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Et si Facebook était resté un site de rencontre universitaire…

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La plateforme Facebook est tout en teintes soporifiques de bleu et de gris. Aucune trace du rouge éclatant pour attirer l’attention, comme le font plusieurs médias d’information. Exit aussi le jaune, le vert et l’orange des sites de pièges à clics. On en vient presque à oublier que Facebook est un site.

Mais, au fait, pourquoi Facebook est-il bleu? La réponse en dit long sur le réseau social, sur ce qu’il est devenu et sur la trajectoire qu’il a parcourue.

Facebook est bleu parce que son fondateur, Mark Zuckerberg, est daltonien (Nouvelle fenêtre). Celui-ci perçoit mal les autres couleurs; c’est aussi simple que ça. Il n’y a pas eu d’étude de marché pour déterminer « la-plus-meilleure-couleur-pour-rejoindre-l’utilisateur-type ». Pas de grande réflexion stratégique sur les besoins des usagers non plus. Un trouble oculaire, point.

Mais ce n’est pourtant pas anodin.

On a souvent l’impression que Facebook est un fait accompli; qu’il a émergé tel quel, prêt à engloutir le monde, mais c’est faux. Le site est le fruit de mutations provoquées par des décisions humaines, qui, elles, découlent des motivations et des désirs des dirigeants de l’entreprise. Ces mêmes décisions ont mené à la création d’une plateforme au pouvoir immense, où le quart de l’humanité passe son temps.

Facebook, dans son incarnation actuelle, n’était pas inévitable. Lors de sa création, en 2004, « Thefacebook » était un site de rencontre pour les élèves des universités d’élite situées aux États-Unis. On se créait un profil et on y mettait nos photos, nos états d’âme, les films qu’on regardait et les groupes de musique qui nous allumaient.

On voit que le nom du site est « Thefacebook » et qu'il est réservé aux étudiants de l'université Harvard.La page d’accueil originale de Thefacebook, le 12 février 2004 Photo : Capture d’écran – Wayback Machine

Le site permettait aux étudiants d’épier les camarades de classe qui les intéressaient. Le classique « cette fille est jolie; je vais aller voir son Facebook pour savoir si elle est célibataire et si on a des goûts semblables ». C’était ça, la mission fondatrice de Facebook. Et c’est autour de ce noyau qu’a grandi le site. Déjà, on voyait que la protection de la vie privée n’était pas vraiment un enjeu.

Imaginez un monde où Monclasseur.com – un site de rencontre québécois populaire au début des années 2000 – serait devenu le point de rendez-vous du web; la plateforme quasi planétaire par où transitent les informations qui façonnent le monde. Assez farfelu, n’est-ce pas? Pourtant, c’est plus ou moins ce qui est arrivé avec Facebook.

Trois points tournants

Entre 2006 et 2009, la direction de Facebook a pris des décisions qui ont changé le réseau social (et le monde). Au cours de cette période, l’entreprise a décidé d’étendre ses services à l’ensemble des universités occidentales, puis aux écoles secondaires, et finalement à toute personne de plus de 13 ans. Trois innovations majeures l’ont métamorphosée.

L’arrivée du fil d’actualités a d’abord changé de façon radicale le comportement des utilisateurs. Par le passé, il fallait consulter les profils Facebook de nos amis pour savoir ce qui se passait. Le fil d’actualités a encouragé les utilisateurs à être plus passifs, à regarder défiler un flot incessant de publications… En prime, c’est très addictif, ce qui est bon pour garder les internautes sur le site.

Peu après, Facebook a mis sur pied la possibilité de créer des pages. Cette fonction permet à quiconque d’instaurer un espace pour faire la promotion d’une entreprise, d’un groupe de musique, d’une cause politique, etc. L’auditoire étant de plus en plus sur Facebook, les médias d’information ont lancé leur propre page et se sont retrouvés contraints à y diffuser (gratuitement) leur contenu. L’importance du fil d’actualités dans le monde médiatique a été décuplée. Des gens futés ont aussi réalisé qu’ils pouvaient faire de l’argent et manipuler l’opinion publique en utilisant des pages hyperpartisanes comme haut-parleurs pour la propagation de mensonges et de demi-vérités dans le but de capter l’attention des utilisateurs de Facebook. On connaît la suite.

