Actualités
Couillard veut un référendum sur le mode de scrutin

Published
5 années agoon
By
admin
[ad_1]
Ce sera le statu quo ou l’appel aux urnes : le chef libéral Philippe Couillard a déclaré lundi que son parti serait prêt à convoquer un référendum pour s’assurer de bloquer toute tentative de réforme du mode de scrutin.
Dans une entrevue éditoriale au Devoir, le leader du Parti libéral du Québec a par ailleurs ressuscité son souhait de confier la gestion quotidienne du ministère de la Santé à une société d’État, en plus de mettre la population en garde contre la « révolte » que causerait selon lui un progrès environnemental mené sans « l’assentiment des communautés ».
Dans un échange sur la réforme du mode de scrutin, Philippe Couillard a été formel : « Ce genre de changement ne peut être adopté autrement qu’à l’unanimité de l’Assemblée nationale. »
Aucune loi ne prévoit la nécessité d’un tel consensus, a-t-il néanmoins reconnu. « [Mais] politiquement, en pratique, c’est ça », a-t-il insisté. « Il y a même des endroits où il y a des référendums là-dessus, en Colombie-Britannique notamment. »
Au Québec, faute d’obtenir « l’assentiment des partis politiques » — et donc du sien, puisque les trois autres partis représentés à l’Assemblée nationale appuient formellement une réforme du mode de scrutin —, « il faut demander au peuple de se prononcer sur une chose aussi fondamentale », a insisté le chef libéral.
Si son parti devait former un gouvernement minoritaire au lendemain des élections du 1er octobre et si les oppositions manoeuvraient pour faire adopter une réforme, Philippe Couillard n’hésiterait pas à replonger le Québec dans une campagne électorale portant sur cet enjeu. « On verra bien si le peuple veut aller en élection sur une priorité semblable alors qu’il y a tant d’autres priorités dans la société », a-t-il lancé.
Un référendum… et encore ?
En point de presse, quelques heures après son passage au Devoir, Philippe Couillard a finalement déclaré qu’il allait « laisser les référendums aux péquistes ». Or, une victoire populaire du « Oui » ne rallierait pas de facto les libéraux autour de la nécessité d’une réforme du mode de scrutin. « C’est une question hypothétique, je n’y répondrai pas, parce que ça dépend de la question qui serait posée à la population », a déclaré le chef libéral. Il s’est dit inquiet de la représentativité des régions et de la mise en candidature de « gens parachutés », issus des listes de candidats que fourniraient les partis sous un nouveau système électoral.
Les chefs caquiste et péquiste ont fait valoir la légitimité d’une réforme et se sont offusqués de la prise de position de leur adversaire, qu’ils ont assimilée à un « droit de veto ». « Il n’a pas ce droit-là, le Parti libéral, sur le Québec », a pesté François Legault. Jean-François Lisée a quant à lui dit estimer que « l’élection d’une majorité [de députés] des trois partis [d’opposition] donne le signal » de mener à bien la réforme. « On est trois partis à l’Assemblée nationale qui disent « Nous, on va le faire » alors lui, il se sent coincé », a aussi réagi la solidaire Manon Massé.
La gestion de la santé à une société d’État
Toujours dans son entretien au Devoir, Philippe Couillard s’est engagé à confier la gestion quotidienne du réseau de la santé à une société d’État dès un second mandat, à condition que le « niveau de maturité du réseau » le permette.
Il s’agit là d’un vieux souhait de l’ex-neurologue, qui avait exprimé cette vision lors de la course à la chefferie libérale, en 2011. « La destination, pour moi, demeure la bonne », a-t-il confirmé. La maturité du réseau qu’il a évoquée s’exprimera selon lui par la « mise en place du nouveau mode de financement des établissements » et du « déploiement complet des systèmes informatiques ».
Attention, cependant : la gestion de la santé par une société d’État ne va pas « radicalement changer les choses en terme de politisation de la santé ou d’imputabilité », a averti le chef libéral. « Les grandes orientations, les grandes tâches en chantier doivent demeurer du domaine des élus. »
Philippe Couillard a en outre plaidé pour l’intervention d’une personne « d’un autre horizon sur le milieu de la santé », en reconnaissant du même souffle que le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, a une « personnalité insistante ».
L’environnement et la crainte d’une révolte
Philippe Couillard a également vanté les efforts de son équipe pour réduire les émissions des gaz à effet de serre, que Québec souhaite faire passer à 20 % en deçà du niveau de 1990. Or, son gouvernement affiche un retard : les plus récentes données publiques, qui remontent à 2014, indiquent que le taux de réduction atteint 8 %.
Selon le chef libéral — qui aime rappeler l’attachement de ses voisins de Roberval à leurs « pick-up » —, il n’y a pas de quoi faire de l’environnement une priorité absolue. « Je considère que le milieu environnemental fait une erreur en pensant qu’il peut passer par-dessus les conséquences locales — dans les communautés, dans les régions — de certaines politiques qu’il veut pousser très fortement », a-t-il affirmé.
À son avis, le virage vert doit évoluer avec « l’assentiment » de la population. « Si on pousse ça dans la gorge de la population, la population va se révolter. D’ailleurs, c’est ce qui arrive actuellement. Regardez tout le monde au Canada qui abandonne, regardez l’Ontario à côté de nous qui abandonne la tarification du carbone », a-t-il lancé.
Aux journalistes du Devoir qui lui ont fait remarquer que sa campagne portera sans doute la plus lourde empreinte écologique — puisque le PLQ a décidé d’effectuer trois voyages en avion —, Philippe Couillard a fait valoir la primauté d’un argument autre que celui de l’environnement. « Il faut bien aller voir le monde », a-t-il affirmé.
Avec Guillaume Bourgault-Côté, Marco Bélair-Cirino et Améli Pineda
[ad_2]
Source link
You may like
-
Une table sud-africaine sacrée restaurant de l’année
-
Les aventuriers de Kids on the Moon
-
5 véloroutes au départ de Paris
-
Maternelles 4 ans: le moyen pour la fin
-
Michèle Audette témoigne de sa tentative de suicide pour demander un meilleur contrôle des armes
-
Comment «aider» Haïti aujourd’hui? | Le Devoir
Actualités
Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

