Actualités
Des logements sociaux dans l’ancien hôpital chinois de Villeray

[ad_1]
Montréal entend faire l’acquisition de l’ancien hôpital chinois situé dans Villeray afin de le convertir en logements sociaux. La Ville versera 3,6 millions de dollars pour l’immeuble laissé vacant depuis près de 20 ans.
Le CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal tente depuis des années de vendre l’immeuble, jugé excédentaire. Lors du lancement d’un appel public de propositions en 2014, les autorités avaient reconnu que les acheteurs ne se bousculaient pas pour mettre la main sur l’immeuble compte tenu des frais liés à sa mise à niveau.
Ces coûts étaient alors estimés à plus de 7 millions.
En avril dernier, Montréal a cependant manifesté son intérêt pour l’immeuble et déposé une lettre d’intention d’acquisition, indiquent des documents de la Ville que Le Devoir a pu consulter.
Le site représente « une rare opportunité » par sa localisation et sa superficie, peut-on lire dans ces documents. Situé au 7500 de la rue Saint-Denis, à l’angle de la rue Faillon, l’immeuble a une superficie de 1800 mètres carrés. Il se trouve dans un des trois arrondissements montréalais où les besoins en matière de logements sociaux sont les plus criants.
La Ville estime que le bâtiment pourrait accueillir entre 35 et 55 logements sociaux et communautaires. Elle entend toutefois revendre l’immeuble à un organisme sans but lucratif en habitation — dont l’identité n’est pas encore connue — qui se chargera de la réalisation d’un projet de logements. D’ici cette vente, la Ville assumera les coûts de maintien et de sécurisation de l’immeuble, ce qui représente un montant de 156 000 $ par année.
L’immeuble sera vendu à la Ville sans caution judiciaire, bien que les dépenses que la Ville assumera pour sa décontamination se limiteront à 150 000 $. Toute dépense excédentaire sera soustraite du prix de la transaction. Les documents de la Ville ne donnent pas de détails sur l’état du bâtiment.
Au rôle foncier, la valeur de la propriété atteint 4,15 millions, mais, selon la Ville, sa valeur marchande est plutôt de 3,5 et 3,9 millions. Un bail lie l’hôpital à un locataire, TM Mobile Inc., mais la Ville souhaite que cette entente soit résiliée avant de conclure la transaction.
La controverse de 2010
L’hôpital de la rue Saint-Denis avait été construit dans les années 1960 afin de mieux desservir les patients d’origine chinoise, qui se trouvaient trop à l’étroit dans leur bâtiment situé au centre-ville. Dans les années 1980, les autorités ont toutefois jugé que l’hôpital était trop loin de sa clientèle vieillissante. Celui-ci a donc de nouveau été relocalisé, cette fois sur l’avenue Viger.
En 2010, la Régie régionale de la santéet des services sociaux du Nunavik (RRSSSN) avait entrepris des démarches afin d’aménager un centre d’hébergement dans l’ancien hôpital inutilisé depuis 1999.
Ce service devait accueillir les Inuits venus à Montréal pour recevoir des soins spécialisés. Mais l’opposition avait été vive de la part de certains résidents qui redoutaient des problèmes de toxicomanie et de criminalité dans le quartier. Des tracts avaient même été distribués.
De son côté, la mairesse d’arrondissement de l’époque, Anie Samson, avait remis en question le choix du site, disant craindre des incivilités. La controverse avait finalement incité la RRSSSN à renoncer à son projet.
Objectif 12 000 logements
Depuis son élection l’an dernier, la mairesse Valérie Plante insiste sur l’importance de réaliser des logements sociaux et abordables. Lors de la campagne électorale, elle avait d’ailleurs promis la construction de 12 000 logements sociaux et abordables au cours de son mandat de quatre ans.
Depuis l’adoption de la loi sur le statut de métropole, Montréal détient davantage de pouvoirs en matière d’habitation.
[ad_2]
Source link
Actualités
Lionbridge conclut la vente de sa division d’intelligence artificielle (IA) à TELUS International

