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Barahona, l’autre République dominicaine

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GUIDE DE VOYAGE – À quelques kilomètres de la frontière avec Haïti, le sud-ouest de ce pays des Grandes Antilles est une perle du tourisme vert. À explorer d’urgence.

Stupéfiant. Au pied de la forêt tropicale humide dont le manteau brumeux enveloppe les arbres, la mer des Caraïbes avale en gros rouleaux la plage de graviers ; ils frémissent dans le ressac fumant d’écume. Un panneau indique: «Paraiso». «Paradis», c’est le nom du village que lui donnèrent jadis les Haïtiens, dont le pays est distant d’à peine quelques kilomètres derrière la sierra de Bahoruco, soit la chaîne de la Selle du côté d’Haïti. Toutes les nuances de bleu du larimar sont dans ce rivage sauvage du sud-ouest de la République dominicaine. La pierre minérale endémique de la région semble avoir absorbé l’ensemble des couleurs des rivières qui dévalent jusqu’à l’océan les montagnes trouées de grottes et de cascades des provinces de Bahoruco et de Barahona. «Ce qui est bien, ici, c’est qu’on peut prendre un bain de mer et se dessaler dans la rivière», se réjouit Carlos, notre guide originaire de ce Sud-Ouest fier et si différent du tourisme balnéaire de Punta Cana.

Dans un style chaumière tropicale, la Casa Bonita compte notamment quatre suites au cœur de la jungle.
Dans un style chaumière tropicale, la Casa Bonita compte notamment quatre suites au cœur de la jungle. ERIC MARTIN/LE FIGARO MAGAZINE

» LIRE AUSSI – République dominicaine: Saint-Domingue en initié

Sept rivières prennent leur source dans la forêt de Cachote pour ravitailler les villes côtières en contrebas. Et «la plus courte rivière du monde – 500 mètres – se trouve à Los Patos», s’enorgueillit Carlos, qui nous précède sur le site. Une eau douce, fraîche et limpide jaillit des bois, forme un étonnant lagon devant les galets blancs et l’océan. Los Patos: un spot du week-end pour les familles dominicaines, aménagé avec tables et chaises en plastique coloré. Tout autour, des paillotes pleines de stickers à l’effigie du Christ et crachant du merengue proposent un «fast-food» local. On imagine les lieux festifs. Nous sommes venus un matin. Trop tôt: l’endroit était encore jonché de détritus. Difficile de comprendre que l’on puisse ainsi souiller une nature enchanteresse. Cela désole notre guide qui vient ici depuis vingt ans, faisant halte dès qu’il le peut dans un joyau de l’hôtellerie tropicale: la Casa Bonita.

«Juan Barahona gagna une bataille en obtenant des droits plus étendus pour les Indiens. Mais il perdit la guerre, puisque ce peuple a disparu»

Carlos, un guide

À 197 kilomètres de Saint-Domingue, c’est bien plus qu’une jolie maison: un écolodge de dix-huit chambres de luxe de 33 mètres carrés, membre des Small Luxury Hotels of the World. Refuge construit avec des matériaux locaux, pierre de corail, toit de chaume et de palmes, on dirait une farandole de nids d’oiseaux. La plupart des chambres dominent les cimes. Mais certaines sont de vraies cabanes de bois dans la jungle, rondes comme des troncs et dont les baies vitrées ouvrent sur la rivière. Une expérience inouïe de bain de forêt.

Nous avons roulé trois heures depuis la capitale pour atteindre cette adresse isolée en nous y croyant seuls. Mais c’était compter sans l’essaim d’instagrammeurs qui a surgi, fait des selfies dans la fabuleuse piscine à débordement qui se confond avec l’horizon, puis sur les coussins crème et vert comme la peau des mangues, du restaurant au toit de chaume ouvert sur trois côtés. L’essaim s’est dissipé comme il était venu.

Nous avons pris le temps, au contraire, d’apprécier la belle histoire de cette propriété familiale dominicaine, ancienne maison d’été des Schiffino métamorphosée en hôtel éthique et chic afin de promouvoir le tourisme dans la région. Un grand bol d’oxygène et de chlorophylle. Un voyage culinaire aussi, grâce à la curiosité du jeune chef argentin, Lucas Nunez (29 ans), qui propose une cuisine fusion à partir d’ingrédients du rivage et du jardin bio. Son ceviche de poulpe à la manière de son mentor, la superstar de la gastronomie péruvienne Gaston Acurio, accompagné de chips de bananes, est à tomber par terre.

