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L’indépendance, la paresse et la tragédie

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L’année 2018 tire à sa fin et elle emporte avec elle l’ancien cycle politique qui caractérisa la deuxième moitié du XXe siècle au Québec, au cours duquel l’enjeu de l’indépendance était central au sein de la joute politique.

Élection du PQ, référendum raté, accord du lac Meech, référendum prétendument volé et poing levé de PKP ne sont peut-être plus que choses du passé avec l’avènement de la CAQ au pouvoir. Attention : il ne s’agit pas de dire que l’indépendantisme est mort, comme on ne cesse de nous le répéter depuis la naissance même du mouvement. Il s’agit plutôt de dire que le souverainisme officiel, institutionnalisé et enclavé dans les mêmes schèmes de pensée qui entretiennent la paresse intellectuelle est peut-être en voie de mourir pour de bon. Néanmoins, ne soyons pas dupes : l’avènement d’un péquiste type comme Yves-François Blanchet au Bloc et l’incroyable incapacité d’introspection du PQ qui s’embourbe dans des interventions insignifiantes pourraient nous laisser croire que le camp du Oui n’est pas près de changer de cap.

Depuis plus de vingt ans, ce souverainisme de province, qui se résume par une stratégie de bon perdant, héritier du pacifisme québécois, de notre perpétuelle ambivalence et du complexe du colonisé, s’est déployé avec un plan franchement naïf, dénué de toute considération géopolitique et militaire. Celui-ci se base sur deux prémisses fondamentalement fausses qui sont, primo, que la démarche de l’accession à l’indépendance sera nécessairement reconnue par le Canada et l’ONU et, secundo, que nous avons en face de nous des adversaires de bonne foi, de simples voisins sympathiques avec qui nous avons quelques différends et dont nous préférons nous séparer, comme on peut préférer une crème glacée au chocolat ou à la vanille. Avec ou sans lactose, votre indépendance ? Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que quelqu’un évoque ce que j’affirme : combien d’articles et d’essais ont-ils été écrits sur le sujet sans que pour autant le PQ y trouve matière à « oser repenser » le mouvement ?

Qu’on se le tienne pour dit : notre pire ennemi est présentement la paresse intellectuelle. Paresse confortable des uns à attendre les conditions gagnantes ; paresse suicidaire des autres à vouloir se précipiter dans un référendum le plus vite possible ; paresse des têtes brûlées qui ne veulent plus avoir affaire au PQ, trop « multiculturaliste », mais qui n’ont rien de concret à nous proposer ; et paresse des théoriciens qui nous proposent mille et une tactiques toutes plus loufoques les unes que les autres.

L’indifférence et la perte du sens tragique de la politique sont peut-être à l’origine de cette paresse intellectuelle répandue chez l’ensemble des indépendantistes, pressés pas pressés, conservateurs comme progressistes. Cette incapacité à voir la lutte indépendantiste comme une lutte épique et tragique d’un peuple français d’abord audacieux, téméraire et grandiose, puis conquis, annexé, humilié, dépossédé et en voie de disparition caractérise le PQ depuis sa fondation à bien des égards.

En fait, le nouveau cycle politique dans lequel nous entrons infirme la célèbre phrase de Miron comme quoi « ça ne pourra pas toujours ne pas arriver » : au contraire, l’histoire du Québec n’est pas prédestinée à l’indépendance, elle est fondamentalement contingente et il y a des chances que « ça n’arrive pas ». J’irais même jusqu’à dire que nous avons beaucoup plus de chances d’échouer que de réussir, et c’est en cela que l’indépendantisme tient plus de la foi que de la simple position politique. Mais sous le conseil de saint Thomas d’Aquin, je dis : maintenons le cap et espérons au-delà de toute espérance.

Toutes ces observations sont-elles des raisons suffisantes pour « abattre le cadavre péquiste » comme nous le conseille le philosophe Christian Saint-Germain ? Faut-il plutôt « sauver les meubles », comme le préconise Mathieu Bock-Côté ? Je ne saurais répondre à ces questions, et je crois qu’en cette fin de cycle politique, chaque indépendantiste a le devoir de remettre en question ses convictions fondamentales en brisant ses vieilles manières de penser, en s’extirpant de la paresse générale et en retrouvant le sens du tragique. Je ne suis évidemment pas le premier à prôner un « renouveau ». C’est presque devenu un exercice rituel depuis quelques années pour épater la galerie.

