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Archives de la Ville de Montréal: le grand dérangement

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Déménager n’est jamais une mince affaire, mais quand il s’agit de documents précieux dont certains datent du XVIIe siècle, l’opération peut s’avérer délicate. Pour la première fois en cent ans, les Archives de Montréal sortent des chambres fortes de l’hôtel de ville pour un séjour de trois ans dans un immeuble de Rosemont–La Petite-Patrie. C’est que la maison des citoyens doit faire l’objet d’importantes rénovations à compter du printemps et tous ses occupants doivent vider les lieux, le temps du chantier.

La première phase du déménagement des Archives a eu lieu avant les Fêtes. Quelque 11 000 boîtes de documents provenant de la collection ont été transportées dans les nouveaux locaux situés au 4e étage du 5800, rue Saint-Denis. La deuxième phase de l’opération se déroulera autour du 28 janvier.

Au milieu des rangées de boîtes de documents qui montent jusqu’au plafond, Mario Robert, chef de division et responsable des Archives de Montréal, fait découvrir quelques-uns des trésors de la collection. Des fiches provenant de la Cour municipale de 1900 à 1950 rappellent des délits plus fréquents à l’époque, comme d’avoir tenu une « maison de désordre », de s’y être trouvé ou d’avoir négligé de pourvoir à sa famille. Plus loin, on retrouve des registres divers, des rôles fonciers, des plans et des milliers de photos, dont celle de William Notman du conseil municipal de 1885 avec le maire Honoré Beaugrand.

D’ici la fin de janvier, d’autres documents, comme les procès-verbaux depuis 1833 et les rôles d’évaluation depuis 1847, seront à leur tour transportés dans les locaux temporaires.

Cet important branle-bas est devenu nécessaire, car l’hôtel de ville de la rue Notre-Dame se transformera en chantier pendant trois ans. La plupart des occupants déménageront dans l’immeuble voisin, soit l’édifice Lucien-Saulnier. C’est d’ailleurs là que se tiendront aussi les assemblées du conseil municipal au cours des prochaines années.

« L’édifice Lucien-Saulnier n’était pas en mesure d’accueillir plus de quatre kilomètres d’archives », explique Mario Robert. D’autant, dit-il, que ces documents parfois fragiles doivent être conservés dans des conditions particulières. À la recherche de locaux adéquats pour cette précieuse collection, la Ville a arrêté son choix sur le 5800, rue Saint-Denis, qui a auparavant accueilli des manufactures de vêtements.

Documents précieux

Les Archives de Montréal comportent l’équivalent de 4,6 km de documents, alors que les locaux temporaires ne peuvent en accueillir que 3,8 km. Il a fallu à l’équipe de Mario Robert rationaliser le classement des documents pour pouvoir tous les caser, mais rien n’a été sacrifié, assure le responsable des Archives.

Toutes les boîtes ont été étiquetées consciencieusement par les sept employés des Archives afin de ne pas en perdre leur trace dans l’opération. « On a collé au moins 12 000 à 15 000 étiquettes », dit M. Robert. Jusqu’à maintenant, une trentaine de voyages en camion ont été nécessaires pour transporter la précieuse cargaison.

Mario Robert a tout de même pris quelques précautions pour les éléments les plus importants de la collection : « Avant de partir de l’hôtel de ville, j’ai pris des photos de certains items majeurs. Et quand on est arrivés ici, je suis allé les voir pour m’assurer qu’ils étaient à la bonne place. »

Il cite l’acte de 1659 dans lequel Jeanne Mance reçoit une donation de Mme de Bullion pour sauvegarder l’Hôtel-Dieu, considéré comme l’acte de fondation des Hospitalières, et celui datant de 1668 dans lequel Paul de Chomedey de Maisonneuve, alors gouverneur de Lisle de Montréal, cède ses derniers droits aux Sulpiciens.

L’incendie de 1922

La première chambre forte des Archives a été construite en 1919 dans le sous-sol de l’hôtel de ville. Lorsqu’un incendie a ravagé l’hôtel de ville dans la nuit du 3 au 4 mars 1922, seuls les murs de l’immeuble et les archives ont subsisté.

Une seconde chambre forte a été construite en 1952. Au fil des décennies, quelques améliorations ont été faites. Des systèmes de climatisation ont été installés dans les années 1980 et les années 2000, mais les travaux de restauration qui seront bientôt entrepris à l’hôtel de ville permettront de remédier à des problèmes de vétusté.

