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La cabane française au Canada

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Ce fut une entreprise fastueuse qu’on ne saurait imaginer en cette époque de gilets jaunes et de frugalité attendue des pouvoirs publics. Mais c’était justement une autre époque. Celle de l’entre-deux-guerres, où on assumait encore ses désirs de beauté, quel qu’en soit le prix. La France voulait marquer en grand l’amitié l’unissant à ce Canada fraîchement lesté de son statut de dominion en imaginant une première ambassade à Ottawa grandiose et tout en symboles. Quatre-vingts ans et quelques restaurations plus tard, le 42 Sussex demeure un des joyaux du réseau diplomatique français.

En 1926, la déclaration Balfour redéfinit la relation entre l’Empire britannique et ses dominions pour conférer à ces derniers un statut d’égaux et leur octroyer progressivement le droit de se représenter sur la scène internationale, et réciproquement. La France répond à cette accession à l’autonomie en dépêchant dès 1928 son premier représentant, Jean Knight. Bien vite, il trouve les locaux de la chancellerie trop modestes. M. Knight entreprend de trouver un nouveau lieu pour ériger la future ambassade française.

Il arrête son choix sur une demeure de la rue Sussex, qui n’a pas encore tout le prestige qu’on lui connaît aujourd’hui : d’un côté bordée d’usines — qui seront éventuellement démantelées —, et de l’autre par le 24 Sussex, qui n’est alors qu’une résidence privée qui n’hébergera pas avant 1951 les premiers ministres canadiens.

La maison est achetée puis rasée. Ensuite, le 14 juillet 1936, s’ouvre en grande pompe un chantier digne du Roi-Soleil. L’architecte français Eugène Beaudouin est choisi et s’allie à deux homologues montréalais pour superviser les travaux, froissant du coup la vedette Ernest Cormier, qui avait effectué à titre gracieux les premières esquisses et espérait être retenu pour le projet.

Beaudouin s’entoure d’une équipe de cinq artistes français pour décorer la somptueuse ambassade Art déco, qui compte trois étages et s’organise autour d’un grand hall palatial.

Censure

Alfred Courmes reçoit le mandat de réaliser une peinture couvrant la totalité des murs de la grande salle à manger. « La France heureuse », qui s’étale sur 120 mètres carrés, met en scène 225 personnages profitant de la vie dans un paysage provençal, certains jouant aux cartes ou à la pétanque, d’autres tricotant, d’autres encore profitant des premiers congés payés en s’adonnant à la baignade.

L’artiste était-il épuisé par le travail ? C’est ce que la signature de son oeuvre laisse croire : « Achevé le 21 juillet 1939, 3 h du matin », peut-on lire.

On raconte que, dans les années 1950, un ecclésiastique en visite n’avait pas apprécié la nudité des enfants de la murale et les accolades ambiguës de certains hommes. Aussi entreprit-on de cacher l’oeuvre, d’abord sous des toiles tendues, ensuite avec une bonne couche de badigeon blanc. Ce n’est qu’en 1984 que Paris autorisa la restauration complète de cette peinture à l’encaustique.

Cette mise à l’index n’épargna pas la salle de bal. Dans cette immense pièce lumineuse meublée de sièges Empire vert absinthe trône une gigantesque tapisserie issue de la Manufacture des Gobelins datant de 1623-1625. Le sculpteur Louis Leygue devait prolonger le triomphe de Constantin en trois dimensions sur les murs. En 1951, on jugea inappropriée la nudité d’Adam et Ève, de l’Amour profane, de l’Amour sacré et de la Paix, et les quatre sculptures bordant la tapisserie furent retirées. Elles furent restaurées en même temps que l’oeuvre murale de Courmes.

Le graveur Charles Pinson, pour sa part, réalisa une oeuvre totalement unique dans le bureau de l’ambassadeur. Sur les murs de pierre polie blanche de plus de 100 mètres carrés, il grava délicatement, puis encra de noir l’histoire de la Nouvelle-France, de l’arrivée de Jacques Cartier sur la Grande Hermine jusqu’à la capitulation de 1759.

Tapisserie d’écorce de bouleau

Mais c’est de loin le salon Bouleau, jouxtant la salle de bal sur sa gauche, qui attire par sa singularité le plus l’attention dans cette magnifique ambassade. La pièce réalisée par l’Institut des arts appliqués de Montréal est entièrement tapissée d’écorce de bouleau.

« C’est un clin d’oeil aux Premières Nations », explique le conseiller de presse de l’ambassade, Éric Navel, lors d’une visite avec Le Devoir. « On sait que les Amérindiens en fabriquaient leurs pirogues pour voyager. Or, Ottawa, c’est un lieu d’échanges. »

Pensait-on que le recouvrement ligneux assainirait l’air ? Longtemps la pièce — réservée aux hommes — servit-elle de fumoir.