Je propose néanmoins quelques pistes de réflexion trop peu souvent énoncées au sein du mouvement. Premièrement, cessons de jouer les autonomistes bons perdants et prenons notre rôle au sérieux. Deuxièmement, rappelons-nous que le peuple se passionne pour les grands discours éloquents, les grands hommes qui maîtrisent l’art oratoire, et non pour les arguments techniciens et les comptables illettrés. En troisième lieu, inspirons-nous du passé, de la philosophie et de la littérature, inscrivons notre lutte dans l’Histoire, à la fois nationale et universelle. Faisons référence à nos bâtisseurs, nos défricheurs, nos historiens, écrivains, poètes et grands tribuns : ils font jaillir la flamme patriotique. Enfin, nous devons réapprendre à honnir l’ennemi : le Québécois doit bouillir de rage pour passer à l’action. Par rapport à ce dernier point, nous constatons, depuis la déconfiture du PQ, que la francophobie canadienne-anglaise est en plein réveil : n’ayons pas peur de dénoncer cette haine qui montre en plein jour la fracture ethnique de ce pays.

Je terminerai en disant ceci : au fil de mes conversations politiques à droite et à gauche, je constate que le Québécois sait toujours au fond de lui-même que notre destin en Amérique est intimement lié au destin du Parti québécois, qui, nous le savons bien, n’est pas un parti comme un autre, pour le meilleur et pour le pire.

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Même les jeunes RÉPUBLIQUES se lassent du capitalisme, selon les sondeurs américains — RT USA News

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Moins de la moitié des jeunes Américains ont une vision positive du capitalisme, selon un nouveau sondage. Même les jeunes républicains sont de plus en plus sceptiques – mais ne vous attendez pas à ce que l’Amérique devienne complètement socialiste pour l’instant.

Un sondage Axios publié vendredi a révélé qu’aux États-Unis capitalistes, seulement 49% des Américains âgés de 18 à 34 ans soutiennent réellement le capitalisme. Et 51% déclarent avoir une vision positive du socialisme.

Depuis plusieurs années, les sondages ont trouvé un soutien au socialisme croissant parmi les démocrates et les jeunes. En conséquence, les démocrates qui se présentent sur des plateformes explicitement socialistes – comme les membres des Democratic Socialists of America Alexandria Ocasio-Cortez (D-New York) et Rashida Tlaib (D-Michigan) – ont traduit ce mécontentement en succès électoral.

Cependant, le dernier sondage a révélé que les jeunes républicains, généralement des défenseurs infatigables du capitalisme de libre marché, en ont marre du système qu’ils ont l’habitude de défendre. Parmi les républicains âgés de 18 à 34 ans, environ 66% ont désormais une vision positive du capitalisme, contre 81% en 2019. Mais 56% des jeunes républicains souhaitent que le gouvernement se concentre sur la réduction des inégalités de richesse, contre seulement 40% en deux ans. depuis.https://googleads.g.doubleclick.net/pagead/ads?us_privacy=1—&client=ca-pub-5390986774482540&output=html&h=280&adk=180704450&adf=4168993513&pi=t.aa~a.2874080257~i.7~rp.4&w=1092&fwrn=4&fwrnh=100&lmt=1628065615&num_ads=1&rafmt=1&armr=3&sem=mc&pwprc=5987108905&psa=1&ad_type=text_image&format=1092×280&url=https%3A%2F%2Fnews-24.fr%2Fmeme-les-jeunes-republiques-se-lassent-du-capitalisme-selon-les-sondeurs-americains-rt-usa-news%2F&flash=0&fwr=0&pra=3&rh=200&rw=1092&rpe=1&resp_fmts=3&wgl=1&fa=27&dt=1628065633854&bpp=2&bdt=2280&idt=-M&shv=r20210729&mjsv=m202108030101&ptt=9&saldr=aa&abxe=1&cookie=ID%3D5bc0ba73a725e77e-2207b6abaeca00da%3AT%3D1628065618%3ART%3D1628065618%3AS%3DALNI_MbfJtFs3LXLAMzQhf9X_KnK26CNWQ&prev_fmts=0x0%2C1092x280%2C1092x280%2C1092x280&nras=3&correlator=4582349290288&frm=20&pv=1&ga_vid=188329949.1628065617&ga_sid=1628065633&ga_hid=1441312153&ga_fc=0&u_tz=330&u_his=4&u_java=0&u_h=720&u_w=1280&u_ah=680&u_aw=1280&u_cd=24&u_nplug=0&u_nmime=0&adx=85&ady=1595&biw=1263&bih=567&scr_x=0&scr_y=416&eid=20211866&oid=3&pvsid=4333132958230926&pem=75&eae=0&fc=1408&brdim=-7%2C-7%2C-7%2C-7%2C1280%2C0%2C1295%2C695%2C1280%2C567&vis=1&rsz=%7C%7Cs%7C&abl=NS&fu=128&bc=31&ifi=5&uci=a!5&btvi=3&fsb=1&xpc=dqEjBFITRH&p=https%3A//news-24.fr&dtd=358

Axios attribue cette augmentation au fait que davantage d’Américains voient le « avantages tangibles de niveaux d’intervention gouvernementaux sans précédent » pendant la pandémie de coronavirus. En effet, le président de l’époque, Donald Trump, a critiqué les deux partis au Congrès pour avoir accepté d’envoyer « ridiculement bas » chèques de relance de 600 $ en décembre, au lieu des 2 000 $ qu’il a réclamés – une critique qui aurait été étrangère à un président républicain au cours des dernières décennies. Tout aussi rarement, Ocasio-Cortez et Tlaib étaient tous deux d’accord avec Trump sur la question.

