Styles De Vie
«La gloire, je m’en cogne!»
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5 années agoon
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admin [ad_1]
INTERVIEW – Le chef landais de 37 ans, qui vient d’ouvrir BOULOM, une table dédiée au buffet à volonté, fourmille de projets de grande ampleur. Avec toujours la convivialité et les bons produits du Sud-Ouest au cœur.
Le FIGAROSCOPE. – Quel est votre parcours?
Julien DUBOUÉ. – Né à Dax en 1981, j’ai étudié au lycée hôtelier de Biarritz. Je n’aimais pas l’école. Mon premier stage, chez Jean Coussau, 2 étoiles, m’a permis de découvrir une seconde passion en dehors du rugby. Après y avoir effectué tous mes stages pendant trois ans, j’ai été embauché. Coussau m’a ensuite envoyé chez Alain Dutournier à Paris, auprès duquel je suis resté deux ans, au Carré des Feuillants. Puis j’ai passé deux ans et demi au George V avec Philippe Legendre, avant de partir à New York chez Daniel Boulud. J’y ai démarré comme commis pour passer sous-chef en six mois. Daniel m’a alors proposé un poste de chef que j’ai refusé. J’ai préféré rentrer à Paris pour ouvrir ma propre affaire, Afaria. En attendant de trouver le local, j’ai travaillé un an au Drouant d’Antoine Westermann.
Comment avez-vous eu les moyens de lancer Afaria?
J’avais 26 ans et très peu d’argent de côté. Mes parents, mon entraîneur de rugby et un de mes meilleurs amis m’en ont prêté. Mais il me fallait trois fois plus. Neuf banques m’ont refusé un prêt. J’ai fini par en obtenir un et j’ai ouvert tant bien que mal, en faisant tout moi-même. J’ai eu la chance que ce soit en pleine Coupe du monde de rugby. Yves Camdeborde et ses amis ont fait tous les avant-matchs au restaurant et l’affaire était lancée. Par la suite, pour Dans les Landes, A Noste et même BOULOM, j’ai réinvesti tout ce que j’avais à chaque fois. Je ne fais pas appel à des investisseurs extérieurs, mais propose à ceux qui m’ont aidé à mes débuts ainsi qu’à mes collaborateurs de participer à chaque nouveau projet.
» LIRE AUSSI – Que valent les restaurants de Julien Duboué à Paris?
Quels chefs vous ont le plus appris?
Jean Coussau m’a appris à tenir une cuisine et à ne pas gaspiller. Alain Dutournier m’a fait comprendre qu’un chef ne doit pas rester dans sa cuisine, mais se montrer en salle et s’y connaître en vin. Avec M. Legendre, j’ai bossé comme un fou, mais le palace, ce n’était pas pour moi. Cela m’a toutefois permis de cumuler plusieurs jobs: quand je ne travaillais pas au George V, j’étais en boulangerie chez Delmontel ou dans des bistrots le soir. Avec Daniel Boulud, j’ai réalisé qu’on pouvait faire de très bonnes choses pour 500 personnes. Mais la vraie rencontre qui a changé ma vie, c’est celle d’Yves Camdeborde, lors d’un dîner au Repaire de Cartouche. En entendant mon accent, il m’a proposé de venir jouer à la pelote basque. Je me suis nourri de lui, je l’admirais comme un gamin. Sa philosophie de vie me correspond. Il a su se développer en gardant une éthique.
Des tapas à la boulangerie, en passant par la cuisine d’auteur, le bistrot et le «fast-good», quel est le point commun entre vos adresses?
La convivialité, le partage et la qualité des produits. 80 % viennent du Sud-Ouest. Pour la boulangerie de BOULOM, par exemple, on travaille une farine de blé ancien produit en bio dans le village où je suis né. Je ne me suis jamais posé pour réfléchir à un concept. Chaque adresse correspond à une envie au moment où je l’ai créée. Je cherche un lieu, et il fait parfois changer mon idée de départ.
» LIRE AUSSI – Les nouveaux visages des régions à Paris
Le concept de buffet à volonté de BOULOM n’est-il pas un pari risqué dans une société attentive au gaspillage?
Je n’y ai pas pensé! Mais, rassurez-vous, je suis très attentif au gaspillage et je l’inculque à mes équipes. Chez BOULOM, si un client laisse des restes dans son assiette, ils lui sont facturés 2 euros les 100 g. Ce qui reste du buffet (47 plats tous les jours) est mangé par le personnel ou réutilisé pour faire des barquettes, des sandwichs ou des quiches côté boulangerie.
