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Outremont, un laboratoire pour les élections fédérales

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C’est peu de dire que les élections partielles du 25 février seront cruciales pour le Nouveau Parti démocratique (NPD). Non seulement le chef Jagmeet Singh joue-t-il son avenir politique en Colombie-Britannique, mais les électeurs d’Outremont pourraient le même jour mettre un terme symbolique à l’ère Mulcair. Contexte d’une partielle qui prépare le terrain de la générale.

À chacun ses collections : Rachel Bendayan, elle, s’intéresse aux portes. Plus précisément, celles auxquelles elle a cogné depuis cinq ans en tant que candidate libérale dans Outremont. Et elles sont nombreuses, selon son décompte : quelque 32 000.

Autant de toc-toc-toc ou de coups de sonnette pour expliquer qui elle est (avocate, candidate à l’investiture libérale, puis aux élections générales de 2015, et maintenant à la partielle de 2019…) et tenter de convaincre les citoyens d’aller voter pour elle. Une campagne politique dans sa forme la plus classique : une maison et une courte discussion à la fois.

Elle n’est pas seule à s’activer depuis un moment pour tenter de rafler le siège laissé vacant par la démission de Thomas Mulcair. La néodémocrate Julia Sánchez (qui a fait carrière en coopération et développement international) se consacre à sa campagne à temps plein depuis… le mois d’août. « Les libéraux font tout ce qu’ils peuvent pour reprendre la circonscription. Ils veulent gagner… et nous aussi », note-t-elle.

Dans l’eau des redoux (comme la semaine dernière) ou sur la glace à –20 degrés (comme lorsque Justin Trudeau est venu donner un coup de main à sa candidate, fin janvier), Mmes Bendayan et Sánchez battent donc le pavé.

 

« Ça permet un contact direct avec les citoyens, d’entendre les enjeux qui les préoccupent, de leur faire réaliser qu’on n’est pas seulement un visage sur une pancarte », soutient Rachel Bendayan lorsqu’on lui demande si cette méthode du porte-à-porte a encore son utilité.

Une préparation pour octobre

En 2015, Mme Bendayan est allée chercher un tiers des votes face à un adversaire de taille : Thomas Mulcair, chef de l’opposition officielle et bête politique hors norme. Quatre ans plus tard, le départ de M. Mulcair pourrait lui ouvrir les portes du Parlement, si l’on se fie au tableau esquissé par les sondages fédéraux au Québec. Ceux-ci montrent que les libéraux pointent loin devant les autres, et que les néodémocrates accumulent les reculs (8 % d’appuis dans le dernier Léger).

Cette partielle donnera ainsi des débuts de réponse à des questions plus larges touchant les prochaines élections générales. Assiste-t-on à la fin de l’ère Mulcair, une période durant laquelle le NPD a cru qu’il s’était durablement implanté au Québec ? Les libéraux sauront-ils profiter des ennuis du parti de Jagmeet Singh ? Le bilan environnemental controversé du gouvernement Trudeau pourrait-il avoir un impact aux urnes ? Quelle résonance a le discours autonomiste du chef conservateur Andrew Scheer auprès des Québécois ?

À une autre échelle, les enjeux ne manquent pas non plus pour le Bloc québécois (premier test électoral pour le nouveau chef, Yves-François Blanchet), les verts (qui espèrent eux aussi profiter des ennuis du NPD) et le Parti populaire du Canada, la nouvelle formation de Maxime Bernier. Leurs candidats sont eux aussi à pied d’oeuvre au coeur de Montréal.

Le symbole

Outremont ? « L’importance symbolique est forte », reconnaissent avec les mêmes mots deux stratèges libéral et néodémocrate interrogés dans les derniers jours. Ne l’oublions pas : ce fief libéral fut le point de départ de la percée du NPD au Québec.

En remportant la partielle de septembre 2007 — les photos de cette soirée le montrent avec un immense sourire aux côtés d’un Jack Layton tout aussi heureux —, Thomas Mulcair jetait les bases de ce qui donnerait l’étonnante vague orange de 2011 (59 députés néodémocrates sur 75 circonscriptions).