« À l’heure actuelle, c’est un “raboutage” de systèmes de climatiseurs. Après les travaux, on aura un système unifié et on va pouvoir contrôler l’humidité, ce qui n’est pas le cas en ce moment », indique M. Robert.

Bien que les documents anciens supportent mal les écarts d’humidité, Mario Robert soutient que les archives n’ont pas trop souffert. « La qualité du papier était meilleure à cette époque-là », fait-il remarquer.

Retour en 2022

La rénovation de l’hôtel de ville vise à mettre aux normes l’immeuble patrimonial. Le projet d’envergure prévoit le remplacement des systèmes électriques et mécaniques et celui des équipements de plomberie. Les autres travaux comprennent l’amélioration des gicleurs et des ascenseurs, l’imperméabilisation des fondations et le désamiantage du bâtiment.

D’abord estimée à 22,5 millions, la facture de ce chantier pourrait grimper jusqu’à 140 millions, selon les évaluations faites en mai dernier.

Les occupants de l’hôtel de ville devraient pouvoir réintégrer les lieux en 2022. D’ici là, les citoyens et chercheurs pourront consulter les archives de la Ville sur rendez-vous au 5800, rue Saint-Denis.

Au Service des archives depuis 1991, Mario Robert ne retournera plus travailler à l’hôtel de ville, car il compte prendre sa retraite dans les prochaines années.

« J’ai des livres à écrire et des recherches historiques à faire », explique en riant cet archiviste et historien de formation.

Le fonds Jean Drapeau bientôt accessible

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Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

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Akio Kashiwagi, John W. Gates, Tommy Renzoni, Phil Ivey, Kerry Packer ou encore Archie Karas… Ces noms ne vous évoquent rien? Ces légendaires joueurs de baccara ont brillé par leurs performances exceptionnelles. Multipliant les gains au fil des années, ils nous ont permis d’identifier quelques approches qui fonctionnent. Aujourd’hui, découvrez certains de leurs secrets:

Apprenez à marcher avant de courir

Premièrement, vous devez absolument connaître les règles du jeu. Avant de maîtriser les stratégies et autres astuces professionnelles du baccara, il faut vous familiariser avec les bases du jeu. Même les plus grands joueurs de l’histoire ont d’abord dû apprendre à jouer. Puis c’est à force de pratique et de stratégie qu’ils ont réussi à se perfectionner pour atteindre les sommets.

Commencez donc par étudier le but principal du jeu et la valeur des cartes. Découvrez aussi les différents types de paris (banquier, joueur ou égalité), apprenez à fixer et gérer votre bankroll, essayez de contrer l’avantage de la maison, etc. Ensuite, vous pourrez passer à une véritable stratégie de baccara. Il en existe beaucoup, à choisir selon les situations et vos aptitudes: systèmes 1-3-2-4, d’Alembert, Fibonacci, Labouchere ou encore Martingale.

Et contrairement à ces légendes qui jouaient dans des établissements physiques, vous avez la possibilité de tester des parties gratuites en ligne. Pratique pour vous exercer sans miser!

Gérez votre budget

Deuxièmement, vous devez fixer un budget et le respecter. Il est essentiel de jouer de manière responsable, afin d’éviter les situations délicates voire désastreuses. Par exemple, vous pouvez allouer 100 $ à votre session de jeu. Et une fois cette somme épuisée, quittez la table. Cela vous permettra de réduire vos pertes et même de protéger vos gains.

Si les grands joueurs de l’histoire du baccara ont pu multiplier leurs gains de façon aussi spectaculaire, ce n’est pas uniquement grâce à la chance. Même si elle a joué en leur faveur, une bonne gestion de leur bankroll leur a aussi permis d’optimiser leurs gains au fil des parties.

Misez sur le banquier

Comme expliqué, il existe trois types de paris au baccara: le joueur, la banque et l’égalité. De manière générale, vous ne pouvez pas vous tromper en misant sur le banquier. En effet, ce pari est gagnant dans plus de 50 % des cas. Toutefois, notez que l’établissement prélève alors une commission sur ces gains, afin de conserver un certain avantage.

De plus, il est important de capitaliser sur les séries. De ce fait, si vous gagnez en pariant sur le banquier, continuez à miser dessus. Mais attention, restez prudent et modéré. Sachez vous arrêter avant que ce pari ne devienne perdant. Ici encore, c’est un conseil que les joueurs légendaires ont eux-mêmes mis en pratique pendant leurs heures de gloire.

Jouez de courtes sessions

Enfin, il est mieux de jouer pendant de courtes sessions. Afin d’être plus performant au baccara, vous devez gérer votre temps correctement. Cela réduira aussi le phénomène d’accoutumance qui peut devenir néfaste s’il n’est pas maîtrisé.

