudes de consommation ?

Charlie, une chaussure qui fait attention à son empreinte

Il ne sera pas nécessaire de se tourner vers tel ou tel rayon genré pour la trouver. Charlie est une paire de baskets unisexe, donc destinée à être portée par tous.

La gamme de pointures est large, allant d’une taille 34 au 47, et son design est lui intemporel : ce sont d’élégantes baskets blanches, habillées d’un logo noir Louis Vuitton. Alors pour varier le style, Charlie est imaginée en deux versions : basket basse et basket montante.

Et si son look a vocation de séduire le plus grand nombre, les détails de sa conception pourraient en intéresser plus d’un. Car comme le précise l’enseigne, le processus de conception circulaire de Charlie « a été appliqué de manière holistique ». Autrement dit, la démarche éco-responsable a été respectée depuis l’étape de la création jusqu’au passage à la Manufacture de souliers Louis Vuitton de Fiesso d’Artico, en Italie.

Résultat ? Les lacets sont entièrement recyclés, et la semelle de la chaussure est composée à 94% de gomme recyclée au minimum, un record en la matière. De la semelle intérieure au patch de la languette réalisé en ECONYL®, tout a été éco-conçu.

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L’Événement Evening Dresses Show Retourne À Salerno Du 1 Au 3 Septembre 2021 Inaugurant La Saison Internationale Du Prêt-À-Porter

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Le calendrier du prêt-à-porter prévu pour septembre prochain, avec les collections printemps-été 2022, débutera avec l’événement EVENING DRESSES SHOW (Edshow), qui revient, pour la troisième saison consécutive, dans la somptueuse gare maritime Zaha Hadid de Salerno, portant à 60 le nombre d’exposants avec des propositions de prêt-à-porter « soirée » et « cocktail », produites dans les huit régions du sud de l’Italie (Abruzzo, Basilicata, Calabria, Campania, Molise, Puglia, Sardegna et Sicilia).

Déjà inscrit au programme des défilés internationaux de la Conférence des Régions et Provinces Autonomes publié sur le site Regioni.it, Edshow est une vitrine internationale dédiée exclusivement aux looks de soirée et cocktail pour femmes, hommes et enfants.

L’édition à venir a un sens bien particulier, qui se résume dans le slogan « Come back to life », choisi pour la nouvelle affiche : l’envie de recommencer et de revenir à la vie.

Le spectacle des tenues de soirée est conçu et organisé par l’association IFTA avec le soutien de l’ICE- Agence italienne pour le commerce extérieur qui a pour mission la promotion à l’étranger et l’internationalisation des entreprises italiennes au sein du Plan d’exportation du Sud (PES 2) et de la région Campania. Il implique une soixantaine d’entreprises du huit régions méridionales : Abruzzo, Basilicata, Calabria, Campania, Molise, Puglia, Sardegna et Sicilia.

Mais pas seulement ! Grâce à la plateforme Fiera Smart 365, lancée par l’Agence ICE et connectée à ses 78 bureaux à travers le monde, les entrepreneurs qui participeront au salon de Salerno auront l’opportunité d’avoir un premier contact avec des détaillants internationaux qui ne pourront pas assister à l’événement en présentiel.

Une autre nouveauté de l’édition 2021 sera la section spéciale dédiée à l’élégance vestimentaire masculine avec 12 marques sélectionnées parmi les marques Made in Italy les plus dynamiques et intéressantes.

Pendant les trois jours du salon, des rencontres B2B auront lieu avec des acheteurs étrangers invités par l’Agence ICE et avec les meilleurs distributeurs et showrooms basés à Milan.

Edshow débutera avec une exposition des collections présentées en revue, dirigée par Titti Baiocchi pour MB Agency, l’un des noms les plus connus et les plus importants dans le domaine des défilés de mode internationaux.

La soirée du 2 septembre, vous ne verrez sur le podium que les entreprises de vêtements et l’avant-première d’un nouveau projet signé IFTA et SOUTH ITALIAN FASHION, le consortium d’entreprises de mode indépendantes né dans la région Campania pour valoriser et promouvoir, dans le monde, la créativité, l’élégance et « la culture du savoir-faire» qui caractérisent l’unicité du tissu du Sud.

L’une des trois collections du spectacle sera dédiée à la mode musulmane.

Une avant-première visant à annoncer un projet commercial international qui présentera à l’étranger, dans un calendrier qui sera bientôt défini, 30 collections pour femmes musulmanes créées avec des critères, des goûts et des procédures de confection exclusivement italiens.

