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Vos voisins ont-ils voté comme vous?

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Une grande marée bleu pâle un peu partout dans la province : à l’exception de l’île de Montréal, c’est grâce à une solide répartition géographique du vote que François Legault a remporté le scrutin du 1er octobre, indique une carte interactive des résultats bureau de vote par bureau de vote. Créée par Le Devoir avec les données du Directeur général des élections du Québec (DGEQ), cette carte met en lumière le fait que la CAQ a terminé première dans près de 60 % des sections de vote.

Une grande marée bleu pâle un peu partout à travers la province : à l’exception de l’île de Montréal, c’est grâce à une solide répartition du vote que François Legault a pu faire élire une majorité de députés le 1er octobre, indique la cartographie des résultats bureau de vote par bureau de vote.

En se basant sur les données du Directeur général des élections du Québec (DGEQ), Le Devoir a créé une carte interactive permettant de voir qui a voté pour qui dans chaque bureau de vote au Québec — ou presque. Il est ainsi possible de vérifier le vote rue par rue.

Vous faites des trouvailles intéressantes en explorant la carte? Partagez-les dans les commentaires à la fin de l’article.

 

 

Le résultat montre bien l’étendue de la victoire caquiste (74 députés) : les troupes de François Legault ont remporté le vote dans 9656 bureaux de vote, contre un peu plus de 4000 pour les libéraux (31 députés). Avec chacun 10 députés et des appuis semblables, le Parti québécois (1195 bureaux de vote) et Québec solidaire (1284 bureaux) suivent.

Signe de la force de ses appuis, la CAQ a remporté la totalité des bureaux de vote dans 19 circonscriptions, un exploit que les libéraux n’ont réussi que dans cinq châteaux forts de l’ouest de Montréal. Le solidaire Gabriel Nadeau-Dubois (Gouin) et le péquiste Pascal Bérubé (Matane-Matapédia) ont aussi obtenu une note parfaite dans leur circonscription.

Décodage en quelques points :

Montréal. Les grandes conclusions de l’élection sur l’île de Montréal — la progression de Québec solidaire, l’effacement du Parti québécois, la percée de la CAQ et le repli des libéraux auprès de la clientèle anglophone — s’observent au premier coup d’oeil. Mais un deuxième regard révèle quelques particularités qui pourraient annoncer d’autres mouvements à l’avenir.

Dans l’ouest, d’abord. Québec solidaire a remporté 57 bureaux de vote dans Verdun (contre 90 pour les libéraux). Dans Saint-Henri–Sainte-Anne, remportée par les libéraux, la CAQ (15) et QS (25) ont réussi à s’imposer à plusieurs endroits au sud du canal Lachine (Ville-Émard). Dans Marquette, la CAQ a arraché la victoire dans 34 bureaux de vote (le libéral Enrico Ciccone a obtenu la faveur dans 84 bureaux). Une ligne de fracture (la rue Querbes) est dessinée dans Laurier-Dorion : le solidaire Andres Fontecilla a pratiquement tout remporté à l’est, alors que les libéraux ont gardé la main à l’ouest.

Dans l’est, ensuite. Dans Pointe-aux-Trembles, où le Parti québécois présentait Jean-Martin Aussant (et où le parti n’avait jamais perdu en 29 ans), l’économiste a terminé premier dans seulement 22 bureaux de vote, contre 86 pour son adversaire caquiste (Chantal Rouleau). Même chose dans Rosemont, où le chef péquiste, Jean-François Lisée, compte des victoires dans 22 bureaux, contre 99 pour le solidaire Vincent Marissal (et une quinzaine pour les libéraux).

Québec. Dans la région de la capitale nationale, le Parti québécois a remporté un total… d’un seul bureau de vote, dans Taschereau. Cette circonscription était jusqu’ici considérée comme un fief péquiste, mais le départ de la députée Agnès Maltais et la poussée de Québec solidaire (QS) ont complètement changé le portrait : la solidaire Catherine Dorion l’a emporté dans 110 des 127 bureaux. La carte montre que les appuis de QS à Québec se sont concentrés dans les deux circonscriptions gagnées (Jean-Lesage et Taschereau), ainsi que dans quelques bureaux dans Jean-Talon.

Sur la carte de cette région, la CAQ domine autrement presque partout. En dehors de Jean-Talon, les libéraux n’ont remporté le décompte que d’une vingtaine de bureaux de vote.

CAQ. Dans le gruyère caquiste, les trous se trouvent à Montréal, en Outaouais, le long de la frontière américaine, dans la zone Bas-Saint-Laurent–Gaspésie, ou encore sur la Côte-Nord lointaine. Pour le reste, on trouve du bleu pâle à travers tout le Québec : le signe d’une victoire aux assises larges.