Le NPD a certes reculé en 2015 (16 députés, 25 % du vote), mais demeurait néanmoins une force politique importante dans la province. Cette fois, la perte d’Outremont dans une partielle, à huit mois des élections générales, n’augurerait rien de bon pour les néodémocrates. « Ça va donner un état de santé du NPD au Québec », admettait déjà en juillet le député Alexandre Boulerice.

« On est plusieurs à partager cette analyse qu’Outremont est hyperimportante pour le NPD, reconnaît sans ambages la candidate Sánchez. C’est historiquement important — la victoire de M. Mulcair a lancé un mouvement plus large pour les progressistes à Montréal [Québec solidaire et Projet Montréal ont élargi la brèche, note-t-elle]. Mais c’est aussi plus largement important pour l’avenir du parti. »

Joint lundi, le député Boulerice soulevait que le NPD « n’est pas dans un scénario de défaite. Mais si Outremont redevient libéral, ce serait un choc. Ça nous ferait mal, et il faudrait voir comment nous retrousser les manches. »

L’effet Singh

Les sondages actuels sont certes « inquiétants », avoue Mme Sánchez. « C’est clair que ça n’a pas été une année facile [pour le NPD] ». Plusieurs députés actuels ont annoncé qu’ils ne se représenteront pas. Les critiques contre le chef Singh se font entendre un peu partout.

« Le problème n’est pas avec le chef, dit Alexandre Boulerice. C’est plus que les gens se demandent qui est le chef… Et c’est un problème, parce qu’un chef doit être une locomotive, et que lui n’est pas assez connu [pour l’être]. En plus, il est accaparé par sa partielle en Colombie-Britannique. »

Même avant l’élection de M. Singh à la tête du NPD, des militants québécois avaient mis en garde contre les risques politiques d’élire un chef portant des signes religieux ostentatoires. La campagne de Julia Sánchez entend-elle l’écho de ces craintes ?

« Ce n’est pas une grosse inquiétude », répond Mme Sánchez. « Mais j’entends certaines personnes qui ont un malaise avec ça [le port du turban]. C’est un enjeu québécois, on ne peut pas le nier, étant donné le débat qu’on a encore sur ça. Mais honnêtement, ce que j’entends davantage des citoyens, ce sont les critiques contre le gouvernement Trudeau, son bilan environnemental, l’abandon de la réforme du mode de scrutin… »

En entrevue dans un café animé d’Outremont, Rachel Bendayan affirmait pour sa part mardi dernier qu’elle reçoit un tout autre message des gens avec qui elle parle. Nulle critique du bilan du gouvernement Trudeau, malgré ces 32 000 portes ? « Rien de particulier ne me vient à l’esprit », répond-elle prudemment. Et même : « Je sens un engouement pour les valeurs libérales, pour le gouvernement Trudeau, pour ses politiques », dit-elle.

En coulisses, l’équipe libérale reconnaît toutefois spontanément que l’achat du pipeline Trans Mountain par le gouvernement a suscité passablement de mécontentement au Québec. « Il faudra arriver avec une plateforme environnementale très forte pour contrer les effets négatifs du pipeline », indique une source.

Mais on ne croit pas pour autant que cela aura une grande influence le 25 février. « L’idée est d’avoir une victoire marquante, pour envoyer un message en vue de la générale », souhaite un stratège libéral.

« C’est une partielle qui aura un impact concret d’une façon ou d’une autre », pense Julia Sánchez. « Et tout le monde est conscient de ça », ajoute-t-elle en parlant plus spécifiquement des troupes néodémocrates.

