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Pourquoi la mode doit se réinventer

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EN IMAGES – Sous l’influence de la jeune génération, la quête d’une création originale – mais pas affranchie du passé – est de nouveau d’actualité.

«Monsieur, il a copié.» L’accusation ne vient pas d’un élève de collège zélé mais de deux jeunes New-Yorkais qui, de leur compte Instagram (@diet_prada), terrorisent l’industrie de la mode. En cause? Les mauvaises habitudes des marques se contentant trop souvent d’imiter le voisin, de plagier leurs prédécesseurs ou de dupliquer des archives oubliées… sans même prendre conscience du problème moral qui peut en découler. Outre ce compte, de plus en plus de représentants de la jeune génération épinglent sur les réseaux sociaux les «emprunts» des collections actuelles en les comparant aux modèles originaux, tandis que dans la vraie vie, les expositions retraçant le parcours de couturiers influents ou de stylistes des décennies passées font un carton auprès des moins de 25 ans.

Si cet intérêt des millennials pour l’histoire de la mode est sans précédent, il surprend d’autant plus que leurs aînés se montraient jusqu’ici relativement indifférents à la question… quand ils ne s’étaient pas résignés à une création tournant en boucle au prétexte que «tout a déjà été fait».

Faut-il croire cette sentence de Goethe, auteur préféré de Karl Lagerfeld, «Nous ne vivons que par le passé, et le passé nous perd»? Pas si sûr. Tirer l’inspiration d’hier est un procédé aussi vieux que le prêt-à-porter – on pourrait même remonter aux origines de la couture et aux toges antiques de Mme Grès! – qui se limite à réinterpréter l’histoire ancienne (le XVIIIe siècle en particulier). Faire référence à un passé récent date probablement de 1971 et de la célèbre collection «Libération» d’Yves Saint Laurent, réactualisant l’allure de la Parisienne des années 1940 non sans provoc. Dès lors, les tabous tombent, les années 1980 puis les années 1990 revisitent par cycles les périodes vestimentaires de l’après-guerre, l’Art déco laissant place aux imprimés seventies, l’orientalisme des années 1910 aux couettes des sixties… On appelle ça encore le rétro.

Dans les années 2000, le champ sémantique bascule et, avec lui, la création: c’est l’apparition du vintage. Petit à petit, le luxe s’engouffre dans la brèche et les «petites mains» des ateliers d’antan deviennent des chineurs en puissance, louant ou achetant des vêtements griffés dans les magasins de seconde main. Dans son bureau plein de ces trésors, le designer en chef sélectionne ici une emmanchure, là un zip et recrée d’après l’existant. Seulement, à force de découper des pièces chinées dont on ignore le plus souvent la griffe, à force de coller sur des moodboards des images dont on ne connaît plus l’auteur (par manque de connaissance et de temps), on finit par recopier tout simplement. Avant de condamner nos contemporains, admettons que cette technique de cadavre exquis n’est pas nouvelle. Si on a longtemps entretenu le mythe du couturier drapant le tissu sur le corps de sa muse, la réalité est plus triviale: «Dans les années 1930 chez Jean Patou, c’étaient Alphonsine et Marthe, les premières d’atelier, qui achetaient les croquis après qu’on leur a donné vaguement le thème, puis qui réalisaient les toiles, raconte Karl Lagerfeld. Patou – mais Gabrielle Chanel, c’était pareil! – restait assis tandis qu’elles présentaient les toiles et il disait: “Prenez la manche de ça, le col de celle-là”, etc. Et c’est tout ce qu’il faisait!»

«Ce qui est urgent à mes yeux, c’est ce que je veux dire»

