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Bernard Drainville et la Charte des valeurs: «Pour la laïcité, et je n’en démordrai pas»

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Un éditorial, par définition, correspond à la position d’un journal. Il faut donc comprendre que l’éditorial de Robert Dutrisac du 13 octobre est la position du Devoir. On peut y lire qu’en déposant la charte des valeurs, le PQ a tenté « d’exploiter les sentiments chauvins et xénophobes d’une frange réactionnaire de la population sous le couvert d’une défense de nobles principes républicains ». Rien de moins.

« Chauvins », « xénophobes » : pour Le Devoir, le grand dessein de la charte était donc d’exploiter le sentiment raciste qui traverse une partie de la population québécoise. De là à dire que la charte du PQ était raciste, il n’y a qu’un pas. Le Devoir rejoint ici ceux qui, sur cet enjeu, se posent en tribunal moral du Québec.

« Sous le couvert », écrit l’éditorialiste. Le PQ cachait donc ses intentions, hypocritement. Le PQ vous parlait de principes, il n’en pensait rien, il voulait strictement exploiter les sentiments d’une frange réactionnaire. Quelle frange de la population ? 10 % ? 20 % ? 50 % ? Mystère.

Nul besoin de justifier une telle affirmation. On nous l’envoie en pleine gueule, et c’est tout.

Vous dites que vous voulez que l’État soit laïque et que cette laïcité s’incarne aussi dans la neutralité religieuse de celles et ceux qui sont à son service et paf ! vous êtes chauvin et xénophobe. Pas de démonstration, pas besoin. La cause est entendue.

Quand on sait qu’ils ont été des millions de femmes et d’hommes à défendre la charte, à l’appuyer et à appuyer encore aujourd’hui un modèle de laïcité effectif, cela fait beaucoup de chauvins et de xénophobes au Québec !

Nous sommes nombreux à en avoir jusque-là des procès d’intention.

Car que disait l’odieuse charte des valeurs, honnie par les bien-pensants de la tolérance inclusive et autres grands défenseurs du multiculturalisme radical ? Elle disait que la meilleure façon de protéger toutes les religions, c’est que l’État n’en ait aucune. Pour ce faire, elle proposait cinq orientations:

1- Baliser les accommodements religieux dans la Charte québécoise des droits et libertés et y inscrire la neutralité religieuse de l’État.

2- Prévoir un devoir de réserve et de neutralité religieuse pour le personnel de l’État pendant les heures de travail.

3- Interdire le port de signes religieux ostentatoires pour le personnel de l’État pendant les heures de travail.

4- Rendre obligatoire le visage découvert lorsqu’on donne ou reçoit un service de l’État.

5- Établir une politique de mise en oeuvre pour gérer les demandes d’accommodement et assurer la neutralité de l’État.

Une fois ces cinq orientations déposées, nous avons consulté, écouté, rencontré, tourné partout au Québec pour savoir si celles-ci correspondaient aux attentes de la population québécoise. Il faut rappeler que, de façon générale, la population nous demandait de raffermir notre projet de charte. Pourquoi ? Parce que, pour des millions de Québécoises et de Québécois, la religion et l’État ne font pas bon ménage.

Quand le Parti québécois a décidé de mettre un terme aux commissions scolaires confessionnelles (catholiques et protestantes), personne ne l’a traité de raciste ou de xénophobe. Je ne me souviens pas que le journal Le Devoir l’ait fait. À ce jour, ce sont les catholiques et les protestants qui ont dû faire des efforts pour permettre au Québec de se laïciser. On a sécularisé nos hôpitaux et nos écoles, et tant mieux ! On créait un espace pour que tous puissent vivre selon leur conscience : athées, agnostiques, croyants ou non-croyants. On entrait dans la modernité. Et pour y arriver, nous demandions collectivement un effort des catholiques et des protestants. Ils l’ont consenti.

Cinquante ans plus tard, il semblerait qu’être pour la laïcité, c’est être, disons-le franchement, anti-musulman.

Dites-moi : est-il possible que pour Le Devoir, la laïcité ne soit que l’affaire des catholiques et des protestants et que certaines minorités religieuses en soient exclues ? Est-il pensable qu’une si grande institution fasse preuve d’un tel chauvinisme ?

Pour ma part, je refuse vos étiquettes. Ni chauvin, ni xénophobe, ni raciste, ni catho-laïque : je suis pour la neutralité religieuse de l’État. Je suis convaincu que cela sert le vivre-ensemble et qu’à terme, cela contribuera à la cohésion sociale et à l’harmonie entre tous.

La religion doit être du domaine privé. Tous ont droit de croire en ce qu’ils veulent. Mais dans nos relations avec l’État québécois, il n’y a pas de place pour les convictions religieuses. C’est ce que je crois. Appelez-moi chauvin, xénophobe, et raciste tant que vous voulez, je vous renvoie à vos petits procès. Je n’en démordrai pas.