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Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

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Akio Kashiwagi, John W. Gates, Tommy Renzoni, Phil Ivey, Kerry Packer ou encore Archie Karas… Ces noms ne vous évoquent rien? Ces légendaires joueurs de baccara ont brillé par leurs performances exceptionnelles. Multipliant les gains au fil des années, ils nous ont permis d’identifier quelques approches qui fonctionnent. Aujourd’hui, découvrez certains de leurs secrets:

Apprenez à marcher avant de courir

Premièrement, vous devez absolument connaître les règles du jeu. Avant de maîtriser les stratégies et autres astuces professionnelles du baccara, il faut vous familiariser avec les bases du jeu. Même les plus grands joueurs de l’histoire ont d’abord dû apprendre à jouer. Puis c’est à force de pratique et de stratégie qu’ils ont réussi à se perfectionner pour atteindre les sommets.

Commencez donc par étudier le but principal du jeu et la valeur des cartes. Découvrez aussi les différents types de paris (banquier, joueur ou égalité), apprenez à fixer et gérer votre bankroll, essayez de contrer l’avantage de la maison, etc. Ensuite, vous pourrez passer à une véritable stratégie de baccara. Il en existe beaucoup, à choisir selon les situations et vos aptitudes: systèmes 1-3-2-4, d’Alembert, Fibonacci, Labouchere ou encore Martingale.

Et contrairement à ces légendes qui jouaient dans des établissements physiques, vous avez la possibilité de tester des parties gratuites en ligne. Pratique pour vous exercer sans miser!

Gérez votre budget

Deuxièmement, vous devez fixer un budget et le respecter. Il est essentiel de jouer de manière responsable, afin d’éviter les situations délicates voire désastreuses. Par exemple, vous pouvez allouer 100 $ à votre session de jeu. Et une fois cette somme épuisée, quittez la table. Cela vous permettra de réduire vos pertes et même de protéger vos gains.

Si les grands joueurs de l’histoire du baccara ont pu multiplier leurs gains de façon aussi spectaculaire, ce n’est pas uniquement grâce à la chance. Même si elle a joué en leur faveur, une bonne gestion de leur bankroll leur a aussi permis d’optimiser leurs gains au fil des parties.

Misez sur le banquier

Comme expliqué, il existe trois types de paris au baccara: le joueur, la banque et l’égalité. De manière générale, vous ne pouvez pas vous tromper en misant sur le banquier. En effet, ce pari est gagnant dans plus de 50 % des cas. Toutefois, notez que l’établissement prélève alors une commission sur ces gains, afin de conserver un certain avantage.

De plus, il est important de capitaliser sur les séries. De ce fait, si vous gagnez en pariant sur le banquier, continuez à miser dessus. Mais attention, restez prudent et modéré. Sachez vous arrêter avant que ce pari ne devienne perdant. Ici encore, c’est un conseil que les joueurs légendaires ont eux-mêmes mis en pratique pendant leurs heures de gloire.

Jouez de courtes sessions

Enfin, il est mieux de jouer pendant de courtes sessions. Afin d’être plus performant au baccara, vous devez gérer votre temps correctement. Cela réduira aussi le phénomène d’accoutumance qui peut devenir néfaste s’il n’est pas maîtrisé.

Dans la mesure du possible, planifiez donc un certain nombre de parties à chaque session de jeu. Une fois ce nombre atteint, quittez la table de baccara. Même si vous êtes en train de gagner, soyez raisonnable et arrêtez de jouer.

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Denis Coderre propose un marché public dans le Vieux-Montréal

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Denis Coderre promet d’implanter un marché public au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, s’il est porté au pouvoir en novembre prochain. Cette proposition fait suite à une rencontre qu’il a eue la semaine dernière avec les commerçants du marché Bonsecours. Mais ceux-ci préviennent qu’ils ne souhaitent pas des étals de fruits et de légumes semblables à ceux des marchés Jean-Talon et Atwater.

« Ville-Marie a besoin d’un marché et le marché Bonsecours pourrait être un marché public, au même titre qu’Atwater et Jean-Talon », a soutenu Denis Coderre jeudi matin, alors qu’il présentait les candidats de son équipe dans les arrondissements de Rosemont–La Petite-Patrie et d’Outremont. Selon le candidat, ce projet permettrait de faire du marché Bonsecours un lieu de destination pour les touristes, mais aussi pour les Montréalais. Il a indiqué avoir rencontré l’ensemble des commerçants à ce sujet la semaine dernière.

