Actualités
Les propriétaires de «shoebox» demandent aux élus de refaire leurs devoirs

[ad_1]
Bien qu’ils comprennent la nécessité de protéger les shoebox de la spéculation, des propriétaires de ces maisons estiment que la nouvelle réglementation de l’arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie leur impose des contraintes indues. Ils demandent aux élus de refaire leurs devoirs.
L’arrondissement avait déposé, au début du mois d’octobre, un projet de règlement afin d’encadrer les démolitions, les modifications et les agrandissements des shoebox.
Un inventaire avait permis de recenser 561 de ces petites maisons dans Rosemont-La Petite-Patrie. La grande majorité, soit près de 88 %, est considérée comme présentant une valeur architecturale intéressante. Le règlement impose de nouvelles contraintes en cas d’agrandissement, comme un retrait d’un mètre lors de l’ajout d’un deuxième étage ou la conservation de la façade d’origine.
« L’objectif de base, c’est de valoriser des façades et de freiner le développement immobilier agressif », convient Wilfried Cordeau, qui possède une shoebox depuis 2010. « Mais on s’est retrouvé avec une réglementation qui ajoute des contraintes importantes et qui peut même dénaturer les projets. »
Inquiétudes
Avec des enfants qui grandissent, M. Cordeau envisageait d’ajouter des pièces à sa maison. Comme d’autres propriétaires, il estime que le règlement ratisse trop large et dépasse les objectifs initiaux. « Certains propriétaires ont émis l’hypothèse que si ce règlement était adopté, ils vont devoir considérer abandonner leur projet et éventuellement quitter l’arrondissement ou la Ville parce qu’ils n’ont pas les moyens de rester dans ces maisons-là. »
Les propriétaires ont d’ailleurs été nombreux à exprimer leur mécontentement mercredi soir lors d’une assemblée de consultation menée par l’arrondissement. La séance a duré quatre heures et les échanges avec les élus ont parfois été tendus, a reconnu M. Cordeau, qui a mobilisé d’autres citoyens au sein d’un regroupement de propriétaires de shoebox.
Architecte, Laurent Gagné voulait aussi agrandir sa maison shoebox, mais la nouvelle réglementation l’empêchera de réaliser son projet d’ajouter d’autres étages pour créer un second logement, affirme-t-il. En vertu du nouveau règlement, la pose d’un escalier devant la maison ne sera pas possible car la façade devra être préservée, explique-t-il. « Il y a un certain nombre d’éléments dans ce règlement, comme l’imposition de reculs et les règles sur le couronnement des bâtiments, qui relèvent de choix architecturaux et de conception. Ce ne sont plus juste un encadrement de la forme urbaine », souligne-t-il.
Un règlement révisé ?
Responsable du dossier des shoebox, la conseillère du Vieux-Rosemont, Christine Gosselin, soutient que certains éléments du règlement ont été mal compris par des propriétaires et que plusieurs craintes exprimées « ne sont pas fondées ». Mais elle se dit ouverte à revoir certains aspects de la réglementation afin de raffiner celle-ci. « Il y a vraiment une très grande diversité de cas. Ceux qui ont des cas spéciaux, on va essayer de les traiter un à un pour trouver la meilleure solution », a-t-elle indiqué lors d’un entretien téléphonique.
À la lumière des observations faites par les citoyens, l’arrondissement réexaminera le projet et pourrait apporter des modifications à son règlement, ce qui pourrait retarder son adoption initialement prévue pour décembre, souligne Christine Gosselin.
Au sujet de la grille d’évaluation des 561 maisons shoebox, Mme Gosselin estime qu’elle est « objective » et qu’elle a été réalisée selon des critères précis. « On est prêts à peaufiner cette grille, mais on en a besoin pour pouvoir préserver les shoebox. On ne veut pas soumettre les maisons qui n’ont pas d’intérêt aux mêmes contraintes [que celles qui présentent un intérêt architectural]. »
[ad_2]
Source link
Actualités
Lionbridge conclut la vente de sa division d’intelligence artificielle (IA) à TELUS International