Published
1 année agoon
juin 2, 2022By
admin
Akio Kashiwagi, John W. Gates, Tommy Renzoni, Phil Ivey, Kerry Packer ou encore Archie Karas… Ces noms ne vous évoquent rien? Ces légendaires joueurs de baccara ont brillé par leurs performances exceptionnelles. Multipliant les gains au fil des années, ils nous ont permis d’identifier quelques approches qui fonctionnent. Aujourd’hui, découvrez certains de leurs secrets:
Apprenez à marcher avant de courir
Premièrement, vous devez absolument connaître les règles du jeu. Avant de maîtriser les stratégies et autres astuces professionnelles du baccara, il faut vous familiariser avec les bases du jeu. Même les plus grands joueurs de l’histoire ont d’abord dû apprendre à jouer. Puis c’est à force de pratique et de stratégie qu’ils ont réussi à se perfectionner pour atteindre les sommets.
Commencez donc par étudier le but principal du jeu et la valeur des cartes. Découvrez aussi les différents types de paris (banquier, joueur ou égalité), apprenez à fixer et gérer votre bankroll, essayez de contrer l’avantage de la maison, etc. Ensuite, vous pourrez passer à une véritable stratégie de baccara. Il en existe beaucoup, à choisir selon les situations et vos aptitudes: systèmes 1-3-2-4, d’Alembert, Fibonacci, Labouchere ou encore Martingale.
Et contrairement à ces légendes qui jouaient dans des établissements physiques, vous avez la possibilité de tester des parties gratuites en ligne. Pratique pour vous exercer sans miser!
Gérez votre budget
Deuxièmement, vous devez fixer un budget et le respecter. Il est essentiel de jouer de manière responsable, afin d’éviter les situations délicates voire désastreuses. Par exemple, vous pouvez allouer 100 $ à votre session de jeu. Et une fois cette somme épuisée, quittez la table. Cela vous permettra de réduire vos pertes et même de protéger vos gains.
Si les grands joueurs de l’histoire du baccara ont pu multiplier leurs gains de façon aussi spectaculaire, ce n’est pas uniquement grâce à la chance. Même si elle a joué en leur faveur, une bonne gestion de leur bankroll leur a aussi permis d’optimiser leurs gains au fil des parties.
Misez sur le banquier
Comme expliqué, il existe trois types de paris au baccara: le joueur, la banque et l’égalité. De manière générale, vous ne pouvez pas vous tromper en misant sur le banquier. En effet, ce pari est gagnant dans plus de 50 % des cas. Toutefois, notez que l’établissement prélève alors une commission sur ces gains, afin de conserver un certain avantage.
De plus, il est important de capitaliser sur les séries. De ce fait, si vous gagnez en pariant sur le banquier, continuez à miser dessus. Mais attention, restez prudent et modéré. Sachez vous arrêter avant que ce pari ne devienne perdant. Ici encore, c’est un conseil que les joueurs légendaires ont eux-mêmes mis en pratique pendant leurs heures de gloire.
Jouez de courtes sessions
Enfin, il est mieux de jouer pendant de courtes sessions. Afin d’être plus performant au baccara, vous devez gérer votre temps correctement. Cela réduira aussi le phénomène d’accoutumance qui peut devenir néfaste s’il n’est pas maîtrisé.
Dans la mesure du possible, planifiez donc un certain nombre de parties à chaque session de jeu. Une fois ce nombre atteint, quittez la table de baccara. Même si vous êtes en train de gagner, soyez raisonnable et arrêtez de jouer.
Actualités
Denis Coderre propose un marché public dans le Vieux-Montréal

