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Les visées de l’abandon du traité sur les armes nucléaires

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Une nouvelle page a été écrite — encore une — dans la série Trump « j’accepte ma mission qui consiste à affaiblir l’ordre international ». En annonçant son intention d’abandonner le traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI) de 1987, Donald Trump alimente la rivalité entre grandes puissances qui semblait pourtant s’être estompée depuis la signature par Moscou et Washington du traité New START sur les forces nucléaires stratégiques en 2010. Pour le gouvernement Trump, deux puissances révisionnistes — la Chine et la Russie — menacent la sécurité nationale des États-Unis. Le président prône donc un réinvestissement massif pour moderniser l’arsenal nucléaire américain et l’abandon d’un accord que ne respecteraient plus les Russes depuis 2014 et qui ne contraint nullement les Chinois (car ils ne sont pas signataires du FNI). Pourtant, plusieurs pistes auraient pu être explorées avant d’opter pour la solution extrême d’un retrait unilatéral du traité. Le gouvernement Trump aurait pu développer des missiles autres que ceux exclus par le FNI, tout en tentant de négocier avec Moscou un accord pour soit inclure la Chine, soit lui faire contrepoids. Comme d’habitude, Donald Trump ne fait pas dans la nuance. Il a plutôt choisi de frapper un grand coup, et cela, curieusement en pleine saison électorale.

À moins de deux semaines des élections de mi-mandat, Trump veut en effet apparaître comme un président fort qui n’a pas peur d’affronter Moscou. Il souhaite ainsi galvaniser les troupes républicaines et dissiper les doutes quant aux allégations de collusion avec la Russie que scrute toujours le procureur spécial Robert Mueller. Même si le nom du président ne figure pas sur le bulletin de vote lors du scrutin de mi-mandat, ces élections prennent souvent la forme d’un référendum sur le travail de l’occupant du Bureau ovale. Un président faible à la solde de Vladimir Poutine oserait-il se retirer unilatéralement du traité FNI en réponse au présumé non-respect de ses dispositions par Moscou ? Voilà le pari que prend Donald Trump pour restaurer sa réputation ternie par son comportement docile lors de sa rencontre avec le président russe au sommet d’Helsinki, en juillet dernier. Ce changement de cap plaira sans doute à un électorat républicain qui se soucie peu des risques du déclenchement d’une nouvelle course aux armements entre la Russie et les États-Unis — en fait, seulement 32 % des républicains s’en inquiétaient en juillet dernier, selon le Council on Foreign Relations. Même si les enjeux de politique extérieure s’avèrent secondaires lors des élections de mi-mandat, cette décision fortement médiatisée pourrait aider le Parti républicain à limiter les dégâts en mobilisant ses électeurs acquis au président — sa cote de popularité, selon Gallup, dépasse 90 % chez les républicains.

L’influence de John Bolton

Au-delà du contexte électoral, le retrait annoncé du traité FNI semble surtout confirmer la grande influence qu’exerce John Bolton, conseiller pour la sécurité nationale, au sein de la Maison-Blanche. Depuis plusieurs décennies, Bolton ne cesse de critiquer les accords de désarmement qui, selon lui, affaiblissent indûment les États-Unis et leur sécurité — une position appuyée par son président. Déjà, en 2011, il en appelait au retrait du traité FNI, un traité qu’il jugeait « obsolète », dans un texte d’opinion publié par le Wall Street Journal. Or, son dédain pour le droit international et la coopération multilatérale dépasse le cadre des accords sur les armes nucléaires : il a notamment annoncé que les États-Unis cesseraient de financer le Conseil des droits de l’homme des Nations unies, puis a brandi la menace de sanctions contre le personnel de la Cour pénale internationale si des poursuites pour crimes de guerre étaient intentées contre des Américains.

Le Congrès demeure quant à lui spectateur. Plutôt que de remplir le rôle de garde-fou institutionnel pour contenir les aléas de l’exercice du pouvoir présidentiel, les législateurs ont, à quelques exceptions près, laissé la Maison-Blanche mener la politique étrangère sans entraves. Le Congrès pourrait-il empêcher le président de se retirer du traité FNI ? Cela est peu probable. La Constitution américaine prévoit que les traités signés par le président doivent être ratifiés par une majorité des deux tiers du Sénat, mais elle ne prévoit pas de procédure de retrait pour ce type d’accords. En 2002, le Congrès avait acquiescé au retrait du traité sur les défenses antimissiles (ABM) de 1972 annoncé par George W. Bush. Seule une trentaine de représentants s’étaient insurgés en poursuivant le gouvernement pour ne pas avoir consulté la législature avant de prendre cette décision, mais une cour fédérale avait refusé d’entendre la cause puisqu’il s’agissait, selon elle, d’un débat politique et non juridique. Tout indique que le retrait du traité FNI se fera donc avec l’assentiment tacite du Congrès, d’autant plus que des élus républicains ont amendé le budget de la Défense de 2019 pour justement permettre au gouvernement Trump de suspendre l’application du traité s’il jugeait que la Russie en bafouait les règles. Seule l’élection de majorités démocrates dans les deux chambres du Congrès, le 6 novembre prochain, pourrait complètement transformer la dynamique. Or, les plus récents sondages indiquent que les républicains conserveront le contrôle du Sénat, et pourront donc bloquer les projets de loi émanant d’une éventuelle Chambre des représentants démocrate.