WALTHAM, Massachusetts, 2 mars 2021 /PRNewswire/ — Lionbridge, leader mondial des solutions de traduction et de localisation, a confirmé aujourd’hui la clôture de la vente précédemment annoncée de sa division d’intelligence artificielle (IA), Lionbridge AI, à TELUS International (NYSE et TSX : TIXT), un innovateur en matière d’expérience client numérique qui conçoit, construit et fournit des solutions de nouvelle génération pour les marques internationales innovantes. TELUS International est une filiale de la société canadienne TELUS Corporation (T-TSX ; NYSE-TU), une entreprise de premier plan dans le domaine des communications et des technologies de l’information. La transaction a été clôturée le 31 décembre 2020.
Lionbridge AI enrichira le portefeuille de solutions numériques de prochaine génération de TELUS International, alors que les entreprises s’associent pour soutenir le domaine en plein essor de l’intelligence artificielle. La vente de Lionbridge AI renforcera l’engagement de Lionbridge à fournir des innovations à ses clients dans les domaines de la technologie, des sciences de la vie, des jeux, du commerce numérique, etc.
« L’association des activités d’IA de Lionbridge et de l’ensemble de plates-formes numériques de pointe de TELUS International donnera naissance à une nouvelle société dotée d’un ensemble unique de solutions de pointe. En plus d’améliorer la stratégie de commercialisation de TELUS International, nous pensons que cette fusion est une très bonne adaptation culturelle pour notre talentueuse équipe internationale, compte tenu de l’engagement commun de nos entreprises en faveur de l’embauche et du bien-être des employés », a déclaré John Fennelly, PDG de Lionbridge. « Je ne doute pas que notre équipe d’IA et sa communauté grandissante continueront à prospérer avec TELUS International. »
« 2021 marque le 25e anniversaire de Lionbridge et il n’y a pas de meilleur moment pour revenir à nos racines, montrer la voie en transformant l’espace linguistique et continuer à approfondir nos relations avec nos clients », a poursuivi J. Fennelly. « Je me réjouis des possibilités qui s’offrent à nous alors que nous entamons ce nouveau chapitre et que nous accélérons notre travail sur l’innovation, la technologie et la mise sur le marché de nouveaux produits et services. »
Morgan Stanley & Co. LLC a agi en tant que conseiller financier et Kirkland & Ellis LLP a servi de conseiller juridique à Lionbridge dans le cadre de la transaction.

