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Statistique Canada esquisse un portrait de la consommation de cannabis

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Trois mois après la légalisation du cannabis, Statistique Canada dresse un premier portrait du nouveau marché récréatif. Selon ce bilan, près de la moitié des consommateurs avouent avoir eu recours au marché légal de marijuana, malgré le fait que le prix du cannabis légal y est en moyenne 30 % plus élevé que sur le marché noir.

Depuis un an, l’agence de la statistique invite les Canadiens à lui révéler leurs habitudes de consommation de cannabis. Les données du dernier trimestre de 2018, publiées mercredi, avaient ceci de particulier qu’elles englobaient les premiers résultats depuis que le gouvernement de Justin Trudeau a légalisé la drogue le 17 octobre.

L’enquête participative révèle que le prix moyen d’un gramme de cannabis séché a augmenté de 17 % au pays. Et ce, parce que le prix du marché légal est plus élevé que celui du marché illégal — 9,70 $ le gramme contre 6,50 $ le gramme respectivement. La moyenne du prix s’établit ainsi à 8,03 $ aujourd’hui. Elle oscillait autour de 6,83 $ lors des neuf premiers mois de 2018, lorsque le cannabis était entièrement illégal (un chiffre qui n’est pas loin du prix actuel sur le marché noir).

Statistique Canada rapporte en outre que 47,7 % des répondants volontaires à son sondage ont fait leurs achats auprès du marché légal de cannabis.

L’échantillon de l’enquête est cependant très petit : 385 répondants, qui ont volontairement choisi de partager leurs habitudes de consommation de cannabis. « Bien que ces observations aient fait l’objet de tests statistiques, les estimations présentent un biais statistique potentiel puisque l’échantillon est autosélectionné et que le nombre de réponses est limité, note Statistique Canada. Il convient donc de faire preuve de prudence lors de l’interprétation des données. »

Pas étonnant

Les experts en la matière ne sont pas surpris de ces premiers constats. Mais ils préviennent du même souffle que la différence de prix ne pourra pas trop durer si le gouvernement souhaite que le marché légal puisse réellement rivaliser avec le marché noir.

L’ancienne ministre libérale Anne McLellan explique ces statistiques par la pénurie de cannabis légal au Canada. Lorsque la situation se sera résorbée et que les tablettes des détaillants seront à nouveau remplies, les prix baisseront inévitablement, à son avis. Et les consommateurs se tourneront vers le marché légal, car ils pourront désormais y trouver les produits et les souches de cannabis qu’ils recherchent, estime celle qui avait présidé le comité consultatif chargé de conseiller le gouvernement Trudeau en vue de la légalisation.

« Nous nous attendions à cette situation. On savait qu’il faudrait un peu de temps pour que ce nouveau marché légal se normalise », explique Mme McLellan au Devoir. « Ma seule préoccupation, c’est de savoir à quelle vitesse le niveau de l’offre rejoindra celui de la demande. Si vous voulez que les prix soient raisonnables, si vous voulez que les consommateurs passent du marché illégal au marché légal, il faut que l’offre et la demande se rejoignent aussi rapidement que possible », fait valoir l’ancienne ministre, qui espère des améliorations en ce sens d’ici six mois.

Ce délai n’a toutefois rien d’étonnant, insiste-t-elle. Anne McLellan reproche cependant au passage au Québec et à l’Ontario d’avoir mal géré le dossier. En Ontario, Doug Ford a changé le modèle de vente après son élection pour le confier au privé, à deux mois de l’entrée en vigueur de la légalisation. « Au Québec, je crois que c’est une très mauvaise politique publique que de hausser l’âge légal de 18 à 21 ans », a-t-elle en outre dénoncé.

Au final, Anne McLellan estime que le prix du cannabis légal ne devrait pas surpasser celui du marché noir par plus de 1,50 $ le gramme s’il veut être compétitif. « Le prix ne sera jamais le même, convient-elle. Nous avons toujours su qu’il y aurait une prime à payer pour obtenir un produit dont la qualité a été testée. Mais ce doit être un écart raisonnable. »

L’expert en toxicomanie Jean-Sébastien Fallu convient lui aussi que ces premières données statistiques sont « tout à fait en phase avec ce qui était attendu ». Notamment parce que le marché noir offre des prix de gros pour les achats de grandes quantités, contrairement au marché légal où le prix demeure élevé peu importe la taille de la commande. Et c’est ce qui explique probablement également selon lui que 52,3 % des consommateurs ont continué d’acheter leur cannabis auprès du marché noir.