Alessandro Michele

Au XXIe siècle, l’aboutissement de ce remix généralisé conduit à l’hégémonie de la fast fashion qui, dans l’indifférence générale, pille la créativité des collections aussitôt le défilé achevé. Suite logique, la «copie» trône dans les vitrines H&M et Zara des centres commerciaux saturant l’œil du public, quand l’«original», commercialisé deux mois plus tard, n’est plus tellement désirable… Si, il y a quatre ans, l’essor des réseaux sociaux a d’abord semblé exacerber le phénomène (en diffusant massivement les images aussitôt plagiées sur d’autres marchés), des (jeunes) voix ont rapidement commencé à dénoncer cet état de fait. En tête, Diet Prada suivi aujourd’hui par 700.000 abonnés et par tous les acteurs de l’industrie en profil caché ou de façon officielle. Évidemment, le duo à l’humour potache (et à la solide éducation de mode), galvanisé par son succès, a tendance à jouer les justiciers. Ainsi, le récent débat sur Jacquemus: Diet Prada sous-entendait dans un post que le styliste français s’était inspiré d’une capeline fabriquée par un artisan mexicain pour une jeune marque inconnue au bataillon. Une accusation tirée par les cheveux et contestée par l’intéressé mais aussi par les followers non dénués de libre arbitre.

Sans verser dans la chasse aux sorcières, certaines initiatives tendant à rendre à César ce qui lui appartient ont été plébiscitées par le jeune public. Tel est le cas des deux expositions parisiennes autour de l’œuvre de Martin Margiela (dont l’influence est indéniable sur la production actuelle) qui ont ouvert avant l’été au Musée des arts décoratifs et au Palais Galliera. Jamais, là, on ne vise à dénoncer. Margiela lui-même a toujours dit que son «œuvre» n’aurait pas existé sans celle de Rei Kawakubo de Comme des Garçons. De même, dans l’histoire de l’art, que serait Picasso sans le Greco? David Hockney sans Picasso?

Reste à définir les contours de ces emprunts. Désormais, la culture de «l’appropriation» s’impose. L’un des premiers à avoir popularisé ce terme est Alessandro Michele chez Gucci. De ses multiples influences (Renaissance, punk, anticipation, etc.), le Romain a fait un style à la fois puissamment commercial et chargé en références qu’il ne cite pas toujours… mais ne cache pas non plus.

Pour exemple, en mai 2017, quelques heures après son défilé croisière, un de ses looks était comparé sur tous les réseaux à une tenue créée dans les années 1980 par Dapper Dan. Ce tailleur de Harlem s’était rendu célèbre pour habiller rappeur et boxeurs de l’époque en détournant les logos des grandes griffes européennes. Michele reproduisait donc cette pièce initialement couverte du (faux) Monogram Louis Vuitton en une version intégralement imprimée du (vrai) logo double G de Gucci… Comment s’est-il justifié auprès des détracteurs? En s’offrant les services de Dapper Dan pour sa campagne publicitaire de l’hiver dernier, puis en payant à ce monsieur élégant de 80 ans (qui avait dû fermer boutique suite aux différents procès de contrefaçons en 1990) une nouvelle adresse à Harlem inaugurée en grande pompe en avril dernier. En juillet, c’était le lancement de la première collection signée Gucci-Dapper Dan. Bref, une belle opération commerciale plutôt qu’une entreprise de contrition. «Pour moi, retravailler le passé encore et encore est un moyen de ne pas banaliser les vêtements, de ne pas être obsédé par les longueurs d’ourlets, dit Alessandro Michele. Ce qui m’intéresse, c’est de raconter une histoire et, si vous y voyez des fragments d’autres histoires, faites comme chez vous. Je n’ai pas à me justifier. Ce qui est urgent à mes yeux, c’est ce que je veux dire.»

Rendre hommage au fondateur (voire à ceux qui lui ont succédé) tout en imprimant sa touche personnelle.

D’autres ne détestent pas jouer avec les nerfs des redresseurs de torts d’Instagram comme Demna Gvasalia, directeur artistique de Balenciaga et leader du collectif Vetements. Rappelons que ce dernier label a connu un succès fulgurant depuis 2015, avec une esthétique, une façon de penser la stratégie de marque et une approche de la scénographie des défilés rappelant la grande période de Martin Margiela. Il faudra attendre quelques années avant de juger la contribution de Vetements à l’histoire, au-delà du phénomène indéniable. Mais on sourit quand il ouvre son dernier défilé (début juillet) avec un tee-shirt tatouage dont on attribue le mérite à Jean Paul Gaultier… qui lui-même concède sans problème l’avoir vu ailleurs. L’enfant terrible de la mode ne peut que saluer cette ultime provocation.