Dans la mesure du possible, planifiez donc un certain nombre de parties à chaque session de jeu. Une fois ce nombre atteint, quittez la table de baccara. Même si vous êtes en train de gagner, soyez raisonnable et arrêtez de jouer.

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Denis Coderre propose un marché public dans le Vieux-Montréal

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Denis Coderre promet d’implanter un marché public au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, s’il est porté au pouvoir en novembre prochain. Cette proposition fait suite à une rencontre qu’il a eue la semaine dernière avec les commerçants du marché Bonsecours. Mais ceux-ci préviennent qu’ils ne souhaitent pas des étals de fruits et de légumes semblables à ceux des marchés Jean-Talon et Atwater.

« Ville-Marie a besoin d’un marché et le marché Bonsecours pourrait être un marché public, au même titre qu’Atwater et Jean-Talon », a soutenu Denis Coderre jeudi matin, alors qu’il présentait les candidats de son équipe dans les arrondissements de Rosemont–La Petite-Patrie et d’Outremont. Selon le candidat, ce projet permettrait de faire du marché Bonsecours un lieu de destination pour les touristes, mais aussi pour les Montréalais. Il a indiqué avoir rencontré l’ensemble des commerçants à ce sujet la semaine dernière.

Denis Coderre a précisé qu’il habitait non loin du marché Bonsecours et qu’il pourrait aller chercher ses fruits et légumes à pied. Au passage, il a affirmé que le bâtiment patrimonial était dans un état « pitoyable » et qu’il faudrait y voir.

Jointe par Le Devoir, Anne de Shalla, propriétaire de la boutique Signatures Québécoises du marché Bonsecours, confirme que les commerçants ont rencontré M. Coderre pour lui présenter leur vision d’avenir. Mais dans le plan d’affaire présenté au candidat à la mairie, il n’était pas envisagé que le marché Bonsecours devienne un marché de fruits et légumes uniquement, a-t-elle expliqué. Les commerçants souhaitent simplement que le marché Bonsecours soit doté de la même structure administrative que les marchés Atwater et Jean-Talon, a-t-elle indiqué.

« On voudrait gérer le marché Bonsecours nous-mêmes. On aimerait prendre la relève des fonctionnaires », a-t-elle dit en évoquant des lacunes telles que l’entretien des lieux et les heures d’ouverture jugées inadéquates par les commerçants. À l’heure actuelle, le marché Bonsecours abrite des boutiques de mode, d’artisanat et de bijoux.

« Notre vision, c’est de rendre le marché Bonsecours comme un marché public avec les mêmes droits que le marché Atwater ou le marché Jean-Talon », précise-t-elle. « On voudrait continuer avec les produits qu’on a déjà et ajouter des produits du terroir, mais on ne veut aucunement ressembler au marché Jean-Talon ou au marché Atwater pour ce qui est du contenu. »

Le marché Bonsecours, qui accueillait 15 commerces avant la pandémie, n’en compte plus que huit. Comme des espaces sont demeurés vacants, Mme de Shalla évoque la possibilité d’ajouter des boulangeries, charcuteries, des comptoirs de plats à emporter, des pop-up shops, ainsi que des boutiques proposant des produits du terroir. « On ne va pas se mettre à vendre des salades sur le parvis Bonsecours. Ce n’est pas ça l’objectif. »

En après-midi, Ensemble Montréal a soutenu que le projet de transformation du marché Bonsecours serait précisé à automne. « Quoi qu’il en soit, M. Coderre, qui a rencontré les marchands du marché Bonsecours, souhaite bien sûr répondre aux besoins exprimés par les commerçants », a indiqué Elizabeth Lemay, attachée de presse chez Ensemble Montréal.

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Nous sommes de retour»: les festivals d’été reprennent à Montréal

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Dans le quartier des spectacles, des tests de son étaient en cours vendredi soir sur la scène d’une comédie musicale — au deuxième jour du festival Juste pour rire. Les billets pour de nombreux spectacles en plein air gratuits du festival — limités par la réglementation COVID-19 — avaient trouvé preneurs.

Deux coins de rue plus loin, une centaine de personnes assistaient à une prestation acoustique du Isaac Neto Trio – dans le cadre du dernier week-end du Festival international Nuits d’Afrique, une célébration de la musique du continent africain et de la diaspora africaine.