» LIRE AUSSI – B.O.U.L.O.M, droit dans le buffet
Comment organisez-vous votre emploi du temps entre vos différentes adresses?
En ce moment, je passe beaucoup de temps chez BOULOM, parce que nous sommes toujours en période d’ouverture. J’y viens le matin, l’après-midi je travaille sur de nouveaux projets, puis j’y reviens pour lancer la soirée, avant de passer chez A Noste.
Avez-vous d’autres projets? Vous n’avez pas envie d’ouvrir dans le Sud-Ouest, ou à l’étranger?
J’ai eu beaucoup de propositions dans le Sud-Ouest, mais il faut trouver les bonnes personnes. Un jour, sûrement, mais pas maintenant. On m’a aussi approché pour ouvrir A Noste à Londres, mais je n’avais pas envie de me brûler les ailes. La gloire, je m’en cogne! Je n’ai pas de plan de carrière, mais tout m’intéresse. Avec ma femme, Delphine, qui vient de quitter son poste dans le digital, nous allons lancer Les Repas d’Alba, une gamme de nourriture bio pour enfants de 0 à 4 ans, qui sera vendue au départ dans les épiceries de luxe. Nous sommes aussi en discussion sur trois gros projets. J’ai beaucoup d’idées, mais je ne suis qu’un cuisinier. C’est pourquoi, avec les nombreux projets qui m’attendent, j’ai décidé de m’entourer.
Vous sentez-vous plutôt chef d’entreprise ou artisan?
Chef d’entreprise! Je ne suis plus un artisan. On fait de l’artisanat dans nos cuisines, et on travaille avec des artisans dans chacune de nos affaires. Mais derrière, il faut vendre! Un bon cuisinier, aujourd’hui, doit savoir trouver un produit de qualité et le vendre à prix juste pour gagner sa vie, mais aussi pour faire vivre les producteurs.
Qu’avez-vous pensé de l’expérience «Top Chef»?
Pas beaucoup de bien, mais je ne peux pas cracher dessus. L’émission m’a blessé sur le moment, mais je dois avouer qu’elle m’a servi. En parlant de TV, TMC devrait bientôt diffuser «Cuisine impossible», que j’ai tourné avec Juan Arbelaez. Chacun de nous a envoyé l’autre dans un pays étranger pour reproduire à l’aveugle un plat local. Une très belle expérience!
» LIRE AUSSI – Les restaurants parisiens des anciens de Top Chef
La quête d’une étoile Michelin ne vous intéresse pas?
J’ai couru après chez les autres, mais ce n’est pas pour moi. J’ai fait le choix du business et, pour être honnête, je n’en ai plus la capacité.
Après Sud-Ouest et 100 % maïs, avez-vous d’autres livres en vue?
On m’a effectivement demandé de coordonner un livre sur la bouffe, le rugby et le pinard!
Vous êtes plutôt actif sur les réseaux sociaux. Par devoir ou par plaisir?
Je n’ai personne qui s’en occupe, mais j’y fais attention. Quand j’ai commencé chez Afaria, les réseaux sociaux n’existaient pas. Je suis conscient de la clientèle qu’ils nous ramènent.
De quels chefs êtes-vous proche?
Camdeborde et toute la clique: Jégo, Doucet, Notelet, Favier, Mandard…
» LIRE AUSSI – Le carnet d’adresses gourmand de Julien Duboué à Paris
Avez-vous des passions en dehors de la cuisine et du rugby?
J’ai arrêté de jouer au rugby, mais je vais régulièrement au stade. Mon autre passion, à laquelle je consacre beaucoup de temps, c’est la pétanque! Je suis licencié dans un grand club parisien et participe à des championnats. Je joue aussi régulièrement au squash et au foot avec mes équipes.
» LIRE AUSSI – Rugby: les 5 restaurants pour la 3e mi-temps à Paris
Que pensez-vous de la scène gastronomique parisienne actuelle?
Elle a l’avantage de mettre en avant de nombreux talents, mais qui ont du mal à s’inscrire dans la durée. Cela nous oblige à nous réactualiser en permanence. Mais combien de restaurants doivent fermer au bout de six mois parce qu’ils ont trop dépensé?