PLQ. Des libéraux élus l’ont eux-mêmes souligné au lendemain de l’élection, mais c’est maintenant visible dans le détail : le vote francophone a largement échappé au Parti libéral du Québec. Outre quelques poches de résistance (Roberval, où se présentait Philippe Couillard ; Jean-Talon, à Québec), le rouge de la carte politique des bureaux de vote montre des victoires, surtout sur la frontière américaine, en Outaouais, un peu dans le Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie. Sans oublier Montréal, bien sûr.

PQ. Que reste-t-il du Parti québécois ? En pourcentage de vote, jamais le PQ n’avait-il si peu réussi une élection (17 %), et cela se voit forcément : il y a à peine une vingtaine de circonscriptions où le PQ a terminé premier dans plus d’une dizaine de bureaux de vote. La Gaspésie, le Bas-Saint-Laurent et la Côte-Nord présentent encore passablement de bleu foncé, de même que les Hautes-Laurentides et l’Abitibi.

QS. Québec solidaire présente des statistiques semblables au Parti québécois, mais en suivant une courbe opposée : le parti a profité de l’élection 2018 pour élargir considérablement ses appuis. Géographiquement, les taches orange restent généralement concentrées dans les pôles urbains ou étudiants. La carte montre notamment que la victoire de QS dans Rouyn-Noranda–Témiscamingue est largement attribuable au vote autour de Rouyn même. La CAQ a d’ailleurs remporté plus de bureaux de vote que QS dans cette circonscription (60 contre 58). On note autrement quelques victoires locales surprises ici et là au Québec — entre autres autour de Val-David et à Lac-Simon.

Les résultats par section de vote n’incluent pas le vote par anticipation, puisqu’il n’est pas attribué à une section de vote en particulier.

Une barre d’outils en bas de carte permet d’agrandir jusqu’au moindre détail. Près de l’outil loupe, il est possible d’écrire son code postal pour faire une recherche précise. Tout ce qui apparaît en gris sur la carte correspond à des zones non habitées où il n’y avait pas de bureau de vote.

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Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

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Akio Kashiwagi, John W. Gates, Tommy Renzoni, Phil Ivey, Kerry Packer ou encore Archie Karas… Ces noms ne vous évoquent rien? Ces légendaires joueurs de baccara ont brillé par leurs performances exceptionnelles. Multipliant les gains au fil des années, ils nous ont permis d’identifier quelques approches qui fonctionnent. Aujourd’hui, découvrez certains de leurs secrets:

Apprenez à marcher avant de courir

Premièrement, vous devez absolument connaître les règles du jeu. Avant de maîtriser les stratégies et autres astuces professionnelles du baccara, il faut vous familiariser avec les bases du jeu. Même les plus grands joueurs de l’histoire ont d’abord dû apprendre à jouer. Puis c’est à force de pratique et de stratégie qu’ils ont réussi à se perfectionner pour atteindre les sommets.

Commencez donc par étudier le but principal du jeu et la valeur des cartes. Découvrez aussi les différents types de paris (banquier, joueur ou égalité), apprenez à fixer et gérer votre bankroll, essayez de contrer l’avantage de la maison, etc. Ensuite, vous pourrez passer à une véritable stratégie de baccara. Il en existe beaucoup, à choisir selon les situations et vos aptitudes: systèmes 1-3-2-4, d’Alembert, Fibonacci, Labouchere ou encore Martingale.

Et contrairement à ces légendes qui jouaient dans des établissements physiques, vous avez la possibilité de tester des parties gratuites en ligne. Pratique pour vous exercer sans miser!

Gérez votre budget

Deuxièmement, vous devez fixer un budget et le respecter. Il est essentiel de jouer de manière responsable, afin d’éviter les situations délicates voire désastreuses. Par exemple, vous pouvez allouer 100 $ à votre session de jeu. Et une fois cette somme épuisée, quittez la table. Cela vous permettra de réduire vos pertes et même de protéger vos gains.

Si les grands joueurs de l’histoire du baccara ont pu multiplier leurs gains de façon aussi spectaculaire, ce n’est pas uniquement grâce à la chance. Même si elle a joué en leur faveur, une bonne gestion de leur bankroll leur a aussi permis d’optimiser leurs gains au fil des parties.

Misez sur le banquier

Comme expliqué, il existe trois types de paris au baccara: le joueur, la banque et l’égalité. De manière générale, vous ne pouvez pas vous tromper en misant sur le banquier. En effet, ce pari est gagnant dans plus de 50 % des cas. Toutefois, notez que l’établissement prélève alors une commission sur ces gains, afin de conserver un certain avantage.

