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Registre des armes: la grogne persiste malgré le compromis

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Les changements proposés par la ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault, n’ont pas eu raison du mouvement actuel d’opposition au registre des armes à feu, en particulier en milieu rural. Seulement une arme sur quatre aurait été enregistrée, estime Québec.

« Ce qu’ils ont changé, c’est quand même mineur », note Philip Tétrault, maire de Warden, une municipalité de 364 habitants au nord de Shefford, en Montérégie. « Cet argent-là qu’ils vont dépenser, on devrait mettre ça sur la santé mentale, c’est beaucoup plus là qu’est le problème que sur le fusil en tant que tel. »

Le 9 janvier, les élus de Warden ont adopté une résolution pour dénoncer le registre des armes, qui doit entrer en vigueur aujourd’hui.

« Un citoyen nous a envoyé un courriel pour nous dire que la municipalité de Potton avait fait adopter une résolution là-dessus et il nous demandait de faire la même chose », explique le maire Tétrault. « On l’a mis à l’ordre du jour et les conseillers ont voté pour ça. »

À ce jour, 22 municipalités ont fait de même au Bas-Saint-Laurent, en Abitibi, en Estrie, dans Chaudière-Appalaches, dans les Laurentides, sur la Côte-Nord et en Montérégie, en plus des MRC de Pontiac et de Témiscamingue, lesquelles regroupent respectivement 18 et 19 municipalités.« C’est déplorable que ça arrive, Polytechnique puis ces autres places-là, ajoute le maire de Warden. Mais c’est pas parce qu’il y a un registre que ces choses-là n’arriveront pas. Une arme, on peut en obtenir sur le marché noir, on peut en commander une de l’Ontario qui ne sera pas enregistrée et qu’ils vont nous livrer chez nous. C’est pas le fusil le problème, c’est la personne qui le tient. »

Les gens se demandent quand le gouvernement va charger [des taxes] pour les armes qu’ils ont inscrites

Le comté de Potton, en Estrie, avait été le premier à adopter une résolution, le 7 janvier. Le conseiller qui l’a proposée, Bruno Côté, n’a pas non plus été séduit par les assouplissements présentés la semaine dernière par la ministre Guilbault.

Jeudi, elle a promis de retirer de la Loi sur l’immatriculation des armes à feu trois irritants administratifs qui étaient dénoncés par la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs du Québec.

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Or, d’après M. Roy, ces changements ont même accru la colère de certaines personnes. « Ça a juste mis de l’huile sur le feu », dit-il. Le fait d’entendre la ministre leur dire que le gouvernement avait « écouté les gens », pour faire des assouplissements qu’ils considèrent comme des « babioles », dit-il, aurait touché une corde sensible.

Il souligne que le premier ministre, François Legault, avait voté pour le registre lors du vote libre sur la loi, l’an dernier. « Arrêtez de nous dire que c’est le registre des libéraux ! » lance-t-il. « La tête de la CAQ voulait le registre et là, on l’impose. C’est ça qui se passe. »

« Deux poids, deux mesures » à la frontière

Dans le Témiscamingue aussi, l’insatisfaction perdure. Les récents assouplissements sont « très esthétiques », selon la préfète Claire Bolduc. « C’est clair qu’il y a un malaise et ça va au-delà des chasseurs versus les femmes violentées. Le malaise est aussi en lien avec le territoire ici. C’est un territoire de chasse, un territoire d’agriculture où il y a souvent des loups sur les terrains. Les producteurs d’agneau, par exemple, vont avoir à défendre leurs troupeaux », dit-elle.

La MRC du Témiscamingue a, elle aussi, adopté une résolution sur le registre. Or, contrairement à Potton et à Warden, elle ne réclame pas son abolition mais plutôt un moratoire et une consultation élargie sur le sujet. Son libellé demande notamment au gouvernement de considérer « les différences fondamentales entre les milieux ruraux et les milieux urbains en matière de comportements et d’inquiétudes face aux armes à feu ».

La préfète, qui elle-même ne chasse pas mais dont le conjoint est un ancien chasseur, explique que la réalité frontalière du Témiscamingue crée une situation de « deux poids, deux mesures ». « Les chasseurs sont limitrophes avec l’Ontario, où il n’y a pas de registre, et il y a beaucoup de pourvoiries. Les Américains, par exemple, arrivent avec leurs propres armes qui ne sont pas enregistrées », mentionne-t-elle.