Puis est arrivé le bouton J’aime, devenu aujourd’hui presque un réflexe. On voit quelque chose qui nous fait réagir : on clique. C’est pavlovien. Le fameux « pouce en l’air » nous a habitués à interagir avec les publications, ce qui a changé notre rapport à l’information. On ne fait pas que la consulter, on se l’approprie en cliquant sur J’aime (ou, depuis 2016, sur d’autres boutons suggérant toute une gamme d’émotions). Cet automatisme permet à l’algorithme d’en apprendre plus sur ce qui nous interpelle. Le but? Nous montrer encore plus de publications qui titilleront notre « pouce en l’air ». Au gré de nos J’aime, Facebook se fait une image de plus en plus précise de qui nous sommes. Des informations précieuses qui lui permettent de nous vendre comme produit aux annonceurs grâce aux publicités ciblées.

Sans le fil d’actualités, les pages et le bouton J’aime, il n’y aurait probablement pas eu de scandale d’ingérence russe lors de l’élection présidentielle américaine de 2016. Pas de fuite de données à Cambridge Analytica. Pas de lynchages au Nigeria, en Inde et au Mexique causés par la propagation de fausses nouvelles sur Facebook. Pas de pages Facebook qui incitent au génocide au Myanmar. Et j’en passe…

Le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, lors de son témoignage au Sénat sur l’utilisation et la protection des données des utilisateurs.  Washington, États-Unis, le 10 avril 2018. REUTERS / Leah Millis - HP1EE4A1SCS7OLe PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, témoigne devant une audience conjointe du Sénat américain à Washington. REUTERS / Leah Millis Photo : Reuters / Leah Millis

Des décisions lourdes de conséquences

Ces activités auraient pu avoir lieu sur une autre plateforme. « Quelqu’un aurait inventé Facebook de toute façon », entend-on souvent. Peut-être… Mais elles n’auraient pas eu lieu sur Facebook et elles n’auraient probablement pas pris l’ampleur qu’on constate aujourd’hui. Vous en voyez, vous, des scandales d’ingérence politique sur Monclasseur.com?

Ces décisions fatidiques ont forgé le Facebook que nous avons aujourd’hui. Personne n’a pris le conseil d’administration par la main. Personne n’a forcé l’entreprise à rejoindre 2,1 milliards d’utilisateurs. Personne ne lui a tordu le bras pour qu’elle étende ses tentacules dans des pays où elle représente le seul site web que les internautes peuvent consulter. Personne ne l’a obligée à devenir le géant ingérable qu’elle est devenue.

Facebook aurait pu rester « Thefacebook », un site de rencontre pour universitaires. Tout ce qui est arrivé par la suite est une conséquence directe des décisions prises par des êtres humains désormais imbus d’un immense pouvoir. Les scandales de vie privée, et alouette, ne sont pas le fruit du hasard et ils ne sont pas la suite naturelle des choses.

Au printemps 2018, Mark Zuckerberg a dû témoigner devant le Congrès américain pour répondre des multiples scandales qui secouaient son réseau social. Il a reconnu que Facebook avait fait plusieurs erreurs. Quant à l’ingérence étrangère en politique américaine, M. Zuckerberg a affirmé que l’entreprise n’avait « pas vu venir » de telles utilisations abusives de ses services.

Ce sont là de mauvaises excuses. Quand on prend des décisions, on est responsable des conséquences qui en découlent, même si on ne les a « pas vues venir ». Ou, encore mieux : et si les entreprises du secteur de la haute technologie se limitaient à des activités dont elles pouvaient prévoir les dérives?

Juste une idée, comme ça, pour tes 16 ans, Facebook.

Vous avez vu circuler une info douteuse, une photo louche ou une citation peu crédible? Envoyez-la-moi! Vous pouvez m’écrire un courriel ou me joindre sur Facebook ou Twitter.

