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Un nouveau pape en 2021?

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Il n’y a pas vraiment, au Québec, de vaticaniste, c’est-à-dire de journaliste spécialisé dans les affaires de l’Église catholique et dans les activités liées au Saint-Siège. Commentateur et chroniqueur indépendant versé en actualité religieuse, Alain Pronkin est celui, avec Alain Crevier de Radio-Canada, qui s’approche le plus de ce statut. Sa connaissance de l’univers vaticanesque est remarquable et indispensable.

Dans Qui succédera au pape François ? (Fides, 2018, 338 pages), Pronkin se livre à une fine analyse des tendances en présence dans le collège cardinalice afin de prévoir qui sera le prochain pape. Certains ne manqueront pas de crier au crime de lèse-majesté. Pourquoi, en effet, poser cette question maintenant, alors que le pape François semble toujours en forme et bien en selle ?

Pour la bonne raison, explique Pronkin, que François, lors de sa nomination en 2013, a annoncé un mandat bref, tout en mentionnant, plus tard, selon le journaliste, « que le berger devait songer un jour à se faire remplacer ». En décembre 2020, il aura 84 ans et sera en poste depuis plus de sept ans. Pronkin présume donc que la tentation sera forte, pour lui, de suivre l’exemple de Benoît XVI et de se faire pape émérite.

Les critères de sélection

On peut reconnaître, note délicatement Pronkin, que l’action de l’Esprit saint jouera un rôle dans l’élection du successeur de François, mais « il faut être naïf pour croire qu’aucun des cardinaux ne veut devenir pape, ni qu’aucun ne fera une certaine campagne électorale ». Le journaliste, à la fin, proposera une liste de quatre cardinaux éminemment « papables » — traduction française du terme « papabili » —, mais son objectif premier, écrit-il, « est plutôt d’identifier les groupes d’intérêts en présence », afin de tracer un portrait des tendances dans l’Église actuelle.

Si l’hypothèse de Pronkin se confirme et qu’un conclave se tient en 2021, il y aura, parmi les 120 cardinaux électeurs, 17 hommes nommés par Jean-Paul II, 39 par Benoît XVI et 64 par François. Ce n’est pas insignifiant. Pronkin montre bien, en analysant la pensée des 111 cardinaux déjà connus, que, sur une foule de questions importantes, ceux qui ont été nommés par François se montrent, en général, nettement plus ouverts à une évolution de l’Église que ceux qui occupent ce poste depuis les époques de Jean-Paul II et de Benoît XVI. Pour être élu pape, un cardinal doit toutefois obtenir 66 % du vote, c’est-à-dire 80 voix. De plus, comme le pape a pour mission de rassembler, il doit donc récolter des appuis provenant des trois groupes.

L’âge s’impose aussi comme un critère déterminant. Historiquement, en effet, les cardinaux ont eu tendance à voter pour un candidat qui appartient à leur groupe d’âge. Or, en 2021, note Pronkin, « 83 % des votants auront 70 ans ou plus, probablement du jamais vu dans l’histoire de l’Église ». On peut donc prévoir que le prochain pape aura plus de 70 ans, sera cardinal depuis au moins cinq et détiendra un diplôme universitaire de 2e ou de 3e cycle.

François a notamment été choisi parce qu’on le croyait capable de réformer la curie. Son successeur sera celui que les cardinaux imagineront capable de relever de grands défis : rétablir les finances de l’Église, dans les paroisses et les diocèses, gérer correctement le scandale des prêtres pédophiles, trouver une solution à la diminution et au vieillissement du clergé et assurer la crédibilité d’une Église ébranlée.

Statu quo ou audace ?

Choisira-t-on, pour ce faire, un pape de style orthodoxe ou un pape plus audacieux, de style bergolien, c’est-à-dire dans la lignée de François ? Dans le domaine de la morale sexuelle, par exemple, Pronkin recense 27 cardinaux, surtout nommés par Jean-Paul II et par Benoît XVI, qui entretiennent une perception négative des LGBT et 25, surtout nommés par François, qui souhaitent une évolution de la pensée de l’Église à cet égard. Autre division : celle entre les cardinaux du Sud — Afrique, Amérique centrale et Asie-Océanie —, opposés à un accueil des LGBT, et ceux du Nord, généralement plus ouverts.

Dans le domaine de l’évolution des rites sacramentels, deux groupes se distinguent aussi. Les cardinaux de Jean-Paul II et de Benoît XVI sont majoritairement contre la communion des divorcés remariés et pour le célibat obligatoire des prêtres, alors que ceux de François sont plus souvent pour une évolution en ces matières.

