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Prostitution: la trahison de la Fédération des femmes du Québec

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En décidant, en assemblée générale extraordinaire convoquée à cet effet le 28 octobre 2018, « que la FFQ reconnaisse l’agentivité des femmes dans la prostitution/industrie du sexe incluant le consentement à leurs activités », la Fédération des femmes du Québec (FFQ) révèle son ignorance, son déni outrageant de la réalité vécue par les femmes dans la prostitution et les trahit en prétendant les aider.

C’est en mai 2001 que, pour la première fois, j’ai été mise en contact avec des femmes victimes de prostitution. J’ai fait la découverte d’une tragédie humaine à laquelle je ne m’attendais pas. J’ai douté de mes observations, de ce que je découvrais, de moi-même, tant la réalité observée était différente des discours ambiants.

Un jour Nancy m’a dit : « Ç’a tellement pas d’allure de penser qu’on se prostitue parce qu’on aime ça ! Penses-y : se faire toucher, donner son sexe à quelqu’un qu’on connaît même pas ! Faut tellement être fuckée pour faire ça ! Le seul fait qu’on fait ça devrait montrer à tout le monde qu’y a quelque chose qui ne va pas avec nous autres ! » Ce message nous est adressé. Cette jeune femme nous dit la vérité sur ce qu’est se prostituer, elle le sait d’expérience, sa parole est juste, elle l’a fait. Elle nous dit aussi que nous ne semblons pas en comprendre la gravité et qu’en conséquence nous ne venons pas spontanément en aide à ces femmes qui en auraient tant besoin. Pourquoi cette évidence ne nous vient-elle pas naturellement à l’esprit ? Peut-être est-ce parce qu’elle existe depuis plus de 2000 ans et que nous croyons la connaître ? C’est Solon, un législateur athénien qui, 500 ans avant J.-C., a introduit l’argent dans la relation sexuelle. Comparer la prostitution contemporaine, devenue industrie du sexe, avec la prostitution d’hier est une erreur. Un monde de différences existe entre les deux, celle d’aujourd’hui est un nouveau phénomène social.

Nancy n’est pas la seule à dire que ça n’a pas d’allure de se prostituer, elles le savent toutes et le disent, mais néanmoins elles le font, pourquoi ?

Différentes raisons

Elles se prostituent pour deux raisons. La première raison est leur besoin impératif d’argent, et leur corps est tout ce qui leur reste à vendre pour vivre ainsi que leurs enfants. La pauvreté est la toile de fond de la prostitution féminine, on ne dira jamais assez combien ces femmes sont pauvres.

La deuxième raison est liée à leur histoire personnelle. Elles le font parce qu’une histoire a précédé leur basculement dans la prostitution. Il n’y a pas d’histoires heureuses qui conduisent à se prostituer. Chaque parcours demeure un drame personnel à comprendre.

Parmi vingt histoires retenues ici pour documenter les processus précis qui ont les ont conduites à se prostituer, dix-sept ont vécu des incestes pédophiles et autres formes d’agressions sexuelles. Qui dit inceste ici dit agressions sexuelles à l’intérieur de la famille, souvent par plusieurs agresseurs et souvent aussi sur de longues périodes. On savait depuis longtemps que les femmes victimes de prostitution étaient très nombreuses à avoir été sexuellement agressées et que toutes les femmes sexuellement agressées ne se prostituaient pas. Pourquoi, elles, le font-elles ?

La réponse réside dans la nature de la relation que l’homme a établie avec elles, ses exigences, ses paroles, les mots qu’il lui adresse, les noms dont il la traite, la rétribution qu’il lui fait, le marchandage qu’il lui impose, etc. Dans certains cas, la petite fille ne pourra que se prostituer parce que les paroles de cet homme, ses mots, ses gestes pédophiles, son attitude font d’elle une prostituée, lui confèrent une identité de prostituée qu’elle intériorise. Dans d’autres cas, elles pourront difficilement éviter la prostitution, ces mots, ces gestes seront la cause principale de leur prostitution, sans qu’elles intériorisent une identité de prostituée, ce qui leur donne une marge de manoeuvre pour en sortit. Dans d’autres cas, ces mots et gestes d’agression sexuelle contribuent à leur prostitution, mais c’est une autre condition ou un contexte qui produira le basculement. Dans tous les cas, ces petites et jeunes filles ont vécu les rapports sexuels comme une solution à leur pauvreté.

