There’s nothing I love more than bread. Well, okay, money. But as far as food goes, it’s bread. Warm, crispy, bread. Also room-temp bread. I’ll even take day-old toast.
Now I know what you’re thinking. “Paul W. Downs is a known sex symbol, an icon of physical fitness. His body is his instrument and it is so finely tuned. How could he love bread so much and keep it so tight?? Bread is carbs and carbs are the enemy!” Thank you. But bread is not the enemy to me.
You see, my love of bread started early. My parents are both great cooks, but when was a kid my dad upped the ante and started making incredible Italian rustic loaves at home. We didn’t have a steam injection oven, so he would throw a cup of water into a hot oven before putting the loaves in to bake. I think it may have contributed to the machine’s early demise. But it was worth it. I grew up in a rural part of northwestern New Jersey and one year my father entered his bread in the Sussex County Farm and Horse show. (See, very rural). He won a blue ribbon for Best Bread. But then his bread also took home Best In Show…for all the baked goods. So yeah, my dad can beat your dad in a rural farm and horse show bake off.
My sister Emily got the bread bug worse than I did. After working alongside Jim Lahey at Sullivan Street Bakery and as a pizzaiola at Keste in New York, she now makes bread for local restaurants and markets, and sells pizza out of a mobile wood-fired oven in Warwick, New York. If I wasn’t spoiled before, now I am. For life.
You get it. I know bread and I love it. Many times I’ve asked for another serving of bread and finished a whole basket without even touching my main course. I’ll happily take my uneaten duck breast or lobster tail to go. “Can you wrap this up for me so I can throw it away in a week or so?” I’ll ask my server.
So here’s the thing: RESTAURANTS WITH BAD BREAD SHOULD BE CLOSED DOWN. Don’t bother being in the food service industry if you’re not going to pay attention to the most important part of the meal!
Now, before I get to more (totally rational) ranting, I know not every kind of restaurant has bread. I’m not an idiot! But if you’re a place that serves any kind of bread—I’m talking naan, I’m talking pita, I’m talking baguette, I’m talking a freakin’ dinner roll—you better make that ish good! It’s not rocket science.
I think a restaurant’s rating should be completely determined by their bread. First impressions are important and bread is the first thing you get. If you’re like me, you have to tear into that bread immediately and order with a full mouth. If that first bite is bad, it sets a tone for the rest of the meal. If it’s warm and dense, with a crisp crust, I might demand a basic Italian joint be given a Michelin Star. On the other hand, if a “fine-dining” “hot spot” has bread that’s dry or stale or clearly frozen and reheated, you truly might as well close up shop, because I’m gonna talk so much shit that it’s gonna happen eventually anyway. And don’t try to disguise it with fancy add-ons. No olive or fennel pollen is going to make bad bread good.
So if the restaurant industry is reading this and ready to change, to finally put some love and attention into freshly made breads, they might feel they need to be compensated. Some restaurants already do: They charge for bread. And guess what? I think this is totally fair. Some people are outraged. Well chill, people. You don’t think the best part of the meal is worth $4? Well, it is. When it’s incredible.
(EN) Les enfants entament une nouvelle année scolaire au cours de laquelle ils vont se faire des amis, s’adapter à leurs nouveaux enseignants et faire face à de nouveaux défis. Certains d’entre eux auront plus de difficultés que d’autres, mais comment savoir si un trouble d’apprentissage ne nuit pas à votre enfant et à sa capacité de réussir ?
L’un des troubles les plus fréquents est la dyslexie. Environ 15 % des Canadiens en sont atteints et pourtant, selon une étude récente, moins d’un tiers d’entre nous serait capable d’en reconnaître les signes.
Bien que la dyslexie ne se guérisse pas, il est possible de la contrôler grâce à une détection précoce et à un enseignement adéquat. C’est pourquoi il est important de pouvoir reconnaître la dyslexie.
Voici ce qu’il faut savoir :
Qu’est-ce que c’est ? La dyslexie est un trouble d’apprentissage qui se caractérise par des difficultés à identifier les sons produits en parlant et à reconnaître les lettres, les mots et les chiffres. Le cerveau interprète mal les sons, les lettres et les chiffres quand il les assemble et en arrive souvent à tout mélanger, ce qui est déroutant pour la personne. La dyslexie touche tout le monde de la même façon, sans considération de genre et peu importe le milieu socio-économique ou l’origine ethnique de la personne.
Que peut-on faire ? Si vous pensez que votre enfant peut être dyslexique, n’attendez pas pour réagir. Il existe de nombreux tests à passer en ligne qui peuvent vous aider à l’identifier. Si vous croyez que c’est le cas, demandez à accéder à des ressources supplémentaires à votre école ou communiquez avec un tuteur spécialisé en littératie structurée. Faites appel à des groupes d’entraide pour en apprendre davantage.