Restons sur le cas de M. Gvasalia dont les collections chez Balenciaga sont à son tour copieusement copiées! D’où vient ici son inspiration? En partie des archives de la griffe de Cristobal Balenciaga, le couturier des couturiers… Les mauvaises langues disent que le maître doit se retourner dans sa tombe, les fans, nombreux, admirent les robes cocon 2018, réinterprétation du patrimoine. De même, l’excellente fréquentation de l’exposition «L’Œuvre au noir» au Musée Bourdelle l’an dernier est à mettre en partie au crédit du directeur artistique actuel.

(Bien) avant M. Gvasalia, il y eut aussi Nicolas Ghesquière, qui a œuvré à la renaissance de Balenciaga. Les douze ans de son office restent gravés dans la mémoire des initiés et ses pièces sont considérées en vintage comme des valeurs sûres, aux côtés de celles d’Yves Saint Laurent et d’Alaïa. Depuis 2013 chez Louis Vuitton, il se félicite de l’intérêt de ce nouveau public. «On sent cette attente d’une création originale qui est, pour nous directeurs artistiques, le minimum du job. J’ai visité les deux expositions Margiela que j’ai trouvées extraordinaires et dans un timing parfait, admire-t-il. Citer d’autres créateurs – pour moi, ceux qui m’ont inspiré il y a vingt-trente ans -, on le fait tous, je ne vais pas mentir. Mais il faut aussi être discipliné et savoir se dire “je ne peux pas aller là, ce territoire appartient à quelqu’un d’autre”. Le propre de la création est la culture, une culture de mode et pas seulement. Il faut avoir la curiosité de chercher l’origine des choses, d’identifier un style. Reconnaître l’univers de quelqu’un, c’est génial. C’est ce dont rêvent tous les designers: être reconnu pour son style plus que par son nom.»

Si on ne reviendra pas sur le cas Karl Lagerfeld (il faudrait un numéro entier pour expliquer comment KL a réveillé une marque historique, comment il est devenu Coco à la place de Coco), pour d’autres comme Anthony Vaccarello chez Saint Laurent ou Maria Grazia Chiuri chez Dior, l’exercice est tout aussi complexe. La quadrature du cercle? Rendre hommage au fondateur (voire à ceux qui lui ont succédé) tout en imprimant sa touche personnelle. Passer le relais (ils ne sont que des maillons dans la vie de ces griffes) et en même temps ancrer son travail dans le moment présent. Dans ce genre de cas, plutôt que «rééditer» un vêtement emblématique qui vieillit qu’on le veuille ou non, les directeurs artistiques préfèrent «broder» sur un détail (la ligne bar chez Dior par exemple) ou un imprimé (les fleurs 2019 de Saint Laurent sont tirées des robes maison des années 1980). Mieux encore: se référer à l’iconographie. Saint Laurent, c’est Helmut Newton, c’est Sieff. Dior, c’est Blumenfeld. Chloé, c’est Bourdin et Turbeville. Balenciaga, Avedon et David Bailey. Vuitton, Bert Stern. Chanel, Doisneau… Des images intemporelles qui parlent aux designers amenés à reprendre ces grandes maisons. Telle est l’origine de cette série signée de Matthieu Bourel. En intervenant sur ces photographies cultes, l’artiste nous montre en quoi ces images ont marqué l’inconscient collectif et influencent encore les créateurs.

D’après Karl Lagerfeld, Goethe aurait également dit: «Faire un meilleur avenir avec les éléments élargis du passé.» À défaut de demain, la mode, ce phénix, sait fabriquer un présent. En témoignent la bonne santé du secteur et ses chiffres insolents.

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MAPEI Canada inaugure l’agrandissement de son usine à Laval, au Québec

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LAVAL, QC, le 15 sept. 2023 /CNW/ – MAPEI Inc., un renommé fabricant de produits pour l’industrie du bâtiment au Canada depuis 1978 faisant partie du Groupe MAPEI, a inauguré hier soir l’agrandissement de son installation phare à Laval, au Québec, lors d’une cérémonie qui célébrait l’ouverture officielle de la nouvelle usine de production de poudre et du nouvel entrepôt.

Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI, ainsi que Simona Giorgetta, actionnaire et membre du conseil d'administration. (Groupe CNW/MAPEI Inc.)
Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI, ainsi que Simona Giorgetta, actionnaire et membre du conseil d’administration. (Groupe CNW/MAPEI Inc.)

« Maintenant que les lignes de poudres et d’adjuvants sont opérationnelles, MAPEI Laval figure parmi les usines les plus grandes et les plus technologiquement avancées du réseau de MAPEI Amérique du Nord », dit Marco Roma, directeur général de MAPEI Canada. « Cette nouvelle installation nous permet de répondre aux besoins croissants du nord-est du Canada en matière de matériaux de construction, d’adjuvants pour béton et d’agents de mouture pour ciment », ajoute-t-il.

Entre autres, l’augmentation de la production à Laval créera un effet d’entraînement qui permettra une production plus équilibrée au Canada.

« En améliorant notre capacité à déplacer la production en conséquence pour une plus grande localisation entre nos usines du Québec, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique, nous pouvons réduire notre empreinte carbone partout au pays en effectuant des livraisons plus rapides sur des distances plus courtes lors du transport des fournitures vers les chantiers de construction », dit M. Roma.

Maximiser l’utilisation de matériaux locaux fait partie du pilier MAPEI qui vise à améliorer la durabilité dans le domaine de la construction. Cela fait partie de la philosophie qui a permis à MAPEI de participer à la construction et à la rénovation de certains des bâtiments et infrastructures les plus remarquables du Canada, allant du Centre aquatique Minoru à Richmond, en Colombie-Britannique, au Centre Avenir à Moncton, au Nouveau-Brunswick, en passant par la station Union à Toronto, en Ontario, pour n’en nommer que quelques-uns.

« Notre présence au Canada est née d’une occasion liée aux Jeux olympiques de Montréal qui ont eu lieu en 1976 », disent Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI. « Nous avons été appelés à fournir des produits pour l’installation des pistes d’athlétisme olympiques. Nous avons eu un effet tellement positif au pays que nous avons décidé en 1978 d’investir et d’ouvrir, ici même à Laval, notre première usine hors de l’Italie. Ce fut le début de notre stratégie d’internationalisation qui définit toujours l’entreprise aujourd’hui. Au cours des cinq dernières années, nous avons décidé de diversifier les marchés en ajoutant des lignes de produits qui n’étaient pas offertes au Canada à l’origine, mais qui étaient déjà bien étendues et rigoureusement testées par MAPEI en Europe, comme les additifs et les revêtements de sol industriels. Voilà ce qui a mené au projet d’agrandissement. »

« MAPEI Amérique du Nord avance à grands pas », dit Luigi Di Geso, président-directeur général de MAPEI Amérique du Nord. « Cet ajout répondra à une croissance qui a commencé ici même, dans une installation alors modeste qu’on ne reconnaitrait pas aujourd’hui, et qui était pourtant à la fine pointe de la technologie il y a quelques années seulement. »

La nouvelle ligne de production de poudre produira annuellement 30 000 tonnes par quart de travail. La nouvelle ligne de production d’adjuvants produira annuellement 7 000 tonnes par quart de travail. L’agrandissement de l’espace d’entreposage pourra dorénavant rendre plus efficace la distribution de toute cette production : 4 715 m² (50,750 pi²) supplémentaires s’ajoutent aux 11 892 m² (128,000 pi²) que constituent l’usine de polymères, le centre d’excellence en R. et D. pour la construction en béton et le siège social canadien, qui sont également sur place.

« Avec 11 lignes de produits couvrant tous les aspects de la construction, MAPEI Inc. est prête à atteindre des sommets encore plus élevés que jamais en aidant à construire le Canada de manière plus durable, et ce pour de nombreuses années à venir », ajoute M. Di Geso.

Parmi les invités d’honneur qui ont pris la parole au cours de la cérémonie, Son Excellence Andrea Ferrari, Ambassadeur d’Italie au Canada, et l’Honorable Tony Loffreda, Sénateur au Sénat du Canada.