Différents systèmes

Le premier système producteur de prostitution, celui des incestes pédophiles et autres agressions sexuelles, n’est pas le seul en cause au sein de la famille. Être jeune, en fugue et pauvre, avoir une mère qui elle-même se prostitue, avoir un conjoint gigolo ou proxénète sont d’autres systèmes relationnels qui y conduisent. La toxicomanie-alcoolisme ou autres dépendances s’y ajoutent, de même que la très grande proximité de la prostitution, omniprésente, partout et en tout temps, facilement accessible et en toute confidentialité, pour toute femme en situation d’urgence, surtout depuis l’avènement du Web.

Un dernier système producteur de prostitution, d’apparition plus récente, est celui de jeunes filles qui vont d’elles-mêmes s’offrir aux clients et aux proxénètes. Leur comportement répond à l’extraordinaire diffusion de la pornographie et aux puissants discours des industries du sexe qui se présentent comme la voie d’une sexualité libre et épanouie. Par naïveté, sentiment d’abandon, désir d’autonomie, besoin de reconnaissance ou désir de s’intégrer à un groupe, ces jeunes filles croient ces faux discours qui ne font l’objet d’aucun contre-discours, ce qui maintient le leurre prostitutionnel.

La prostitution est un crime contre la personne, un problème social et politique sur lequel il nous faut agir. La société contemporaine porte une transformation radicale de nos visions de la prostitution, une transformation en cours, incontournable. Nous devons abolir la prostitution comme nous avons aboli l’esclavage au XIXe siècle, la peine de mort au XXe siècle, et cela n’est pas une utopie. Plusieurs pays en ont fait leur projet : la Suède depuis 1999, la Norvège en 2008, l’Islande en 2010, le Canada en 2014, la France en 2016, pour ne nommer que ceux-là.

Il ne peut y avoir une catégorie de femmes prostituables. Tant que des femmes seront prostituables, nous le serons toutes. La solution de la FFQ de faire de la prostitution un métier acceptable n’est pas acceptable.

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Même les jeunes RÉPUBLIQUES se lassent du capitalisme, selon les sondeurs américains — RT USA News

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Moins de la moitié des jeunes Américains ont une vision positive du capitalisme, selon un nouveau sondage. Même les jeunes républicains sont de plus en plus sceptiques – mais ne vous attendez pas à ce que l’Amérique devienne complètement socialiste pour l’instant.

Un sondage Axios publié vendredi a révélé qu’aux États-Unis capitalistes, seulement 49% des Américains âgés de 18 à 34 ans soutiennent réellement le capitalisme. Et 51% déclarent avoir une vision positive du socialisme.

Depuis plusieurs années, les sondages ont trouvé un soutien au socialisme croissant parmi les démocrates et les jeunes. En conséquence, les démocrates qui se présentent sur des plateformes explicitement socialistes – comme les membres des Democratic Socialists of America Alexandria Ocasio-Cortez (D-New York) et Rashida Tlaib (D-Michigan) – ont traduit ce mécontentement en succès électoral.

Cependant, le dernier sondage a révélé que les jeunes républicains, généralement des défenseurs infatigables du capitalisme de libre marché, en ont marre du système qu’ils ont l’habitude de défendre. Parmi les républicains âgés de 18 à 34 ans, environ 66% ont désormais une vision positive du capitalisme, contre 81% en 2019. Mais 56% des jeunes républicains souhaitent que le gouvernement se concentre sur la réduction des inégalités de richesse, contre seulement 40% en deux ans. depuis.https://googleads.g.doubleclick.net/pagead/ads?us_privacy=1—&client=ca-pub-5390986774482540&output=html&h=280&adk=180704450&adf=4168993513&pi=t.aa~a.2874080257~i.7~rp.4&w=1092&fwrn=4&fwrnh=100&lmt=1628065615&num_ads=1&rafmt=1&armr=3&sem=mc&pwprc=5987108905&psa=1&ad_type=text_image&format=1092×280&url=https%3A%2F%2Fnews-24.fr%2Fmeme-les-jeunes-republiques-se-lassent-du-capitalisme-selon-les-sondeurs-americains-rt-usa-news%2F&flash=0&fwr=0&pra=3&rh=200&rw=1092&rpe=1&resp_fmts=3&wgl=1&fa=27&dt=1628065633854&bpp=2&bdt=2280&idt=-M&shv=r20210729&mjsv=m202108030101&ptt=9&saldr=aa&abxe=1&cookie=ID%3D5bc0ba73a725e77e-2207b6abaeca00da%3AT%3D1628065618%3ART%3D1628065618%3AS%3DALNI_MbfJtFs3LXLAMzQhf9X_KnK26CNWQ&prev_fmts=0x0%2C1092x280%2C1092x280%2C1092x280&nras=3&correlator=4582349290288&frm=20&pv=1&ga_vid=188329949.1628065617&ga_sid=1628065633&ga_hid=1441312153&ga_fc=0&u_tz=330&u_his=4&u_java=0&u_h=720&u_w=1280&u_ah=680&u_aw=1280&u_cd=24&u_nplug=0&u_nmime=0&adx=85&ady=1595&biw=1263&bih=567&scr_x=0&scr_y=416&eid=20211866&oid=3&pvsid=4333132958230926&pem=75&eae=0&fc=1408&brdim=-7%2C-7%2C-7%2C-7%2C1280%2C0%2C1295%2C695%2C1280%2C567&vis=1&rsz=%7C%7Cs%7C&abl=NS&fu=128&bc=31&ifi=5&uci=a!5&btvi=3&fsb=1&xpc=dqEjBFITRH&p=https%3A//news-24.fr&dtd=358