Comment favoriser la réussite ? « Ce n’est pas parce qu’une personne a reçu un diagnostic de trouble d’apprentissage qu’elle ne peut pas réussir dans la vie. Ses apprentissages se font tout simplement d’une manière différente », explique Christine Staley, directrice générale de Dyslexia Canada. « Une détection précoce et un enseignement adéquat en lecture sont essentiels pour contrôler la dyslexie et ouvrir la voie à un brillant avenir. »
(EN) Lorsqu’un incendie se déclare, chaque seconde compte. S’ils sont utilisés rapidement et de façon efficace, les extincteurs de feu portatifs peuvent aider à sauver des vies. C’est pourquoi ils font partie de ces éléments importants qui permettent d’assurer votre sécurité et celle de votre famille à domicile.
Suivez ces conseils concernant la façon d’utiliser un extincteur de feu et le meilleur endroit pour l’installer afin d’être prêt en cas d’urgence :
Comparez les caractéristiques. Choisissez un extincteur résidentiel doté d’une goupille de métal et d’un levier de commande, aussi durable qu’un extincteur de qualité commerciale, ainsi que d’un manomètre à code couleur facile à lire afin de vous assurer que l’appareil est chargé. Sachez qu’il n’est pas sécuritaire d’utiliser un extincteur qui a déjà été déchargé, surtout qu’il existe maintenant des extincteurs rechargeables qui peuvent être rechargés par un professionnel certifié si vous avez utilisé l’appareil.
Sachez comment vous en servir : Tous les extincteurs de feu sont vendus avec des instructions d’utilisation. Toutefois, plus de 70 % des consommateurs qui possèdent un extincteur affirment ne pas se sentir à l’aise de le faire fonctionner. Solution pratique et conviviale, le pulvérisateur d’incendie First Alert est une bombe aérosol au design simple qui constitue un dispositif supplémentaire efficace pour les incendies domestiques. Grâce à une buse précise qui permet de pulvériser sur une grande surface, l’utilisateur peut mieux contrôler l’application. De plus, comme il n’y a pas de goupille à tirer ni de levier à serrer, il est possible d’éteindre un incendie rapidement.
Gardez à portée de la main : Lorsque chaque seconde compte, il est essentiel d’avoir un extincteur de feu à proximité afin de réagir rapidement. Il est préférable de placer un extincteur à chaque étage de la maison et dans les pièces où le risque d’incendie est plus élevé, comme la cuisine et le garage. La National Fire Protection Association (NPFA) recommande d’installer des extincteurs à la sortie des pièces afin de les décharger et de vous sauver rapidement par la suite si l’incendie ne peut être maîtrisé.
Sachez quand quitter la maison. Une des composantes d’un plan d’intervention en cas d’incendie consiste à essayer d’éteindre un petit incendie avec un extincteur de feu, mais l’objectif principal doit être l’évacuation de la famille en toute sécurité. Un extincteur n’est pas un substitut à la mise en place d’un plan d’évacuation résidentielle en cas d’incendie, qui doit être pratiqué régulièrement, ni à l’installation d’avertisseurs de fumée fonctionnels dans toute la maison – un à chaque étage et dans chaque chambre, afin de permettre la détection rapide d’un incendie.
(EN) Un bébé qui n’est pas encouragé à manger une variété d’aliments dès son plus jeune âge aura de fortes chances à devenir un enfant difficile qui n’acceptera que ses plats préférés, comme des croquettes de poulet ou des hotdogs.
Pour faire en sorte que votre bébé soit ouvert et enthousiaste lorsque vient le moment d’essayer de nouveaux aliments, Nanny Robina, l’une des plus grandes expertes en matière d’éducation des enfants au Canada, vous propose des conseils pour faire de votre un enfant un gourmet aventureux :
Offrez de la variété. Restez constants et introduisez autant de nouveaux aliments que possible, ainsi que des collations colorées et attrayantes. Offrir au bébé une variété de saveurs et de textures et même des aliments qui fondent facilement dans la bouche est un excellent moyen de s’assurer qu’il demeure ouvert à une variété d’options.
Mangez avec lui. Asseyez-vous près de votre bébé et mangez à côté de lui. Les enfants imitent souvent ce qu’ils voient, alors manger avec eux et leur montrer à quel point vous appréciez le repas en lançant quelques exclamations du type « Hummm! C’est vraiment bon! » peut avoir d’excellentes répercussions. Nanny Robina ajoute que leur donner des collations faciles à saisir, comme des barres tendres faciles à mâcher, est une autre façon de les encourager à essayer des nouveautés et à manger seuls.
Soyez patients. Les goûts de votre bébé sont peut-être limités et difficiles à élargir, mais poursuivez son éducation sans baisser les bras. Il est utile de toujours avoir quelques options prêtes à manger sous la main comme les fondants de smoothie PC Biologique : Ils fondent facilement dans la bouche et sont offerts en deux délicieuses saveurs, dont banane, mangue et fruit de la passion, puis banane et fraise.