Une chaumière face à la mer avec piscine sur le balcon.
Une chaumière face à la mer avec piscine sur le balcon. ERIC MARTIN/LE FIGARO MAGAZINE

Continent miniature

Magie du lever de soleil sur la jungle qui couvre la montagne. Plénitude de l’aube bruissant d’oiseaux. Au loin, le parc national culmine à 2 367 mètres. Tout autour s’étend une immense réserve de biosphère de l’Unesco, qui longe la côte depuis la ville portuaire de Santa Cruz de Barahona. Son nom vient de l’Espagnol Juan Barahona. Allié aux Indiens Taïnos qui peuplaient l’île d’Hispaniola à l’arrivée des conquistadors, il se rangea en 1496 derrière l’administrateur colonial Francisco Roldan qui s’était rebellé contre Bartolomé Colomb, le frère de Christophe, fondateur de la ville de Saint-Domingue. «Il gagna une bataille en obtenant des droits plus étendus pour les Indiens. Mais il perdit la guerre, puisque ce peuple a disparu», commente Carlos, notre guide. Ce n’est qu’en 1802 que Barahona sera officiellement fondée, par Toussaint Louverture, le général haïtien qui chassa de la région les Français.

«On voit beaucoup d’iguanes par ici, et aussi de sélénodontes, un animal endémique de notre île avec un long museau  »

Carlos

Le panneau «Paraiso» vante les bienfaits d’Éole: le premier parc de production d’énergie éolienne du pays, le Parque Los Cocos, se trouve à 23 kilomètres. C’est une véritable attraction sur la route en descendant vers la péninsule de Pedernales. Les immenses mâts de métal créent un contraste saisissant dans les plantations de canne à sucre, mais aussi la polémique auprès des amoureux des oiseaux. Ceux-là craignent pour les dizaines d’espèces endémiques parmi les trois cent dix connues dans l’île, le piculet des Antilles, l’hirondelle dorée, le merle de La Selle, le konichon dominicain, ou encore l’amazone d’Hispaniola, en danger.

Les promoteurs ont bien compris le potentiel touristique de la région. De vastes chantiers hôteliers s’étirent désormais sur le front de mer non loin de Casa Bonita. L’un, intitulé La Perla del Sur, occupera toute une partie du rivage. Mais celui-ci quand nous y sommes passés était envahi de sargasses. Le pays a pris à bras-le-corps la lutte contre cette algue rouge et nauséabonde qui menace les plages prisées des Antilles.

Le point d’orgue du paradis est de l’autre côté de la péninsule, à Cabo Rojo, par la route 44 que personne ici ne connaît sous ce nom. À travers la vitre défilent des maisons traditionnelles de lattes colorées, des pêcheurs au casier de langoustes, des vaches dans des pâturages surplombant la mer. Soudain, le chauffeur tourne à gauche. Il n’y a pas de panneau indiquant que se situe là la lagune d’Oviedo. Ce lac hypersalin est séparé de l’océan par une fine bande de sable large de 800 mètres. Sa boue soigne la peau. Elle est peuplée d’ibis, de cigognes, de spatules et de flamants roses. Mais l’air est chargé d’une méchante odeur de soufre. On remet le moteur. En quelques kilomètres les terres agricoles ont laissé place à la savane.

Le Rancho Tipico, dans la baie des aigles, Bahia de la Aguilas.
Le Rancho Tipico, dans la baie des aigles, Bahia de la Aguilas. Eric Martin / Le Figaro Magazine

Carlos s’émerveille des différents écosystèmes. «Ce pays est un continent en miniature!», s’enthousiasme-t-il comme s’il le découvrait pour la première fois. Aloès, cactus, acacias… Le paysage désormais évoque le Texas, l’Arizona. «On voit beaucoup d’iguanes par ici, et aussi de sélénodontes, un animal endémique de notre île avec un long museau», décrit-il. Le soleil darde ses rayons. «Je vous déconseille d’aller vous soulager ici, prévient Carlos. Sous le soleil, les fruits des cactus éclatent et j’ai déjà vu leurs piquants se planter comme des flèches dans la peau des fesses de malheureux touristes. Or ces flèches, une fois dedans, s’ouvrent comme des harpons. Les retirer est un vrai supplice.»

