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@katiemetka un compte Instagram à suivre

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Quelque part dans le Sud des Etats-Unis, au coeur de la campagne texane, dans un coin isolé et sauvage, une ravisante ferme en bois abrite Katie, son mari charpentier, Oresti (auteur à lui tout seul de la bâtisse familiale) et leurs sept filles.
Sept soeurs. Sept pétillantes fillettes âgées de 2 à 10 ans, qui partagent avec nous leurs douces aventures et leurs jeux d’enfants, entourées d’animaux, de forêt et de nature à perte de vue.
Eve, Annie, Grace, May, Betsy, Mabel et Poppy ne vont pas à l’école comme la plupart des petites filles de leurs âges. C’est à la maison, autant dans les livres et que dans les tâches du quotidien qu’elles s’éveillent au monde et assimilent les ressources qui les aideront à grandir. Katie préfère à l’enseignement classique “l’école de la vie” comme elle aime le dire. Sans imposer de rythme ou de programme, viennent s’ajouter à l’anglais et aux mathématiques, travaux manuels, couture et atelier photo.
La joyeuse tribu a aussi fait le choix de l’auto-suffisance. Entourée de leurs vaches, poules et moutons, de leurs plantations et de tout ce que la nature a à offrir, Katie apprend à ses enfants que le bonheur se trouve dans les choses simples, loin des critères de consommation que notre société tend à nous imposer. Un choix de vie minimaliste, qui laisse l’entière place à l’essentiel : des moments uniques et précieux partagés tous ensemble.
Ainsi, le choix d’une photographie en noir et blanc, au regard de ces convictions, ne semble pas anodin tant l’absence de couleur et le dépouillement visuel qu’il engendre, accompagne l’idée même d’essentiel et laisse place à l’absolu. De ces images se dégagent simplement l’enfance à l’état pur.
Une utopie concrète qui laisse rêveur…
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Ashley Graham jugée «trop grosse» pour la une de Sports Illustrated

Ashley Graham, le mannequin qui a bousculé les mentalités dans l’industrie de la mode, revient sur un moment marquant et difficile de sa carrière. Elle s’est confiée à Naomi Campbell dans son émission No Filter With Naomi.
C’était en 2016, elle fait alors la couverture du magazine Sports Illustrated spécial maillots de bain, le fameux numéro tant attendu de l’année. Une vraie consécration en soi et une première historique. Mais difficile à vivre…
«Un autre mannequin (…) a dit que j’étais très grosse et que des femmes de ma taille ne devraient pas être en couverture de magazine.»
Ashley Graham revient sur sa première rencontre avec Naomi Campbell, c’est à ce moment-là qu’Ashley avait dû faire face à ces déclarations concernant son physique. Naomi l’avait alors défendue.
«Je t’ai rencontrée juste après cette couverture de [NDLR: Sports Illustrated Swimsuit]. C’était aux CFDA Awards et nous marchions sur le tapis rouge. Nous avions rapidement discuté parce qu’il y avait un autre mannequin qui était révoltée que je décroche la couverture, elle a dit que j’étais très grosse et que des femmes de ma taille ne devraient pas être en couverture de magazine.»
C’était Cheryl Tiegs, le mannequin en question, qui avait elle aussi fait la couverture de Sports Illustrated à son époque. Elle avait soutenu alors trouver malsain de présenter des mannequins taille plus en couverture des magazines.
« Je n’aime pas qu’on parle des femmes en chair parce qu’on les rend glamour, alors que notre taille ne devrait pas être de plus de 35 pouces. C’est ce que dit Dr. Oz et je m’y tiens », a-t-elle indiqué en entrevue avec E! News.
Elle avait même ajouté à l’endroit d’Ashley Graham: « Non, je ne crois pas que c’est sain. Son visage est beau, beau. Mais je ne crois pas que c’est sain à long terme.»
Une époque fort heureusement révolue.
Ces dernières années, Ashley Graham, une publication à la fois, a permis de bousculer les mentalités que ce soit sur son métier de mannequin tout comme la réalité d’être une jeune maman. Naomi Campbell l’avait aussi fait en son temps. Elle été le premier mannequin noir à faire la couverture du Vogue Paris en son temps, en 1988.
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Les aventuriers de Kids on the Moon

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Créer des pièces confortables, vivantes et pointues, inspirées de l’imaginaire créatif des enfants : voici le mantra de Kids on the Moon. Pour la collection printemps-été 2019, la marque polonaise dévoile des silhouettes looses, aérées, empreintes de vibes estivales et de souvenirs d’enfance. Avec des imprimés minimalistes, des couleurs douces, du lin et coton pur.
Chaque saison, Kids on the Moon conte des histoires à travers des modèles drôles et conforts pour tous les jours. Cette saison, la collection”Playground” se veut être le compagnon des folles escapades et des rêves en grand. Ambiance sortie de plage et cheveux salés. Des robes et jupes légèrement tie & dye, des tee-shirts et pulls loose à messages pour laisser place à l’imagination enfantine et leur créativité débordante.
Un collection pensée pour les petits curieux, les rêveurs et avides de nouvelles aventures. Avec comme terrain de jeu, le monde entier.
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Pink lady by Karla Jean Davis

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Look crazy pour Olive aujourd’hui. Vêtue d’une robe créateur de Caroline Bosmans associée à des chaussettes sportswear, elle est pile dans la tendance Athleisure!
Karla Jean Davis/ Réalisatrice/ USA
Deux filles: Olive et Ora
Excentrique/ Crazy/ décalé
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