Published
2 années agoon
juillet 28, 2021By
admin
Denis Coderre promet d’implanter un marché public au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, s’il est porté au pouvoir en novembre prochain. Cette proposition fait suite à une rencontre qu’il a eue la semaine dernière avec les commerçants du marché Bonsecours. Mais ceux-ci préviennent qu’ils ne souhaitent pas des étals de fruits et de légumes semblables à ceux des marchés Jean-Talon et Atwater.
« Ville-Marie a besoin d’un marché et le marché Bonsecours pourrait être un marché public, au même titre qu’Atwater et Jean-Talon », a soutenu Denis Coderre jeudi matin, alors qu’il présentait les candidats de son équipe dans les arrondissements de Rosemont–La Petite-Patrie et d’Outremont. Selon le candidat, ce projet permettrait de faire du marché Bonsecours un lieu de destination pour les touristes, mais aussi pour les Montréalais. Il a indiqué avoir rencontré l’ensemble des commerçants à ce sujet la semaine dernière.
Denis Coderre a précisé qu’il habitait non loin du marché Bonsecours et qu’il pourrait aller chercher ses fruits et légumes à pied. Au passage, il a affirmé que le bâtiment patrimonial était dans un état « pitoyable » et qu’il faudrait y voir.
Jointe par Le Devoir, Anne de Shalla, propriétaire de la boutique Signatures Québécoises du marché Bonsecours, confirme que les commerçants ont rencontré M. Coderre pour lui présenter leur vision d’avenir. Mais dans le plan d’affaire présenté au candidat à la mairie, il n’était pas envisagé que le marché Bonsecours devienne un marché de fruits et légumes uniquement, a-t-elle expliqué. Les commerçants souhaitent simplement que le marché Bonsecours soit doté de la même structure administrative que les marchés Atwater et Jean-Talon, a-t-elle indiqué.
« On voudrait gérer le marché Bonsecours nous-mêmes. On aimerait prendre la relève des fonctionnaires », a-t-elle dit en évoquant des lacunes telles que l’entretien des lieux et les heures d’ouverture jugées inadéquates par les commerçants. À l’heure actuelle, le marché Bonsecours abrite des boutiques de mode, d’artisanat et de bijoux.
« Notre vision, c’est de rendre le marché Bonsecours comme un marché public avec les mêmes droits que le marché Atwater ou le marché Jean-Talon », précise-t-elle. « On voudrait continuer avec les produits qu’on a déjà et ajouter des produits du terroir, mais on ne veut aucunement ressembler au marché Jean-Talon ou au marché Atwater pour ce qui est du contenu. »
Le marché Bonsecours, qui accueillait 15 commerces avant la pandémie, n’en compte plus que huit. Comme des espaces sont demeurés vacants, Mme de Shalla évoque la possibilité d’ajouter des boulangeries, charcuteries, des comptoirs de plats à emporter, des pop-up shops, ainsi que des boutiques proposant des produits du terroir. « On ne va pas se mettre à vendre des salades sur le parvis Bonsecours. Ce n’est pas ça l’objectif. »
En après-midi, Ensemble Montréal a soutenu que le projet de transformation du marché Bonsecours serait précisé à automne. « Quoi qu’il en soit, M. Coderre, qui a rencontré les marchands du marché Bonsecours, souhaite bien sûr répondre aux besoins exprimés par les commerçants », a indiqué Elizabeth Lemay, attachée de presse chez Ensemble Montréal.