Si le retrait du traité FNI signifie un retour en force de la compétition nucléaire, le non-renouvellement du traité New START, qui arrivera à échéance en 2021, serait bien pire. Grâce à son fameux « art de la négociation », Donald Trump fera-t-il mieux que ses prédécesseurs pour réduire les arsenaux nucléaires et prévenir la prochaine course aux armements ? On est tenté de répondre, cette fois, mission : impossible !

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Même les jeunes RÉPUBLIQUES se lassent du capitalisme, selon les sondeurs américains — RT USA News

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Moins de la moitié des jeunes Américains ont une vision positive du capitalisme, selon un nouveau sondage. Même les jeunes républicains sont de plus en plus sceptiques – mais ne vous attendez pas à ce que l’Amérique devienne complètement socialiste pour l’instant.

Un sondage Axios publié vendredi a révélé qu’aux États-Unis capitalistes, seulement 49% des Américains âgés de 18 à 34 ans soutiennent réellement le capitalisme. Et 51% déclarent avoir une vision positive du socialisme.

Depuis plusieurs années, les sondages ont trouvé un soutien au socialisme croissant parmi les démocrates et les jeunes. En conséquence, les démocrates qui se présentent sur des plateformes explicitement socialistes – comme les membres des Democratic Socialists of America Alexandria Ocasio-Cortez (D-New York) et Rashida Tlaib (D-Michigan) – ont traduit ce mécontentement en succès électoral.

Cependant, le dernier sondage a révélé que les jeunes républicains, généralement des défenseurs infatigables du capitalisme de libre marché, en ont marre du système qu’ils ont l’habitude de défendre. Parmi les républicains âgés de 18 à 34 ans, environ 66% ont désormais une vision positive du capitalisme, contre 81% en 2019. Mais 56% des jeunes républicains souhaitent que le gouvernement se concentre sur la réduction des inégalités de richesse, contre seulement 40% en deux ans. depuis.https://googleads.g.doubleclick.net/pagead/ads?us_privacy=1—&client=ca-pub-5390986774482540&output=html&h=280&adk=180704450&adf=4168993513&pi=t.aa~a.2874080257~i.7~rp.4&w=1092&fwrn=4&fwrnh=100&lmt=1628065615&num_ads=1&rafmt=1&armr=3&sem=mc&pwprc=5987108905&psa=1&ad_type=text_image&format=1092×280&url=https%3A%2F%2Fnews-24.fr%2Fmeme-les-jeunes-republiques-se-lassent-du-capitalisme-selon-les-sondeurs-americains-rt-usa-news%2F&flash=0&fwr=0&pra=3&rh=200&rw=1092&rpe=1&resp_fmts=3&wgl=1&fa=27&dt=1628065633854&bpp=2&bdt=2280&idt=-M&shv=r20210729&mjsv=m202108030101&ptt=9&saldr=aa&abxe=1&cookie=ID%3D5bc0ba73a725e77e-2207b6abaeca00da%3AT%3D1628065618%3ART%3D1628065618%3AS%3DALNI_MbfJtFs3LXLAMzQhf9X_KnK26CNWQ&prev_fmts=0x0%2C1092x280%2C1092x280%2C1092x280&nras=3&correlator=4582349290288&frm=20&pv=1&ga_vid=188329949.1628065617&ga_sid=1628065633&ga_hid=1441312153&ga_fc=0&u_tz=330&u_his=4&u_java=0&u_h=720&u_w=1280&u_ah=680&u_aw=1280&u_cd=24&u_nplug=0&u_nmime=0&adx=85&ady=1595&biw=1263&bih=567&scr_x=0&scr_y=416&eid=20211866&oid=3&pvsid=4333132958230926&pem=75&eae=0&fc=1408&brdim=-7%2C-7%2C-7%2C-7%2C1280%2C0%2C1295%2C695%2C1280%2C567&vis=1&rsz=%7C%7Cs%7C&abl=NS&fu=128&bc=31&ifi=5&uci=a!5&btvi=3&fsb=1&xpc=dqEjBFITRH&p=https%3A//news-24.fr&dtd=358

Axios attribue cette augmentation au fait que davantage d’Américains voient le « avantages tangibles de niveaux d’intervention gouvernementaux sans précédent » pendant la pandémie de coronavirus. En effet, le président de l’époque, Donald Trump, a critiqué les deux partis au Congrès pour avoir accepté d’envoyer « ridiculement bas » chèques de relance de 600 $ en décembre, au lieu des 2 000 $ qu’il a réclamés – une critique qui aurait été étrangère à un président républicain au cours des dernières décennies. Tout aussi rarement, Ocasio-Cortez et Tlaib étaient tous deux d’accord avec Trump sur la question.