« Il était prévisible qu’à partir du moment où le marché légal n’offre pas de prix de gros, les plus gros consommateurs vont avoir tendance à rester dans le marché illégal parce que la différence de prix peut être assez importante », explique le professeur à l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal.

En effet, 42 % des répondants ont confié à Statistique Canada qu’ils avaient eu recours au marché illégal parce que le cannabis légal était trop cher. Et les consommateurs illégaux ont acheté en moyenne deux fois plus de cannabis par transaction — 17,3 grammes sur le marché noir contre 8,3 grammes lors de transactions légales.

« La différence de prix [entre les marchés légal et illégal] encourage un statu quo pour une bonne partie des consommateurs », note M. Fallu.

De nouveaux consommateurs

Statistique Canada révèle par ailleurs que 23 des 300 répondants qui ont accepté de détailler leur consommation dans une seconde série de questions ont ainsi acheté du cannabis pour la première fois entre le 17 octobre et le 31 décembre. Dix-sept d’entre eux ont rapporté qu’ils avaient commencé à en consommer parce que la drogue avait été légalisée.

Là encore, Jean-Sébastien Fallu ne s’en étonne pas. « On sait que souvent, après un changement plus libéral des lois en matière de cannabis, il y a une curiosité. Des gens vont essayer », relate-t-il, en rappelant que l’échantillon statistique est très restreint.

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Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

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Akio Kashiwagi, John W. Gates, Tommy Renzoni, Phil Ivey, Kerry Packer ou encore Archie Karas… Ces noms ne vous évoquent rien? Ces légendaires joueurs de baccara ont brillé par leurs performances exceptionnelles. Multipliant les gains au fil des années, ils nous ont permis d’identifier quelques approches qui fonctionnent. Aujourd’hui, découvrez certains de leurs secrets:

Apprenez à marcher avant de courir

Premièrement, vous devez absolument connaître les règles du jeu. Avant de maîtriser les stratégies et autres astuces professionnelles du baccara, il faut vous familiariser avec les bases du jeu. Même les plus grands joueurs de l’histoire ont d’abord dû apprendre à jouer. Puis c’est à force de pratique et de stratégie qu’ils ont réussi à se perfectionner pour atteindre les sommets.

Commencez donc par étudier le but principal du jeu et la valeur des cartes. Découvrez aussi les différents types de paris (banquier, joueur ou égalité), apprenez à fixer et gérer votre bankroll, essayez de contrer l’avantage de la maison, etc. Ensuite, vous pourrez passer à une véritable stratégie de baccara. Il en existe beaucoup, à choisir selon les situations et vos aptitudes: systèmes 1-3-2-4, d’Alembert, Fibonacci, Labouchere ou encore Martingale.

Et contrairement à ces légendes qui jouaient dans des établissements physiques, vous avez la possibilité de tester des parties gratuites en ligne. Pratique pour vous exercer sans miser!

Gérez votre budget

Deuxièmement, vous devez fixer un budget et le respecter. Il est essentiel de jouer de manière responsable, afin d’éviter les situations délicates voire désastreuses. Par exemple, vous pouvez allouer 100 $ à votre session de jeu. Et une fois cette somme épuisée, quittez la table. Cela vous permettra de réduire vos pertes et même de protéger vos gains.

Si les grands joueurs de l’histoire du baccara ont pu multiplier leurs gains de façon aussi spectaculaire, ce n’est pas uniquement grâce à la chance. Même si elle a joué en leur faveur, une bonne gestion de leur bankroll leur a aussi permis d’optimiser leurs gains au fil des parties.

Misez sur le banquier

Comme expliqué, il existe trois types de paris au baccara: le joueur, la banque et l’égalité. De manière générale, vous ne pouvez pas vous tromper en misant sur le banquier. En effet, ce pari est gagnant dans plus de 50 % des cas. Toutefois, notez que l’établissement prélève alors une commission sur ces gains, afin de conserver un certain avantage.

De plus, il est important de capitaliser sur les séries. De ce fait, si vous gagnez en pariant sur le banquier, continuez à miser dessus. Mais attention, restez prudent et modéré. Sachez vous arrêter avant que ce pari ne devienne perdant. Ici encore, c’est un conseil que les joueurs légendaires ont eux-mêmes mis en pratique pendant leurs heures de gloire.

Jouez de courtes sessions

Enfin, il est mieux de jouer pendant de courtes sessions. Afin d’être plus performant au baccara, vous devez gérer votre temps correctement. Cela réduira aussi le phénomène d’accoutumance qui peut devenir néfaste s’il n’est pas maîtrisé.