Merveille géologique

Bientôt, nous quittons la route. L’aventure prend la forme d’une mauvaise piste en latérite rouge et caillouteuse. Un aérodrome vide jouxte un petit port désert. Bienvenue à Cabo Rojo. Il n’y a rien. Pas un bruit. Un gros cargo rouillé est échoué dans l’eau figée. «On arrive bientôt, Cueva de las Aguilas est à moins de 10 kilomètres», rassure Carlos. Loin de tout, deux glamping ont élu domicile: Eco del Mar et le Rancho Tipico. Nous choisissons le second, plus camping que glamour mais à l’ambiance aussi plus sympathique. Et nous n’y dormons pas. Lénine, qui nous sert une exquise recette de poisson locale, explique que l’adresse existe depuis quinze ans, parce qu’il y a là «la plus belle plage du pays». Mais ce n’est pas celle qui nous émerveille, juste là, à nos pieds. Ce bout du monde connaît une autre fin.

À l’extrême sud-ouest de la péninsule de Pedernales, rattachée à Saint-Domingue il y a plusieurs millions d’années, il faut encore prendre un petit bateau à fonds plat pour découvrir une merveille géologique: la zone marine du parc national de Jaragua. L’eau d’ici à la couleur d’une émeraude aux reflets bleus. On y navigue entre des rochers déchiquetés inondés de lumière et tout hérissés de cactus. Leurs formes arrondies sont spectaculaires: le «carjouco» est immense et droit, l’«alpargata» évoque une espadrille, le «juaçaba» est celui dont le guide a dit de nous méfier. Le nom de cet éden est Bahia de las Aguilas, la baie des aigles où s’égayent pélicans, aigrettes et frégates. Derrière la forêt de roches, le temps suspend son vol quand le bateau nous laisse quelques heures tout seuls dans l’anse blanche et douce où vient mourir la mer.


Y ALLER

Air France opère un vol direct par semaine et deux vols hebdomadaires avec escale à Punta Cana à destination de Saint-Domingue, au départ de Paris. À partir de 550 € l’aller-retour en classe éco. Tél.: 36 54 et airfrance.fr

SEJOURNER

Une des suites en bordure de rivière dans la forêt de Casa Bonita, sur la route de Barahona à Bahoruco.
Une des suites en bordure de rivière dans la forêt de Casa Bonita, sur la route de Barahona à Bahoruco. ERIC MARTIN/LE FIGARO MAGAZINE

Entre Barahona et Bahoruco, Casa Bonita. À 30 min en voiture de l’aéroport international de Barahona, et à 40 min d’avion de Santo Domingo, un Small Luxury Hotel et spa pour amoureux de la nature, entre mer et rivière au milieu des montagnes couvertes de forêt. Dix-huit chambres et suites façon chaumières tropicales. Toutes comptent des balcons avec vue sur les arbres et l’océan, sans vis-à-vis. À partir de 189 € pour deux avec petit-déjeuner. Cinq suites dont l’une spectaculaire avec sa piscine sur son balcon face à la mer. Les quatre autres sont dans la forêt, avec douche extérieure et jacuzzi privé. À partir de 260 €. Tél.: +1 809 540 5908 et casabonitadr.com.

À Cueva de Las Aguilas, Rancho Tipico, un glamping rustique et simple avec resto de poissons et fruits de mers rapportés par les pêcheurs de Pedernales. Tentes pour 2 à 6 personnes. À partir de 74 € avec vue sur mer. Location du bateau avec chauffeur à partir de 61 € sur la base de 6 personnes. Tél.: +1 809 753 8058 et hotels-republique-dominicaine.com/ranch-1515-cueva-de-las-aguilas-pedernales

Eco del Mar, un glamping plus chic. À partir de 77 €. Tél.: +1 829 576 7740 et ecodelmar.com.do.

UTILE

Office de tourisme de la République dominicaine à Paris (tél.: 01 43 12 91 91 et godominicanrepublic.com). À noter: aux prix indiqués, il faut ajouter 28 % de taxes.

» Vous pouvez également suivre Le Figaro Voyages sur Facebook et Instagram.