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TELUS adopte une nouvelle promesse de marque

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TELUS annonce l’évolution de la promesse judi slot online de sa marque, qui devient «Créons un futur meilleur». Au cours des deux dernières décennies, la promesse de la marque TELUS, «Le futur est simple», a aidé les Canadiens à adopter de nouvelles technologies comme la 4G LTE, la 5G, la fibre optique, IdO, les solutions de santé virtuelles et l’intelligence artificielle. Tandis que nous continuons de composer avec la pandémie mondiale et de constater des changements sociaux importants, la marque voulait continuer de travailler de concert avec les communautés locales pour avoir une incidence sociale positive durable.

Les Canadiens remarqueront également des changements apportés à l’identité visuelle emblématique de la marque dans la publicité et les communications. Les animaux-vedettes qui sont allés droit au cœur des Canadiens au fil des ans demeureront, mais ils seront mis en vedette d’une façon plus authentique et faisant ressortir leur beauté naturelle.

Pendant 20 ans, nous avons été guidés par la promesse de notre marque, le futur est simple. Nous avons tiré parti de la technologie afin de générer des retombées positives sur les plans humain et social pour nos clients, les membres de notre équipe et les citoyens du monde entier», indique Darren Entwistle, président et chef de la direction de TELUS. La pandémie a poussé bon nombre d’entre nous à remettre en question ce que nous considérions comme important, incluant les valeurs qui nous sont chères. TELUS demeure passionnée dans ses engagements envers les nombreux intervenants qu’elle sert et plus inspirée que jamais à soutenir des réalisations incroyables et communes qui répandent le bien et aident nos concitoyens dans le besoin. À cet égard, la nouvelle promesse de notre marque – Créons un futur meilleur – convie tout le monde à se joindre à nous, pour que nous puissions ensemble rendre le monde simplement meilleur.»

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La tech agricole Farmers Edge entre en Bourse à 18 fois ses revenus

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Le spécialiste des logiciels destinés aux fermiers Farmers Edge (FDGE, 19,98$) connaît une solide entrée en Bourse avec un gain de 17,5% à sa première séance en Bourse, le 3 mars.

Cette appréciation est nettement moins spectaculaire que celle d’autres fournisseurs de logiciels qui ont fait le saut en Bourse depuis un an, mais le cours initial se situe tout de même dans le haut de la fourchette prévue de 10 à 17$.

Cela confère à la recrue de Winnipeg une valeur de plus de 834 millions de dollars, soit 18 fois les revenus de 45 à 47 M$ estimés pour 2020 (si le maximum d’actions est émis).

Ses revenus ont presque doublé par rapport à 2019, mais la société accuse un déficit d’exploitation estimé à 29 à 33 M$ en 2020, indique le document de marketing des courtiers.

Autrefois une société d’experts-conseil en agronomie, Farmers Edge offre désormais diverses solutions logicielles par abonnement aux fermiers qui visent à améliorer la productivité des récoltes et mieux gérer les émissions de gaz à effet de serre, par exemple.

Mise au point depuis 2015, sa plateforme logicielle d’analyse en nuage FarmCommand mine plus de 3 milliards de points de données pour fournir aux agriculteurs des analyses en temps réel à l’acre, ainsi que des modèles de rendement prédictif et des alertes accompagnées de recommandations, peut-on lire dans le prospectus de 247 pages.

«Nous croyons être les pionniers de l’utilisation de données dans l’agriculture et qu’il n’y a aucune autre société qui fait ce que nous faisons. Nous sommes déterminés à créer le premier écosystème agricole numérique entièrement connecté centré sur les succès des agriculteurs», se targue l’agriculteur, fondateur et chef de la direction Wade Barnes qui signe une lettre, dans le prospectus.

La société attribue les pertes accumulées de 363,4 M$ à la fin de 2019 aux investissements importants consacrés à l’élaboration de sa plateforme technologique et aux efforts de croissance.

On y apprend aussi que la société compte 500 employés dans six pays dont le Brésil, l’Australie, la Russie et l’Ukraine.

Doubler les revenus récurrents

Farmers Edge pourrait récolter environ 132 M$ si les courtiers exercent l’option de sur-allocation prévue. La Banque Nationale et la Banque CIBC co-pilotent l’émission strictement canadienne à laquelle participe trois autres courtiers.

