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Les médecins sont «prêts» à donner plus de place aux infirmières, selon McCann

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Après avoir longtemps résisté, les médecins sont désormais prêts à donner plus de place aux infirmières pour désengorger le système de santé, croit la ministre de la Santé, Danielle McCann. D’ici un an, on pourrait même voir des infirmières praticiennes spécialisées faire des diagnostics, selon elle.

« L’objectif, c’est que les infirmières praticiennes spécialisées (IPS) puissent utiliser toutes leurs compétences. Il y en a presque 500 en première ligne. Imaginez le potentiel ! Actuellement, elles doivent se fier au médecin, elles ne peuvent pas poser de diagnostic », a expliqué la ministre de la Santé en entrevue au Devoir. « Imaginez-vous si on dégage ça ! On a l’offre de service qui va être augmentée. »

Récemment, Danielle McCann a officiellement demandé au Collège des médecins de « regarder la possibilité » que les IPS puissent poser un diagnostic. Elle a aussi suggéré au Collège de modifier la règle voulant que les patients vus par une IPS soient tenus de rencontrer un médecin dans les 30 jours suivants.

« Ils doivent me revenir à court terme, dans les prochaines semaines, avec une proposition », dit-elle.

Cette réforme « va peut-être être une petite révolution de l’accès en première ligne », avance la ministre, qui n’exclut pas la possibilité que les IPS puissent commencer à faire des diagnostics d’ici un an. « On va essayer », dit-elle.

Les médecins réalisent que le système ne fonctionne pas. La population n’en peut plus, et je pense que les médecins, y compris la Fédération, [le] réalisent.

Tout en négociant avec le Collège des médecins, Danielle McCann a bon espoir de convaincre les omnipraticiens de changer la façon dont ils sont payés. Elle veut qu’ils prennent en charge plus de patients, mais ne soient pas obligés de les voir en personne. Avec le nouveau système, ils pourraient être consultés par téléphone sans en subir un préjudice financier, par exemple. « Ils sont prêts, on les a rencontrés », dit l’ancienne dirigeante de l’Agence de la santé de Montréal.

La méthode douce

Aux antipodes de Gaétan Barrette pour ce qui est de l’approche, la ministre de la Santé préconise clairement la méthode douce avec les médecins. Depuis son arrivée, elle n’a pas non plus imposé de pénalités aux médecins de famille qui n’avaient pas atteint leurs cibles pour le nombre de patients. Elle a aussi cédé dans le dossier de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) en abandonnant l’idée de rendre publics les noms des médecins qui surfacturent, ce qu’elle avait pourtant promis de faire en début de mandat.

La carotte sera-t-elle plus efficace que le bâton ? C’est le pari que fait Danielle McCann. « Quand je suis arrivée, le ministre était à couteaux tirés avec les fédérations médicales. C’est très important parce qu’on n’avance pas dans ce temps-là. J’ai instauré une collaboration. Le ton a changé », dit-elle.

« Les médecins réalisent que le système ne fonctionne pas. La population n’en peut plus, et je pense que les médecins, y compris la Fédération, [le] réalisent. » Son président, Louis Godin, « dit lui-même qu’il faut faire quelque chose », précise-t-elle.

Quand on lui fait remarquer que les médecins ont souvent résisté aux changements dans le passé, la ministre affirme qu’on verra des « changements graduels » et que le modèle sera « opérationnel d’ici la fin du mandat ».

« On veut soutenir nos médecins de famille. On veut qu’ils prennent en charge davantage de patients, mais on ne veut pas qu’ils s’épuisent. Au contraire qu’ils se déchargent, qu’ils délèguent à d’autres professionnels, dont les pharmaciens. Et qu’ils aient la possibilité dans la prise en charge du patient de consulter le médecin spécialiste sans être pénalisés. » Suivant cette logique, au lieu de voir 500 patients chacun par exemple, ils pourraient en voir 1000 parce que 50 % de leur temps serait libéré, explique-t-elle.

Rencontrée la journée de la publication d’une chronique remettant en question son leadership, elle n’a pas voulu dire quel était l’état de santé dudit leadership. « Vous en pensez quoi, vous ? », s’est-elle contentée de répondre avec un sourire en coin.

Délestée cet automne de trois gros dossiers — les négociations (confiées à Christian Dubé), les CHSLD (Marguerite Blais) et le cannabis (Lionel Carmant), la ministre de la Santé a consacré toute son énergie aux soins de première ligne. La CAQ a promis pendant la campagne que tous les Québécois malades allaient pouvoir avoir une consultation en moins de 90 minutes d’ici la fin du mandat, et c’est là d’abord que les changements se feront sentir, dit-elle.