C’est néanmoins le temps, et non la fumée, qui a le plus endommagé le salon. « Le bouleau est constitué d’une succession de fines couches et, parfois, elles frisent. Les gens en arrachent ou elles tombent », explique Daniela Kolbach, la restauratrice d’art qui a piloté cet automne le projet de réhabilitation rendu possible grâce à la Fondation George et Helen Vari.

« L’ambassade utilise la salle de bal pour des fêtes, et cette pièce [le salon Bouleau] est accessible. Avec les années, les gens ont pris de petits souvenirs de l’écorce de bouleau. »

L’objectif a été d’aplanir les surfaces non pas pour qu’elles ressemblent « à de la tapisserie », mais pour stabiliser l’écorce et stopper sa détérioration. Chaque petit morceau retroussé a été enduit de colle, puis maintenu à plat par la pression d’un minuscule coussinet de caoutchouc épinglé là grâce à une aiguille à piquer.

« Des fois, on regardait un panneau et on aurait dit qu’il y avait une armée d’aiguilles ! Ça ressemblait à un jeu », rigole Mme Kolbach. Elle estime que des « centaines de milliers » de fines pelures ont été ainsi recollées par elle et ses trois acolytes.

Certaines portions de l’écorce ont dû être remplacées par de la nouvelle, commandée d’un fabriquant de canots d’écorce de l’Outaouais. « Mais c’étaient de très petites sections. La plus grosse devait mesurer deux pouces par quatre. » Dans ces cas, la difficulté aconsisté à trouver une écorce de même couleur.

Les travaux, qui ont duré un mois, ont été terminés juste à temps pour célébrer début décembre les 90 ans de relations diplomatiques entre la France et le Canada et souligner, ce 4 janvier 2019, les 80 ans de l’ouverture de cette perle architecturale faisant la fierté de la capitale canadienne. Les curieux peuvent la visiter une fois l’an à l’occasion de l’événement Portes ouvertes Ottawa.

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Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

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Akio Kashiwagi, John W. Gates, Tommy Renzoni, Phil Ivey, Kerry Packer ou encore Archie Karas… Ces noms ne vous évoquent rien? Ces légendaires joueurs de baccara ont brillé par leurs performances exceptionnelles. Multipliant les gains au fil des années, ils nous ont permis d’identifier quelques approches qui fonctionnent. Aujourd’hui, découvrez certains de leurs secrets:

Apprenez à marcher avant de courir

Premièrement, vous devez absolument connaître les règles du jeu. Avant de maîtriser les stratégies et autres astuces professionnelles du baccara, il faut vous familiariser avec les bases du jeu. Même les plus grands joueurs de l’histoire ont d’abord dû apprendre à jouer. Puis c’est à force de pratique et de stratégie qu’ils ont réussi à se perfectionner pour atteindre les sommets.

Commencez donc par étudier le but principal du jeu et la valeur des cartes. Découvrez aussi les différents types de paris (banquier, joueur ou égalité), apprenez à fixer et gérer votre bankroll, essayez de contrer l’avantage de la maison, etc. Ensuite, vous pourrez passer à une véritable stratégie de baccara. Il en existe beaucoup, à choisir selon les situations et vos aptitudes: systèmes 1-3-2-4, d’Alembert, Fibonacci, Labouchere ou encore Martingale.

Et contrairement à ces légendes qui jouaient dans des établissements physiques, vous avez la possibilité de tester des parties gratuites en ligne. Pratique pour vous exercer sans miser!

Gérez votre budget

Deuxièmement, vous devez fixer un budget et le respecter. Il est essentiel de jouer de manière responsable, afin d’éviter les situations délicates voire désastreuses. Par exemple, vous pouvez allouer 100 $ à votre session de jeu. Et une fois cette somme épuisée, quittez la table. Cela vous permettra de réduire vos pertes et même de protéger vos gains.

Si les grands joueurs de l’histoire du baccara ont pu multiplier leurs gains de façon aussi spectaculaire, ce n’est pas uniquement grâce à la chance. Même si elle a joué en leur faveur, une bonne gestion de leur bankroll leur a aussi permis d’optimiser leurs gains au fil des parties.

Misez sur le banquier

Comme expliqué, il existe trois types de paris au baccara: le joueur, la banque et l’égalité. De manière générale, vous ne pouvez pas vous tromper en misant sur le banquier. En effet, ce pari est gagnant dans plus de 50 % des cas. Toutefois, notez que l’établissement prélève alors une commission sur ces gains, afin de conserver un certain avantage.

