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François Legault admet sa méconnaissance du système d’immigration

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François Legault a justifié sa méconnaissance des rouages du système d’immigration par le fait qu’il n’ait jamais travaillé dans la capitale fédérale, Ottawa.
Le chef de la Coalition avenir Québec a admis ne pas connaître sur le bout des doigts les responsabilités dévolues au gouvernement fédéral — l’octroi de la résidence permanente par exemple. « Je ne les connais pas autant que les responsabilités du gouvernement du Québec. J’ai travaillé 17, 18 ans à l’Assemblée nationale. Je n’ai jamais travaillé à Ottawa », a-t-il souligné dans une mêlée de presse dimanche.
L’aspirant premier ministre a toutefois assuré à la presse que le processus de délivrance des certificats de sélection du Québec (CSQ) n’a plus de secrets pour lui.
Le chef du Parti libéral du Québec, Philippe Couillard, s’est empressé de relever ce « petit cadeau » que son adversaire caquiste lui a offert. « Il a avoué quelque chose d’assez incroyable : que dans le fond, il ne comprenait pas l’immigration comment ça marche. […] Il a dit : excusez, ça fait 20 ans que je suis là-dedans, je n’ai jamais travaillé avec le fédéral, je n’ai pas tout à fait compris le système », a lancé le premier ministre à moins de 24 heures de l’ouverture des bureaux de vote. « Ben, il est temps de s’en apercevoir, rendu au 39e jour de la campagne. Parce qu’on a besoin de gens, on a besoin de monde, on a besoin de bras au Québec parce qu’on a une pénurie de main-d’oeuvre partout », a-t-il poursuivi.
Le chef caquiste retient comme leçon de la campagne électorale qu’il peut en « apprendre plus ». « Je suis prêt à en apprendre plus », a-t-il conclu.
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Nouveaux records de cas de COVID-19 en Ontario

L’Ontario a rapporté mardi un nombre record de cas quotidiens de COVID-19 avec pas moins de 2275 nouvelles infections en plus de 20 morts.
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C’est ce qu’ont fait savoir les autorités de la santé publique de cette province, qui ont pu tester 39 600 personnes.
Ce nouveau sommet dépasse le précédent enregistré il y a cinq jours (1983). Pour expliquer cette hausse, les autorités ontariennes ont souligné un changement dans la façon de compiler les données. En l’occurrence, les bilans incluront maintenant les données comptabilisées jusqu’à 13h, la veille, et non 10h30, comme avant.
Sur les 2275 nouvelles contaminations, c’est à Toronto qu’il y en a le plus (711). Les régions de Peel (586), de Windsor-Essex (185) et de York (154) sont les autres foyers d’éclosions en Ontario.
Par ailleurs, il y a 921 personnes qui sont hospitalisées en Ontario, dont 249 en soins intensifs.
Au total, la province compte 144 396 cas de la COVID et 3992 décès depuis le début de la pandémie.

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La pandémie, la nouvelle de l’année au Canada, bien évidemment

Le virus mortel qui a balayé le Canada (et la planète) cette année a fait la manchette, a causé des milliers de morts, infecté des dizaines de milliers de personnes et a entraîné de profonds bouleversements sociaux et économiques.
La pandémie, un événement mondial sans précédent de mémoire récente, a éclaté en mars, dominant aussi bien les conversations que les bulletins de nouvelles. Il n’y a donc rien d’étonnant que les directeurs des salles de nouvelles de partout au Canada l’aient choisie comme nouvelle de l’année de La Presse canadienne, pulvérisant toutes ses rivales.
« Un choix tellement évident… Rien n’a eu autant d’impact dans la vie de l’ensemble des Canadiens depuis la Deuxième Guerre mondiale », a commenté la rédactrice en chef du magazine L’actualité, Claudine St-Germain.
Avec plus de 165 000 infections et 7500 décès, aucune province canadienne n’a été plus malmenée que le Québec par le coronavirus.
La domination de la COVID a été tellement absolue — un véritable tsunami de textes et de reportages — qu’elle a complètement écrasé d’autres histoires qui, à tout autre moment, auraient très bien pu l’emporter. Une nouvelle prise de conscience de la réalité du racisme au Canada, provoquée par la mort d’un Noir aux mains de policiers américains, est ainsi arrivée en deuxième place.
« Le choix de la pandémie s’impose comme nouvelle de l’année, a dit Valérie Gaudreau, la rédactrice en chef du quotidien Le Soleil. Elle a malheureusement éclipsé d’autres enjeux majeurs, comme tous ceux liés au racisme, que je classe au deuxième rang. Mais qu’on le veuille ou non, 2020, c’est la COVID. »
La pandémie a été un choix quasiment unanime au Québec, un seul participant au sondage ayant voté pour le racisme.
À l’échelle canadienne, éditeurs et journalistes ont noté des liens entre les deux histoires les plus importantes de l’année. « Les deux sont liées intrinsèquement, a ainsi dit Sarah Bugden, la rédactrice en chef du quotidien Edmonton Journal & Sun. Il serait gênant d’oublier l’ampleur de l’histoire du racisme systémique, au moment où la majeure partie du pays a passé un moment en confinement. »
Autre manifestation de l’omniprésence de la pandémie cette année, la troisième place est allée à la fusillade survenue en Nouvelle-Écosse au mois d’avril, avec un vote. Cette fusillade, a dit un éditeur, a ébranlé les fondations de la province au moment où, comme toutes les autres, elle combattait la pandémie. « Notre deuil a été accentué par la pandémie elle-même, puisque les Néo-Écossais ne pouvaient pas se rassembler pour se consoler comme nous le faisons habituellement », a dit Ken Kingston, de la station de radio CJFX-FM d’Antigonish.
« Lors d’une année ordinaire, la tragédie en Nouvelle-Écosse serait l’histoire de l’année, a déclaré James Miller, le rédacteur en chef du quotidien Penticton Herald, en Colombie-Britannique. Ça a plutôt été seulement une autre histoire tragique lors d’une année terrible. »

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COVID-19 : nouvelles mesures en vigueur dès le 17 décembre en Saskatchewan

À moins de deux semaines des festivités de Noël, le gouvernement de la Saskatchewan annonce de nouvelles mesures restrictives pour contrer la propagation de la COVID-19. Celles-ci s’ajouteront aux mesures déjà en place depuis le 27 novembre.
Certaines d’entre elles entreront en vigueur dès le 17 décembre. Toutes resteront en place jusqu’au 15 janvier 2021 avant d’être réévaluées à ce moment-là.
Je sais que ce sera différent et difficile pour plusieurs d’entre nous
, admet le premier ministre, Scott Moe, lors d’une conférence de presse tenue lundi.
Ce dernier a comparé les mesures à une gorgée de [sirop pour la toux] Buckley’s : ça ne goûte pas très bon, mais c’est absolument nécessaire.
Scott Moe est bien conscient que les annonces restreindront les festivités de certaines personnes.
Bien que le premier ministre répète qu’il est contre un confinement total, il admet qu’une telle mesure pourrait être nécessaire à un certain moment
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