Actualités
Nous sommes de retour»: les festivals d’été reprennent à Montréal

Published
2 années agoon
juillet 28, 2021By
admin
Dans le quartier des spectacles, des tests de son étaient en cours vendredi soir sur la scène d’une comédie musicale — au deuxième jour du festival Juste pour rire. Les billets pour de nombreux spectacles en plein air gratuits du festival — limités par la réglementation COVID-19 — avaient trouvé preneurs.
Deux coins de rue plus loin, une centaine de personnes assistaient à une prestation acoustique du Isaac Neto Trio – dans le cadre du dernier week-end du Festival international Nuits d’Afrique, une célébration de la musique du continent africain et de la diaspora africaine.
Alors que la capacité des sites est limitée en raison de la pandémie de COVID-19, les organisateurs du festival se disent heureux d’être de retour, mais attendent avec impatience l’année prochaine en espérant que les restrictions aux frontières et les limites de capacité n’affecteront pas leurs plans.
Charles Décarie, le président-directeur général du Groupe Juste pour rire, a déclaré qu’il s’agissait d’une «année de transition» et que son équipe a conçu un festival en naviguant à travers les contraintes imposées par la Santé publique.
Lorsque la planification a commencé en février et mars, les organisateurs ont planché sur une multitude de scénarios avec différentes tailles de foule, allant de l’absence de spectateurs à la moitié de la capacité habituelle, a déclaré M. Décarie.
«Vous devez construire des scénarios, a-t-il expliqué. Vous devez planifier un peu plus que d’habitude parce que vous devez avoir des alternatives.»
Comme par le passé, les festivals incluent à la fois des spectacles en salle payants et des représentations en plein air gratuites. À l’extérieur, il y aura moins de scènes et des foules plus petites que dans les dernières années, a précisé M. Décarie. Les spectacles en salle fonctionneront à 30 % de leur capacité, tandis que les spectacles à l’extérieur auront environ 10 à 20 % de du nombre de spectateurs d’avant la pandémie.
«Normalement, nous accueillons environ un million de personnes pendant les festivals sur 15 jours, et cette année, nous serions heureux si 200 000 personnes nous rendent visite au cours des deux prochaines semaines», a indiqué M. Décarie.
Au Québec, les événements extérieurs ont une capacité maximale de 5000 personnes, qui doivent être divisées en sections distinctes de 500 personnes. Les événements en salle sont limités à 3500 spectateurs, qui doivent s’asseoir en sections de 250 personnes, avec des entrées et des toilettes séparées pour chaque section.
En raison des restrictions frontalières, que M. Décarie qualifie de «préoccupation majeure», certaines prestations sont filmées à New York et à Los Angeles et seront diffusées en ligne.
«C’est ainsi que nous avons pu joindre des talents internationaux, a-t-il déclaré. Nous avons décidé de changer notre façon de procéder, et nous sommes allés vers eux.»
Les spectacles en personne mettront pour leur part en vedette des artistes locaux, a-t-il déclaré.
D’autres festivals montréalais affirment également qu’ils prévoient de contourner les restrictions frontalières en se concentrant sur les artistes locaux.
Le Festival international Nuits d’Afrique présente des artistes locaux et des prestations enregistrées des années précédentes, a mentionné vendredi la directrice générale et co-fondatrice du festival, Suzanne Rousseau.
«Les premières nuits, en particulier, étaient incroyables», a-t-elle déclaré à propos du festival, qui a débuté le 6 juillet et se poursuit jusqu’à dimanche. Les artistes disaient: «C’est mon premier spectacle devant public depuis un an et demi».»
Le volet extérieur du festival consiste en deux petites scènes de style «cabaret», a commenté Mme Rousseau. Au lieu d’une scène principale, un spectacle son et lumière est projeté sur un bâtiment. Il présente des prestations filmées qui portent sur les 35 ans d’histoire du festival.
«Ce qui est important, c’est que les festivaliers puissent venir voir des spectacles en personne, a-t-elle déclaré. Et d’avoir des prestations en ligne pour les gens qui ne peuvent pas se rendre à Montréal ou qui ne peuvent pas voyager.»
Mme Rousseau a affirmé qu’elle espère conserver certains des volets en ligne dans les années à venir, mais qu’elle souhaite également organiser un festival plus important l’année prochaine.
«On est vraiment content d’avoir fait un festival cette année, ça nous prépare pour l’année prochaine, a-t-elle déclaré. Cela nous donne l’ambition d’être prêts à recevoir plus de monde, plus de performances et une expérience complète.»
Certains des grands festivals d’été de Montréal, dont le Festival international de Jazz de Montréal, ont été repoussés au mois de septembre. Mme Rousseau a toutefois soutenu qu’elle n’avait jamais envisagé de retarder l’édition de cette année du festival Nuits d’Afrique.
«C’est vraiment important d’être là pendant l’été. Il n’y avait aucun doute que nous allions le faire», a-t-elle déclaré.
Francis Bouchard, un porte-parole de Tourisme Montréal, un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du secteur touristique de la ville, a indiqué qu’avec les événements reportés, la période des festivals durera jusqu’en octobre de cette année. Il est encourageant, a-t-il dit, de constater que des festivals et des événements qui ont été reportés ou annulés l’année dernière soient de retour cet été et cet automne.