Les fonds récoltés rembourseront 14,5 M$ de dettes dues à l’assureur Fairfax Financial (FFH, 529,37$), un important bailleur de fonds et le principal actionnaire.

Quelque 80 M$ financeront des projets expansion et des acquisitions sélectives potentielles. Enfin, 20 M$ iront au fonds de roulement.

L’entreprise veut élargir son offre d’abonnement gratuit pour la première année à plus de fermiers. Plus sa plateforme récolte de données par acre, plus les analyses et les recommandations aux fermiers se rafineront.

Sa meilleure santé financière pourrait aussi attirer de nouveaux partenaires qui offriront sa technologie dans le domaine agricole et de l’assurance. 

La société veut doubler à 125 M$ ses revenus récurrents annuels, accroître ses revenus totaux à un rythme annuel composé de 40 à 50% et dégager un bénéfice d’exploitation de plus de 15 M$, d’ici deux ans.

L’entreprise a notamment conclu un partenariat avec Google, qui lui fournit depuis peu des services d’hébergement, afin de mettre au point de nouveaux produits destinés aux grands fournisseurs de services du secteur agricole. Natasha Mainville, directrice principale des programmes de recherche chez Google Brain, se joint d’ailleurs au conseil de Farmers Edge.

Outre Fairfax qui détient 59,9% des actions, Farmers Edge compte aussi le négociateur japonais de matières premières Mitsui & Co. et la société d’investissement Osmington, appartenant à l’héritier de la famille Thomson, parmi ses actionnaires.

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NEC Canada accueille Combat Networks en tant que revendeur officiel de UNIVERGE® BLUE CLOUD SERVICES

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TORONTO–(BUSINESS WIRE)–NEC Canada, Inc. (NEC), une filiale en propriété exclusive de NEC Corporation of America et fournisseur de premier plan et intégrateur de solutions avancées en matière de TI, de communications et de réseautage, a annoncé aujourd’hui que Combat Networks est devenu un revendeur du tout nouveau UNIVERGE ® BLUE CLOUD SERVICES.

Combat Networks est un intégrateur canadien de solutions de réseau axé sur la fourniture de solutions et de services complets de réseaux stratégiques.

NEC UNIVERGE BLUE offre l’une des plateformes de services de nuage les plus larges au monde, avec accès à des services allant du système téléphonique intégré à la vidéoconférence, au webinaire, au chat, au partage de fichiers et au centre de contact. Ces solutions comprennent UNIVERGE BLUE® CONNECT, une solution entièrement intégrée de communications unifiées en tant que service (UCaaS) et UNIVERGE BLUE® ENGAGE, une solution de centre de contact en tant que service (CCaaS) pour les entreprises de toutes tailles.

« NEC s’engage à aider les entreprises à répondre aux exigences de la main-d’œuvre numérique d’aujourd’hui grâce à notre canal de partenaires hautement qualifiés. La capacité de Combat Networks de permettre la migration de ses clients vers le nuage est un facteur clé de cette relation stratégique entre NEC et Combat », a déclaré Don Stewart, vice-président de NEC Canada.

« C’est un honneur incroyable d’entrer dans ce partenariat avec NEC, non seulement parce qu’ils sont un leader de confiance et une marque respectée dans l’espace mondial des communications unifiées, mais, comme Combat Networks, ils placent également les clients en priorité », a déclaré Greg Curry, directeur de la technologie chez Combat Networks. « Les partenaires sont des conseillers informatiques de confiance auprès de la communauté des affaires et je suis fier que nous ayons fait de Combat Networks l’entreprise exemplaire axée sur le client qu’elle est aujourd’hui. Notre formule a été assez simple : tout d’abord, fournir des applications nuage hautement fiables et sécurisées, faciles à utiliser et à gérer, riches en fonctionnalités qui permettent aux utilisateurs de communiquer comme ils veulent, où ils veulent et quand ils veulent. Et puis, renforcer ces produits avec les ressources de vente, de marketing, d’intégration, de facturation et de support technique nécessaires. Avec cet objectif, Combat Networks a bâti une communauté de partenaires active qui est forte et en pleine croissance. En faisant équipe avec NEC, nous sommes impatients de travailler ensemble pour fournir nos solutions UCaaS et CCaaS afin d’aider à améliorer les communications pour un public mondial plus large. »

