There are certain 2-for-1 deals that people expect and rely on. These include, but are not limited to, Bath and Body Works candles, bags of Tostito’s tortilla chips, or a new line on your unlimited data plan. But then there are buy-one-get-one deals that go unrecognized. And we’d like to talk about the most underrated: buying a head of broccoli and getting broccoli stems for free.
Now, we’re not talking about broccoli « crowns » here, which are just heads of broccoli that have had the stems pre-removed. (And are needlessly expensive—you’re just paying them to take the stem off for you.). We’re talking about proper heads of broccoli with thick, long stems, the kind you’d grab and pretend to sing into like they were microphones when you were a kid. (Just me?)
Roasted Broccoli with Tahini Sauce
Broccoli stems are most often tossed in the garbage without any thought. The fluffy little florets—the buds at the top of the stalk that pick up texture and absorb flavors and seasoning beautifully—get all of the love. But the stems can absolutely be eaten if you treat them right, and are completely delicious—like the florets, but more mild and sweet, almost like kohlrabi.
How do you « treat them right, » you ask? Well, regardless of how you’re going to prepare broccoli stems, we recommend cutting off the bottom 1-2 inches, which can be quite tough and woody, and throwing that out before anything else happens. After that, how you prep your broccoli stems has everything to do with how you’ll be cooking them, the biggest question being whether or not you’ll need to peel them.
Photo by Caleb Adams, Food Styling by Rhoda Boone and Jennifer Ophir
Slicing stems make them easy to cook, especially when they’re sliced into coins.
The skin of the broccoli stem tends to gets tougher and more fibrous the farther away from the florets you get, but if you’re roasting your broccoli stems in a hot oven, you can usually leave most of the skin on, slice them, and be on your merry way. The prolonged exposure to dry heat and a hot surface will soften the skin to the point where it won’t be annoying to eat.
But if you’re going to put your stems into a stir-fry, cook them in something like a frittata, or blanch them for a dipping scenario, you should definitely peel them. Basically, if they’re being cooked for a long time, leave the skin on, and if it’s just for a few minutes, peel it. And if you’re eating the broccoli stems raw—which we highly recommend—peeling and chopping or slicing thinly as possible is non-negotiable.
Peeling broccoli stems is easy. It goes exactly as you’d expect it to go. Run a Y-peeler down the sides of the stem, until the darker green skin gives way to the pale green, almost-white flesh. (Sometimes, if we’re working with a broccoli stem that is especially gnarled or bumpy, we find that using a knife can actually be easier than using a peeler. You do you!) That’s all you need to do. Presto change-o!
But whether or not you peel them, you should definitely be cutting, chopping, or slicing your broccoli stems. No one wants to eat a big log of broccoli stem. Not even us, the people telling you to eat broccoli stems. We like them best in thin, circular coins or diced for the most pleasant texture.
We really just want you to use broccoli stems. It doesn’t matter how you do it. Forge your own path. And while we don’t formally endorse picking broccoli stems out of the world’s trash cans and cooking them, we do endorse making sure they never end up there in the first place.
(EN) Les enfants entament une nouvelle année scolaire au cours de laquelle ils vont se faire des amis, s’adapter à leurs nouveaux enseignants et faire face à de nouveaux défis. Certains d’entre eux auront plus de difficultés que d’autres, mais comment savoir si un trouble d’apprentissage ne nuit pas à votre enfant et à sa capacité de réussir ?
L’un des troubles les plus fréquents est la dyslexie. Environ 15 % des Canadiens en sont atteints et pourtant, selon une étude récente, moins d’un tiers d’entre nous serait capable d’en reconnaître les signes.
Bien que la dyslexie ne se guérisse pas, il est possible de la contrôler grâce à une détection précoce et à un enseignement adéquat. C’est pourquoi il est important de pouvoir reconnaître la dyslexie.
Voici ce qu’il faut savoir :
Qu’est-ce que c’est ? La dyslexie est un trouble d’apprentissage qui se caractérise par des difficultés à identifier les sons produits en parlant et à reconnaître les lettres, les mots et les chiffres. Le cerveau interprète mal les sons, les lettres et les chiffres quand il les assemble et en arrive souvent à tout mélanger, ce qui est déroutant pour la personne. La dyslexie touche tout le monde de la même façon, sans considération de genre et peu importe le milieu socio-économique ou l’origine ethnique de la personne.
Que peut-on faire ? Si vous pensez que votre enfant peut être dyslexique, n’attendez pas pour réagir. Il existe de nombreux tests à passer en ligne qui peuvent vous aider à l’identifier. Si vous croyez que c’est le cas, demandez à accéder à des ressources supplémentaires à votre école ou communiquez avec un tuteur spécialisé en littératie structurée. Faites appel à des groupes d’entraide pour en apprendre davantage.