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MAPEI Canada inaugure l’agrandissement de son usine à Laval, au Québec

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LAVAL, QC, le 15 sept. 2023 /CNW/ – MAPEI Inc., un renommé fabricant de produits pour l’industrie du bâtiment au Canada depuis 1978 faisant partie du Groupe MAPEI, a inauguré hier soir l’agrandissement de son installation phare à Laval, au Québec, lors d’une cérémonie qui célébrait l’ouverture officielle de la nouvelle usine de production de poudre et du nouvel entrepôt.

Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI, ainsi que Simona Giorgetta, actionnaire et membre du conseil d'administration. (Groupe CNW/MAPEI Inc.)
Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI, ainsi que Simona Giorgetta, actionnaire et membre du conseil d’administration. (Groupe CNW/MAPEI Inc.)

« Maintenant que les lignes de poudres et d’adjuvants sont opérationnelles, MAPEI Laval figure parmi les usines les plus grandes et les plus technologiquement avancées du réseau de MAPEI Amérique du Nord », dit Marco Roma, directeur général de MAPEI Canada. « Cette nouvelle installation nous permet de répondre aux besoins croissants du nord-est du Canada en matière de matériaux de construction, d’adjuvants pour béton et d’agents de mouture pour ciment », ajoute-t-il.

Entre autres, l’augmentation de la production à Laval créera un effet d’entraînement qui permettra une production plus équilibrée au Canada.

« En améliorant notre capacité à déplacer la production en conséquence pour une plus grande localisation entre nos usines du Québec, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique, nous pouvons réduire notre empreinte carbone partout au pays en effectuant des livraisons plus rapides sur des distances plus courtes lors du transport des fournitures vers les chantiers de construction », dit M. Roma.

Maximiser l’utilisation de matériaux locaux fait partie du pilier MAPEI qui vise à améliorer la durabilité dans le domaine de la construction. Cela fait partie de la philosophie qui a permis à MAPEI de participer à la construction et à la rénovation de certains des bâtiments et infrastructures les plus remarquables du Canada, allant du Centre aquatique Minoru à Richmond, en Colombie-Britannique, au Centre Avenir à Moncton, au Nouveau-Brunswick, en passant par la station Union à Toronto, en Ontario, pour n’en nommer que quelques-uns.

« Notre présence au Canada est née d’une occasion liée aux Jeux olympiques de Montréal qui ont eu lieu en 1976 », disent Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI. « Nous avons été appelés à fournir des produits pour l’installation des pistes d’athlétisme olympiques. Nous avons eu un effet tellement positif au pays que nous avons décidé en 1978 d’investir et d’ouvrir, ici même à Laval, notre première usine hors de l’Italie. Ce fut le début de notre stratégie d’internationalisation qui définit toujours l’entreprise aujourd’hui. Au cours des cinq dernières années, nous avons décidé de diversifier les marchés en ajoutant des lignes de produits qui n’étaient pas offertes au Canada à l’origine, mais qui étaient déjà bien étendues et rigoureusement testées par MAPEI en Europe, comme les additifs et les revêtements de sol industriels. Voilà ce qui a mené au projet d’agrandissement. »

« MAPEI Amérique du Nord avance à grands pas », dit Luigi Di Geso, président-directeur général de MAPEI Amérique du Nord. « Cet ajout répondra à une croissance qui a commencé ici même, dans une installation alors modeste qu’on ne reconnaitrait pas aujourd’hui, et qui était pourtant à la fine pointe de la technologie il y a quelques années seulement. »

La nouvelle ligne de production de poudre produira annuellement 30 000 tonnes par quart de travail. La nouvelle ligne de production d’adjuvants produira annuellement 7 000 tonnes par quart de travail. L’agrandissement de l’espace d’entreposage pourra dorénavant rendre plus efficace la distribution de toute cette production : 4 715 m² (50,750 pi²) supplémentaires s’ajoutent aux 11 892 m² (128,000 pi²) que constituent l’usine de polymères, le centre d’excellence en R. et D. pour la construction en béton et le siège social canadien, qui sont également sur place.

« Avec 11 lignes de produits couvrant tous les aspects de la construction, MAPEI Inc. est prête à atteindre des sommets encore plus élevés que jamais en aidant à construire le Canada de manière plus durable, et ce pour de nombreuses années à venir », ajoute M. Di Geso.

Parmi les invités d’honneur qui ont pris la parole au cours de la cérémonie, Son Excellence Andrea Ferrari, Ambassadeur d’Italie au Canada, et l’Honorable Tony Loffreda, Sénateur au Sénat du Canada.