« Ça ne s’est jamais fait au Québec », dit-elle. « Dégager un potentiel qu’on a chez les professionnels pour vraiment augmenter les services en première ligne. »

De l’air pour les infirmières

Or les effets de cette réforme ne se feront pas sentir demain matin. Que fera-t-elle d’ici là notamment pour aider les infirmières et les préposés aux bénéficiaires qui sont débordés ?

Des fonds « ciblés » seraient prévus dans le budget, avance la ministre. « On va aussi avoir des ressources d’appoint. Il faut attendre le budget pour être plus précis là-dessus. »

Des fonds seront ainsi débloqués pour embaucher des préposés aux bénéficiaires, des aides de service et des infirmières supplémentaires aux endroits où les besoins sont les plus criants.

« On ne peut pas nier qu’à certains endroits on est en dessous du ratio qu’on devrait avoir, vous comprenez, notamment dans certains CHSLD. Nous, on sait où. Donc on ne va pas ajouter des ressources à travers le Québec, mais là où on en a le plus besoin. »

La ministre caquiste a aussi demandé aux Centres intégrés de santé et de services sociaux (CISSS) de créer davantage de postes à temps plein pour les infirmières. Certains le faisaient déjà, mais elle souhaite que cela se généralise.

Elle n’a toutefois pas l’intention d’intervenir sur le salaire des préposés aux bénéficiaires, qui demeurent très bas. « On n’est pas à cet endroit-là en ce moment », dit-elle. Pour « valoriser la profession », elle souhaite qu’ils soient formés à même les CHSLD et parle de « payer leur formation, au moins une partie ».

Le budget au printemps devrait aussi inclure les 200 millions de dollars promis pour les soins à domicile, mais il faudra attendre plus longtemps avant qu’il y ait un coup de barre dans le domaine des services en santé mentale.

Danielle McCann veut d’abord consulter. Ainsi, un forum, ou une consultation à l’image de celle organisée par Marguerite Blais sur la proche aidance, sera organisé ce printemps. La ministre souhaite alors tester les idées des proches de personnes malades auprès des experts.

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Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

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Akio Kashiwagi, John W. Gates, Tommy Renzoni, Phil Ivey, Kerry Packer ou encore Archie Karas… Ces noms ne vous évoquent rien? Ces légendaires joueurs de baccara ont brillé par leurs performances exceptionnelles. Multipliant les gains au fil des années, ils nous ont permis d’identifier quelques approches qui fonctionnent. Aujourd’hui, découvrez certains de leurs secrets:

Apprenez à marcher avant de courir

Premièrement, vous devez absolument connaître les règles du jeu. Avant de maîtriser les stratégies et autres astuces professionnelles du baccara, il faut vous familiariser avec les bases du jeu. Même les plus grands joueurs de l’histoire ont d’abord dû apprendre à jouer. Puis c’est à force de pratique et de stratégie qu’ils ont réussi à se perfectionner pour atteindre les sommets.

Commencez donc par étudier le but principal du jeu et la valeur des cartes. Découvrez aussi les différents types de paris (banquier, joueur ou égalité), apprenez à fixer et gérer votre bankroll, essayez de contrer l’avantage de la maison, etc. Ensuite, vous pourrez passer à une véritable stratégie de baccara. Il en existe beaucoup, à choisir selon les situations et vos aptitudes: systèmes 1-3-2-4, d’Alembert, Fibonacci, Labouchere ou encore Martingale.

Et contrairement à ces légendes qui jouaient dans des établissements physiques, vous avez la possibilité de tester des parties gratuites en ligne. Pratique pour vous exercer sans miser!

Gérez votre budget

Deuxièmement, vous devez fixer un budget et le respecter. Il est essentiel de jouer de manière responsable, afin d’éviter les situations délicates voire désastreuses. Par exemple, vous pouvez allouer 100 $ à votre session de jeu. Et une fois cette somme épuisée, quittez la table. Cela vous permettra de réduire vos pertes et même de protéger vos gains.

Si les grands joueurs de l’histoire du baccara ont pu multiplier leurs gains de façon aussi spectaculaire, ce n’est pas uniquement grâce à la chance. Même si elle a joué en leur faveur, une bonne gestion de leur bankroll leur a aussi permis d’optimiser leurs gains au fil des parties.

Misez sur le banquier

Comme expliqué, il existe trois types de paris au baccara: le joueur, la banque et l’égalité. De manière générale, vous ne pouvez pas vous tromper en misant sur le banquier. En effet, ce pari est gagnant dans plus de 50 % des cas. Toutefois, notez que l’établissement prélève alors une commission sur ces gains, afin de conserver un certain avantage.

