In my job as a food writer, where I often find myself reporting in three different boroughs in a single day and sometimes eating at five restaurants in a single week, I rely on constants. The gelato at Superiority Burger. The tagliatelle al ragu at Al Di La. The prawn pad thai at Uncle Boons Sister. And, as of late, the salad at Ops Pizza in Bushwick.
There is only one salad offered at Ops. On the menu it’s called “salad.” It costs twelve dollars, it feeds a crowd, and it changes all the time. And no matter what, it’s always going to be one of the best salads you’ve ever had. I want to quickly acknowledge that Ops’ pizza is truly exceptional and worth the trip alone. But what always seems to stick with me are the greens.
On a recent visit, I had a little gem and cherry tomato salad with a creamy vinaigrette tangled with herbs that tasted like what you always hope ranch dressing will be like. It was as if every piece of lettuce had been hand selected for crunch, and, married with all the other ingredients, the tomatoes popped with sweetness like some kind of plant candy. It was such an elegant, balanced assemblage of vegetables, I almost forgot we had pizza coming.
A friend who ordered the salad on a separate occasion got a plate of greens and radishes dressed in a sauce of thinned ricotta, olive oil, honey, homemade mayo, and chives, while another friend got radicchio with tomatoes, cucumbers, and sesame vinaigrette. Ops is Beyoncé when it comes to salads: incapable of producing anything other than a hit.
How do they make this salad magic?!
I asked co-owner Marie Tribouilloy, a France native and the genius behind the greens. “I think that is just what I wanted to eat,” she says about why she put the salad on the menu. “If you are going to stuff yourself with pizza it’s really good, but it is also bread and cheese. You want something full of water and crunchy and really bright.” She walked me through her flexible formula for making the perfect salads at Ops. Fair warning: Knowing how to make this salad at home won’t make you crave it any less.
Choose a sturdy base.
Tribouilloy’s go-to base for her salads is radicchio, as “it has these hearty, beautiful, large leaves, and it is something you need to chew on to get the flavor out of,” she says. On a more practical note, “I want people to be able to eat the salad with their hands, like a fun snack,” she says, and radicchio fits the bill.
She also loves little gems and Treviso—the common thread here is sturdiness. You want a base green that will hold up well, she says, and not wilt when soaked with dressing.
Go bitter, sweet, and salty
Even before considering dressing, Tribouilloy’s trick to a perfectly balanced salad is a trio of bitter, sweet, and salty components in the salad itself. Radicchio, corn, olives; little gems, slightly roasted tomatoes, ricotta; radicchio, plums, gomasio (more on this soon). You get the idea.
Include a slightly cooked element
Whether it’s blistered sun-gold tomatoes, fried onions, or slightly burnt olives, Tribouilloy likes to include some kind of barely cooked element in her salads, both for texture and also because they often play double-duty when satisfying the bitter/sweet/salty formula above. For example, blistered sun-gold tomatoes are both bitter and sweet, and slightly burnt olives are bitter and salty.
Put! Herbs! In! Your! Dressing!
Dressing is Tribouilloy’s favorite element of a salad. “I like a pool of liquid at the bottom of the plate” that you can sop up with pizza crust, she says. “I want a dressing that is opulent, in a way.”
Her dressing secret is fresh herbs, so she’ll add whatever she has on hand at the restaurant. They keep the dressing fresh, add another dimension of flavor, and cut through any rich components like ricotta or mayo.
Double up on acid
To give her salads their tangy depths, Tribouilloy typically adds a sour element not once, but twice. To the dressing, she’ll include some kind of vinegar (she makes her own using wines at the restaurant that have gone bad) or saba (made by cooking grape musts) (an aged vinegar), but never lemon. She says that lemon doesn’t belong in dressings, “because it is only good if I can squeeze it fresh.” Instead, after the salad is assembled, she finishes it with a squeeze of lemon, which she says makes for the brightest, most vibrant taste.
Meet gomasio: your new favorite salty salad topper
Sure, you could top your salad with cheese and call it a day. But Tribouilloy loves using gomasio, a dry condiment made by mashing sesame seeds and salt that essentially serves as a dairy-free substitute for a sprinkle of cheese. “It’s this beautiful, super nutty powder,” she says. “You just put a little on and it gives it this accent. You get this first impression of nuttiness just before the salad reveals the flavor of the greens. I love that.”
(EN) Les enfants entament une nouvelle année scolaire au cours de laquelle ils vont se faire des amis, s’adapter à leurs nouveaux enseignants et faire face à de nouveaux défis. Certains d’entre eux auront plus de difficultés que d’autres, mais comment savoir si un trouble d’apprentissage ne nuit pas à votre enfant et à sa capacité de réussir ?
L’un des troubles les plus fréquents est la dyslexie. Environ 15 % des Canadiens en sont atteints et pourtant, selon une étude récente, moins d’un tiers d’entre nous serait capable d’en reconnaître les signes.
Bien que la dyslexie ne se guérisse pas, il est possible de la contrôler grâce à une détection précoce et à un enseignement adéquat. C’est pourquoi il est important de pouvoir reconnaître la dyslexie.
Voici ce qu’il faut savoir :
Qu’est-ce que c’est ? La dyslexie est un trouble d’apprentissage qui se caractérise par des difficultés à identifier les sons produits en parlant et à reconnaître les lettres, les mots et les chiffres. Le cerveau interprète mal les sons, les lettres et les chiffres quand il les assemble et en arrive souvent à tout mélanger, ce qui est déroutant pour la personne. La dyslexie touche tout le monde de la même façon, sans considération de genre et peu importe le milieu socio-économique ou l’origine ethnique de la personne.