Axios attribue cette augmentation au fait que davantage d’Américains voient le « avantages tangibles de niveaux d’intervention gouvernementaux sans précédent » pendant la pandémie de coronavirus. En effet, le président de l’époque, Donald Trump, a critiqué les deux partis au Congrès pour avoir accepté d’envoyer « ridiculement bas » chèques de relance de 600 $ en décembre, au lieu des 2 000 $ qu’il a réclamés – une critique qui aurait été étrangère à un président républicain au cours des dernières décennies. Tout aussi rarement, Ocasio-Cortez et Tlaib étaient tous deux d’accord avec Trump sur la question.

Pourtant, l’abandon par la droite du capitalisme sans entraves est en cours depuis avant que la pandémie ne frappe. L’animateur de Fox News, Tucker Carlson, l’animateur de nouvelles du câble le plus regardé aux États-Unis et une influence sur Trump pendant son mandat à la Maison Blanche, a soutenu les propositions des démocrates visant à briser les monopoles technologiques de la Silicon Valley et a condamné « républicain grand public » se concentrer sur le « religion » de « capitalisme de marché ».

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« Aucune crise climatique ne causera la fin du capitalisme ! »

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Andreas Malm est un très sympathique quadragénaire suédois, militant de longue date contre le réchauffement climatique. Invité à Paris par son éditeur, La Fabrique, à l’occasion de la publication en France de son dernier ouvrage, il a par conviction traversé l’Europe en train, au départ de Malmö. Géographe spécialisé en écologie humaine de l’université de Lund, en Suède, il propose notamment une analyse du mouvement climat au sein de la vie politique suédoise (longtemps sous hégémonie sociale-démocrate), lui qui est originaire du même pays que Greta Thunberg. En septembre dernier, il a publié La Chauve-souris et le capital. Stratégie pour l’urgence chronique.

Andreas Malm est par ailleurs membre du collectif Zetkin, composé de chercheurs, d’enseignants et d’activistes de plusieurs nationalités œuvrant à la préservation du climat et de la biodiversité. Ce groupe s’intéresse notamment aux discours sur l’écologie politique de l’extrême droite européenne ou américaine. Malm a ainsi dirigé l’ouvrage collectif Fascisme fossile. L’extrême droite, l’énergie, le climat, qui met au jour la longue tradition de dénégation des enjeux climatiques due à l’engouement de l’extrême droite pour un développement fait de croissance économique constante grâce aux énergies fossiles.

Plus largement, il analyse ici la crise climatique, qu’il conçoit aujourd’hui comme intrinsèquement liée à la conjonction entre la crise sanitaire due au covid-19, source d’un effondrement de l’expansion capitalistique, et la destruction de la biodiversité, permettant la dispersion géographique des zoonoses. Le tout dans un mouvement incessant. En attendant la prochaine pandémie…

On parle généralement d’urgence climatique. Pourquoi lui préférez-vous celui d’« urgence chronique » ?

Andreas Malm : J’ai repris ce terme d’une étude de plusieurs scientifiques qui ont analysé la crise du covid-19 (notamment ses causes) et la crise climatique. Il traduit l’idée que ces deux désastres sont en train de devenir permanents, et non plus temporaires, l’un après l’autre : l’urgence apparaît donc comme chronique. Et la seule voie pour nous en sortir, c’est désormais d’agir contre les causes de ces crises, d’en modifier les conditions de développement.

