We’ve been wrong about hard cider for so, so long. For the past few decades, cider has been sold to us as a sweet, gluten-free alternative to beer. But from the process of growing and harvesting fruit to fermenting its juices, this is a drink that has much more in common with wine.
Now that American cider makers are embracing old-school, hands-off fermentation techniques and heirloom apple varieties, cider is getting a well deserved rebrand. It turns out that in this punk rock-ish era of natural wine, there’s just as much unconventional flavor to explore in naturally fermented and spontaneously fermented ciders. If you already have a thing for skin contact wines, you’ll feel right at home, and if you don’t, well, this is a beautiful new world to explore.
The epicenter of the naturally fermented cider movement is the Northeast, the Napa Valley of the American cider world. From New York’s Finger Lakes to southern Maine, heritage apples (native breeds that you probably won’t find at your grocery store) have been growing for more than 300 hundred years. It’s here that cider makers are embracing fermentation techniques that are just as old, turning blends of wild and orchard-grown apples into still and sparkling apple wines that contain tantalizing acidity, tannins, and whispers of the lands in which they were grown. (Yes, you can also call them apple wines. And no, we won’t judge you.)
Photo by Alex Lau
A sparkling apple wine from Vermont’s Fable Farm.
Small-scale producers like Vermont’s Fable Farm Fermentory, use yeasts native to the area instead of controlled industrial blends for ciders that taste nothing like Mott’s. “The key is to step out of nature’s way by not filtering, heating, or manipulating the wine with ecology-destructing chemicals,” explains Fable co-founder Jon Piana. “The result is an electric symphony of flavor that, if we’ve succeeded, evolves even in the glass.”
So how do we find a naturally fermented cider that gets it right? Reading the bottle is a good place to start. Here’s what to look for:
“Wild” or “Naturally” Fermented This distinction means that the yeast used to turn the apple sugars into alcohol was collected from the fruits’ environment (in the air or on their skins) rather than grown in a lab. The resulting fermentation reflects the terroir and provides deeper, funkier flavors like lemon pith, strawberries, sage, or bleu cheese (in a good way).
Sparkling/Still Not all cider is bubbly! Like wine, there are still and sparkling varieties. For a smooth drinking experience, go still. For a livelier one, bubbly.
Unfiltered You might see a little sediment at the bottom of your bottle. That’s totally cool! It’s the leftover bits of yeast and apple that usually get filtered out of the finished product. They help give the cider that wild flavor we’re after.
Raw Pasteurization kills all of the living bacteria and yeast in a cider, making it more shelf stable. If a cider is “raw,” it was not pasteurized, giving it a tingling vibrancy in both body and flavor. Think fresh-squeezed orange juice versus the stuff that comes in the carton.
Photo by Alex Lau
A line-up of some of our favorite ciders.
Apple Variety Most ciders are made from a blend of apple varieties, but you want to see specific names, like Northern Spy, Golden Russet, or Newtown Pippin, listed. Avoid anything that just says just “apple juice.”
Concentrate Definitely steer clear of the word concentrate. Large-scale apple juice is often shipped across countries and continents as a concentrate, because it’s less expensive, and then gets diluted before it makes its way into the final product. The process results in cider with a fraction of the flavor of fresh juice.
The Source Good cider will tell you where the apples came from, most of the time down to the orchard or farm. We tend to prefer natural ciders from the Northeast, but California, Michigan, and the Northwest also produce high-quality stuff.
The Producer Exploring new producers is half of what makes drinking these wild ciders exciting. But there are certain producers we trust to make ciders we’ll be returning to again and again. Here are six of our favorites:
(EN) Les enfants entament une nouvelle année scolaire au cours de laquelle ils vont se faire des amis, s’adapter à leurs nouveaux enseignants et faire face à de nouveaux défis. Certains d’entre eux auront plus de difficultés que d’autres, mais comment savoir si un trouble d’apprentissage ne nuit pas à votre enfant et à sa capacité de réussir ?
L’un des troubles les plus fréquents est la dyslexie. Environ 15 % des Canadiens en sont atteints et pourtant, selon une étude récente, moins d’un tiers d’entre nous serait capable d’en reconnaître les signes.
Bien que la dyslexie ne se guérisse pas, il est possible de la contrôler grâce à une détection précoce et à un enseignement adéquat. C’est pourquoi il est important de pouvoir reconnaître la dyslexie.
Voici ce qu’il faut savoir :
Qu’est-ce que c’est ? La dyslexie est un trouble d’apprentissage qui se caractérise par des difficultés à identifier les sons produits en parlant et à reconnaître les lettres, les mots et les chiffres. Le cerveau interprète mal les sons, les lettres et les chiffres quand il les assemble et en arrive souvent à tout mélanger, ce qui est déroutant pour la personne. La dyslexie touche tout le monde de la même façon, sans considération de genre et peu importe le milieu socio-économique ou l’origine ethnique de la personne.
Que peut-on faire ? Si vous pensez que votre enfant peut être dyslexique, n’attendez pas pour réagir. Il existe de nombreux tests à passer en ligne qui peuvent vous aider à l’identifier. Si vous croyez que c’est le cas, demandez à accéder à des ressources supplémentaires à votre école ou communiquez avec un tuteur spécialisé en littératie structurée. Faites appel à des groupes d’entraide pour en apprendre davantage.