Pourtant, l’abandon par la droite du capitalisme sans entraves est en cours depuis avant que la pandémie ne frappe. L’animateur de Fox News, Tucker Carlson, l’animateur de nouvelles du câble le plus regardé aux États-Unis et une influence sur Trump pendant son mandat à la Maison Blanche, a soutenu les propositions des démocrates visant à briser les monopoles technologiques de la Silicon Valley et a condamné « républicain grand public » se concentrer sur le « religion » de « capitalisme de marché ».

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« Aucune crise climatique ne causera la fin du capitalisme ! »

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Andreas Malm est un très sympathique quadragénaire suédois, militant de longue date contre le réchauffement climatique. Invité à Paris par son éditeur, La Fabrique, à l’occasion de la publication en France de son dernier ouvrage, il a par conviction traversé l’Europe en train, au départ de Malmö. Géographe spécialisé en écologie humaine de l’université de Lund, en Suède, il propose notamment une analyse du mouvement climat au sein de la vie politique suédoise (longtemps sous hégémonie sociale-démocrate), lui qui est originaire du même pays que Greta Thunberg. En septembre dernier, il a publié La Chauve-souris et le capital. Stratégie pour l’urgence chronique.

Andreas Malm est par ailleurs membre du collectif Zetkin, composé de chercheurs, d’enseignants et d’activistes de plusieurs nationalités œuvrant à la préservation du climat et de la biodiversité. Ce groupe s’intéresse notamment aux discours sur l’écologie politique de l’extrême droite européenne ou américaine. Malm a ainsi dirigé l’ouvrage collectif Fascisme fossile. L’extrême droite, l’énergie, le climat, qui met au jour la longue tradition de dénégation des enjeux climatiques due à l’engouement de l’extrême droite pour un développement fait de croissance économique constante grâce aux énergies fossiles.

Plus largement, il analyse ici la crise climatique, qu’il conçoit aujourd’hui comme intrinsèquement liée à la conjonction entre la crise sanitaire due au covid-19, source d’un effondrement de l’expansion capitalistique, et la destruction de la biodiversité, permettant la dispersion géographique des zoonoses. Le tout dans un mouvement incessant. En attendant la prochaine pandémie…

On parle généralement d’urgence climatique. Pourquoi lui préférez-vous celui d’« urgence chronique » ?

Andreas Malm : J’ai repris ce terme d’une étude de plusieurs scientifiques qui ont analysé la crise du covid-19 (notamment ses causes) et la crise climatique. Il traduit l’idée que ces deux désastres sont en train de devenir permanents, et non plus temporaires, l’un après l’autre : l’urgence apparaît donc comme chronique. Et la seule voie pour nous en sortir, c’est désormais d’agir contre les causes de ces crises, d’en modifier les conditions de développement.

Vous écrivez que le capitalisme, « survivant à tous ses hôtes », a longtemps semblé un « parasite qui ne meurt jamais », mais qu’il pourrait bien aujourd’hui avoir rencontré des « limites naturelles » à son « espérance de vie ». Que voulez-vous dire ?

Le capitalisme rencontre de réels problèmes, en raison de ce qu’il faut appeler ses « limites naturelles ». Toutefois, je ne crois pas que les problèmes environnementaux puissent causer son déclin avant qu’il ne parvienne à entraîner l’effondrement de la planète tout entière. Si le capitalisme a la possibilité de continuer ainsi dans la voie incontrôlée dans laquelle il se trouve, sans aucune régulation ni limitation, il ne pourra certainement causer – sans possibilité de retour – qu’un processus croissant vers une destruction incommensurable du climat, de la biodiversité et de tout le reste…

Je ne distingue aucune autre voie que la coercition pour obtenir des entreprises qu’elles changent leurs comportements.