Quand on lui fait remarquer que c’est une réaction très forte, que le registre n’exige au fond qu’une démarche administrative qui n’empêchera personne de pratiquer la chasse ou d’avoir une arme, elle mentionne que les gens craignent également que l’immatriculation mène à l’ajout de taxes. « Les gens se demandent quand le gouvernement va les charger pour les armes qu’ils ont inscrites. »

Un mouvement pas si marginal, selon la FMQ

Pendant ce temps sur les réseaux sociaux, le mouvement « Tous contre un registre québécois des armes à feu », dirigé par le militant Guy Morin, enjoint les municipalités et les MRC à le contacter et offre un modèle de résolution anti-registre à télécharger.

Parmi les 22 municipalités et les deux MRC qui ont adopté une telle résolution, toutes ne réclament donc pas ouvertement l’abolition du registre. Certaines d’entre elles, comme Baie-Saint-Paul, n’ont pas non plus adopté de résolution à l’unanimité parce que leurs conseillers étaient divisés.

Quelle est donc l’importance réelle de ce mouvement quand on sait que le Québec compte pas moins de 1100 municipalités ?

Chose certaine, ce n’est pas « marginal », selon le président de la Fédération des municipalités du Québec (FMQ), Jacques Demers. « Au début, on avait l’impression que c’était plutôt une minorité, mais là, ça prend quand même de l’ampleur dans certaines régions et MRC », dit-il.

Le sujet a d’ailleurs été abordé lors de la réunion de son exécutif la semaine dernière. « Notre position, c’est de dire aux membres de respecter la loi. En même temps, on demande quand même au gouvernement d’écouter ces régions-là. »

Dans ce contexte, le gouvernement de la Coalition avenir Québec pourrait-il faire d’autres ajustements ? « Non », rétorque l’attaché de presse de la ministre Geneviève Guilbault, Jean-François Del Torchio. « On espère que les gens vont continuer à s’enregistrer », dit-il, en soulignant que le ministère a enregistré un nombre record d’armes dans la journée de dimanche. Selon le dernier décompte, 370 264 personnes avaient immatriculé leurs armes, soit 27 905 de plus qu’il y a une semaine et 69 311 de plus que le 6 janvier dernier.

Le ministère de la Sécurité publique estime que 23 % des armes ont ainsi été enregistrées, sur un total de 1,6 million d’armes à feu sans restriction immatriculées au Registre canadien des armes à feu avant son abolition en 2012.

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Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

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Akio Kashiwagi, John W. Gates, Tommy Renzoni, Phil Ivey, Kerry Packer ou encore Archie Karas… Ces noms ne vous évoquent rien? Ces légendaires joueurs de baccara ont brillé par leurs performances exceptionnelles. Multipliant les gains au fil des années, ils nous ont permis d’identifier quelques approches qui fonctionnent. Aujourd’hui, découvrez certains de leurs secrets:

Apprenez à marcher avant de courir

Premièrement, vous devez absolument connaître les règles du jeu. Avant de maîtriser les stratégies et autres astuces professionnelles du baccara, il faut vous familiariser avec les bases du jeu. Même les plus grands joueurs de l’histoire ont d’abord dû apprendre à jouer. Puis c’est à force de pratique et de stratégie qu’ils ont réussi à se perfectionner pour atteindre les sommets.

Commencez donc par étudier le but principal du jeu et la valeur des cartes. Découvrez aussi les différents types de paris (banquier, joueur ou égalité), apprenez à fixer et gérer votre bankroll, essayez de contrer l’avantage de la maison, etc. Ensuite, vous pourrez passer à une véritable stratégie de baccara. Il en existe beaucoup, à choisir selon les situations et vos aptitudes: systèmes 1-3-2-4, d’Alembert, Fibonacci, Labouchere ou encore Martingale.

Et contrairement à ces légendes qui jouaient dans des établissements physiques, vous avez la possibilité de tester des parties gratuites en ligne. Pratique pour vous exercer sans miser!

Gérez votre budget

Deuxièmement, vous devez fixer un budget et le respecter. Il est essentiel de jouer de manière responsable, afin d’éviter les situations délicates voire désastreuses. Par exemple, vous pouvez allouer 100 $ à votre session de jeu. Et une fois cette somme épuisée, quittez la table. Cela vous permettra de réduire vos pertes et même de protéger vos gains.

Si les grands joueurs de l’histoire du baccara ont pu multiplier leurs gains de façon aussi spectaculaire, ce n’est pas uniquement grâce à la chance. Même si elle a joué en leur faveur, une bonne gestion de leur bankroll leur a aussi permis d’optimiser leurs gains au fil des parties.

Misez sur le banquier

Comme expliqué, il existe trois types de paris au baccara: le joueur, la banque et l’égalité. De manière générale, vous ne pouvez pas vous tromper en misant sur le banquier. En effet, ce pari est gagnant dans plus de 50 % des cas. Toutefois, notez que l’établissement prélève alors une commission sur ces gains, afin de conserver un certain avantage.