Que peut-on faire ? Si vous pensez que votre enfant peut être dyslexique, n’attendez pas pour réagir. Il existe de nombreux tests à passer en ligne qui peuvent vous aider à l’identifier. Si vous croyez que c’est le cas, demandez à accéder à des ressources supplémentaires à votre école ou communiquez avec un tuteur spécialisé en littératie structurée. Faites appel à des groupes d’entraide pour en apprendre davantage.
Comment favoriser la réussite ? « Ce n’est pas parce qu’une personne a reçu un diagnostic de trouble d’apprentissage qu’elle ne peut pas réussir dans la vie. Ses apprentissages se font tout simplement d’une manière différente », explique Christine Staley, directrice générale de Dyslexia Canada. « Une détection précoce et un enseignement adéquat en lecture sont essentiels pour contrôler la dyslexie et ouvrir la voie à un brillant avenir. »
(EN) Lorsqu’un incendie se déclare, chaque seconde compte. S’ils sont utilisés rapidement et de façon efficace, les extincteurs de feu portatifs peuvent aider à sauver des vies. C’est pourquoi ils font partie de ces éléments importants qui permettent d’assurer votre sécurité et celle de votre famille à domicile.
Suivez ces conseils concernant la façon d’utiliser un extincteur de feu et le meilleur endroit pour l’installer afin d’être prêt en cas d’urgence :
Comparez les caractéristiques. Choisissez un extincteur résidentiel doté d’une goupille de métal et d’un levier de commande, aussi durable qu’un extincteur de qualité commerciale, ainsi que d’un manomètre à code couleur facile à lire afin de vous assurer que l’appareil est chargé. Sachez qu’il n’est pas sécuritaire d’utiliser un extincteur qui a déjà été déchargé, surtout qu’il existe maintenant des extincteurs rechargeables qui peuvent être rechargés par un professionnel certifié si vous avez utilisé l’appareil.
Sachez comment vous en servir : Tous les extincteurs de feu sont vendus avec des instructions d’utilisation. Toutefois, plus de 70 % des consommateurs qui possèdent un extincteur affirment ne pas se sentir à l’aise de le faire fonctionner. Solution pratique et conviviale, le pulvérisateur d’incendie First Alert est une bombe aérosol au design simple qui constitue un dispositif supplémentaire efficace pour les incendies domestiques. Grâce à une buse précise qui permet de pulvériser sur une grande surface, l’utilisateur peut mieux contrôler l’application. De plus, comme il n’y a pas de goupille à tirer ni de levier à serrer, il est possible d’éteindre un incendie rapidement.
Gardez à portée de la main : Lorsque chaque seconde compte, il est essentiel d’avoir un extincteur de feu à proximité afin de réagir rapidement. Il est préférable de placer un extincteur à chaque étage de la maison et dans les pièces où le risque d’incendie est plus élevé, comme la cuisine et le garage. La National Fire Protection Association (NPFA) recommande d’installer des extincteurs à la sortie des pièces afin de les décharger et de vous sauver rapidement par la suite si l’incendie ne peut être maîtrisé.
Sachez quand quitter la maison. Une des composantes d’un plan d’intervention en cas d’incendie consiste à essayer d’éteindre un petit incendie avec un extincteur de feu, mais l’objectif principal doit être l’évacuation de la famille en toute sécurité. Un extincteur n’est pas un substitut à la mise en place d’un plan d’évacuation résidentielle en cas d’incendie, qui doit être pratiqué régulièrement, ni à l’installation d’avertisseurs de fumée fonctionnels dans toute la maison – un à chaque étage et dans chaque chambre, afin de permettre la détection rapide d’un incendie.
(EN) Un bébé qui n’est pas encouragé à manger une variété d’aliments dès son plus jeune âge aura de fortes chances à devenir un enfant difficile qui n’acceptera que ses plats préférés, comme des croquettes de poulet ou des hotdogs.
Pour faire en sorte que votre bébé soit ouvert et enthousiaste lorsque vient le moment d’essayer de nouveaux aliments, Nanny Robina, l’une des plus grandes expertes en matière d’éducation des enfants au Canada, vous propose des conseils pour faire de votre un enfant un gourmet aventureux :
Offrez de la variété. Restez constants et introduisez autant de nouveaux aliments que possible, ainsi que des collations colorées et attrayantes. Offrir au bébé une variété de saveurs et de textures et même des aliments qui fondent facilement dans la bouche est un excellent moyen de s’assurer qu’il demeure ouvert à une variété d’options.
Mangez avec lui. Asseyez-vous près de votre bébé et mangez à côté de lui. Les enfants imitent souvent ce qu’ils voient, alors manger avec eux et leur montrer à quel point vous appréciez le repas en lançant quelques exclamations du type « Hummm! C’est vraiment bon! » peut avoir d’excellentes répercussions. Nanny Robina ajoute que leur donner des collations faciles à saisir, comme des barres tendres faciles à mâcher, est une autre façon de les encourager à essayer des nouveautés et à manger seuls.
Soyez patients. Les goûts de votre bébé sont peut-être limités et difficiles à élargir, mais poursuivez son éducation sans baisser les bras. Il est utile de toujours avoir quelques options prêtes à manger sous la main comme les fondants de smoothie PC Biologique : Ils fondent facilement dans la bouche et sont offerts en deux délicieuses saveurs, dont banane, mangue et fruit de la passion, puis banane et fraise.