Alors que la capacité des sites est limitée en raison de la pandémie de COVID-19, les organisateurs du festival se disent heureux d’être de retour, mais attendent avec impatience l’année prochaine en espérant que les restrictions aux frontières et les limites de capacité n’affecteront pas leurs plans.

Charles Décarie, le président-directeur général du Groupe Juste pour rire, a déclaré qu’il s’agissait d’une «année de transition» et que son équipe a conçu un festival en naviguant à travers les contraintes imposées par la Santé publique.

Lorsque la planification a commencé en février et mars, les organisateurs ont planché sur une multitude de scénarios avec différentes tailles de foule, allant de l’absence de spectateurs à la moitié de la capacité habituelle, a déclaré M. Décarie.

«Vous devez construire des scénarios, a-t-il expliqué. Vous devez planifier un peu plus que d’habitude parce que vous devez avoir des alternatives.»

Comme par le passé, les festivals incluent à la fois des spectacles en salle payants et des représentations en plein air gratuites. À l’extérieur, il y aura moins de scènes et des foules plus petites que dans les dernières années, a précisé M. Décarie. Les spectacles en salle fonctionneront à 30 % de leur capacité, tandis que les spectacles à l’extérieur auront environ 10 à 20 % de du nombre de spectateurs d’avant la pandémie.

«Normalement, nous accueillons environ un million de personnes pendant les festivals sur 15 jours, et cette année, nous serions heureux si 200 000 personnes nous rendent visite au cours des deux prochaines semaines», a indiqué M. Décarie.

Au Québec, les événements extérieurs ont une capacité maximale de 5000 personnes, qui doivent être divisées en sections distinctes de 500 personnes. Les événements en salle sont limités à 3500 spectateurs, qui doivent s’asseoir en sections de 250 personnes, avec des entrées et des toilettes séparées pour chaque section.

En raison des restrictions frontalières, que M. Décarie qualifie de «préoccupation majeure», certaines prestations sont filmées à New York et à Los Angeles et seront diffusées en ligne.

«C’est ainsi que nous avons pu joindre des talents internationaux, a-t-il déclaré. Nous avons décidé de changer notre façon de procéder, et nous sommes allés vers eux.»

Les spectacles en personne mettront pour leur part en vedette des artistes locaux, a-t-il déclaré.

D’autres festivals montréalais affirment également qu’ils prévoient de contourner les restrictions frontalières en se concentrant sur les artistes locaux.

Le Festival international Nuits d’Afrique présente des artistes locaux et des prestations enregistrées des années précédentes, a mentionné vendredi la directrice générale et co-fondatrice du festival, Suzanne Rousseau.

«Les premières nuits, en particulier, étaient incroyables», a-t-elle déclaré à propos du festival, qui a débuté le 6 juillet et se poursuit jusqu’à dimanche. Les artistes disaient: «C’est mon premier spectacle devant public depuis un an et demi».»

Le volet extérieur du festival consiste en deux petites scènes de style «cabaret», a commenté Mme Rousseau. Au lieu d’une scène principale, un spectacle son et lumière est projeté sur un bâtiment. Il présente des prestations filmées qui portent sur les 35 ans d’histoire du festival.

«Ce qui est important, c’est que les festivaliers puissent venir voir des spectacles en personne, a-t-elle déclaré. Et d’avoir des prestations en ligne pour les gens qui ne peuvent pas se rendre à Montréal ou qui ne peuvent pas voyager.»

Mme Rousseau a affirmé qu’elle espère conserver certains des volets en ligne dans les années à venir, mais qu’elle souhaite également organiser un festival plus important l’année prochaine.

«On est vraiment content d’avoir fait un festival cette année, ça nous prépare pour l’année prochaine, a-t-elle déclaré. Cela nous donne l’ambition d’être prêts à recevoir plus de monde, plus de performances et une expérience complète.»

Certains des grands festivals d’été de Montréal, dont le Festival international de Jazz de Montréal, ont été repoussés au mois de septembre. Mme Rousseau a toutefois soutenu qu’elle n’avait jamais envisagé de retarder l’édition de cette année du festival Nuits d’Afrique.

«C’est vraiment important d’être là pendant l’été. Il n’y avait aucun doute que nous allions le faire», a-t-elle déclaré.

Francis Bouchard, un porte-parole de Tourisme Montréal, un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du secteur touristique de la ville, a indiqué qu’avec les événements reportés, la période des festivals durera jusqu’en octobre de cette année. Il est encourageant, a-t-il dit, de constater que des festivals et des événements qui ont été reportés ou annulés l’année dernière soient de retour cet été et cet automne.

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