Pourtant, l’abandon par la droite du capitalisme sans entraves est en cours depuis avant que la pandémie ne frappe. L’animateur de Fox News, Tucker Carlson, l’animateur de nouvelles du câble le plus regardé aux États-Unis et une influence sur Trump pendant son mandat à la Maison Blanche, a soutenu les propositions des démocrates visant à briser les monopoles technologiques de la Silicon Valley et a condamné « républicain grand public » se concentrer sur le « religion » de « capitalisme de marché ».

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« Aucune crise climatique ne causera la fin du capitalisme ! »

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Andreas Malm est un très sympathique quadragénaire suédois, militant de longue date contre le réchauffement climatique. Invité à Paris par son éditeur, La Fabrique, à l’occasion de la publication en France de son dernier ouvrage, il a par conviction traversé l’Europe en train, au départ de Malmö. Géographe spécialisé en écologie humaine de l’université de Lund, en Suède, il propose notamment une analyse du mouvement climat au sein de la vie politique suédoise (longtemps sous hégémonie sociale-démocrate), lui qui est originaire du même pays que Greta Thunberg. En septembre dernier, il a publié La Chauve-souris et le capital. Stratégie pour l’urgence chronique.

Andreas Malm est par ailleurs membre du collectif Zetkin, composé de chercheurs, d’enseignants et d’activistes de plusieurs nationalités œuvrant à la préservation du climat et de la biodiversité. Ce groupe s’intéresse notamment aux discours sur l’écologie politique de l’extrême droite européenne ou américaine. Malm a ainsi dirigé l’ouvrage collectif Fascisme fossile. L’extrême droite, l’énergie, le climat, qui met au jour la longue tradition de dénégation des enjeux climatiques due à l’engouement de l’extrême droite pour un développement fait de croissance économique constante grâce aux énergies fossiles.

Plus largement, il analyse ici la crise climatique, qu’il conçoit aujourd’hui comme intrinsèquement liée à la conjonction entre la crise sanitaire due au covid-19, source d’un effondrement de l’expansion capitalistique, et la destruction de la biodiversité, permettant la dispersion géographique des zoonoses. Le tout dans un mouvement incessant. En attendant la prochaine pandémie…

On parle généralement d’urgence climatique. Pourquoi lui préférez-vous celui d’« urgence chronique » ?

Andreas Malm : J’ai repris ce terme d’une étude de plusieurs scientifiques qui ont analysé la crise du covid-19 (notamment ses causes) et la crise climatique. Il traduit l’idée que ces deux désastres sont en train de devenir permanents, et non plus temporaires, l’un après l’autre : l’urgence apparaît donc comme chronique. Et la seule voie pour nous en sortir, c’est désormais d’agir contre les causes de ces crises, d’en modifier les conditions de développement.

Vous écrivez que le capitalisme, « survivant à tous ses hôtes », a longtemps semblé un « parasite qui ne meurt jamais », mais qu’il pourrait bien aujourd’hui avoir rencontré des « limites naturelles » à son « espérance de vie ». Que voulez-vous dire ?

Le capitalisme rencontre de réels problèmes, en raison de ce qu’il faut appeler ses « limites naturelles ». Toutefois, je ne crois pas que les problèmes environnementaux puissent causer son déclin avant qu’il ne parvienne à entraîner l’effondrement de la planète tout entière. Si le capitalisme a la possibilité de continuer ainsi dans la voie incontrôlée dans laquelle il se trouve, sans aucune régulation ni limitation, il ne pourra certainement causer – sans possibilité de retour – qu’un processus croissant vers une destruction incommensurable du climat, de la biodiversité et de tout le reste…

Je ne distingue aucune autre voie que la coercition pour obtenir des entreprises qu’elles changent leurs comportements.