Denis Coderre a précisé qu’il habitait non loin du marché Bonsecours et qu’il pourrait aller chercher ses fruits et légumes à pied. Au passage, il a affirmé que le bâtiment patrimonial était dans un état « pitoyable » et qu’il faudrait y voir.

Jointe par Le Devoir, Anne de Shalla, propriétaire de la boutique Signatures Québécoises du marché Bonsecours, confirme que les commerçants ont rencontré M. Coderre pour lui présenter leur vision d’avenir. Mais dans le plan d’affaire présenté au candidat à la mairie, il n’était pas envisagé que le marché Bonsecours devienne un marché de fruits et légumes uniquement, a-t-elle expliqué. Les commerçants souhaitent simplement que le marché Bonsecours soit doté de la même structure administrative que les marchés Atwater et Jean-Talon, a-t-elle indiqué.

« On voudrait gérer le marché Bonsecours nous-mêmes. On aimerait prendre la relève des fonctionnaires », a-t-elle dit en évoquant des lacunes telles que l’entretien des lieux et les heures d’ouverture jugées inadéquates par les commerçants. À l’heure actuelle, le marché Bonsecours abrite des boutiques de mode, d’artisanat et de bijoux.

« Notre vision, c’est de rendre le marché Bonsecours comme un marché public avec les mêmes droits que le marché Atwater ou le marché Jean-Talon », précise-t-elle. « On voudrait continuer avec les produits qu’on a déjà et ajouter des produits du terroir, mais on ne veut aucunement ressembler au marché Jean-Talon ou au marché Atwater pour ce qui est du contenu. »

Le marché Bonsecours, qui accueillait 15 commerces avant la pandémie, n’en compte plus que huit. Comme des espaces sont demeurés vacants, Mme de Shalla évoque la possibilité d’ajouter des boulangeries, charcuteries, des comptoirs de plats à emporter, des pop-up shops, ainsi que des boutiques proposant des produits du terroir. « On ne va pas se mettre à vendre des salades sur le parvis Bonsecours. Ce n’est pas ça l’objectif. »

En après-midi, Ensemble Montréal a soutenu que le projet de transformation du marché Bonsecours serait précisé à automne. « Quoi qu’il en soit, M. Coderre, qui a rencontré les marchands du marché Bonsecours, souhaite bien sûr répondre aux besoins exprimés par les commerçants », a indiqué Elizabeth Lemay, attachée de presse chez Ensemble Montréal.

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Nous sommes de retour»: les festivals d’été reprennent à Montréal

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Dans le quartier des spectacles, des tests de son étaient en cours vendredi soir sur la scène d’une comédie musicale — au deuxième jour du festival Juste pour rire. Les billets pour de nombreux spectacles en plein air gratuits du festival — limités par la réglementation COVID-19 — avaient trouvé preneurs.

Deux coins de rue plus loin, une centaine de personnes assistaient à une prestation acoustique du Isaac Neto Trio – dans le cadre du dernier week-end du Festival international Nuits d’Afrique, une célébration de la musique du continent africain et de la diaspora africaine.

Alors que la capacité des sites est limitée en raison de la pandémie de COVID-19, les organisateurs du festival se disent heureux d’être de retour, mais attendent avec impatience l’année prochaine en espérant que les restrictions aux frontières et les limites de capacité n’affecteront pas leurs plans.

Charles Décarie, le président-directeur général du Groupe Juste pour rire, a déclaré qu’il s’agissait d’une «année de transition» et que son équipe a conçu un festival en naviguant à travers les contraintes imposées par la Santé publique.

Lorsque la planification a commencé en février et mars, les organisateurs ont planché sur une multitude de scénarios avec différentes tailles de foule, allant de l’absence de spectateurs à la moitié de la capacité habituelle, a déclaré M. Décarie.