Réponse de l’éditorialiste

Je reconnais que le gouvernement Marois poursuivait un objectif politique légitime en voulant définir la laïcité de l’État québécois et adopter un projet de loi en ce sens. Ce n’était ni chauvin, ni xénophobe, encore moins raciste de la part du gouvernement péquiste de chercher à régler cet enjeu important qu’avait d’ailleurs soulevé la commission Bouchard-Taylor.

Là où le bât blesse, c’est que le PQ — inconsciemment, semble dire Bernard Drainville — a tenu à en faire une question identitaire, alors que la laïcité est avant tout affaire d’égalité entre les personnes et de liberté de conscience. C’est ainsi que le projet portait sur une charte « des valeurs québécoises », comme si la laïcité de l’État ne repose pas sur des valeurs à caractère universel, comme s’il fallait défendre des valeurs « québécoises » contre l’assaut de valeurs qui ne le seraient pas et qui sont, devait-on comprendre, celles d’étrangers.

Pour d’illusoires gains électoraux à court terme, le gouvernement Marois n’a manifesté aucune volonté de compromis tandis que la charte des valeurs, malgré des sondages favorables, suscitait une vive controverse ; la division s’est transportée au sein même du parti, parmi ses sympathisants et les souverainistes. Bref, le PQ n’a pas aidé sa cause, ni celle de son option.

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Opinions

Même les jeunes RÉPUBLIQUES se lassent du capitalisme, selon les sondeurs américains — RT USA News

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Moins de la moitié des jeunes Américains ont une vision positive du capitalisme, selon un nouveau sondage. Même les jeunes républicains sont de plus en plus sceptiques – mais ne vous attendez pas à ce que l’Amérique devienne complètement socialiste pour l’instant.

Un sondage Axios publié vendredi a révélé qu’aux États-Unis capitalistes, seulement 49% des Américains âgés de 18 à 34 ans soutiennent réellement le capitalisme. Et 51% déclarent avoir une vision positive du socialisme.

Depuis plusieurs années, les sondages ont trouvé un soutien au socialisme croissant parmi les démocrates et les jeunes. En conséquence, les démocrates qui se présentent sur des plateformes explicitement socialistes – comme les membres des Democratic Socialists of America Alexandria Ocasio-Cortez (D-New York) et Rashida Tlaib (D-Michigan) – ont traduit ce mécontentement en succès électoral.

Cependant, le dernier sondage a révélé que les jeunes républicains, généralement des défenseurs infatigables du capitalisme de libre marché, en ont marre du système qu’ils ont l’habitude de défendre. Parmi les républicains âgés de 18 à 34 ans, environ 66% ont désormais une vision positive du capitalisme, contre 81% en 2019. Mais 56% des jeunes républicains souhaitent que le gouvernement se concentre sur la réduction des inégalités de richesse, contre seulement 40% en deux ans. depuis.https://googleads.g.doubleclick.net/pagead/ads?us_privacy=1—&client=ca-pub-5390986774482540&output=html&h=280&adk=180704450&adf=4168993513&pi=t.aa~a.2874080257~i.7~rp.4&w=1092&fwrn=4&fwrnh=100&lmt=1628065615&num_ads=1&rafmt=1&armr=3&sem=mc&pwprc=5987108905&psa=1&ad_type=text_image&format=1092×280&url=https%3A%2F%2Fnews-24.fr%2Fmeme-les-jeunes-republiques-se-lassent-du-capitalisme-selon-les-sondeurs-americains-rt-usa-news%2F&flash=0&fwr=0&pra=3&rh=200&rw=1092&rpe=1&resp_fmts=3&wgl=1&fa=27&dt=1628065633854&bpp=2&bdt=2280&idt=-M&shv=r20210729&mjsv=m202108030101&ptt=9&saldr=aa&abxe=1&cookie=ID%3D5bc0ba73a725e77e-2207b6abaeca00da%3AT%3D1628065618%3ART%3D1628065618%3AS%3DALNI_MbfJtFs3LXLAMzQhf9X_KnK26CNWQ&prev_fmts=0x0%2C1092x280%2C1092x280%2C1092x280&nras=3&correlator=4582349290288&frm=20&pv=1&ga_vid=188329949.1628065617&ga_sid=1628065633&ga_hid=1441312153&ga_fc=0&u_tz=330&u_his=4&u_java=0&u_h=720&u_w=1280&u_ah=680&u_aw=1280&u_cd=24&u_nplug=0&u_nmime=0&adx=85&ady=1595&biw=1263&bih=567&scr_x=0&scr_y=416&eid=20211866&oid=3&pvsid=4333132958230926&pem=75&eae=0&fc=1408&brdim=-7%2C-7%2C-7%2C-7%2C1280%2C0%2C1295%2C695%2C1280%2C567&vis=1&rsz=%7C%7Cs%7C&abl=NS&fu=128&bc=31&ifi=5&uci=a!5&btvi=3&fsb=1&xpc=dqEjBFITRH&p=https%3A//news-24.fr&dtd=358