À propos de UNIVERGE BLUE CONNECT & UNIVERGE BLUE

Les entreprises ont besoin d’outils faciles à déployer et à utiliser et ils doivent offrir aux utilisateurs une expérience intégrée. Construites autour d’une technologie innovante et propriétaire, UNIVERGE BLUE CONNECT et UNIVERGE BLUE ENGAGE sont des solutions nées dans le nuage et conçues spécifiquement pour les entreprises de toutes tailles. Les solutions sont élégantes, fiables et faciles à déployer, tout en restant hautement évolutives et extrêmement rentables.

NEC UNIVERGE BLUE CONNECT est une plateforme de communications unifiées d’entreprise basée sur le nuage qui combine un système téléphonique complet basé sur le cloud, le chat, la vidéoconférence, la synchronisation et le partage de fichiers, le tout disponible pour les utilisateurs par le biais des applications de bureau, Web et mobiles. Elle est intuitive, fiable et facile à déployer, tout en restant hautement évolutive et extrêmement rentable.

NEC UNIVERGE BLUE ENGAGE est un centre de contact basé sur le nuage conçu pour répondre aux besoins de l’entreprise, du petit canal à l’environnement multi-canal large et sophistiqué. Uen solution CCaaS dynamique, elle combine des fonctionnalités robustes avec une fiabilité de qualité opératoire et des services de déploiement et de support de classe mondiale. NEC UNIVERGE BLUE ENGAGE aide les entreprises à se différencier de la concurrence là où cela compte le plus – l’expérience client.

Pour plus d’informations sur UNIVERGE BLUE, visitez https://www.univergeblue.com/

À propos de Combat Networks

Depuis juillet 2001, Combat Networks accompagne ses clients en concevant et en construisant des réseaux performants à la fine pointe de la technologie. Nous avons installé et formé des solutions de fournisseurs soutenues, et nous effectuons la maintenance, la surveillance (NOC) et le dépannage selon les besoins. Basé à Ottawa et ayant des bureaux partout au Canada, nous desservons bon nombre des plus grands ministères fédéraux et provinciaux du pays, des services de santé, des services de police, des municipalités et des entreprises de Fortune 1000. Notre mission d’entreprise est d’être reconnue par nos clients comme la ressource externe la plus compétente, la plus réactive et la plus avantageuse pour les infrastructures réseau où la sécurité, la performance et la fiabilité sont des exigences vitales. Tout le monde chez Combat est concentré et dévoué à votre réussite en fournissant une solution complète de cycle de vie réseau, allant de la planification réseau et de la gestion de projet en passant par le support après-vente et les services de transition réseau. Combat a les personnes, les compétences et les produits nécessaires pour travailler pour vous dans toutes les étapes du cycle de vie de l’infrastructure réseau. Visitez-nous à www.combatnetworks.com

À propos de NEC Corporation of America

NEC Corporation of America (NEC) est un intégrateur technologique leader offrant des solutions qui améliorent la façon dont les gens travaillent et communiquent. NEC propose des solutions intégrées pour la société qui sont alignées sur les priorités de nos clients afin de créer une nouvelle valeur pour les personnes, les entreprises et la société, avec un accent particulier sur la sécurité, la sureté et l’efficacité. Nous offrons l’un des portefeuilles les plus solides et les plus innovants du secteur en matière de communications, d’analyse, de sécurité, de biométrie et de solutions technologiques qui libèrent le potentiel de productivité des clients. Grâce à ces solutions, NEC combine ses meilleures solutions et technologies, et exploite un écosystème de partenaires robuste pour résoudre les problèmes commerciaux les plus complexes d’aujourd’hui. NEC Corporation of America est une filiale en propriété exclusive de NEC Corporation, un leader mondial de la technologie avec une présence dans 160 pays et un chiffre d’affaires de 25 milliards de dollars.

Pour les demandes des médias:

© 2021 NEC Corporation of America. NEC est une marque déposée de NEC Corporation. Tous droits réservés. Les autres marques de produits ou de services mentionnées sont les marques déposées de leurs propriétaires respectifs.

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