Dans la mesure du possible, planifiez donc un certain nombre de parties à chaque session de jeu. Une fois ce nombre atteint, quittez la table de baccara. Même si vous êtes en train de gagner, soyez raisonnable et arrêtez de jouer.

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Denis Coderre propose un marché public dans le Vieux-Montréal

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Denis Coderre promet d’implanter un marché public au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, s’il est porté au pouvoir en novembre prochain. Cette proposition fait suite à une rencontre qu’il a eue la semaine dernière avec les commerçants du marché Bonsecours. Mais ceux-ci préviennent qu’ils ne souhaitent pas des étals de fruits et de légumes semblables à ceux des marchés Jean-Talon et Atwater.

« Ville-Marie a besoin d’un marché et le marché Bonsecours pourrait être un marché public, au même titre qu’Atwater et Jean-Talon », a soutenu Denis Coderre jeudi matin, alors qu’il présentait les candidats de son équipe dans les arrondissements de Rosemont–La Petite-Patrie et d’Outremont. Selon le candidat, ce projet permettrait de faire du marché Bonsecours un lieu de destination pour les touristes, mais aussi pour les Montréalais. Il a indiqué avoir rencontré l’ensemble des commerçants à ce sujet la semaine dernière.

Denis Coderre a précisé qu’il habitait non loin du marché Bonsecours et qu’il pourrait aller chercher ses fruits et légumes à pied. Au passage, il a affirmé que le bâtiment patrimonial était dans un état « pitoyable » et qu’il faudrait y voir.

Jointe par Le Devoir, Anne de Shalla, propriétaire de la boutique Signatures Québécoises du marché Bonsecours, confirme que les commerçants ont rencontré M. Coderre pour lui présenter leur vision d’avenir. Mais dans le plan d’affaire présenté au candidat à la mairie, il n’était pas envisagé que le marché Bonsecours devienne un marché de fruits et légumes uniquement, a-t-elle expliqué. Les commerçants souhaitent simplement que le marché Bonsecours soit doté de la même structure administrative que les marchés Atwater et Jean-Talon, a-t-elle indiqué.

« On voudrait gérer le marché Bonsecours nous-mêmes. On aimerait prendre la relève des fonctionnaires », a-t-elle dit en évoquant des lacunes telles que l’entretien des lieux et les heures d’ouverture jugées inadéquates par les commerçants. À l’heure actuelle, le marché Bonsecours abrite des boutiques de mode, d’artisanat et de bijoux.

« Notre vision, c’est de rendre le marché Bonsecours comme un marché public avec les mêmes droits que le marché Atwater ou le marché Jean-Talon », précise-t-elle. « On voudrait continuer avec les produits qu’on a déjà et ajouter des produits du terroir, mais on ne veut aucunement ressembler au marché Jean-Talon ou au marché Atwater pour ce qui est du contenu. »

Le marché Bonsecours, qui accueillait 15 commerces avant la pandémie, n’en compte plus que huit. Comme des espaces sont demeurés vacants, Mme de Shalla évoque la possibilité d’ajouter des boulangeries, charcuteries, des comptoirs de plats à emporter, des pop-up shops, ainsi que des boutiques proposant des produits du terroir. « On ne va pas se mettre à vendre des salades sur le parvis Bonsecours. Ce n’est pas ça l’objectif. »

En après-midi, Ensemble Montréal a soutenu que le projet de transformation du marché Bonsecours serait précisé à automne. « Quoi qu’il en soit, M. Coderre, qui a rencontré les marchands du marché Bonsecours, souhaite bien sûr répondre aux besoins exprimés par les commerçants », a indiqué Elizabeth Lemay, attachée de presse chez Ensemble Montréal.

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Nous sommes de retour»: les festivals d’été reprennent à Montréal

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Dans le quartier des spectacles, des tests de son étaient en cours vendredi soir sur la scène d’une comédie musicale — au deuxième jour du festival Juste pour rire. Les billets pour de nombreux spectacles en plein air gratuits du festival — limités par la réglementation COVID-19 — avaient trouvé preneurs.

Deux coins de rue plus loin, une centaine de personnes assistaient à une prestation acoustique du Isaac Neto Trio – dans le cadre du dernier week-end du Festival international Nuits d’Afrique, une célébration de la musique du continent africain et de la diaspora africaine.