De plus, il est important de capitaliser sur les séries. De ce fait, si vous gagnez en pariant sur le banquier, continuez à miser dessus. Mais attention, restez prudent et modéré. Sachez vous arrêter avant que ce pari ne devienne perdant. Ici encore, c’est un conseil que les joueurs légendaires ont eux-mêmes mis en pratique pendant leurs heures de gloire.

Jouez de courtes sessions

Enfin, il est mieux de jouer pendant de courtes sessions. Afin d’être plus performant au baccara, vous devez gérer votre temps correctement. Cela réduira aussi le phénomène d’accoutumance qui peut devenir néfaste s’il n’est pas maîtrisé.

Dans la mesure du possible, planifiez donc un certain nombre de parties à chaque session de jeu. Une fois ce nombre atteint, quittez la table de baccara. Même si vous êtes en train de gagner, soyez raisonnable et arrêtez de jouer.

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Denis Coderre propose un marché public dans le Vieux-Montréal

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Denis Coderre promet d’implanter un marché public au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, s’il est porté au pouvoir en novembre prochain. Cette proposition fait suite à une rencontre qu’il a eue la semaine dernière avec les commerçants du marché Bonsecours. Mais ceux-ci préviennent qu’ils ne souhaitent pas des étals de fruits et de légumes semblables à ceux des marchés Jean-Talon et Atwater.

« Ville-Marie a besoin d’un marché et le marché Bonsecours pourrait être un marché public, au même titre qu’Atwater et Jean-Talon », a soutenu Denis Coderre jeudi matin, alors qu’il présentait les candidats de son équipe dans les arrondissements de Rosemont–La Petite-Patrie et d’Outremont. Selon le candidat, ce projet permettrait de faire du marché Bonsecours un lieu de destination pour les touristes, mais aussi pour les Montréalais. Il a indiqué avoir rencontré l’ensemble des commerçants à ce sujet la semaine dernière.

Denis Coderre a précisé qu’il habitait non loin du marché Bonsecours et qu’il pourrait aller chercher ses fruits et légumes à pied. Au passage, il a affirmé que le bâtiment patrimonial était dans un état « pitoyable » et qu’il faudrait y voir.

Jointe par Le Devoir, Anne de Shalla, propriétaire de la boutique Signatures Québécoises du marché Bonsecours, confirme que les commerçants ont rencontré M. Coderre pour lui présenter leur vision d’avenir. Mais dans le plan d’affaire présenté au candidat à la mairie, il n’était pas envisagé que le marché Bonsecours devienne un marché de fruits et légumes uniquement, a-t-elle expliqué. Les commerçants souhaitent simplement que le marché Bonsecours soit doté de la même structure administrative que les marchés Atwater et Jean-Talon, a-t-elle indiqué.

« On voudrait gérer le marché Bonsecours nous-mêmes. On aimerait prendre la relève des fonctionnaires », a-t-elle dit en évoquant des lacunes telles que l’entretien des lieux et les heures d’ouverture jugées inadéquates par les commerçants. À l’heure actuelle, le marché Bonsecours abrite des boutiques de mode, d’artisanat et de bijoux.

« Notre vision, c’est de rendre le marché Bonsecours comme un marché public avec les mêmes droits que le marché Atwater ou le marché Jean-Talon », précise-t-elle. « On voudrait continuer avec les produits qu’on a déjà et ajouter des produits du terroir, mais on ne veut aucunement ressembler au marché Jean-Talon ou au marché Atwater pour ce qui est du contenu. »

Le marché Bonsecours, qui accueillait 15 commerces avant la pandémie, n’en compte plus que huit. Comme des espaces sont demeurés vacants, Mme de Shalla évoque la possibilité d’ajouter des boulangeries, charcuteries, des comptoirs de plats à emporter, des pop-up shops, ainsi que des boutiques proposant des produits du terroir. « On ne va pas se mettre à vendre des salades sur le parvis Bonsecours. Ce n’est pas ça l’objectif. »

En après-midi, Ensemble Montréal a soutenu que le projet de transformation du marché Bonsecours serait précisé à automne. « Quoi qu’il en soit, M. Coderre, qui a rencontré les marchands du marché Bonsecours, souhaite bien sûr répondre aux besoins exprimés par les commerçants », a indiqué Elizabeth Lemay, attachée de presse chez Ensemble Montréal.

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Nous sommes de retour»: les festivals d’été reprennent à Montréal

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Dans le quartier des spectacles, des tests de son étaient en cours vendredi soir sur la scène d’une comédie musicale — au deuxième jour du festival Juste pour rire. Les billets pour de nombreux spectacles en plein air gratuits du festival — limités par la réglementation COVID-19 — avaient trouvé preneurs.

Deux coins de rue plus loin, une centaine de personnes assistaient à une prestation acoustique du Isaac Neto Trio – dans le cadre du dernier week-end du Festival international Nuits d’Afrique, une célébration de la musique du continent africain et de la diaspora africaine.