Comment favoriser la réussite ? « Ce n’est pas parce qu’une personne a reçu un diagnostic de trouble d’apprentissage qu’elle ne peut pas réussir dans la vie. Ses apprentissages se font tout simplement d’une manière différente », explique Christine Staley, directrice générale de Dyslexia Canada. « Une détection précoce et un enseignement adéquat en lecture sont essentiels pour contrôler la dyslexie et ouvrir la voie à un brillant avenir. »
(EN) Lorsqu’un incendie se déclare, chaque seconde compte. S’ils sont utilisés rapidement et de façon efficace, les extincteurs de feu portatifs peuvent aider à sauver des vies. C’est pourquoi ils font partie de ces éléments importants qui permettent d’assurer votre sécurité et celle de votre famille à domicile.
Suivez ces conseils concernant la façon d’utiliser un extincteur de feu et le meilleur endroit pour l’installer afin d’être prêt en cas d’urgence :
Comparez les caractéristiques. Choisissez un extincteur résidentiel doté d’une goupille de métal et d’un levier de commande, aussi durable qu’un extincteur de qualité commerciale, ainsi que d’un manomètre à code couleur facile à lire afin de vous assurer que l’appareil est chargé. Sachez qu’il n’est pas sécuritaire d’utiliser un extincteur qui a déjà été déchargé, surtout qu’il existe maintenant des extincteurs rechargeables qui peuvent être rechargés par un professionnel certifié si vous avez utilisé l’appareil.
Sachez comment vous en servir : Tous les extincteurs de feu sont vendus avec des instructions d’utilisation. Toutefois, plus de 70 % des consommateurs qui possèdent un extincteur affirment ne pas se sentir à l’aise de le faire fonctionner. Solution pratique et conviviale, le pulvérisateur d’incendie First Alert est une bombe aérosol au design simple qui constitue un dispositif supplémentaire efficace pour les incendies domestiques. Grâce à une buse précise qui permet de pulvériser sur une grande surface, l’utilisateur peut mieux contrôler l’application. De plus, comme il n’y a pas de goupille à tirer ni de levier à serrer, il est possible d’éteindre un incendie rapidement.
Gardez à portée de la main : Lorsque chaque seconde compte, il est essentiel d’avoir un extincteur de feu à proximité afin de réagir rapidement. Il est préférable de placer un extincteur à chaque étage de la maison et dans les pièces où le risque d’incendie est plus élevé, comme la cuisine et le garage. La National Fire Protection Association (NPFA) recommande d’installer des extincteurs à la sortie des pièces afin de les décharger et de vous sauver rapidement par la suite si l’incendie ne peut être maîtrisé.
Sachez quand quitter la maison. Une des composantes d’un plan d’intervention en cas d’incendie consiste à essayer d’éteindre un petit incendie avec un extincteur de feu, mais l’objectif principal doit être l’évacuation de la famille en toute sécurité. Un extincteur n’est pas un substitut à la mise en place d’un plan d’évacuation résidentielle en cas d’incendie, qui doit être pratiqué régulièrement, ni à l’installation d’avertisseurs de fumée fonctionnels dans toute la maison – un à chaque étage et dans chaque chambre, afin de permettre la détection rapide d’un incendie.
(EN) Un bébé qui n’est pas encouragé à manger une variété d’aliments dès son plus jeune âge aura de fortes chances à devenir un enfant difficile qui n’acceptera que ses plats préférés, comme des croquettes de poulet ou des hotdogs.
Pour faire en sorte que votre bébé soit ouvert et enthousiaste lorsque vient le moment d’essayer de nouveaux aliments, Nanny Robina, l’une des plus grandes expertes en matière d’éducation des enfants au Canada, vous propose des conseils pour faire de votre un enfant un gourmet aventureux :
Offrez de la variété. Restez constants et introduisez autant de nouveaux aliments que possible, ainsi que des collations colorées et attrayantes. Offrir au bébé une variété de saveurs et de textures et même des aliments qui fondent facilement dans la bouche est un excellent moyen de s’assurer qu’il demeure ouvert à une variété d’options.
Mangez avec lui. Asseyez-vous près de votre bébé et mangez à côté de lui. Les enfants imitent souvent ce qu’ils voient, alors manger avec eux et leur montrer à quel point vous appréciez le repas en lançant quelques exclamations du type « Hummm! C’est vraiment bon! » peut avoir d’excellentes répercussions. Nanny Robina ajoute que leur donner des collations faciles à saisir, comme des barres tendres faciles à mâcher, est une autre façon de les encourager à essayer des nouveautés et à manger seuls.
Soyez patients. Les goûts de votre bébé sont peut-être limités et difficiles à élargir, mais poursuivez son éducation sans baisser les bras. Il est utile de toujours avoir quelques options prêtes à manger sous la main comme les fondants de smoothie PC Biologique : Ils fondent facilement dans la bouche et sont offerts en deux délicieuses saveurs, dont banane, mangue et fruit de la passion, puis banane et fraise.