De plus, il est important de capitaliser sur les séries. De ce fait, si vous gagnez en pariant sur le banquier, continuez à miser dessus. Mais attention, restez prudent et modéré. Sachez vous arrêter avant que ce pari ne devienne perdant. Ici encore, c’est un conseil que les joueurs légendaires ont eux-mêmes mis en pratique pendant leurs heures de gloire.

Jouez de courtes sessions

Enfin, il est mieux de jouer pendant de courtes sessions. Afin d’être plus performant au baccara, vous devez gérer votre temps correctement. Cela réduira aussi le phénomène d’accoutumance qui peut devenir néfaste s’il n’est pas maîtrisé.

Dans la mesure du possible, planifiez donc un certain nombre de parties à chaque session de jeu. Une fois ce nombre atteint, quittez la table de baccara. Même si vous êtes en train de gagner, soyez raisonnable et arrêtez de jouer.

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Denis Coderre propose un marché public dans le Vieux-Montréal

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Denis Coderre promet d’implanter un marché public au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, s’il est porté au pouvoir en novembre prochain. Cette proposition fait suite à une rencontre qu’il a eue la semaine dernière avec les commerçants du marché Bonsecours. Mais ceux-ci préviennent qu’ils ne souhaitent pas des étals de fruits et de légumes semblables à ceux des marchés Jean-Talon et Atwater.

« Ville-Marie a besoin d’un marché et le marché Bonsecours pourrait être un marché public, au même titre qu’Atwater et Jean-Talon », a soutenu Denis Coderre jeudi matin, alors qu’il présentait les candidats de son équipe dans les arrondissements de Rosemont–La Petite-Patrie et d’Outremont. Selon le candidat, ce projet permettrait de faire du marché Bonsecours un lieu de destination pour les touristes, mais aussi pour les Montréalais. Il a indiqué avoir rencontré l’ensemble des commerçants à ce sujet la semaine dernière.

Denis Coderre a précisé qu’il habitait non loin du marché Bonsecours et qu’il pourrait aller chercher ses fruits et légumes à pied. Au passage, il a affirmé que le bâtiment patrimonial était dans un état « pitoyable » et qu’il faudrait y voir.

Jointe par Le Devoir, Anne de Shalla, propriétaire de la boutique Signatures Québécoises du marché Bonsecours, confirme que les commerçants ont rencontré M. Coderre pour lui présenter leur vision d’avenir. Mais dans le plan d’affaire présenté au candidat à la mairie, il n’était pas envisagé que le marché Bonsecours devienne un marché de fruits et légumes uniquement, a-t-elle expliqué. Les commerçants souhaitent simplement que le marché Bonsecours soit doté de la même structure administrative que les marchés Atwater et Jean-Talon, a-t-elle indiqué.

« On voudrait gérer le marché Bonsecours nous-mêmes. On aimerait prendre la relève des fonctionnaires », a-t-elle dit en évoquant des lacunes telles que l’entretien des lieux et les heures d’ouverture jugées inadéquates par les commerçants. À l’heure actuelle, le marché Bonsecours abrite des boutiques de mode, d’artisanat et de bijoux.

« Notre vision, c’est de rendre le marché Bonsecours comme un marché public avec les mêmes droits que le marché Atwater ou le marché Jean-Talon », précise-t-elle. « On voudrait continuer avec les produits qu’on a déjà et ajouter des produits du terroir, mais on ne veut aucunement ressembler au marché Jean-Talon ou au marché Atwater pour ce qui est du contenu. »

Le marché Bonsecours, qui accueillait 15 commerces avant la pandémie, n’en compte plus que huit. Comme des espaces sont demeurés vacants, Mme de Shalla évoque la possibilité d’ajouter des boulangeries, charcuteries, des comptoirs de plats à emporter, des pop-up shops, ainsi que des boutiques proposant des produits du terroir. « On ne va pas se mettre à vendre des salades sur le parvis Bonsecours. Ce n’est pas ça l’objectif. »

En après-midi, Ensemble Montréal a soutenu que le projet de transformation du marché Bonsecours serait précisé à automne. « Quoi qu’il en soit, M. Coderre, qui a rencontré les marchands du marché Bonsecours, souhaite bien sûr répondre aux besoins exprimés par les commerçants », a indiqué Elizabeth Lemay, attachée de presse chez Ensemble Montréal.

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Nous sommes de retour»: les festivals d’été reprennent à Montréal

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Dans le quartier des spectacles, des tests de son étaient en cours vendredi soir sur la scène d’une comédie musicale — au deuxième jour du festival Juste pour rire. Les billets pour de nombreux spectacles en plein air gratuits du festival — limités par la réglementation COVID-19 — avaient trouvé preneurs.

Deux coins de rue plus loin, une centaine de personnes assistaient à une prestation acoustique du Isaac Neto Trio – dans le cadre du dernier week-end du Festival international Nuits d’Afrique, une célébration de la musique du continent africain et de la diaspora africaine.