WALTHAM, Massachusetts, 2 mars 2021 /PRNewswire/ — Lionbridge, leader mondial des solutions de traduction et de localisation, a confirmé aujourd’hui la clôture de la vente précédemment annoncée de sa division d’intelligence artificielle (IA), Lionbridge AI, à TELUS International (NYSE et TSX : TIXT), un innovateur en matière d’expérience client numérique qui conçoit, construit et fournit des solutions de nouvelle génération pour les marques internationales innovantes. TELUS International est une filiale de la société canadienne TELUS Corporation (T-TSX ; NYSE-TU), une entreprise de premier plan dans le domaine des communications et des technologies de l’information. La transaction a été clôturée le 31 décembre 2020.
Lionbridge AI enrichira le portefeuille de solutions numériques de prochaine génération de TELUS International, alors que les entreprises s’associent pour soutenir le domaine en plein essor de l’intelligence artificielle. La vente de Lionbridge AI renforcera l’engagement de Lionbridge à fournir des innovations à ses clients dans les domaines de la technologie, des sciences de la vie, des jeux, du commerce numérique, etc.
« L’association des activités d’IA de Lionbridge et de l’ensemble de plates-formes numériques de pointe de TELUS International donnera naissance à une nouvelle société dotée d’un ensemble unique de solutions de pointe. En plus d’améliorer la stratégie de commercialisation de TELUS International, nous pensons que cette fusion est une très bonne adaptation culturelle pour notre talentueuse équipe internationale, compte tenu de l’engagement commun de nos entreprises en faveur de l’embauche et du bien-être des employés », a déclaré John Fennelly, PDG de Lionbridge. « Je ne doute pas que notre équipe d’IA et sa communauté grandissante continueront à prospérer avec TELUS International. »
« 2021 marque le 25e anniversaire de Lionbridge et il n’y a pas de meilleur moment pour revenir à nos racines, montrer la voie en transformant l’espace linguistique et continuer à approfondir nos relations avec nos clients », a poursuivi J. Fennelly. « Je me réjouis des possibilités qui s’offrent à nous alors que nous entamons ce nouveau chapitre et que nous accélérons notre travail sur l’innovation, la technologie et la mise sur le marché de nouveaux produits et services. »
Morgan Stanley & Co. LLC a agi en tant que conseiller financier et Kirkland & Ellis LLP a servi de conseiller juridique à Lionbridge dans le cadre de la transaction.