De plus, il est important de capitaliser sur les séries. De ce fait, si vous gagnez en pariant sur le banquier, continuez à miser dessus. Mais attention, restez prudent et modéré. Sachez vous arrêter avant que ce pari ne devienne perdant. Ici encore, c’est un conseil que les joueurs légendaires ont eux-mêmes mis en pratique pendant leurs heures de gloire.

Jouez de courtes sessions

Enfin, il est mieux de jouer pendant de courtes sessions. Afin d’être plus performant au baccara, vous devez gérer votre temps correctement. Cela réduira aussi le phénomène d’accoutumance qui peut devenir néfaste s’il n’est pas maîtrisé.

Dans la mesure du possible, planifiez donc un certain nombre de parties à chaque session de jeu. Une fois ce nombre atteint, quittez la table de baccara. Même si vous êtes en train de gagner, soyez raisonnable et arrêtez de jouer.

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Denis Coderre propose un marché public dans le Vieux-Montréal

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Denis Coderre promet d’implanter un marché public au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, s’il est porté au pouvoir en novembre prochain. Cette proposition fait suite à une rencontre qu’il a eue la semaine dernière avec les commerçants du marché Bonsecours. Mais ceux-ci préviennent qu’ils ne souhaitent pas des étals de fruits et de légumes semblables à ceux des marchés Jean-Talon et Atwater.

« Ville-Marie a besoin d’un marché et le marché Bonsecours pourrait être un marché public, au même titre qu’Atwater et Jean-Talon », a soutenu Denis Coderre jeudi matin, alors qu’il présentait les candidats de son équipe dans les arrondissements de Rosemont–La Petite-Patrie et d’Outremont. Selon le candidat, ce projet permettrait de faire du marché Bonsecours un lieu de destination pour les touristes, mais aussi pour les Montréalais. Il a indiqué avoir rencontré l’ensemble des commerçants à ce sujet la semaine dernière.

Denis Coderre a précisé qu’il habitait non loin du marché Bonsecours et qu’il pourrait aller chercher ses fruits et légumes à pied. Au passage, il a affirmé que le bâtiment patrimonial était dans un état « pitoyable » et qu’il faudrait y voir.

Jointe par Le Devoir, Anne de Shalla, propriétaire de la boutique Signatures Québécoises du marché Bonsecours, confirme que les commerçants ont rencontré M. Coderre pour lui présenter leur vision d’avenir. Mais dans le plan d’affaire présenté au candidat à la mairie, il n’était pas envisagé que le marché Bonsecours devienne un marché de fruits et légumes uniquement, a-t-elle expliqué. Les commerçants souhaitent simplement que le marché Bonsecours soit doté de la même structure administrative que les marchés Atwater et Jean-Talon, a-t-elle indiqué.

« On voudrait gérer le marché Bonsecours nous-mêmes. On aimerait prendre la relève des fonctionnaires », a-t-elle dit en évoquant des lacunes telles que l’entretien des lieux et les heures d’ouverture jugées inadéquates par les commerçants. À l’heure actuelle, le marché Bonsecours abrite des boutiques de mode, d’artisanat et de bijoux.

« Notre vision, c’est de rendre le marché Bonsecours comme un marché public avec les mêmes droits que le marché Atwater ou le marché Jean-Talon », précise-t-elle. « On voudrait continuer avec les produits qu’on a déjà et ajouter des produits du terroir, mais on ne veut aucunement ressembler au marché Jean-Talon ou au marché Atwater pour ce qui est du contenu. »

Le marché Bonsecours, qui accueillait 15 commerces avant la pandémie, n’en compte plus que huit. Comme des espaces sont demeurés vacants, Mme de Shalla évoque la possibilité d’ajouter des boulangeries, charcuteries, des comptoirs de plats à emporter, des pop-up shops, ainsi que des boutiques proposant des produits du terroir. « On ne va pas se mettre à vendre des salades sur le parvis Bonsecours. Ce n’est pas ça l’objectif. »

En après-midi, Ensemble Montréal a soutenu que le projet de transformation du marché Bonsecours serait précisé à automne. « Quoi qu’il en soit, M. Coderre, qui a rencontré les marchands du marché Bonsecours, souhaite bien sûr répondre aux besoins exprimés par les commerçants », a indiqué Elizabeth Lemay, attachée de presse chez Ensemble Montréal.

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Nous sommes de retour»: les festivals d’été reprennent à Montréal

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Dans le quartier des spectacles, des tests de son étaient en cours vendredi soir sur la scène d’une comédie musicale — au deuxième jour du festival Juste pour rire. Les billets pour de nombreux spectacles en plein air gratuits du festival — limités par la réglementation COVID-19 — avaient trouvé preneurs.

Deux coins de rue plus loin, une centaine de personnes assistaient à une prestation acoustique du Isaac Neto Trio – dans le cadre du dernier week-end du Festival international Nuits d’Afrique, une célébration de la musique du continent africain et de la diaspora africaine.