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MAPEI Canada inaugure l’agrandissement de son usine à Laval, au Québec
Published
7 mois agoon
septembre 20, 2023By
adminLAVAL, QC, le 15 sept. 2023 /CNW/ – MAPEI Inc., un renommé fabricant de produits pour l’industrie du bâtiment au Canada depuis 1978 faisant partie du Groupe MAPEI, a inauguré hier soir l’agrandissement de son installation phare à Laval, au Québec, lors d’une cérémonie qui célébrait l’ouverture officielle de la nouvelle usine de production de poudre et du nouvel entrepôt.
« Maintenant que les lignes de poudres et d’adjuvants sont opérationnelles, MAPEI Laval figure parmi les usines les plus grandes et les plus technologiquement avancées du réseau de MAPEI Amérique du Nord », dit Marco Roma, directeur général de MAPEI Canada. « Cette nouvelle installation nous permet de répondre aux besoins croissants du nord-est du Canada en matière de matériaux de construction, d’adjuvants pour béton et d’agents de mouture pour ciment », ajoute-t-il.
Entre autres, l’augmentation de la production à Laval créera un effet d’entraînement qui permettra une production plus équilibrée au Canada.
« En améliorant notre capacité à déplacer la production en conséquence pour une plus grande localisation entre nos usines du Québec, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique, nous pouvons réduire notre empreinte carbone partout au pays en effectuant des livraisons plus rapides sur des distances plus courtes lors du transport des fournitures vers les chantiers de construction », dit M. Roma.
Maximiser l’utilisation de matériaux locaux fait partie du pilier MAPEI qui vise à améliorer la durabilité dans le domaine de la construction. Cela fait partie de la philosophie qui a permis à MAPEI de participer à la construction et à la rénovation de certains des bâtiments et infrastructures les plus remarquables du Canada, allant du Centre aquatique Minoru à Richmond, en Colombie-Britannique, au Centre Avenir à Moncton, au Nouveau-Brunswick, en passant par la station Union à Toronto, en Ontario, pour n’en nommer que quelques-uns.
« Notre présence au Canada est née d’une occasion liée aux Jeux olympiques de Montréal qui ont eu lieu en 1976 », disent Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI. « Nous avons été appelés à fournir des produits pour l’installation des pistes d’athlétisme olympiques. Nous avons eu un effet tellement positif au pays que nous avons décidé en 1978 d’investir et d’ouvrir, ici même à Laval, notre première usine hors de l’Italie. Ce fut le début de notre stratégie d’internationalisation qui définit toujours l’entreprise aujourd’hui. Au cours des cinq dernières années, nous avons décidé de diversifier les marchés en ajoutant des lignes de produits qui n’étaient pas offertes au Canada à l’origine, mais qui étaient déjà bien étendues et rigoureusement testées par MAPEI en Europe, comme les additifs et les revêtements de sol industriels. Voilà ce qui a mené au projet d’agrandissement. »
« MAPEI Amérique du Nord avance à grands pas », dit Luigi Di Geso, président-directeur général de MAPEI Amérique du Nord. « Cet ajout répondra à une croissance qui a commencé ici même, dans une installation alors modeste qu’on ne reconnaitrait pas aujourd’hui, et qui était pourtant à la fine pointe de la technologie il y a quelques années seulement. »
La nouvelle ligne de production de poudre produira annuellement 30 000 tonnes par quart de travail. La nouvelle ligne de production d’adjuvants produira annuellement 7 000 tonnes par quart de travail. L’agrandissement de l’espace d’entreposage pourra dorénavant rendre plus efficace la distribution de toute cette production : 4 715 m² (50,750 pi²) supplémentaires s’ajoutent aux 11 892 m² (128,000 pi²) que constituent l’usine de polymères, le centre d’excellence en R. et D. pour la construction en béton et le siège social canadien, qui sont également sur place.
« Avec 11 lignes de produits couvrant tous les aspects de la construction, MAPEI Inc. est prête à atteindre des sommets encore plus élevés que jamais en aidant à construire le Canada de manière plus durable, et ce pour de nombreuses années à venir », ajoute M. Di Geso.
Parmi les invités d’honneur qui ont pris la parole au cours de la cérémonie, Son Excellence Andrea Ferrari, Ambassadeur d’Italie au Canada, et l’Honorable Tony Loffreda, Sénateur au Sénat du Canada.