Quatre « papaples »

En tenant compte de toutes ces considérations, Pronkin se risque enfin à présenter une première liste de 16 cardinaux papables, parmi lesquels figure Marc Ouellet. Les plus intéressants, à mon avis, sont l’Américain Blase Cupich et l’Autrichien Christoph Schönborn, qu’on peut classer dans le camp des audacieux. Pronkin croit toutefois que leur tendance à l’« ouverture sociale » leur nuira à l’heure de rallier largement.

Par conséquent, la liste finale des papables proposée par le journaliste ne comporte que quatre candidats, tous issus de l’ère Benoît XVI : le Mexicain Francisco Ortega, assez traditionaliste mais courageux dans son combat contre la corruption, l’Américain Sean O’Malley, qui s’est démarqué dans sa lutte contre la pédophilie dans l’Église et qui se montre ouvert envers les LGBT, le Brésilien Odilo Scherer, plutôt orthodoxe mais partisan d’une plus grande place faite aux femmes dans l’administration de l’Église, et l’Italien Angelo Bagnasco, un modéré difficile à cerner.

Pour le reste, il y a l’Esprit saint. Les paris, strictement sacrés, évidemment, sont ouverts.

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Opinions

Même les jeunes RÉPUBLIQUES se lassent du capitalisme, selon les sondeurs américains — RT USA News

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Moins de la moitié des jeunes Américains ont une vision positive du capitalisme, selon un nouveau sondage. Même les jeunes républicains sont de plus en plus sceptiques – mais ne vous attendez pas à ce que l’Amérique devienne complètement socialiste pour l’instant.

Un sondage Axios publié vendredi a révélé qu’aux États-Unis capitalistes, seulement 49% des Américains âgés de 18 à 34 ans soutiennent réellement le capitalisme. Et 51% déclarent avoir une vision positive du socialisme.

Depuis plusieurs années, les sondages ont trouvé un soutien au socialisme croissant parmi les démocrates et les jeunes. En conséquence, les démocrates qui se présentent sur des plateformes explicitement socialistes – comme les membres des Democratic Socialists of America Alexandria Ocasio-Cortez (D-New York) et Rashida Tlaib (D-Michigan) – ont traduit ce mécontentement en succès électoral.

Cependant, le dernier sondage a révélé que les jeunes républicains, généralement des défenseurs infatigables du capitalisme de libre marché, en ont marre du système qu’ils ont l’habitude de défendre. Parmi les républicains âgés de 18 à 34 ans, environ 66% ont désormais une vision positive du capitalisme, contre 81% en 2019. Mais 56% des jeunes républicains souhaitent que le gouvernement se concentre sur la réduction des inégalités de richesse, contre seulement 40% en deux ans. depuis.https://googleads.g.doubleclick.net/pagead/ads?us_privacy=1—&client=ca-pub-5390986774482540&output=html&h=280&adk=180704450&adf=4168993513&pi=t.aa~a.2874080257~i.7~rp.4&w=1092&fwrn=4&fwrnh=100&lmt=1628065615&num_ads=1&rafmt=1&armr=3&sem=mc&pwprc=5987108905&psa=1&ad_type=text_image&format=1092×280&url=https%3A%2F%2Fnews-24.fr%2Fmeme-les-jeunes-republiques-se-lassent-du-capitalisme-selon-les-sondeurs-americains-rt-usa-news%2F&flash=0&fwr=0&pra=3&rh=200&rw=1092&rpe=1&resp_fmts=3&wgl=1&fa=27&dt=1628065633854&bpp=2&bdt=2280&idt=-M&shv=r20210729&mjsv=m202108030101&ptt=9&saldr=aa&abxe=1&cookie=ID%3D5bc0ba73a725e77e-2207b6abaeca00da%3AT%3D1628065618%3ART%3D1628065618%3AS%3DALNI_MbfJtFs3LXLAMzQhf9X_KnK26CNWQ&prev_fmts=0x0%2C1092x280%2C1092x280%2C1092x280&nras=3&correlator=4582349290288&frm=20&pv=1&ga_vid=188329949.1628065617&ga_sid=1628065633&ga_hid=1441312153&ga_fc=0&u_tz=330&u_his=4&u_java=0&u_h=720&u_w=1280&u_ah=680&u_aw=1280&u_cd=24&u_nplug=0&u_nmime=0&adx=85&ady=1595&biw=1263&bih=567&scr_x=0&scr_y=416&eid=20211866&oid=3&pvsid=4333132958230926&pem=75&eae=0&fc=1408&brdim=-7%2C-7%2C-7%2C-7%2C1280%2C0%2C1295%2C695%2C1280%2C567&vis=1&rsz=%7C%7Cs%7C&abl=NS&fu=128&bc=31&ifi=5&uci=a!5&btvi=3&fsb=1&xpc=dqEjBFITRH&p=https%3A//news-24.fr&dtd=358

Axios attribue cette augmentation au fait que davantage d’Américains voient le « avantages tangibles de niveaux d’intervention gouvernementaux sans précédent » pendant la pandémie de coronavirus. En effet, le président de l’époque, Donald Trump, a critiqué les deux partis au Congrès pour avoir accepté d’envoyer « ridiculement bas » chèques de relance de 600 $ en décembre, au lieu des 2 000 $ qu’il a réclamés – une critique qui aurait été étrangère à un président républicain au cours des dernières décennies. Tout aussi rarement, Ocasio-Cortez et Tlaib étaient tous deux d’accord avec Trump sur la question.