Actualités
Le rôle stratégique et essentiel des métaux rares pour la santé

La pandémie de Covid-19 a mis en évidence que la plupart des pays ne disposaient pas d’une souveraineté sanitaire suffisante pour faire face à une telle crise. Des pénuries de masques, de respirateurs, de médicaments et maintenant de vaccins se sont fait sentir dans de nombreux pays, même les plus avancés. Ces problèmes montrent que nos sociétés sont dépendantes de certains pays pour des produits essentiels.
Qu’en est-il pour les métaux ?
Notre équipe de recherche Franco-canadienne travaille depuis quelques années sur les interactions entre les sciences de la Terre et les sciences sociales, notamment autour du concept de géologie sociale et sur la dynamique des territoires riches en ressources.
Des métaux stratégiques
La notion de minerai critique et stratégique remonte aux guerres du 1IXe siècle. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont constitué des stocks de métaux. Toutefois, la surabondance de métaux de la fin du XXe siècle et la mondialisation ont conduit les états occidentaux à abandonner leur politique pro active dans ce domaine. La prise de conscience d’une dépendance aux ressources minérales importées ne revint qu’à la fin des années 1990, avec l’émergence des économies asiatiques et de nouveaux monopoles.
La liste des métaux critiques et stratégiques varie selon les pays, allant d’une douzaine pour la Défense nationale française aux 35 métaux répertoriés dans le décret de l’ex-président américain Donald Trump, en 2018.
Pourquoi ces listes de métaux ? Elles reflètent les grands enjeux du passé, ceux des guerres du XXe siècle et des conflits craints pour le futur. Plus généralement, elles marquent les crises technologiques et sociales qui ont frappé nos sociétés depuis 50 ans et qui ont mené à ce que le sociologue allemand Ulrich Beck a appelé la société du risque.
Ainsi, chaque crise a laissé dans son sillage de nouvelles solutions technologiques, une sécurisation des chaînes d’approvisionnement et une conscience accrue de la dépendance, à chaque fois différente, envers divers métaux. Voici quelques exemples.
Du pétrole à l’or
En 1973, la crise du pétrole a souligné la fragilité de la plupart des pays développés en matière d’énergie. Certains pays se sont tournés vers le nucléaire, d’autres vers l’hydro-électricité. Des mines d’uranium sont alors mises en production un peu partout, de la Saskatchewan au Niger ; le prix du minerai flambe en 1978 et le pic de production est atteint en 1980.
La crise terroriste de 2001 a accéléré à son tour le développement des technologies de l’information dans les industries de la défense et la consommation de métaux de haute technologie a augmenté en conséquence. Le prix du tantale connaît un pic en 2000 et sa production mondiale est maximale en 2004. Cette demande encourage la production artisanale dans l’est du Congo, au cœur d’un conflit depuis 20 ans.
La crise du nucléaire à la suite des accidents de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011) a encouragé le passage aux énergies renouvelables à forte intensité de métaux, notamment pour l’éolien. Le prix des terres rares a explosé pour atteindre un sommet en 2010, et la production a doublé depuis en 10 ans.
Actualités
«Crypto-art» : l’œuvre numérique de la chanteuse Grimes vendue 6 millions de dollars

C’est une vente aux enchères d’un genre nouveau. Des clips kitsch peuplés de chérubins flottants dans le vide de l’espace ou faisant face – façon 2001, L’Odyssée de l’espace – au globe terrestre ou à un décor martien irréel. Des créations numériques comme il en existe une quantité astronomique dans les niches du web consacrées à la création ou à l’hébergement d’images. Ceux-là, en revanche, appartiennent à Grimes, musicienne canadienne de 32 ans. Mis en vente lundi sur Nifty Gateway, les dix œuvres numériques de cette artiste – certaines uniques, d’autres tirées à plusieurs centaines de copies – se sont envolées en vingt minutes pour une somme totale de 5,8 millions de dollars.
Une vente presque parmi d’autres, au sein du marché de l’art, à ceci près que les œuvres en question sont toutes munies de leur certificat d’authenticité numérique 2.0 : le «non-fungible token» (jeton non-fongible), abrégé en NFT. Forgé à partir de la même technologie de la blockchain qui a fait le succès du Bitcoin, de l’Ethereum et des cryptomonnaies, le système sécurisé garanti l’authenticité et la traçabilité parfaite de l’objet numérique qui lui est associé ; une crypto-signature infalsifiable, en somme, pour ce que d’aucuns définissent d’ores et déjà comme du «crypto-art».

-
Anglais2 années ago
Body found after downtown Lethbridge apartment building fire, police investigating – Lethbridge
-
Styles De Vie2 années ago
Salon du chocolat 2018: les 5 temps forts
-
Anglais2 années ago
This B.C. woman’s recipe is one of the most popular of all time — and the story behind it is bananas
-
Santé Et Nutrition2 années ago
Gluten-Free Muffins
-
Anglais2 années ago
27 CP Rail cars derail near Lake Louise, Alta.
-
Anglais2 années ago
Man facing eviction from family home on Toronto Islands gets reprieve — for now
-
Santé Et Nutrition2 années ago
We Try Kin Euphorics and How to REALLY Get the Glow | Healthyish
-
Anglais2 années ago
Ontario’s Tories hope Ryan Gosling video will keep supporters from breaking up with the party