Alors que la capacité des sites est limitée en raison de la pandémie de COVID-19, les organisateurs du festival se disent heureux d’être de retour, mais attendent avec impatience l’année prochaine en espérant que les restrictions aux frontières et les limites de capacité n’affecteront pas leurs plans.

Charles Décarie, le président-directeur général du Groupe Juste pour rire, a déclaré qu’il s’agissait d’une «année de transition» et que son équipe a conçu un festival en naviguant à travers les contraintes imposées par la Santé publique.

Lorsque la planification a commencé en février et mars, les organisateurs ont planché sur une multitude de scénarios avec différentes tailles de foule, allant de l’absence de spectateurs à la moitié de la capacité habituelle, a déclaré M. Décarie.

«Vous devez construire des scénarios, a-t-il expliqué. Vous devez planifier un peu plus que d’habitude parce que vous devez avoir des alternatives.»

Comme par le passé, les festivals incluent à la fois des spectacles en salle payants et des représentations en plein air gratuites. À l’extérieur, il y aura moins de scènes et des foules plus petites que dans les dernières années, a précisé M. Décarie. Les spectacles en salle fonctionneront à 30 % de leur capacité, tandis que les spectacles à l’extérieur auront environ 10 à 20 % de du nombre de spectateurs d’avant la pandémie.

«Normalement, nous accueillons environ un million de personnes pendant les festivals sur 15 jours, et cette année, nous serions heureux si 200 000 personnes nous rendent visite au cours des deux prochaines semaines», a indiqué M. Décarie.

Au Québec, les événements extérieurs ont une capacité maximale de 5000 personnes, qui doivent être divisées en sections distinctes de 500 personnes. Les événements en salle sont limités à 3500 spectateurs, qui doivent s’asseoir en sections de 250 personnes, avec des entrées et des toilettes séparées pour chaque section.

En raison des restrictions frontalières, que M. Décarie qualifie de «préoccupation majeure», certaines prestations sont filmées à New York et à Los Angeles et seront diffusées en ligne.

«C’est ainsi que nous avons pu joindre des talents internationaux, a-t-il déclaré. Nous avons décidé de changer notre façon de procéder, et nous sommes allés vers eux.»

Les spectacles en personne mettront pour leur part en vedette des artistes locaux, a-t-il déclaré.

D’autres festivals montréalais affirment également qu’ils prévoient de contourner les restrictions frontalières en se concentrant sur les artistes locaux.

Le Festival international Nuits d’Afrique présente des artistes locaux et des prestations enregistrées des années précédentes, a mentionné vendredi la directrice générale et co-fondatrice du festival, Suzanne Rousseau.

«Les premières nuits, en particulier, étaient incroyables», a-t-elle déclaré à propos du festival, qui a débuté le 6 juillet et se poursuit jusqu’à dimanche. Les artistes disaient: «C’est mon premier spectacle devant public depuis un an et demi».»

Le volet extérieur du festival consiste en deux petites scènes de style «cabaret», a commenté Mme Rousseau. Au lieu d’une scène principale, un spectacle son et lumière est projeté sur un bâtiment. Il présente des prestations filmées qui portent sur les 35 ans d’histoire du festival.

«Ce qui est important, c’est que les festivaliers puissent venir voir des spectacles en personne, a-t-elle déclaré. Et d’avoir des prestations en ligne pour les gens qui ne peuvent pas se rendre à Montréal ou qui ne peuvent pas voyager.»

Mme Rousseau a affirmé qu’elle espère conserver certains des volets en ligne dans les années à venir, mais qu’elle souhaite également organiser un festival plus important l’année prochaine.

«On est vraiment content d’avoir fait un festival cette année, ça nous prépare pour l’année prochaine, a-t-elle déclaré. Cela nous donne l’ambition d’être prêts à recevoir plus de monde, plus de performances et une expérience complète.»

Certains des grands festivals d’été de Montréal, dont le Festival international de Jazz de Montréal, ont été repoussés au mois de septembre. Mme Rousseau a toutefois soutenu qu’elle n’avait jamais envisagé de retarder l’édition de cette année du festival Nuits d’Afrique.

«C’est vraiment important d’être là pendant l’été. Il n’y avait aucun doute que nous allions le faire», a-t-elle déclaré.

Francis Bouchard, un porte-parole de Tourisme Montréal, un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du secteur touristique de la ville, a indiqué qu’avec les événements reportés, la période des festivals durera jusqu’en octobre de cette année. Il est encourageant, a-t-il dit, de constater que des festivals et des événements qui ont été reportés ou annulés l’année dernière soient de retour cet été et cet automne.

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