Pourtant, l’abandon par la droite du capitalisme sans entraves est en cours depuis avant que la pandémie ne frappe. L’animateur de Fox News, Tucker Carlson, l’animateur de nouvelles du câble le plus regardé aux États-Unis et une influence sur Trump pendant son mandat à la Maison Blanche, a soutenu les propositions des démocrates visant à briser les monopoles technologiques de la Silicon Valley et a condamné « républicain grand public » se concentrer sur le « religion » de « capitalisme de marché ».

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Opinions

« Aucune crise climatique ne causera la fin du capitalisme ! »

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Andreas Malm est un très sympathique quadragénaire suédois, militant de longue date contre le réchauffement climatique. Invité à Paris par son éditeur, La Fabrique, à l’occasion de la publication en France de son dernier ouvrage, il a par conviction traversé l’Europe en train, au départ de Malmö. Géographe spécialisé en écologie humaine de l’université de Lund, en Suède, il propose notamment une analyse du mouvement climat au sein de la vie politique suédoise (longtemps sous hégémonie sociale-démocrate), lui qui est originaire du même pays que Greta Thunberg. En septembre dernier, il a publié La Chauve-souris et le capital. Stratégie pour l’urgence chronique.

Andreas Malm est par ailleurs membre du collectif Zetkin, composé de chercheurs, d’enseignants et d’activistes de plusieurs nationalités œuvrant à la préservation du climat et de la biodiversité. Ce groupe s’intéresse notamment aux discours sur l’écologie politique de l’extrême droite européenne ou américaine. Malm a ainsi dirigé l’ouvrage collectif Fascisme fossile. L’extrême droite, l’énergie, le climat, qui met au jour la longue tradition de dénégation des enjeux climatiques due à l’engouement de l’extrême droite pour un développement fait de croissance économique constante grâce aux énergies fossiles.

Plus largement, il analyse ici la crise climatique, qu’il conçoit aujourd’hui comme intrinsèquement liée à la conjonction entre la crise sanitaire due au covid-19, source d’un effondrement de l’expansion capitalistique, et la destruction de la biodiversité, permettant la dispersion géographique des zoonoses. Le tout dans un mouvement incessant. En attendant la prochaine pandémie…

On parle généralement d’urgence climatique. Pourquoi lui préférez-vous celui d’« urgence chronique » ?

Andreas Malm : J’ai repris ce terme d’une étude de plusieurs scientifiques qui ont analysé la crise du covid-19 (notamment ses causes) et la crise climatique. Il traduit l’idée que ces deux désastres sont en train de devenir permanents, et non plus temporaires, l’un après l’autre : l’urgence apparaît donc comme chronique. Et la seule voie pour nous en sortir, c’est désormais d’agir contre les causes de ces crises, d’en modifier les conditions de développement.

Vous écrivez que le capitalisme, « survivant à tous ses hôtes », a longtemps semblé un « parasite qui ne meurt jamais », mais qu’il pourrait bien aujourd’hui avoir rencontré des « limites naturelles » à son « espérance de vie ». Que voulez-vous dire ?

Le capitalisme rencontre de réels problèmes, en raison de ce qu’il faut appeler ses « limites naturelles ». Toutefois, je ne crois pas que les problèmes environnementaux puissent causer son déclin avant qu’il ne parvienne à entraîner l’effondrement de la planète tout entière. Si le capitalisme a la possibilité de continuer ainsi dans la voie incontrôlée dans laquelle il se trouve, sans aucune régulation ni limitation, il ne pourra certainement causer – sans possibilité de retour – qu’un processus croissant vers une destruction incommensurable du climat, de la biodiversité et de tout le reste…

Je ne distingue aucune autre voie que la coercition pour obtenir des entreprises qu’elles changent leurs comportements.