L’année 2023 marque le 45e anniversaire de MAPEI au Canada, sous le nom de MAPEI Inc. En plus de l’emplacement à Laval, MAPEI Canada possède des installations de production à Maskinongé, au Québec, à Brampton, en Ontario, et à Delta, en Colombie-Britannique, ainsi qu’un centre de distribution à Calgary, en Alberta. Elle peut également se vanter de ses Services techniques, présents partout au pays et sans égal dans l’industrie. Pour plus de renseignements, consultez le www.mapei.ca.Au sujet de MAPEI

Fondée en 1937 à Milan, MAPEI est aujourd’hui l’un des principaux fabricants mondiaux de produits chimiques pour l’industrie du bâtiment et a contribué à la construction de certaines des créations architecturales et d’infrastructure les plus importantes au monde. Avec 102 filiales exerçant leurs activités dans 57 pays et 90 usines de fabrication dans 35 nations, le Groupe MAPEI emploie environ 11 900 personnes dans le monde. Les fondements du succès de l’entreprise sont la spécialisation, l’internationalisation, la recherche et le développement, ainsi que la durabilité.

MAPEI Amérique du Nord, dont le siège social est situé à Deerfield Beach, en Floride, compte les filiales MAPEI Corporation (pour les États-Unis), MAPEI Inc. (pour le Canada) et MAPEI Caribe (pour Porto Rico et les autres îles des Caraïbes). Celles-ci regroupent 28 installations où travaillent environ 1 800 employés. Les installations MAPEI sont certifiées selon les normes de qualité ISO 9001 et ISO 14001. MAPEI est un fabricant soucieux de l’environnement qui réinvestit 5 % de ses recettes dans la R. et D., et qui offre également de la formation aux architectes, aux entrepreneurs, aux installateurs et aux distributeurs par l’entremise de l’Institut technique MAPEI. Pour en savoir plus sur MAPEI, consultez le www.mapei.com ou composez le 1 800 42-MAPEI (1 800 426-2734).

SOURCE MAPEI Inc.

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Le Gala Elles reconnaissent célèbre les femmes remarquables de l’industrie de la construction

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MONTRÉAL, le 18 sept. 2023 /CNW/ – Les Elles de la construction sont fières d’annoncer le retour du Gala Elles reconnaissent, un événement destiné à célébrer les femmes exceptionnelles qui ont joué un rôle primordial dans l’industrie de la construction. Cette soirée promet glamour, réseautage et reconnaissance, offrant aux invitées une opportunité unique d’assister à une cérémonie de remise de prix spéciale mettant en valeur les femmes les plus remarquables et influentes du secteur. Le Gala aura le privilège de compter sur deux présidentes d’honneur : Lyne Laperrière, Directrice des ressources humaines chez Demospec Groupe, et Danièle Henkel, Présidente de Henkel Média et Fondatrice des entreprises Danièle Henkel Inc.

Le Gala Elles reconnaissent se tiendra le jeudi 5 octobre 2023, de 17h30 à 21h, au Théâtre Paradoxe situé au 5959 Boulevard Monk, Montréal, QC, H4E 3H5. Des discours mettront en lumière le parcours inspirant et les obstacles surmontés par des femmes pour réaliser leurs rêves dans le domaine de la construction.

« Le Gala Elles reconnaissent est une opportunité de favoriser le réseautage et de renforcer les liens au sein de notre industrie en rassemblant des professionnels influents et des entrepreneurs inspirants. Cet événement a pour objectif de reconnaître et de célébrer les réalisations exceptionnelles des femmes dans l’industrie de la construction. Depuis des décennies, elles ont joué un rôle significatif dans le succès et l’innovation de ce secteur, et il est grand temps de leur accorder la reconnaissance qu’elles méritent amplement. »
– Lyne Laperrière, Directrice des ressources humaines, Demospec Groupe

« Nous sommes fiers d’honorer ces femmes qui ont apporté une contribution inestimable au secteur de la construction et qui sont une source d’inspiration pour les générations futures. Le Gala Elles reconnaissent est une occasion unique de célébrer leurs réalisations et de se laisser inspirer par leurs brillants parcours. »
– Danièle Henkel, Présidente de Henkel média et Fondatrice des entreprises Danièle Henkel inc.

Le Gala Elles reconnaissent est soutenu par de nombreux commanditaires, dont Groupe RP. Pour de plus amples informations, rendez-vous sur le site web officiel de l’événement sur www.ellesdelaconstruction.com.