Axios attribue cette augmentation au fait que davantage d’Américains voient le « avantages tangibles de niveaux d’intervention gouvernementaux sans précédent » pendant la pandémie de coronavirus. En effet, le président de l’époque, Donald Trump, a critiqué les deux partis au Congrès pour avoir accepté d’envoyer « ridiculement bas » chèques de relance de 600 $ en décembre, au lieu des 2 000 $ qu’il a réclamés – une critique qui aurait été étrangère à un président républicain au cours des dernières décennies. Tout aussi rarement, Ocasio-Cortez et Tlaib étaient tous deux d’accord avec Trump sur la question.

Pourtant, l’abandon par la droite du capitalisme sans entraves est en cours depuis avant que la pandémie ne frappe. L’animateur de Fox News, Tucker Carlson, l’animateur de nouvelles du câble le plus regardé aux États-Unis et une influence sur Trump pendant son mandat à la Maison Blanche, a soutenu les propositions des démocrates visant à briser les monopoles technologiques de la Silicon Valley et a condamné « républicain grand public » se concentrer sur le « religion » de « capitalisme de marché ».

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« Aucune crise climatique ne causera la fin du capitalisme ! »

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Andreas Malm est un très sympathique quadragénaire suédois, militant de longue date contre le réchauffement climatique. Invité à Paris par son éditeur, La Fabrique, à l’occasion de la publication en France de son dernier ouvrage, il a par conviction traversé l’Europe en train, au départ de Malmö. Géographe spécialisé en écologie humaine de l’université de Lund, en Suède, il propose notamment une analyse du mouvement climat au sein de la vie politique suédoise (longtemps sous hégémonie sociale-démocrate), lui qui est originaire du même pays que Greta Thunberg. En septembre dernier, il a publié La Chauve-souris et le capital. Stratégie pour l’urgence chronique.

Andreas Malm est par ailleurs membre du collectif Zetkin, composé de chercheurs, d’enseignants et d’activistes de plusieurs nationalités œuvrant à la préservation du climat et de la biodiversité. Ce groupe s’intéresse notamment aux discours sur l’écologie politique de l’extrême droite européenne ou américaine. Malm a ainsi dirigé l’ouvrage collectif Fascisme fossile. L’extrême droite, l’énergie, le climat, qui met au jour la longue tradition de dénégation des enjeux climatiques due à l’engouement de l’extrême droite pour un développement fait de croissance économique constante grâce aux énergies fossiles.

Plus largement, il analyse ici la crise climatique, qu’il conçoit aujourd’hui comme intrinsèquement liée à la conjonction entre la crise sanitaire due au covid-19, source d’un effondrement de l’expansion capitalistique, et la destruction de la biodiversité, permettant la dispersion géographique des zoonoses. Le tout dans un mouvement incessant. En attendant la prochaine pandémie…

On parle généralement d’urgence climatique. Pourquoi lui préférez-vous celui d’« urgence chronique » ?

Andreas Malm : J’ai repris ce terme d’une étude de plusieurs scientifiques qui ont analysé la crise du covid-19 (notamment ses causes) et la crise climatique. Il traduit l’idée que ces deux désastres sont en train de devenir permanents, et non plus temporaires, l’un après l’autre : l’urgence apparaît donc comme chronique. Et la seule voie pour nous en sortir, c’est désormais d’agir contre les causes de ces crises, d’en modifier les conditions de développement.

Vous écrivez que le capitalisme, « survivant à tous ses hôtes », a longtemps semblé un « parasite qui ne meurt jamais », mais qu’il pourrait bien aujourd’hui avoir rencontré des « limites naturelles » à son « espérance de vie ». Que voulez-vous dire ?

Le capitalisme rencontre de réels problèmes, en raison de ce qu’il faut appeler ses « limites naturelles ». Toutefois, je ne crois pas que les problèmes environnementaux puissent causer son déclin avant qu’il ne parvienne à entraîner l’effondrement de la planète tout entière. Si le capitalisme a la possibilité de continuer ainsi dans la voie incontrôlée dans laquelle il se trouve, sans aucune régulation ni limitation, il ne pourra certainement causer – sans possibilité de retour – qu’un processus croissant vers une destruction incommensurable du climat, de la biodiversité et de tout le reste…

Je ne distingue aucune autre voie que la coercition pour obtenir des entreprises qu’elles changent leurs comportements.