Comment favoriser la réussite ? « Ce n’est pas parce qu’une personne a reçu un diagnostic de trouble d’apprentissage qu’elle ne peut pas réussir dans la vie. Ses apprentissages se font tout simplement d’une manière différente », explique Christine Staley, directrice générale de Dyslexia Canada. « Une détection précoce et un enseignement adéquat en lecture sont essentiels pour contrôler la dyslexie et ouvrir la voie à un brillant avenir. »
(EN) Lorsqu’un incendie se déclare, chaque seconde compte. S’ils sont utilisés rapidement et de façon efficace, les extincteurs de feu portatifs peuvent aider à sauver des vies. C’est pourquoi ils font partie de ces éléments importants qui permettent d’assurer votre sécurité et celle de votre famille à domicile.
Suivez ces conseils concernant la façon d’utiliser un extincteur de feu et le meilleur endroit pour l’installer afin d’être prêt en cas d’urgence :
Comparez les caractéristiques. Choisissez un extincteur résidentiel doté d’une goupille de métal et d’un levier de commande, aussi durable qu’un extincteur de qualité commerciale, ainsi que d’un manomètre à code couleur facile à lire afin de vous assurer que l’appareil est chargé. Sachez qu’il n’est pas sécuritaire d’utiliser un extincteur qui a déjà été déchargé, surtout qu’il existe maintenant des extincteurs rechargeables qui peuvent être rechargés par un professionnel certifié si vous avez utilisé l’appareil.
Sachez comment vous en servir : Tous les extincteurs de feu sont vendus avec des instructions d’utilisation. Toutefois, plus de 70 % des consommateurs qui possèdent un extincteur affirment ne pas se sentir à l’aise de le faire fonctionner. Solution pratique et conviviale, le pulvérisateur d’incendie First Alert est une bombe aérosol au design simple qui constitue un dispositif supplémentaire efficace pour les incendies domestiques. Grâce à une buse précise qui permet de pulvériser sur une grande surface, l’utilisateur peut mieux contrôler l’application. De plus, comme il n’y a pas de goupille à tirer ni de levier à serrer, il est possible d’éteindre un incendie rapidement.
Gardez à portée de la main : Lorsque chaque seconde compte, il est essentiel d’avoir un extincteur de feu à proximité afin de réagir rapidement. Il est préférable de placer un extincteur à chaque étage de la maison et dans les pièces où le risque d’incendie est plus élevé, comme la cuisine et le garage. La National Fire Protection Association (NPFA) recommande d’installer des extincteurs à la sortie des pièces afin de les décharger et de vous sauver rapidement par la suite si l’incendie ne peut être maîtrisé.
Sachez quand quitter la maison. Une des composantes d’un plan d’intervention en cas d’incendie consiste à essayer d’éteindre un petit incendie avec un extincteur de feu, mais l’objectif principal doit être l’évacuation de la famille en toute sécurité. Un extincteur n’est pas un substitut à la mise en place d’un plan d’évacuation résidentielle en cas d’incendie, qui doit être pratiqué régulièrement, ni à l’installation d’avertisseurs de fumée fonctionnels dans toute la maison – un à chaque étage et dans chaque chambre, afin de permettre la détection rapide d’un incendie.
(EN) Un bébé qui n’est pas encouragé à manger une variété d’aliments dès son plus jeune âge aura de fortes chances à devenir un enfant difficile qui n’acceptera que ses plats préférés, comme des croquettes de poulet ou des hotdogs.
Pour faire en sorte que votre bébé soit ouvert et enthousiaste lorsque vient le moment d’essayer de nouveaux aliments, Nanny Robina, l’une des plus grandes expertes en matière d’éducation des enfants au Canada, vous propose des conseils pour faire de votre un enfant un gourmet aventureux :
Offrez de la variété. Restez constants et introduisez autant de nouveaux aliments que possible, ainsi que des collations colorées et attrayantes. Offrir au bébé une variété de saveurs et de textures et même des aliments qui fondent facilement dans la bouche est un excellent moyen de s’assurer qu’il demeure ouvert à une variété d’options.
Mangez avec lui. Asseyez-vous près de votre bébé et mangez à côté de lui. Les enfants imitent souvent ce qu’ils voient, alors manger avec eux et leur montrer à quel point vous appréciez le repas en lançant quelques exclamations du type « Hummm! C’est vraiment bon! » peut avoir d’excellentes répercussions. Nanny Robina ajoute que leur donner des collations faciles à saisir, comme des barres tendres faciles à mâcher, est une autre façon de les encourager à essayer des nouveautés et à manger seuls.
Soyez patients. Les goûts de votre bébé sont peut-être limités et difficiles à élargir, mais poursuivez son éducation sans baisser les bras. Il est utile de toujours avoir quelques options prêtes à manger sous la main comme les fondants de smoothie PC Biologique : Ils fondent facilement dans la bouche et sont offerts en deux délicieuses saveurs, dont banane, mangue et fruit de la passion, puis banane et fraise.