SOURCE Les Elles de la construction

Renseignements: Relations de presse ; Yasmina Wahdani, 514-209-0799, ywahdani@exponentielconseil.com ; Gaëlle Gilles, 438 404-3553, communications@ellesdelaconstruction.com

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Préparez votre maison pour l’hiver afin d’éviter les réclamations d’assurance

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(NC) Se prélasser au coin du feu. Construire un fort dans la cour enneigée. Regarder un bon film au chaud. Au Canada, on peut faire une foule de choses agréables quand on passe l’hiver à la maison. Mais présenter une réclamation d’assurance habitation n’en fait pas partie.

Suivez nos conseils pour bien préparer votre maison pour un autre hiver enneigé et en profiter pleinement sans vous inquiéter des imprévus.

Inspectez, dégagez et nettoyez l’extérieur de la maison
Vous assurer que l’extérieur est bien entretenu est une étape clé de la préparation de votre maison pour l’hiver. Avant que les températures glaciales ne deviennent une réalité quotidienne, débarrassez-vous des feuilles et autres débris qui se sont accumulés dans les gouttières pour empêcher la formation de barrières de glace pendant l’hiver. Videz et fermez les conduites d’eau extérieures pour éviter les dégâts d’eau causés par le gel et l’éclatement des tuyaux.

Il est maintenant temps d’inspecter les coupe-froid autour des portes et des fenêtres. Trouver et réparer les fissures et les interstices aide à prévenir les pertes de chaleur et la hausse de votre facture d’électricité, tout en préservant l’intégrité architecturale de votre maison.

Vérifiez la sécurité à l’intérieur de la maison
La sécurité incendie et la qualité de l’air à l’intérieur de la maison sont importantes tout au long de l’année, mais l’ajout d’une vérification à votre liste de préparation pour l’hiver peut vous assurer que tout est en parfait état.

Vérifiez le fonctionnement de vos détecteurs de fumée et de monoxyde de carbone. Et pendant que vous y êtes, prenez note de la date d’expiration de chaque détecteur. Selon le modèle, on devrait les remplacer tous les cinq à dix ans.

Ensuite, assurez-vous que vos extincteurs sont en bon état de fonctionnement et facilement accessibles. Si vous n’en avez pas, ajoutez-les en priorité à votre liste d’achats. En compagnie des autres membres de la famille, prenez le temps d’apprendre quand et comment vous en servir correctement.

Par souci de sécurité, vous pouvez également envisager de vous procurer une trousse de mesure du radon à long terme, qui comprend un détecteur. La ventilation, les points d’entrée, les drains et même la composition du sol peuvent avoir des répercussions sur votre exposition au radon, un gaz potentiellement cancérigène créé lorsque l’uranium présent à l’état naturel se désagrège. L’étage le plus bas de la maison est l’endroit idéal pour installer un détecteur de radon. Surveillez-le régulièrement pour votre sécurité et celle de votre famille.

Inspectez votre générateur d’air chaud et vos autres appareils de chauffage
Compte tenu de l’arrivée imminente de l’hiver et du temps froid, il est essentiel de faire des vérifications de routine et de voir à l’entretien de votre générateur d’air chaud pour vous assurer qu’il fonctionne efficacement et en toute sécurité, afin que vous puissiez rester bien au chaud pendant toute la saison froide.

Pour procéder vous-même à une inspection de base, vérifiez que la zone autour du générateur d’air chaud est exempte d’objets et de débris, examinez les tuyaux et les raccords pour déceler tout signe de dégradation et assurez-vous de remplacer les filtres selon le calendrier recommandé par le fabricant. Une inspection et un nettoyage annuels par une équipe technique d’entretien qualifiée sont aussi recommandés.

Si vous avez des appareils de chauffage au bois et des foyers dans votre maison, vous devriez retenir les services d’une équipe d’inspection de cheminée certifiée pour les examiner et les nettoyer avant de commencer à les utiliser. Cela réduit le risque d’incendie lié à une cheminée.

Découvrez d’autres conseils sur la façon de protéger votre maison tout au long de l’année au cooperators.ca.

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