Né pour aider les petites entreprises du Sud à franchir d’importants seuils commerciaux, le projet dédiée aux tenues musulmanes devient donc une prodigieuse rampe de lancement pour les entreprises prêtes à produire et commercialiser la nouvelle Couture musulmane conçue et réalisée dans leurs ateliers.

Quelques exemples : La robe-manteau crée par Sartoria 74 ; les petites robes noires de Simonetta Ricciarelli qui a lancé sa première collection de petites robes fourreau noires ; les caftans du soir aux couleurs de la côte amalfitaine de La Dolce Vita ; les chemisiers doux du soir de FMConcept ; les costumes fluides en soie bleu de Chine et rose shocking de Gianni Cirillo ; the grand soirée de Michele Miglionico, Nino Lettieri, Melina Baffa, Ferdinand, Valentina d’Alessandro, Maria Elena di Terlizzi, l’enfant prodige Arianna Laterza, jusqu’à la robe de soirée durable de Nanaleo et les longues chemises blanches à fermeture magnétique de Youareu.

L’étude du voile islamique avec les différentes options et usage dans différents pays, conçues pour harmoniser les tenues de soirée proposées est importante pour tout le monde.

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Mode

LVMH continue son ascension, tiré par son activité Mode et Maroquinerie

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Paris (awp/afp) – Le numéro un mondial du luxe LVMH continue son ascension en affichant un bénéfice de 5,3 milliards d’euros au premier semestre, soit nettement mieux qu’avant la pandémie, notamment grâce aux performances de sa branche Mode et Maroquinerie.

« LVMH réalise un excellent semestre », s’est réjoui le PDG de LVMH Bernard Arnault dans le communiqué diffusé lundi par le groupe, qui a ainsi décuplé son bénéfice net entre janvier et juin par rapport à l’année 2020, marquée par la pandémie de Covid, et qui le voit augmenter de plus de moitié (+62%) par rapport au premier semestre 2019, période de référence avant pandémie.

Les ventes du groupe de Bernard Arnault, première fortune française et deuxième mondiale selon Forbes, se sont établies au premier semestre à 28,7 milliards d’euros, en hausse de 53% (+11% par rapport à 2019).

« Dans le contexte actuel de sortie de la crise sanitaire et de reprise de l’économie mondiale, (…) LVMH est en excellente position pour poursuivre sa croissance et renforcer encore en 2021 son avance sur le marché mondial du luxe », a jugé M. Arnault.

Le résultat opérationnel courant du premier semestre 2021 est de 7,6 milliards d’euros, en croissance de 44% par rapport au premier semestre 2019 et plus de 4 fois supérieur à celui de 2020. La marge opérationnelle courante ressort à 26,6%, en hausse de 5,5 points par rapport à 2019.

Le groupe aux « 75 maisons » est notamment porté par une « performance remarquable de l’activité Mode et Maroquinerie », la division phare du géant du luxe qui a engrangé 13,9 milliards d’euros à elle seule, soit une progression de 38% par rapport à 2019 grâce aux performances de Louis Vuitton, Dior, Fendi, Loewe et Céline qui « gagnent partout des parts de marché et atteignent des niveaux records de ventes et de rentabilité ».

« Une croissance qui bénéficiera à la France »

Les ventes de vins et spiritueux augmentent de 12% par rapport à 2019 à 2,7 milliards d’euros (+44% par rapport à 2020) portées par une demande soutenue aux Etats-Unis et un fort rebond en Chine, explique le groupe qui a pris en début d’année une participation de 50% du capital de la Maison de champagne Armand de Brignac, marque de champagne du célèbre chanteur et producteur américain Jay-Z.

La division Montre et Joaillerie progresse de 5% à 4 milliards d’euros (+71% par rapport à 2020), à la faveur de l’acquisition de Tiffany’s.

Parfums et cosmétiques restent en recul (-3% par rapport à 2019) mais le groupe note des « avancées rapides de ventes directes ».

Dans la distribution sélective, Sephora montre une bonne performance mais DFS est encore pénalisé par la reprise limitées des voyages internationaux, et les ventes reculent globalement. Même chose pour les parfums et cosmétiques, même si les ventes directes avancent.

« La croissance de LVMH bénéficie aujourd’hui, et bénéficiera encore davantage dans l’avenir, à la France, premier bassin d’emploi, principal pays d’origine de nos produits, auquel nos maisons sont fières d’apporter leur contribution », assure Bernard Arnault qui a inauguré récemment la Samaritaine en présence du président de la République Emmanuel Macron.

Les résultats semestriels des concurrents français de LVMH sont attendus mardi soir pour Kering et vendredi matin pour Hermès.

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