Alors que la capacité des sites est limitée en raison de la pandémie de COVID-19, les organisateurs du festival se disent heureux d’être de retour, mais attendent avec impatience l’année prochaine en espérant que les restrictions aux frontières et les limites de capacité n’affecteront pas leurs plans.

Charles Décarie, le président-directeur général du Groupe Juste pour rire, a déclaré qu’il s’agissait d’une «année de transition» et que son équipe a conçu un festival en naviguant à travers les contraintes imposées par la Santé publique.

Lorsque la planification a commencé en février et mars, les organisateurs ont planché sur une multitude de scénarios avec différentes tailles de foule, allant de l’absence de spectateurs à la moitié de la capacité habituelle, a déclaré M. Décarie.

«Vous devez construire des scénarios, a-t-il expliqué. Vous devez planifier un peu plus que d’habitude parce que vous devez avoir des alternatives.»

Comme par le passé, les festivals incluent à la fois des spectacles en salle payants et des représentations en plein air gratuites. À l’extérieur, il y aura moins de scènes et des foules plus petites que dans les dernières années, a précisé M. Décarie. Les spectacles en salle fonctionneront à 30 % de leur capacité, tandis que les spectacles à l’extérieur auront environ 10 à 20 % de du nombre de spectateurs d’avant la pandémie.

«Normalement, nous accueillons environ un million de personnes pendant les festivals sur 15 jours, et cette année, nous serions heureux si 200 000 personnes nous rendent visite au cours des deux prochaines semaines», a indiqué M. Décarie.

Au Québec, les événements extérieurs ont une capacité maximale de 5000 personnes, qui doivent être divisées en sections distinctes de 500 personnes. Les événements en salle sont limités à 3500 spectateurs, qui doivent s’asseoir en sections de 250 personnes, avec des entrées et des toilettes séparées pour chaque section.

En raison des restrictions frontalières, que M. Décarie qualifie de «préoccupation majeure», certaines prestations sont filmées à New York et à Los Angeles et seront diffusées en ligne.

«C’est ainsi que nous avons pu joindre des talents internationaux, a-t-il déclaré. Nous avons décidé de changer notre façon de procéder, et nous sommes allés vers eux.»

Les spectacles en personne mettront pour leur part en vedette des artistes locaux, a-t-il déclaré.

D’autres festivals montréalais affirment également qu’ils prévoient de contourner les restrictions frontalières en se concentrant sur les artistes locaux.

Le Festival international Nuits d’Afrique présente des artistes locaux et des prestations enregistrées des années précédentes, a mentionné vendredi la directrice générale et co-fondatrice du festival, Suzanne Rousseau.

«Les premières nuits, en particulier, étaient incroyables», a-t-elle déclaré à propos du festival, qui a débuté le 6 juillet et se poursuit jusqu’à dimanche. Les artistes disaient: «C’est mon premier spectacle devant public depuis un an et demi».»

Le volet extérieur du festival consiste en deux petites scènes de style «cabaret», a commenté Mme Rousseau. Au lieu d’une scène principale, un spectacle son et lumière est projeté sur un bâtiment. Il présente des prestations filmées qui portent sur les 35 ans d’histoire du festival.

«Ce qui est important, c’est que les festivaliers puissent venir voir des spectacles en personne, a-t-elle déclaré. Et d’avoir des prestations en ligne pour les gens qui ne peuvent pas se rendre à Montréal ou qui ne peuvent pas voyager.»

Mme Rousseau a affirmé qu’elle espère conserver certains des volets en ligne dans les années à venir, mais qu’elle souhaite également organiser un festival plus important l’année prochaine.

«On est vraiment content d’avoir fait un festival cette année, ça nous prépare pour l’année prochaine, a-t-elle déclaré. Cela nous donne l’ambition d’être prêts à recevoir plus de monde, plus de performances et une expérience complète.»

Certains des grands festivals d’été de Montréal, dont le Festival international de Jazz de Montréal, ont été repoussés au mois de septembre. Mme Rousseau a toutefois soutenu qu’elle n’avait jamais envisagé de retarder l’édition de cette année du festival Nuits d’Afrique.

«C’est vraiment important d’être là pendant l’été. Il n’y avait aucun doute que nous allions le faire», a-t-elle déclaré.

Francis Bouchard, un porte-parole de Tourisme Montréal, un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du secteur touristique de la ville, a indiqué qu’avec les événements reportés, la période des festivals durera jusqu’en octobre de cette année. Il est encourageant, a-t-il dit, de constater que des festivals et des événements qui ont été reportés ou annulés l’année dernière soient de retour cet été et cet automne.

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