De plus, il est important de capitaliser sur les séries. De ce fait, si vous gagnez en pariant sur le banquier, continuez à miser dessus. Mais attention, restez prudent et modéré. Sachez vous arrêter avant que ce pari ne devienne perdant. Ici encore, c’est un conseil que les joueurs légendaires ont eux-mêmes mis en pratique pendant leurs heures de gloire.

Jouez de courtes sessions

Enfin, il est mieux de jouer pendant de courtes sessions. Afin d’être plus performant au baccara, vous devez gérer votre temps correctement. Cela réduira aussi le phénomène d’accoutumance qui peut devenir néfaste s’il n’est pas maîtrisé.

Dans la mesure du possible, planifiez donc un certain nombre de parties à chaque session de jeu. Une fois ce nombre atteint, quittez la table de baccara. Même si vous êtes en train de gagner, soyez raisonnable et arrêtez de jouer.

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Denis Coderre propose un marché public dans le Vieux-Montréal

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Denis Coderre promet d’implanter un marché public au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, s’il est porté au pouvoir en novembre prochain. Cette proposition fait suite à une rencontre qu’il a eue la semaine dernière avec les commerçants du marché Bonsecours. Mais ceux-ci préviennent qu’ils ne souhaitent pas des étals de fruits et de légumes semblables à ceux des marchés Jean-Talon et Atwater.

« Ville-Marie a besoin d’un marché et le marché Bonsecours pourrait être un marché public, au même titre qu’Atwater et Jean-Talon », a soutenu Denis Coderre jeudi matin, alors qu’il présentait les candidats de son équipe dans les arrondissements de Rosemont–La Petite-Patrie et d’Outremont. Selon le candidat, ce projet permettrait de faire du marché Bonsecours un lieu de destination pour les touristes, mais aussi pour les Montréalais. Il a indiqué avoir rencontré l’ensemble des commerçants à ce sujet la semaine dernière.

Denis Coderre a précisé qu’il habitait non loin du marché Bonsecours et qu’il pourrait aller chercher ses fruits et légumes à pied. Au passage, il a affirmé que le bâtiment patrimonial était dans un état « pitoyable » et qu’il faudrait y voir.

Jointe par Le Devoir, Anne de Shalla, propriétaire de la boutique Signatures Québécoises du marché Bonsecours, confirme que les commerçants ont rencontré M. Coderre pour lui présenter leur vision d’avenir. Mais dans le plan d’affaire présenté au candidat à la mairie, il n’était pas envisagé que le marché Bonsecours devienne un marché de fruits et légumes uniquement, a-t-elle expliqué. Les commerçants souhaitent simplement que le marché Bonsecours soit doté de la même structure administrative que les marchés Atwater et Jean-Talon, a-t-elle indiqué.

« On voudrait gérer le marché Bonsecours nous-mêmes. On aimerait prendre la relève des fonctionnaires », a-t-elle dit en évoquant des lacunes telles que l’entretien des lieux et les heures d’ouverture jugées inadéquates par les commerçants. À l’heure actuelle, le marché Bonsecours abrite des boutiques de mode, d’artisanat et de bijoux.

« Notre vision, c’est de rendre le marché Bonsecours comme un marché public avec les mêmes droits que le marché Atwater ou le marché Jean-Talon », précise-t-elle. « On voudrait continuer avec les produits qu’on a déjà et ajouter des produits du terroir, mais on ne veut aucunement ressembler au marché Jean-Talon ou au marché Atwater pour ce qui est du contenu. »

Le marché Bonsecours, qui accueillait 15 commerces avant la pandémie, n’en compte plus que huit. Comme des espaces sont demeurés vacants, Mme de Shalla évoque la possibilité d’ajouter des boulangeries, charcuteries, des comptoirs de plats à emporter, des pop-up shops, ainsi que des boutiques proposant des produits du terroir. « On ne va pas se mettre à vendre des salades sur le parvis Bonsecours. Ce n’est pas ça l’objectif. »

En après-midi, Ensemble Montréal a soutenu que le projet de transformation du marché Bonsecours serait précisé à automne. « Quoi qu’il en soit, M. Coderre, qui a rencontré les marchands du marché Bonsecours, souhaite bien sûr répondre aux besoins exprimés par les commerçants », a indiqué Elizabeth Lemay, attachée de presse chez Ensemble Montréal.

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Nous sommes de retour»: les festivals d’été reprennent à Montréal

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Dans le quartier des spectacles, des tests de son étaient en cours vendredi soir sur la scène d’une comédie musicale — au deuxième jour du festival Juste pour rire. Les billets pour de nombreux spectacles en plein air gratuits du festival — limités par la réglementation COVID-19 — avaient trouvé preneurs.