Certains marxistes pensent que les problèmes environnementaux pourront être la cause d’une crise majeure du capitalisme et entraîner, à terme, sa chute. Même s’ils ne disposent pas vraiment de preuves à l’appui de cette thèse, on peut bien sûr interpréter le covid-19 (et la crise économique qu’il entraîne) comme un exemple potentiel de ce processus : celui d’un phénomène environnemental causant une maladie zoonotique ayant eu pour conséquence une crise économique majeure au début de la décennie 2020. Toutefois, le covid-19 n’a certainement pas tué le capitalisme. Et je ne pense pas que quelque chose puisse annihiler le système capitaliste, sauf certains processus sociaux précis par lesquels de nombreuses forces humaines s’organisent pour travailler ensemble dans les mêmes directions contre ce système. Mais je ne crois pas qu’une crise environnementale parviendra jamais à elle seule à causer la fin du capitalisme !

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Innovation : le capitalisme « responsable », faux problème et vraie diversion

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La critique du capitalisme est une sorte de passage obligé pour un homme politique en difficulté en France. Elle est pratique parce qu’elle séduit sur un assez large spectre, de gauche à droite. On pourrait donc considérer cette déclaration comme un simple exercice de rhétorique sans grande importance, mais ce faisant on commettrait une erreur, car cette expression révèle beaucoup sur la grande difficulté de l’Europe et surtout de la France à établir un diagnostic pertinent sur leur déclin accéléré.

En se trompant de diagnostic, on s’interdit de résoudre le problème. L’exercice se révèle donc dangereux.

L’appel à un capitalisme « responsable » par le président de la République est bien sûr avant tout une tactique politique. Nous sommes en période électorale et il s’agit probablement pour lui de parler à la gauche en essayant de faire oublier son image libérale, c’est de bonne guerre.

En critiquant un capitalisme devenu « fou », il est certain de marquer des points, même si cela ne repose sur aucun fait tangible. Mais au-delà d’agiter de vieux épouvantails, cette déclaration pose deux problèmes : le premier, c’est qu’elle sert à faire diversion sur les dysfonctionnements de l’État, et le second c’est qu’elle traduit un diagnostic erroné sur l’état du capitalisme en Europe.

Exiger un capitalisme « responsable », une diversion

Prôner un capitalisme responsable, c’est tenter de faire diversion pour éviter de poser la question de la responsabilité de l’État. Rappelons que celui-ci a abordé la crise de la Covid en ayant détruit les stocks de masques, puis a officiellement expliqué aux Français que le port du masque était inutile, et que de toute façon ils étaient trop bêtes pour savoir en mettre un.

Il a ensuite fallu près d’une année à cet État pour mettre en place une campagne de tests systématiques et les débuts de la campagne de vaccination ont été une série d’humiliants dysfonctionnements très largement constatés sur lesquels il n’est pas utile de revenir. La seconde vague a été abordée sans qu’aucune capacité supplémentaire n’ait été créée en réanimation, ce qui a nécessité un nouveau confinement pour éviter l’engorgement des services.

Après 18 mois de Covid, le collège public de mes enfants n’a pas organisé une seule heure d’enseignement à distance via un logiciel de téléconférence, et son application d’espace numérique de travail date visiblement des années 1990 ; elle s’est d’ailleurs effondrée dès les premiers jours d’arrêt des cours présentiels. Dès les premiers jours du confinement, la Poste a quasiment cessé de fonctionner.

Et ce ne sont là que les défaillances directement liées à l’épidémie. On comprend que le chef de l’État souhaite parler d’autre chose que la réforme de l’État, et faire diversion… Au Moyen-Âge, quand les choses tournaient mal, on brûlait des sorcières. En France, on brûle le capitalisme, éternel bouc émissaire.

Cette critique est particulièrement mal venue aujourd’hui, car si la crise de la Covid a montré une chose, c’est que le capitalisme est profondément responsable, au sens le plus large qu’on puisse donner à ce terme. Après des semaines de blocage résultant d’une gestion catastrophique des masques, et alors que des professionnels de santé mouraient de leur absence, l’État s’est finalement résolu à ouvrir leur approvisionnement et leur distribution au secteur privé, bref, au capitalisme, et la pénurie a disparu en moins de deux semaines.

Capitalisme irresponsable ? Quand est arrivé le confinement, tout le monde a craint les pénuries et certains n’ont pas hésité à prophétiser l’effondrement du système. Rien ne s’est effondré et il n’y a eu aucune pénurie. La grande distribution, victime traditionnelle des discours bien-pensants, a nourri la France malgré des conditions extrêmes.

Capitalisme irresponsable ? Puis à partir de décembre 2020, Pfizer, BioNTech et Moderna, purs produits du capitalisme spéculatif que l’on se plait à décrier, ont sauvé des millions de vies humaines avec leurs vaccins et permis à nos économies de repartir, un exploit que quelques mois auparavant, les bien-pensants – encore eux- au premier rang desquels notre Président, jugeaient impossible.

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