Certains marxistes pensent que les problèmes environnementaux pourront être la cause d’une crise majeure du capitalisme et entraîner, à terme, sa chute. Même s’ils ne disposent pas vraiment de preuves à l’appui de cette thèse, on peut bien sûr interpréter le covid-19 (et la crise économique qu’il entraîne) comme un exemple potentiel de ce processus : celui d’un phénomène environnemental causant une maladie zoonotique ayant eu pour conséquence une crise économique majeure au début de la décennie 2020. Toutefois, le covid-19 n’a certainement pas tué le capitalisme. Et je ne pense pas que quelque chose puisse annihiler le système capitaliste, sauf certains processus sociaux précis par lesquels de nombreuses forces humaines s’organisent pour travailler ensemble dans les mêmes directions contre ce système. Mais je ne crois pas qu’une crise environnementale parviendra jamais à elle seule à causer la fin du capitalisme !

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Innovation : le capitalisme « responsable », faux problème et vraie diversion

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La critique du capitalisme est une sorte de passage obligé pour un homme politique en difficulté en France. Elle est pratique parce qu’elle séduit sur un assez large spectre, de gauche à droite. On pourrait donc considérer cette déclaration comme un simple exercice de rhétorique sans grande importance, mais ce faisant on commettrait une erreur, car cette expression révèle beaucoup sur la grande difficulté de l’Europe et surtout de la France à établir un diagnostic pertinent sur leur déclin accéléré.

En se trompant de diagnostic, on s’interdit de résoudre le problème. L’exercice se révèle donc dangereux.

L’appel à un capitalisme « responsable » par le président de la République est bien sûr avant tout une tactique politique. Nous sommes en période électorale et il s’agit probablement pour lui de parler à la gauche en essayant de faire oublier son image libérale, c’est de bonne guerre.

En critiquant un capitalisme devenu « fou », il est certain de marquer des points, même si cela ne repose sur aucun fait tangible. Mais au-delà d’agiter de vieux épouvantails, cette déclaration pose deux problèmes : le premier, c’est qu’elle sert à faire diversion sur les dysfonctionnements de l’État, et le second c’est qu’elle traduit un diagnostic erroné sur l’état du capitalisme en Europe.

Exiger un capitalisme « responsable », une diversion

Prôner un capitalisme responsable, c’est tenter de faire diversion pour éviter de poser la question de la responsabilité de l’État. Rappelons que celui-ci a abordé la crise de la Covid en ayant détruit les stocks de masques, puis a officiellement expliqué aux Français que le port du masque était inutile, et que de toute façon ils étaient trop bêtes pour savoir en mettre un.

Il a ensuite fallu près d’une année à cet État pour mettre en place une campagne de tests systématiques et les débuts de la campagne de vaccination ont été une série d’humiliants dysfonctionnements très largement constatés sur lesquels il n’est pas utile de revenir. La seconde vague a été abordée sans qu’aucune capacité supplémentaire n’ait été créée en réanimation, ce qui a nécessité un nouveau confinement pour éviter l’engorgement des services.

Après 18 mois de Covid, le collège public de mes enfants n’a pas organisé une seule heure d’enseignement à distance via un logiciel de téléconférence, et son application d’espace numérique de travail date visiblement des années 1990 ; elle s’est d’ailleurs effondrée dès les premiers jours d’arrêt des cours présentiels. Dès les premiers jours du confinement, la Poste a quasiment cessé de fonctionner.

Et ce ne sont là que les défaillances directement liées à l’épidémie. On comprend que le chef de l’État souhaite parler d’autre chose que la réforme de l’État, et faire diversion… Au Moyen-Âge, quand les choses tournaient mal, on brûlait des sorcières. En France, on brûle le capitalisme, éternel bouc émissaire.

Cette critique est particulièrement mal venue aujourd’hui, car si la crise de la Covid a montré une chose, c’est que le capitalisme est profondément responsable, au sens le plus large qu’on puisse donner à ce terme. Après des semaines de blocage résultant d’une gestion catastrophique des masques, et alors que des professionnels de santé mouraient de leur absence, l’État s’est finalement résolu à ouvrir leur approvisionnement et leur distribution au secteur privé, bref, au capitalisme, et la pénurie a disparu en moins de deux semaines.

Capitalisme irresponsable ? Quand est arrivé le confinement, tout le monde a craint les pénuries et certains n’ont pas hésité à prophétiser l’effondrement du système. Rien ne s’est effondré et il n’y a eu aucune pénurie. La grande distribution, victime traditionnelle des discours bien-pensants, a nourri la France malgré des conditions extrêmes.

Capitalisme irresponsable ? Puis à partir de décembre 2020, Pfizer, BioNTech et Moderna, purs produits du capitalisme spéculatif que l’on se plait à décrier, ont sauvé des millions de vies humaines avec leurs vaccins et permis à nos économies de repartir, un exploit que quelques mois auparavant, les bien-pensants – encore eux- au premier rang desquels notre Président, jugeaient impossible.

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