«Vous devez construire des scénarios, a-t-il expliqué. Vous devez planifier un peu plus que d’habitude parce que vous devez avoir des alternatives.»

Comme par le passé, les festivals incluent à la fois des spectacles en salle payants et des représentations en plein air gratuites. À l’extérieur, il y aura moins de scènes et des foules plus petites que dans les dernières années, a précisé M. Décarie. Les spectacles en salle fonctionneront à 30 % de leur capacité, tandis que les spectacles à l’extérieur auront environ 10 à 20 % de du nombre de spectateurs d’avant la pandémie.

«Normalement, nous accueillons environ un million de personnes pendant les festivals sur 15 jours, et cette année, nous serions heureux si 200 000 personnes nous rendent visite au cours des deux prochaines semaines», a indiqué M. Décarie.

Au Québec, les événements extérieurs ont une capacité maximale de 5000 personnes, qui doivent être divisées en sections distinctes de 500 personnes. Les événements en salle sont limités à 3500 spectateurs, qui doivent s’asseoir en sections de 250 personnes, avec des entrées et des toilettes séparées pour chaque section.

En raison des restrictions frontalières, que M. Décarie qualifie de «préoccupation majeure», certaines prestations sont filmées à New York et à Los Angeles et seront diffusées en ligne.

«C’est ainsi que nous avons pu joindre des talents internationaux, a-t-il déclaré. Nous avons décidé de changer notre façon de procéder, et nous sommes allés vers eux.»

Les spectacles en personne mettront pour leur part en vedette des artistes locaux, a-t-il déclaré.

D’autres festivals montréalais affirment également qu’ils prévoient de contourner les restrictions frontalières en se concentrant sur les artistes locaux.

Le Festival international Nuits d’Afrique présente des artistes locaux et des prestations enregistrées des années précédentes, a mentionné vendredi la directrice générale et co-fondatrice du festival, Suzanne Rousseau.

«Les premières nuits, en particulier, étaient incroyables», a-t-elle déclaré à propos du festival, qui a débuté le 6 juillet et se poursuit jusqu’à dimanche. Les artistes disaient: «C’est mon premier spectacle devant public depuis un an et demi».»

Le volet extérieur du festival consiste en deux petites scènes de style «cabaret», a commenté Mme Rousseau. Au lieu d’une scène principale, un spectacle son et lumière est projeté sur un bâtiment. Il présente des prestations filmées qui portent sur les 35 ans d’histoire du festival.

«Ce qui est important, c’est que les festivaliers puissent venir voir des spectacles en personne, a-t-elle déclaré. Et d’avoir des prestations en ligne pour les gens qui ne peuvent pas se rendre à Montréal ou qui ne peuvent pas voyager.»

Mme Rousseau a affirmé qu’elle espère conserver certains des volets en ligne dans les années à venir, mais qu’elle souhaite également organiser un festival plus important l’année prochaine.

«On est vraiment content d’avoir fait un festival cette année, ça nous prépare pour l’année prochaine, a-t-elle déclaré. Cela nous donne l’ambition d’être prêts à recevoir plus de monde, plus de performances et une expérience complète.»

Certains des grands festivals d’été de Montréal, dont le Festival international de Jazz de Montréal, ont été repoussés au mois de septembre. Mme Rousseau a toutefois soutenu qu’elle n’avait jamais envisagé de retarder l’édition de cette année du festival Nuits d’Afrique.

«C’est vraiment important d’être là pendant l’été. Il n’y avait aucun doute que nous allions le faire», a-t-elle déclaré.

Francis Bouchard, un porte-parole de Tourisme Montréal, un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du secteur touristique de la ville, a indiqué qu’avec les événements reportés, la période des festivals durera jusqu’en octobre de cette année. Il est encourageant, a-t-il dit, de constater que des festivals et des événements qui ont été reportés ou annulés l’année dernière soient de retour cet été et cet automne.

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