Deux coins de rue plus loin, une centaine de personnes assistaient à une prestation acoustique du Isaac Neto Trio – dans le cadre du dernier week-end du Festival international Nuits d’Afrique, une célébration de la musique du continent africain et de la diaspora africaine.

Alors que la capacité des sites est limitée en raison de la pandémie de COVID-19, les organisateurs du festival se disent heureux d’être de retour, mais attendent avec impatience l’année prochaine en espérant que les restrictions aux frontières et les limites de capacité n’affecteront pas leurs plans.

Charles Décarie, le président-directeur général du Groupe Juste pour rire, a déclaré qu’il s’agissait d’une «année de transition» et que son équipe a conçu un festival en naviguant à travers les contraintes imposées par la Santé publique.

Lorsque la planification a commencé en février et mars, les organisateurs ont planché sur une multitude de scénarios avec différentes tailles de foule, allant de l’absence de spectateurs à la moitié de la capacité habituelle, a déclaré M. Décarie.

«Vous devez construire des scénarios, a-t-il expliqué. Vous devez planifier un peu plus que d’habitude parce que vous devez avoir des alternatives.»

Comme par le passé, les festivals incluent à la fois des spectacles en salle payants et des représentations en plein air gratuites. À l’extérieur, il y aura moins de scènes et des foules plus petites que dans les dernières années, a précisé M. Décarie. Les spectacles en salle fonctionneront à 30 % de leur capacité, tandis que les spectacles à l’extérieur auront environ 10 à 20 % de du nombre de spectateurs d’avant la pandémie.

«Normalement, nous accueillons environ un million de personnes pendant les festivals sur 15 jours, et cette année, nous serions heureux si 200 000 personnes nous rendent visite au cours des deux prochaines semaines», a indiqué M. Décarie.

Au Québec, les événements extérieurs ont une capacité maximale de 5000 personnes, qui doivent être divisées en sections distinctes de 500 personnes. Les événements en salle sont limités à 3500 spectateurs, qui doivent s’asseoir en sections de 250 personnes, avec des entrées et des toilettes séparées pour chaque section.

En raison des restrictions frontalières, que M. Décarie qualifie de «préoccupation majeure», certaines prestations sont filmées à New York et à Los Angeles et seront diffusées en ligne.

«C’est ainsi que nous avons pu joindre des talents internationaux, a-t-il déclaré. Nous avons décidé de changer notre façon de procéder, et nous sommes allés vers eux.»

Les spectacles en personne mettront pour leur part en vedette des artistes locaux, a-t-il déclaré.

D’autres festivals montréalais affirment également qu’ils prévoient de contourner les restrictions frontalières en se concentrant sur les artistes locaux.

Le Festival international Nuits d’Afrique présente des artistes locaux et des prestations enregistrées des années précédentes, a mentionné vendredi la directrice générale et co-fondatrice du festival, Suzanne Rousseau.

«Les premières nuits, en particulier, étaient incroyables», a-t-elle déclaré à propos du festival, qui a débuté le 6 juillet et se poursuit jusqu’à dimanche. Les artistes disaient: «C’est mon premier spectacle devant public depuis un an et demi».»

Le volet extérieur du festival consiste en deux petites scènes de style «cabaret», a commenté Mme Rousseau. Au lieu d’une scène principale, un spectacle son et lumière est projeté sur un bâtiment. Il présente des prestations filmées qui portent sur les 35 ans d’histoire du festival.

«Ce qui est important, c’est que les festivaliers puissent venir voir des spectacles en personne, a-t-elle déclaré. Et d’avoir des prestations en ligne pour les gens qui ne peuvent pas se rendre à Montréal ou qui ne peuvent pas voyager.»

Mme Rousseau a affirmé qu’elle espère conserver certains des volets en ligne dans les années à venir, mais qu’elle souhaite également organiser un festival plus important l’année prochaine.

«On est vraiment content d’avoir fait un festival cette année, ça nous prépare pour l’année prochaine, a-t-elle déclaré. Cela nous donne l’ambition d’être prêts à recevoir plus de monde, plus de performances et une expérience complète.»

Certains des grands festivals d’été de Montréal, dont le Festival international de Jazz de Montréal, ont été repoussés au mois de septembre. Mme Rousseau a toutefois soutenu qu’elle n’avait jamais envisagé de retarder l’édition de cette année du festival Nuits d’Afrique.

«C’est vraiment important d’être là pendant l’été. Il n’y avait aucun doute que nous allions le faire», a-t-elle déclaré.

Francis Bouchard, un porte-parole de Tourisme Montréal, un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du secteur touristique de la ville, a indiqué qu’avec les événements reportés, la période des festivals durera jusqu’en octobre de cette année. Il est encourageant, a-t-il dit, de constater que des festivals et des événements qui ont été reportés ou annulés l’année dernière soient de retour cet été et cet automne.

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