L’année 2023 marque le 45e anniversaire de MAPEI au Canada, sous le nom de MAPEI Inc. En plus de l’emplacement à Laval, MAPEI Canada possède des installations de production à Maskinongé, au Québec, à Brampton, en Ontario, et à Delta, en Colombie-Britannique, ainsi qu’un centre de distribution à Calgary, en Alberta. Elle peut également se vanter de ses Services techniques, présents partout au pays et sans égal dans l’industrie. Pour plus de renseignements, consultez le www.mapei.ca.Au sujet de MAPEI
Fondée en 1937 à Milan, MAPEI est aujourd’hui l’un des principaux fabricants mondiaux de produits chimiques pour l’industrie du bâtiment et a contribué à la construction de certaines des créations architecturales et d’infrastructure les plus importantes au monde. Avec 102 filiales exerçant leurs activités dans 57 pays et 90 usines de fabrication dans 35 nations, le Groupe MAPEI emploie environ 11 900 personnes dans le monde. Les fondements du succès de l’entreprise sont la spécialisation, l’internationalisation, la recherche et le développement, ainsi que la durabilité.
MAPEI Amérique du Nord, dont le siège social est situé à Deerfield Beach, en Floride, compte les filiales MAPEI Corporation (pour les États-Unis), MAPEI Inc. (pour le Canada) et MAPEI Caribe (pour Porto Rico et les autres îles des Caraïbes). Celles-ci regroupent 28 installations où travaillent environ 1 800 employés. Les installations MAPEI sont certifiées selon les normes de qualité ISO 9001 et ISO 14001. MAPEI est un fabricant soucieux de l’environnement qui réinvestit 5 % de ses recettes dans la R. et D., et qui offre également de la formation aux architectes, aux entrepreneurs, aux installateurs et aux distributeurs par l’entremise de l’Institut technique MAPEI. Pour en savoir plus sur MAPEI, consultez le www.mapei.com ou composez le 1 800 42-MAPEI (1 800 426-2734).
SOURCE MAPEI Inc.
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Le Gala Elles reconnaissent célèbre les femmes remarquables de l’industrie de la construction
Published
7 mois agoon
septembre 20, 2023By
adminMONTRÉAL, le 18 sept. 2023 /CNW/ – Les Elles de la construction sont fières d’annoncer le retour du Gala Elles reconnaissent, un événement destiné à célébrer les femmes exceptionnelles qui ont joué un rôle primordial dans l’industrie de la construction. Cette soirée promet glamour, réseautage et reconnaissance, offrant aux invitées une opportunité unique d’assister à une cérémonie de remise de prix spéciale mettant en valeur les femmes les plus remarquables et influentes du secteur. Le Gala aura le privilège de compter sur deux présidentes d’honneur : Lyne Laperrière, Directrice des ressources humaines chez Demospec Groupe, et Danièle Henkel, Présidente de Henkel Média et Fondatrice des entreprises Danièle Henkel Inc.
Le Gala Elles reconnaissent se tiendra le jeudi 5 octobre 2023, de 17h30 à 21h, au Théâtre Paradoxe situé au 5959 Boulevard Monk, Montréal, QC, H4E 3H5. Des discours mettront en lumière le parcours inspirant et les obstacles surmontés par des femmes pour réaliser leurs rêves dans le domaine de la construction.
« Le Gala Elles reconnaissent est une opportunité de favoriser le réseautage et de renforcer les liens au sein de notre industrie en rassemblant des professionnels influents et des entrepreneurs inspirants. Cet événement a pour objectif de reconnaître et de célébrer les réalisations exceptionnelles des femmes dans l’industrie de la construction. Depuis des décennies, elles ont joué un rôle significatif dans le succès et l’innovation de ce secteur, et il est grand temps de leur accorder la reconnaissance qu’elles méritent amplement. »
– Lyne Laperrière, Directrice des ressources humaines, Demospec Groupe
« Nous sommes fiers d’honorer ces femmes qui ont apporté une contribution inestimable au secteur de la construction et qui sont une source d’inspiration pour les générations futures. Le Gala Elles reconnaissent est une occasion unique de célébrer leurs réalisations et de se laisser inspirer par leurs brillants parcours. »
– Danièle Henkel, Présidente de Henkel média et Fondatrice des entreprises Danièle Henkel inc.