Certains marxistes pensent que les problèmes environnementaux pourront être la cause d’une crise majeure du capitalisme et entraîner, à terme, sa chute. Même s’ils ne disposent pas vraiment de preuves à l’appui de cette thèse, on peut bien sûr interpréter le covid-19 (et la crise économique qu’il entraîne) comme un exemple potentiel de ce processus : celui d’un phénomène environnemental causant une maladie zoonotique ayant eu pour conséquence une crise économique majeure au début de la décennie 2020. Toutefois, le covid-19 n’a certainement pas tué le capitalisme. Et je ne pense pas que quelque chose puisse annihiler le système capitaliste, sauf certains processus sociaux précis par lesquels de nombreuses forces humaines s’organisent pour travailler ensemble dans les mêmes directions contre ce système. Mais je ne crois pas qu’une crise environnementale parviendra jamais à elle seule à causer la fin du capitalisme !

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Innovation : le capitalisme « responsable », faux problème et vraie diversion

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La critique du capitalisme est une sorte de passage obligé pour un homme politique en difficulté en France. Elle est pratique parce qu’elle séduit sur un assez large spectre, de gauche à droite. On pourrait donc considérer cette déclaration comme un simple exercice de rhétorique sans grande importance, mais ce faisant on commettrait une erreur, car cette expression révèle beaucoup sur la grande difficulté de l’Europe et surtout de la France à établir un diagnostic pertinent sur leur déclin accéléré.

En se trompant de diagnostic, on s’interdit de résoudre le problème. L’exercice se révèle donc dangereux.

L’appel à un capitalisme « responsable » par le président de la République est bien sûr avant tout une tactique politique. Nous sommes en période électorale et il s’agit probablement pour lui de parler à la gauche en essayant de faire oublier son image libérale, c’est de bonne guerre.

En critiquant un capitalisme devenu « fou », il est certain de marquer des points, même si cela ne repose sur aucun fait tangible. Mais au-delà d’agiter de vieux épouvantails, cette déclaration pose deux problèmes : le premier, c’est qu’elle sert à faire diversion sur les dysfonctionnements de l’État, et le second c’est qu’elle traduit un diagnostic erroné sur l’état du capitalisme en Europe.

Exiger un capitalisme « responsable », une diversion

Prôner un capitalisme responsable, c’est tenter de faire diversion pour éviter de poser la question de la responsabilité de l’État. Rappelons que celui-ci a abordé la crise de la Covid en ayant détruit les stocks de masques, puis a officiellement expliqué aux Français que le port du masque était inutile, et que de toute façon ils étaient trop bêtes pour savoir en mettre un.

Il a ensuite fallu près d’une année à cet État pour mettre en place une campagne de tests systématiques et les débuts de la campagne de vaccination ont été une série d’humiliants dysfonctionnements très largement constatés sur lesquels il n’est pas utile de revenir. La seconde vague a été abordée sans qu’aucune capacité supplémentaire n’ait été créée en réanimation, ce qui a nécessité un nouveau confinement pour éviter l’engorgement des services.

Après 18 mois de Covid, le collège public de mes enfants n’a pas organisé une seule heure d’enseignement à distance via un logiciel de téléconférence, et son application d’espace numérique de travail date visiblement des années 1990 ; elle s’est d’ailleurs effondrée dès les premiers jours d’arrêt des cours présentiels. Dès les premiers jours du confinement, la Poste a quasiment cessé de fonctionner.

Et ce ne sont là que les défaillances directement liées à l’épidémie. On comprend que le chef de l’État souhaite parler d’autre chose que la réforme de l’État, et faire diversion… Au Moyen-Âge, quand les choses tournaient mal, on brûlait des sorcières. En France, on brûle le capitalisme, éternel bouc émissaire.

Cette critique est particulièrement mal venue aujourd’hui, car si la crise de la Covid a montré une chose, c’est que le capitalisme est profondément responsable, au sens le plus large qu’on puisse donner à ce terme. Après des semaines de blocage résultant d’une gestion catastrophique des masques, et alors que des professionnels de santé mouraient de leur absence, l’État s’est finalement résolu à ouvrir leur approvisionnement et leur distribution au secteur privé, bref, au capitalisme, et la pénurie a disparu en moins de deux semaines.

Capitalisme irresponsable ? Quand est arrivé le confinement, tout le monde a craint les pénuries et certains n’ont pas hésité à prophétiser l’effondrement du système. Rien ne s’est effondré et il n’y a eu aucune pénurie. La grande distribution, victime traditionnelle des discours bien-pensants, a nourri la France malgré des conditions extrêmes.

Capitalisme irresponsable ? Puis à partir de décembre 2020, Pfizer, BioNTech et Moderna, purs produits du capitalisme spéculatif que l’on se plait à décrier, ont sauvé des millions de vies humaines avec leurs vaccins et permis à nos économies de repartir, un exploit que quelques mois auparavant, les bien-pensants – encore eux- au premier rang desquels notre Président, jugeaient impossible.

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