MAPEI Canada inaugure l’agrandissement de son usine à Laval, au Québec

Le Gala Elles reconnaissent célèbre les femmes remarquables de l’industrie de la construction

Préparez votre maison pour l’hiver afin d’éviter les réclamations d’assurance

Quatre façons de commencer à travailler dans le domaine des ventes

La Commission indépendante soutient le recours de la Cour suprême contre le déni des droits des non-francophones par le Québec

Justin Trudeau est un raciste contre les Noirs et les Premières Nations – 14 signes

Enfants aux études loin de la maison : Trois conseils pour veiller à la santé de leurs finances

Règles et règlements que toutes les entreprises canadiennes doivent connaître

Épargnez pour l’avenir grâce à nos trucs financiers pour la rentrée

Efficacité énergétique: 10 façons économiques de l’améliorer

Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

Retard de vol : le devoir de la compagnie envers ses passagers

Nostalgia and much more with Starburst XXXtreme

Même les jeunes RÉPUBLIQUES se lassent du capitalisme, selon les sondeurs américains — RT USA News

« Aucune crise climatique ne causera la fin du capitalisme ! »

Innovation : le capitalisme « responsable », faux problème et vraie diversion

Vers la fin du Capitalocène ?

Le “capitalisme viral” peut-il sauver la planète ?

Livre : comment le capitalisme a colonisé les esprits

Patrick Artus : « Le capitalisme d’aujourd’hui est économiquement inefficace »

Body found after downtown Lethbridge apartment building fire, police investigating – Lethbridge

Comment aider un bébé à développer son goût

Head of Toronto Community Housing placed on paid leave

Salon du chocolat 2018: les 5 temps forts

This B.C. woman’s recipe is one of the most popular of all time — and the story behind it is bananas

Gluten-Free Muffins

Condo developer Thomas Liu — who collected millions but hasn’t built anything — loses court fight with Town of Ajax

27 CP Rail cars derail near Lake Louise, Alta.

Man facing eviction from family home on Toronto Islands gets reprieve — for now

We Try Kin Euphorics and How to REALLY Get the Glow | Healthyish

Ontario’s Tories hope Ryan Gosling video will keep supporters from breaking up with the party

Renaud Capuçon, rédacteur en chef du Figaroscope

Ontario Tories argue Trudeau’s carbon plan is ‘unconstitutional’

100 years later, Montreal’s Black Watch regiment returns to Wallers, France

Paris : chez Cécile Roederer co-fondatrice de Smallable

Trudeau government would reject Jason Kenney, taxpayers group in carbon tax court fight

Ford Ranger Raptor, le pick-up roule des mécaniques

Le Forex devient de plus en plus accessible aux débutants

The Bill Gates globalist vaccine depopulation agenda… as revealed by Robert F. Kennedy, Jr.

Province’s push for private funding, additional stops puts Scarborough subway at risk of delays
Trending
-
Anglais5 années ago
Body found after downtown Lethbridge apartment building fire, police investigating – Lethbridge
-
Santé Et Nutrition3 années ago
Comment aider un bébé à développer son goût
-
Anglais5 années ago
Head of Toronto Community Housing placed on paid leave
-
Styles De Vie5 années ago
Salon du chocolat 2018: les 5 temps forts
-
Anglais5 années ago
This B.C. woman’s recipe is one of the most popular of all time — and the story behind it is bananas
-
Santé Et Nutrition5 années ago
Gluten-Free Muffins
-
Anglais5 années ago
Condo developer Thomas Liu — who collected millions but hasn’t built anything — loses court fight with Town of Ajax
-
Anglais5 années ago
27 CP Rail cars derail near Lake Louise, Alta.