Alors que la capacité des sites est limitée en raison de la pandémie de COVID-19, les organisateurs du festival se disent heureux d’être de retour, mais attendent avec impatience l’année prochaine en espérant que les restrictions aux frontières et les limites de capacité n’affecteront pas leurs plans.

Charles Décarie, le président-directeur général du Groupe Juste pour rire, a déclaré qu’il s’agissait d’une «année de transition» et que son équipe a conçu un festival en naviguant à travers les contraintes imposées par la Santé publique.

Lorsque la planification a commencé en février et mars, les organisateurs ont planché sur une multitude de scénarios avec différentes tailles de foule, allant de l’absence de spectateurs à la moitié de la capacité habituelle, a déclaré M. Décarie.

«Vous devez construire des scénarios, a-t-il expliqué. Vous devez planifier un peu plus que d’habitude parce que vous devez avoir des alternatives.»

Comme par le passé, les festivals incluent à la fois des spectacles en salle payants et des représentations en plein air gratuites. À l’extérieur, il y aura moins de scènes et des foules plus petites que dans les dernières années, a précisé M. Décarie. Les spectacles en salle fonctionneront à 30 % de leur capacité, tandis que les spectacles à l’extérieur auront environ 10 à 20 % de du nombre de spectateurs d’avant la pandémie.

«Normalement, nous accueillons environ un million de personnes pendant les festivals sur 15 jours, et cette année, nous serions heureux si 200 000 personnes nous rendent visite au cours des deux prochaines semaines», a indiqué M. Décarie.

Au Québec, les événements extérieurs ont une capacité maximale de 5000 personnes, qui doivent être divisées en sections distinctes de 500 personnes. Les événements en salle sont limités à 3500 spectateurs, qui doivent s’asseoir en sections de 250 personnes, avec des entrées et des toilettes séparées pour chaque section.

En raison des restrictions frontalières, que M. Décarie qualifie de «préoccupation majeure», certaines prestations sont filmées à New York et à Los Angeles et seront diffusées en ligne.

«C’est ainsi que nous avons pu joindre des talents internationaux, a-t-il déclaré. Nous avons décidé de changer notre façon de procéder, et nous sommes allés vers eux.»

Les spectacles en personne mettront pour leur part en vedette des artistes locaux, a-t-il déclaré.

D’autres festivals montréalais affirment également qu’ils prévoient de contourner les restrictions frontalières en se concentrant sur les artistes locaux.

Le Festival international Nuits d’Afrique présente des artistes locaux et des prestations enregistrées des années précédentes, a mentionné vendredi la directrice générale et co-fondatrice du festival, Suzanne Rousseau.

«Les premières nuits, en particulier, étaient incroyables», a-t-elle déclaré à propos du festival, qui a débuté le 6 juillet et se poursuit jusqu’à dimanche. Les artistes disaient: «C’est mon premier spectacle devant public depuis un an et demi».»

Le volet extérieur du festival consiste en deux petites scènes de style «cabaret», a commenté Mme Rousseau. Au lieu d’une scène principale, un spectacle son et lumière est projeté sur un bâtiment. Il présente des prestations filmées qui portent sur les 35 ans d’histoire du festival.

«Ce qui est important, c’est que les festivaliers puissent venir voir des spectacles en personne, a-t-elle déclaré. Et d’avoir des prestations en ligne pour les gens qui ne peuvent pas se rendre à Montréal ou qui ne peuvent pas voyager.»

Mme Rousseau a affirmé qu’elle espère conserver certains des volets en ligne dans les années à venir, mais qu’elle souhaite également organiser un festival plus important l’année prochaine.

«On est vraiment content d’avoir fait un festival cette année, ça nous prépare pour l’année prochaine, a-t-elle déclaré. Cela nous donne l’ambition d’être prêts à recevoir plus de monde, plus de performances et une expérience complète.»

Certains des grands festivals d’été de Montréal, dont le Festival international de Jazz de Montréal, ont été repoussés au mois de septembre. Mme Rousseau a toutefois soutenu qu’elle n’avait jamais envisagé de retarder l’édition de cette année du festival Nuits d’Afrique.

«C’est vraiment important d’être là pendant l’été. Il n’y avait aucun doute que nous allions le faire», a-t-elle déclaré.

Francis Bouchard, un porte-parole de Tourisme Montréal, un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du secteur touristique de la ville, a indiqué qu’avec les événements reportés, la période des festivals durera jusqu’en octobre de cette année. Il est encourageant, a-t-il dit, de constater que des festivals et des événements qui ont été reportés ou annulés l’année dernière soient de retour cet été et cet automne.

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