L’année 2023 marque le 45e anniversaire de MAPEI au Canada, sous le nom de MAPEI Inc. En plus de l’emplacement à Laval, MAPEI Canada possède des installations de production à Maskinongé, au Québec, à Brampton, en Ontario, et à Delta, en Colombie-Britannique, ainsi qu’un centre de distribution à Calgary, en Alberta. Elle peut également se vanter de ses Services techniques, présents partout au pays et sans égal dans l’industrie. Pour plus de renseignements, consultez le www.mapei.ca.Au sujet de MAPEI

Fondée en 1937 à Milan, MAPEI est aujourd’hui l’un des principaux fabricants mondiaux de produits chimiques pour l’industrie du bâtiment et a contribué à la construction de certaines des créations architecturales et d’infrastructure les plus importantes au monde. Avec 102 filiales exerçant leurs activités dans 57 pays et 90 usines de fabrication dans 35 nations, le Groupe MAPEI emploie environ 11 900 personnes dans le monde. Les fondements du succès de l’entreprise sont la spécialisation, l’internationalisation, la recherche et le développement, ainsi que la durabilité.

MAPEI Amérique du Nord, dont le siège social est situé à Deerfield Beach, en Floride, compte les filiales MAPEI Corporation (pour les États-Unis), MAPEI Inc. (pour le Canada) et MAPEI Caribe (pour Porto Rico et les autres îles des Caraïbes). Celles-ci regroupent 28 installations où travaillent environ 1 800 employés. Les installations MAPEI sont certifiées selon les normes de qualité ISO 9001 et ISO 14001. MAPEI est un fabricant soucieux de l’environnement qui réinvestit 5 % de ses recettes dans la R. et D., et qui offre également de la formation aux architectes, aux entrepreneurs, aux installateurs et aux distributeurs par l’entremise de l’Institut technique MAPEI. Pour en savoir plus sur MAPEI, consultez le www.mapei.com ou composez le 1 800 42-MAPEI (1 800 426-2734).

SOURCE MAPEI Inc.

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Le Gala Elles reconnaissent célèbre les femmes remarquables de l’industrie de la construction

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MONTRÉAL, le 18 sept. 2023 /CNW/ – Les Elles de la construction sont fières d’annoncer le retour du Gala Elles reconnaissent, un événement destiné à célébrer les femmes exceptionnelles qui ont joué un rôle primordial dans l’industrie de la construction. Cette soirée promet glamour, réseautage et reconnaissance, offrant aux invitées une opportunité unique d’assister à une cérémonie de remise de prix spéciale mettant en valeur les femmes les plus remarquables et influentes du secteur. Le Gala aura le privilège de compter sur deux présidentes d’honneur : Lyne Laperrière, Directrice des ressources humaines chez Demospec Groupe, et Danièle Henkel, Présidente de Henkel Média et Fondatrice des entreprises Danièle Henkel Inc.

Le Gala Elles reconnaissent se tiendra le jeudi 5 octobre 2023, de 17h30 à 21h, au Théâtre Paradoxe situé au 5959 Boulevard Monk, Montréal, QC, H4E 3H5. Des discours mettront en lumière le parcours inspirant et les obstacles surmontés par des femmes pour réaliser leurs rêves dans le domaine de la construction.

« Le Gala Elles reconnaissent est une opportunité de favoriser le réseautage et de renforcer les liens au sein de notre industrie en rassemblant des professionnels influents et des entrepreneurs inspirants. Cet événement a pour objectif de reconnaître et de célébrer les réalisations exceptionnelles des femmes dans l’industrie de la construction. Depuis des décennies, elles ont joué un rôle significatif dans le succès et l’innovation de ce secteur, et il est grand temps de leur accorder la reconnaissance qu’elles méritent amplement. »
– Lyne Laperrière, Directrice des ressources humaines, Demospec Groupe

« Nous sommes fiers d’honorer ces femmes qui ont apporté une contribution inestimable au secteur de la construction et qui sont une source d’inspiration pour les générations futures. Le Gala Elles reconnaissent est une occasion unique de célébrer leurs réalisations et de se laisser inspirer par leurs brillants parcours. »
– Danièle Henkel, Présidente de Henkel média et Fondatrice des entreprises Danièle Henkel inc.