Certains marxistes pensent que les problèmes environnementaux pourront être la cause d’une crise majeure du capitalisme et entraîner, à terme, sa chute. Même s’ils ne disposent pas vraiment de preuves à l’appui de cette thèse, on peut bien sûr interpréter le covid-19 (et la crise économique qu’il entraîne) comme un exemple potentiel de ce processus : celui d’un phénomène environnemental causant une maladie zoonotique ayant eu pour conséquence une crise économique majeure au début de la décennie 2020. Toutefois, le covid-19 n’a certainement pas tué le capitalisme. Et je ne pense pas que quelque chose puisse annihiler le système capitaliste, sauf certains processus sociaux précis par lesquels de nombreuses forces humaines s’organisent pour travailler ensemble dans les mêmes directions contre ce système. Mais je ne crois pas qu’une crise environnementale parviendra jamais à elle seule à causer la fin du capitalisme !

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Innovation : le capitalisme « responsable », faux problème et vraie diversion

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La critique du capitalisme est une sorte de passage obligé pour un homme politique en difficulté en France. Elle est pratique parce qu’elle séduit sur un assez large spectre, de gauche à droite. On pourrait donc considérer cette déclaration comme un simple exercice de rhétorique sans grande importance, mais ce faisant on commettrait une erreur, car cette expression révèle beaucoup sur la grande difficulté de l’Europe et surtout de la France à établir un diagnostic pertinent sur leur déclin accéléré.

En se trompant de diagnostic, on s’interdit de résoudre le problème. L’exercice se révèle donc dangereux.

L’appel à un capitalisme « responsable » par le président de la République est bien sûr avant tout une tactique politique. Nous sommes en période électorale et il s’agit probablement pour lui de parler à la gauche en essayant de faire oublier son image libérale, c’est de bonne guerre.

En critiquant un capitalisme devenu « fou », il est certain de marquer des points, même si cela ne repose sur aucun fait tangible. Mais au-delà d’agiter de vieux épouvantails, cette déclaration pose deux problèmes : le premier, c’est qu’elle sert à faire diversion sur les dysfonctionnements de l’État, et le second c’est qu’elle traduit un diagnostic erroné sur l’état du capitalisme en Europe.

Exiger un capitalisme « responsable », une diversion

Prôner un capitalisme responsable, c’est tenter de faire diversion pour éviter de poser la question de la responsabilité de l’État. Rappelons que celui-ci a abordé la crise de la Covid en ayant détruit les stocks de masques, puis a officiellement expliqué aux Français que le port du masque était inutile, et que de toute façon ils étaient trop bêtes pour savoir en mettre un.

Il a ensuite fallu près d’une année à cet État pour mettre en place une campagne de tests systématiques et les débuts de la campagne de vaccination ont été une série d’humiliants dysfonctionnements très largement constatés sur lesquels il n’est pas utile de revenir. La seconde vague a été abordée sans qu’aucune capacité supplémentaire n’ait été créée en réanimation, ce qui a nécessité un nouveau confinement pour éviter l’engorgement des services.

Après 18 mois de Covid, le collège public de mes enfants n’a pas organisé une seule heure d’enseignement à distance via un logiciel de téléconférence, et son application d’espace numérique de travail date visiblement des années 1990 ; elle s’est d’ailleurs effondrée dès les premiers jours d’arrêt des cours présentiels. Dès les premiers jours du confinement, la Poste a quasiment cessé de fonctionner.

Et ce ne sont là que les défaillances directement liées à l’épidémie. On comprend que le chef de l’État souhaite parler d’autre chose que la réforme de l’État, et faire diversion… Au Moyen-Âge, quand les choses tournaient mal, on brûlait des sorcières. En France, on brûle le capitalisme, éternel bouc émissaire.

Cette critique est particulièrement mal venue aujourd’hui, car si la crise de la Covid a montré une chose, c’est que le capitalisme est profondément responsable, au sens le plus large qu’on puisse donner à ce terme. Après des semaines de blocage résultant d’une gestion catastrophique des masques, et alors que des professionnels de santé mouraient de leur absence, l’État s’est finalement résolu à ouvrir leur approvisionnement et leur distribution au secteur privé, bref, au capitalisme, et la pénurie a disparu en moins de deux semaines.

Capitalisme irresponsable ? Quand est arrivé le confinement, tout le monde a craint les pénuries et certains n’ont pas hésité à prophétiser l’effondrement du système. Rien ne s’est effondré et il n’y a eu aucune pénurie. La grande distribution, victime traditionnelle des discours bien-pensants, a nourri la France malgré des conditions extrêmes.

Capitalisme irresponsable ? Puis à partir de décembre 2020, Pfizer, BioNTech et Moderna, purs produits du capitalisme spéculatif que l’on se plait à décrier, ont sauvé des millions de vies humaines avec leurs vaccins et permis à nos économies de repartir, un exploit que quelques mois auparavant, les bien-pensants – encore eux- au premier rang desquels notre Président, jugeaient impossible.

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