Alors que la capacité des sites est limitée en raison de la pandémie de COVID-19, les organisateurs du festival se disent heureux d’être de retour, mais attendent avec impatience l’année prochaine en espérant que les restrictions aux frontières et les limites de capacité n’affecteront pas leurs plans.

Charles Décarie, le président-directeur général du Groupe Juste pour rire, a déclaré qu’il s’agissait d’une «année de transition» et que son équipe a conçu un festival en naviguant à travers les contraintes imposées par la Santé publique.

Lorsque la planification a commencé en février et mars, les organisateurs ont planché sur une multitude de scénarios avec différentes tailles de foule, allant de l’absence de spectateurs à la moitié de la capacité habituelle, a déclaré M. Décarie.

«Vous devez construire des scénarios, a-t-il expliqué. Vous devez planifier un peu plus que d’habitude parce que vous devez avoir des alternatives.»

Comme par le passé, les festivals incluent à la fois des spectacles en salle payants et des représentations en plein air gratuites. À l’extérieur, il y aura moins de scènes et des foules plus petites que dans les dernières années, a précisé M. Décarie. Les spectacles en salle fonctionneront à 30 % de leur capacité, tandis que les spectacles à l’extérieur auront environ 10 à 20 % de du nombre de spectateurs d’avant la pandémie.

«Normalement, nous accueillons environ un million de personnes pendant les festivals sur 15 jours, et cette année, nous serions heureux si 200 000 personnes nous rendent visite au cours des deux prochaines semaines», a indiqué M. Décarie.

Au Québec, les événements extérieurs ont une capacité maximale de 5000 personnes, qui doivent être divisées en sections distinctes de 500 personnes. Les événements en salle sont limités à 3500 spectateurs, qui doivent s’asseoir en sections de 250 personnes, avec des entrées et des toilettes séparées pour chaque section.

En raison des restrictions frontalières, que M. Décarie qualifie de «préoccupation majeure», certaines prestations sont filmées à New York et à Los Angeles et seront diffusées en ligne.

«C’est ainsi que nous avons pu joindre des talents internationaux, a-t-il déclaré. Nous avons décidé de changer notre façon de procéder, et nous sommes allés vers eux.»

Les spectacles en personne mettront pour leur part en vedette des artistes locaux, a-t-il déclaré.

D’autres festivals montréalais affirment également qu’ils prévoient de contourner les restrictions frontalières en se concentrant sur les artistes locaux.

Le Festival international Nuits d’Afrique présente des artistes locaux et des prestations enregistrées des années précédentes, a mentionné vendredi la directrice générale et co-fondatrice du festival, Suzanne Rousseau.

«Les premières nuits, en particulier, étaient incroyables», a-t-elle déclaré à propos du festival, qui a débuté le 6 juillet et se poursuit jusqu’à dimanche. Les artistes disaient: «C’est mon premier spectacle devant public depuis un an et demi».»

Le volet extérieur du festival consiste en deux petites scènes de style «cabaret», a commenté Mme Rousseau. Au lieu d’une scène principale, un spectacle son et lumière est projeté sur un bâtiment. Il présente des prestations filmées qui portent sur les 35 ans d’histoire du festival.

«Ce qui est important, c’est que les festivaliers puissent venir voir des spectacles en personne, a-t-elle déclaré. Et d’avoir des prestations en ligne pour les gens qui ne peuvent pas se rendre à Montréal ou qui ne peuvent pas voyager.»

Mme Rousseau a affirmé qu’elle espère conserver certains des volets en ligne dans les années à venir, mais qu’elle souhaite également organiser un festival plus important l’année prochaine.

«On est vraiment content d’avoir fait un festival cette année, ça nous prépare pour l’année prochaine, a-t-elle déclaré. Cela nous donne l’ambition d’être prêts à recevoir plus de monde, plus de performances et une expérience complète.»

Certains des grands festivals d’été de Montréal, dont le Festival international de Jazz de Montréal, ont été repoussés au mois de septembre. Mme Rousseau a toutefois soutenu qu’elle n’avait jamais envisagé de retarder l’édition de cette année du festival Nuits d’Afrique.

«C’est vraiment important d’être là pendant l’été. Il n’y avait aucun doute que nous allions le faire», a-t-elle déclaré.

Francis Bouchard, un porte-parole de Tourisme Montréal, un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du secteur touristique de la ville, a indiqué qu’avec les événements reportés, la période des festivals durera jusqu’en octobre de cette année. Il est encourageant, a-t-il dit, de constater que des festivals et des événements qui ont été reportés ou annulés l’année dernière soient de retour cet été et cet automne.

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