Actualités
Le rôle stratégique et essentiel des métaux rares pour la santé

La pandémie de Covid-19 a mis en évidence que la plupart des pays ne disposaient pas d’une souveraineté sanitaire suffisante pour faire face à une telle crise. Des pénuries de masques, de respirateurs, de médicaments et maintenant de vaccins se sont fait sentir dans de nombreux pays, même les plus avancés. Ces problèmes montrent que nos sociétés sont dépendantes de certains pays pour des produits essentiels.
Qu’en est-il pour les métaux ?
Notre équipe de recherche Franco-canadienne travaille depuis quelques années sur les interactions entre les sciences de la Terre et les sciences sociales, notamment autour du concept de géologie sociale et sur la dynamique des territoires riches en ressources.
Des métaux stratégiques
La notion de minerai critique et stratégique remonte aux guerres du 1IXe siècle. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont constitué des stocks de métaux. Toutefois, la surabondance de métaux de la fin du XXe siècle et la mondialisation ont conduit les états occidentaux à abandonner leur politique pro active dans ce domaine. La prise de conscience d’une dépendance aux ressources minérales importées ne revint qu’à la fin des années 1990, avec l’émergence des économies asiatiques et de nouveaux monopoles.
La liste des métaux critiques et stratégiques varie selon les pays, allant d’une douzaine pour la Défense nationale française aux 35 métaux répertoriés dans le décret de l’ex-président américain Donald Trump, en 2018.
Pourquoi ces listes de métaux ? Elles reflètent les grands enjeux du passé, ceux des guerres du XXe siècle et des conflits craints pour le futur. Plus généralement, elles marquent les crises technologiques et sociales qui ont frappé nos sociétés depuis 50 ans et qui ont mené à ce que le sociologue allemand Ulrich Beck a appelé la société du risque.
Ainsi, chaque crise a laissé dans son sillage de nouvelles solutions technologiques, une sécurisation des chaînes d’approvisionnement et une conscience accrue de la dépendance, à chaque fois différente, envers divers métaux. Voici quelques exemples.
Du pétrole à l’or
En 1973, la crise du pétrole a souligné la fragilité de la plupart des pays développés en matière d’énergie. Certains pays se sont tournés vers le nucléaire, d’autres vers l’hydro-électricité. Des mines d’uranium sont alors mises en production un peu partout, de la Saskatchewan au Niger ; le prix du minerai flambe en 1978 et le pic de production est atteint en 1980.
La crise terroriste de 2001 a accéléré à son tour le développement des technologies de l’information dans les industries de la défense et la consommation de métaux de haute technologie a augmenté en conséquence. Le prix du tantale connaît un pic en 2000 et sa production mondiale est maximale en 2004. Cette demande encourage la production artisanale dans l’est du Congo, au cœur d’un conflit depuis 20 ans.
La crise du nucléaire à la suite des accidents de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011) a encouragé le passage aux énergies renouvelables à forte intensité de métaux, notamment pour l’éolien. Le prix des terres rares a explosé pour atteindre un sommet en 2010, et la production a doublé depuis en 10 ans.
Actualités
«Crypto-art» : l’œuvre numérique de la chanteuse Grimes vendue 6 millions de dollars

C’est une vente aux enchères d’un genre nouveau. Des clips kitsch peuplés de chérubins flottants dans le vide de l’espace ou faisant face – façon 2001, L’Odyssée de l’espace – au globe terrestre ou à un décor martien irréel. Des créations numériques comme il en existe une quantité astronomique dans les niches du web consacrées à la création ou à l’hébergement d’images. Ceux-là, en revanche, appartiennent à Grimes, musicienne canadienne de 32 ans. Mis en vente lundi sur Nifty Gateway, les dix œuvres numériques de cette artiste – certaines uniques, d’autres tirées à plusieurs centaines de copies – se sont envolées en vingt minutes pour une somme totale de 5,8 millions de dollars.
Une vente presque parmi d’autres, au sein du marché de l’art, à ceci près que les œuvres en question sont toutes munies de leur certificat d’authenticité numérique 2.0 : le «non-fungible token» (jeton non-fongible), abrégé en NFT. Forgé à partir de la même technologie de la blockchain qui a fait le succès du Bitcoin, de l’Ethereum et des cryptomonnaies, le système sécurisé garanti l’authenticité et la traçabilité parfaite de l’objet numérique qui lui est associé ; une crypto-signature infalsifiable, en somme, pour ce que d’aucuns définissent d’ores et déjà comme du «crypto-art».

-
Anglais2 années ago
Body found after downtown Lethbridge apartment building fire, police investigating – Lethbridge
-
Styles De Vie2 années ago
Salon du chocolat 2018: les 5 temps forts
-
Anglais2 années ago
This B.C. woman’s recipe is one of the most popular of all time — and the story behind it is bananas
-
Santé Et Nutrition2 années ago
Gluten-Free Muffins
-
Anglais2 années ago
27 CP Rail cars derail near Lake Louise, Alta.
-
Anglais2 années ago
Man facing eviction from family home on Toronto Islands gets reprieve — for now
-
Santé Et Nutrition2 années ago
We Try Kin Euphorics and How to REALLY Get the Glow | Healthyish
-
Anglais2 années ago
Ontario’s Tories hope Ryan Gosling video will keep supporters from breaking up with the party