Le Gala Elles reconnaissent est soutenu par de nombreux commanditaires, dont Groupe RP. Pour de plus amples informations, rendez-vous sur le site web officiel de l’événement sur www.ellesdelaconstruction.com.
SOURCE Les Elles de la construction
Renseignements: Relations de presse ; Yasmina Wahdani, 514-209-0799, ywahdani@exponentielconseil.com ; Gaëlle Gilles, 438 404-3553, communications@ellesdelaconstruction.com
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Préparez votre maison pour l’hiver afin d’éviter les réclamations d’assurance
Published
7 mois agoon
septembre 20, 2023By
admin(NC) Se prélasser au coin du feu. Construire un fort dans la cour enneigée. Regarder un bon film au chaud. Au Canada, on peut faire une foule de choses agréables quand on passe l’hiver à la maison. Mais présenter une réclamation d’assurance habitation n’en fait pas partie.
Suivez nos conseils pour bien préparer votre maison pour un autre hiver enneigé et en profiter pleinement sans vous inquiéter des imprévus.
Inspectez, dégagez et nettoyez l’extérieur de la maison
Vous assurer que l’extérieur est bien entretenu est une étape clé de la préparation de votre maison pour l’hiver. Avant que les températures glaciales ne deviennent une réalité quotidienne, débarrassez-vous des feuilles et autres débris qui se sont accumulés dans les gouttières pour empêcher la formation de barrières de glace pendant l’hiver. Videz et fermez les conduites d’eau extérieures pour éviter les dégâts d’eau causés par le gel et l’éclatement des tuyaux.
Il est maintenant temps d’inspecter les coupe-froid autour des portes et des fenêtres. Trouver et réparer les fissures et les interstices aide à prévenir les pertes de chaleur et la hausse de votre facture d’électricité, tout en préservant l’intégrité architecturale de votre maison.
Vérifiez la sécurité à l’intérieur de la maison
La sécurité incendie et la qualité de l’air à l’intérieur de la maison sont importantes tout au long de l’année, mais l’ajout d’une vérification à votre liste de préparation pour l’hiver peut vous assurer que tout est en parfait état.
Vérifiez le fonctionnement de vos détecteurs de fumée et de monoxyde de carbone. Et pendant que vous y êtes, prenez note de la date d’expiration de chaque détecteur. Selon le modèle, on devrait les remplacer tous les cinq à dix ans.
Ensuite, assurez-vous que vos extincteurs sont en bon état de fonctionnement et facilement accessibles. Si vous n’en avez pas, ajoutez-les en priorité à votre liste d’achats. En compagnie des autres membres de la famille, prenez le temps d’apprendre quand et comment vous en servir correctement.
Par souci de sécurité, vous pouvez également envisager de vous procurer une trousse de mesure du radon à long terme, qui comprend un détecteur. La ventilation, les points d’entrée, les drains et même la composition du sol peuvent avoir des répercussions sur votre exposition au radon, un gaz potentiellement cancérigène créé lorsque l’uranium présent à l’état naturel se désagrège. L’étage le plus bas de la maison est l’endroit idéal pour installer un détecteur de radon. Surveillez-le régulièrement pour votre sécurité et celle de votre famille.
Inspectez votre générateur d’air chaud et vos autres appareils de chauffage
Compte tenu de l’arrivée imminente de l’hiver et du temps froid, il est essentiel de faire des vérifications de routine et de voir à l’entretien de votre générateur d’air chaud pour vous assurer qu’il fonctionne efficacement et en toute sécurité, afin que vous puissiez rester bien au chaud pendant toute la saison froide.
Pour procéder vous-même à une inspection de base, vérifiez que la zone autour du générateur d’air chaud est exempte d’objets et de débris, examinez les tuyaux et les raccords pour déceler tout signe de dégradation et assurez-vous de remplacer les filtres selon le calendrier recommandé par le fabricant. Une inspection et un nettoyage annuels par une équipe technique d’entretien qualifiée sont aussi recommandés.
Si vous avez des appareils de chauffage au bois et des foyers dans votre maison, vous devriez retenir les services d’une équipe d’inspection de cheminée certifiée pour les examiner et les nettoyer avant de commencer à les utiliser. Cela réduit le risque d’incendie lié à une cheminée.
Découvrez d’autres conseils sur la façon de protéger votre maison tout au long de l’année au cooperators.ca.
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