Le Gala Elles reconnaissent est soutenu par de nombreux commanditaires, dont Groupe RP. Pour de plus amples informations, rendez-vous sur le site web officiel de l’événement sur www.ellesdelaconstruction.com.

SOURCE Les Elles de la construction

Renseignements: Relations de presse ; Yasmina Wahdani, 514-209-0799, ywahdani@exponentielconseil.com ; Gaëlle Gilles, 438 404-3553, communications@ellesdelaconstruction.com

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Préparez votre maison pour l’hiver afin d’éviter les réclamations d’assurance

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(NC) Se prélasser au coin du feu. Construire un fort dans la cour enneigée. Regarder un bon film au chaud. Au Canada, on peut faire une foule de choses agréables quand on passe l’hiver à la maison. Mais présenter une réclamation d’assurance habitation n’en fait pas partie.

Suivez nos conseils pour bien préparer votre maison pour un autre hiver enneigé et en profiter pleinement sans vous inquiéter des imprévus.

Inspectez, dégagez et nettoyez l’extérieur de la maison
Vous assurer que l’extérieur est bien entretenu est une étape clé de la préparation de votre maison pour l’hiver. Avant que les températures glaciales ne deviennent une réalité quotidienne, débarrassez-vous des feuilles et autres débris qui se sont accumulés dans les gouttières pour empêcher la formation de barrières de glace pendant l’hiver. Videz et fermez les conduites d’eau extérieures pour éviter les dégâts d’eau causés par le gel et l’éclatement des tuyaux.

Il est maintenant temps d’inspecter les coupe-froid autour des portes et des fenêtres. Trouver et réparer les fissures et les interstices aide à prévenir les pertes de chaleur et la hausse de votre facture d’électricité, tout en préservant l’intégrité architecturale de votre maison.

Vérifiez la sécurité à l’intérieur de la maison
La sécurité incendie et la qualité de l’air à l’intérieur de la maison sont importantes tout au long de l’année, mais l’ajout d’une vérification à votre liste de préparation pour l’hiver peut vous assurer que tout est en parfait état.

Vérifiez le fonctionnement de vos détecteurs de fumée et de monoxyde de carbone. Et pendant que vous y êtes, prenez note de la date d’expiration de chaque détecteur. Selon le modèle, on devrait les remplacer tous les cinq à dix ans.

Ensuite, assurez-vous que vos extincteurs sont en bon état de fonctionnement et facilement accessibles. Si vous n’en avez pas, ajoutez-les en priorité à votre liste d’achats. En compagnie des autres membres de la famille, prenez le temps d’apprendre quand et comment vous en servir correctement.

Par souci de sécurité, vous pouvez également envisager de vous procurer une trousse de mesure du radon à long terme, qui comprend un détecteur. La ventilation, les points d’entrée, les drains et même la composition du sol peuvent avoir des répercussions sur votre exposition au radon, un gaz potentiellement cancérigène créé lorsque l’uranium présent à l’état naturel se désagrège. L’étage le plus bas de la maison est l’endroit idéal pour installer un détecteur de radon. Surveillez-le régulièrement pour votre sécurité et celle de votre famille.

Inspectez votre générateur d’air chaud et vos autres appareils de chauffage
Compte tenu de l’arrivée imminente de l’hiver et du temps froid, il est essentiel de faire des vérifications de routine et de voir à l’entretien de votre générateur d’air chaud pour vous assurer qu’il fonctionne efficacement et en toute sécurité, afin que vous puissiez rester bien au chaud pendant toute la saison froide.

Pour procéder vous-même à une inspection de base, vérifiez que la zone autour du générateur d’air chaud est exempte d’objets et de débris, examinez les tuyaux et les raccords pour déceler tout signe de dégradation et assurez-vous de remplacer les filtres selon le calendrier recommandé par le fabricant. Une inspection et un nettoyage annuels par une équipe technique d’entretien qualifiée sont aussi recommandés.

Si vous avez des appareils de chauffage au bois et des foyers dans votre maison, vous devriez retenir les services d’une équipe d’inspection de cheminée certifiée pour les examiner et les nettoyer avant de commencer à les utiliser. Cela réduit le risque d’incendie lié à une cheminée.

Découvrez d’autres conseils sur la façon de protéger votre maison tout au long de l’année au cooperators.ca.

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