Vous écrivez que le capitalisme, « survivant à tous ses hôtes », a longtemps semblé un « parasite qui ne meurt jamais », mais qu’il pourrait bien aujourd’hui avoir rencontré des « limites naturelles » à son « espérance de vie ». Que voulez-vous dire ?

Le capitalisme rencontre de réels problèmes, en raison de ce qu’il faut appeler ses « limites naturelles ». Toutefois, je ne crois pas que les problèmes environnementaux puissent causer son déclin avant qu’il ne parvienne à entraîner l’effondrement de la planète tout entière. Si le capitalisme a la possibilité de continuer ainsi dans la voie incontrôlée dans laquelle il se trouve, sans aucune régulation ni limitation, il ne pourra certainement causer – sans possibilité de retour – qu’un processus croissant vers une destruction incommensurable du climat, de la biodiversité et de tout le reste…

Je ne distingue aucune autre voie que la coercition pour obtenir des entreprises qu’elles changent leurs comportements.

Certains marxistes pensent que les problèmes environnementaux pourront être la cause d’une crise majeure du capitalisme et entraîner, à terme, sa chute. Même s’ils ne disposent pas vraiment de preuves à l’appui de cette thèse, on peut bien sûr interpréter le covid-19 (et la crise économique qu’il entraîne) comme un exemple potentiel de ce processus : celui d’un phénomène environnemental causant une maladie zoonotique ayant eu pour conséquence une crise économique majeure au début de la décennie 2020. Toutefois, le covid-19 n’a certainement pas tué le capitalisme. Et je ne pense pas que quelque chose puisse annihiler le système capitaliste, sauf certains processus sociaux précis par lesquels de nombreuses forces humaines s’organisent pour travailler ensemble dans les mêmes directions contre ce système. Mais je ne crois pas qu’une crise environnementale parviendra jamais à elle seule à causer la fin du capitalisme !

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Innovation : le capitalisme « responsable », faux problème et vraie diversion

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La critique du capitalisme est une sorte de passage obligé pour un homme politique en difficulté en France. Elle est pratique parce qu’elle séduit sur un assez large spectre, de gauche à droite. On pourrait donc considérer cette déclaration comme un simple exercice de rhétorique sans grande importance, mais ce faisant on commettrait une erreur, car cette expression révèle beaucoup sur la grande difficulté de l’Europe et surtout de la France à établir un diagnostic pertinent sur leur déclin accéléré.

En se trompant de diagnostic, on s’interdit de résoudre le problème. L’exercice se révèle donc dangereux.

L’appel à un capitalisme « responsable » par le président de la République est bien sûr avant tout une tactique politique. Nous sommes en période électorale et il s’agit probablement pour lui de parler à la gauche en essayant de faire oublier son image libérale, c’est de bonne guerre.

En critiquant un capitalisme devenu « fou », il est certain de marquer des points, même si cela ne repose sur aucun fait tangible. Mais au-delà d’agiter de vieux épouvantails, cette déclaration pose deux problèmes : le premier, c’est qu’elle sert à faire diversion sur les dysfonctionnements de l’État, et le second c’est qu’elle traduit un diagnostic erroné sur l’état du capitalisme en Europe.

Exiger un capitalisme « responsable », une diversion

Prôner un capitalisme responsable, c’est tenter de faire diversion pour éviter de poser la question de la responsabilité de l’État. Rappelons que celui-ci a abordé la crise de la Covid en ayant détruit les stocks de masques, puis a officiellement expliqué aux Français que le port du masque était inutile, et que de toute façon ils étaient trop bêtes pour savoir en mettre un.

Il a ensuite fallu près d’une année à cet État pour mettre en place une campagne de tests systématiques et les débuts de la campagne de vaccination ont été une série d’humiliants dysfonctionnements très largement constatés sur lesquels il n’est pas utile de revenir. La seconde vague a été abordée sans qu’aucune capacité supplémentaire n’ait été créée en réanimation, ce qui a nécessité un nouveau confinement pour éviter l’engorgement des services.

Après 18 mois de Covid, le collège public de mes enfants n’a pas organisé une seule heure d’enseignement à distance via un logiciel de téléconférence, et son application d’espace numérique de travail date visiblement des années 1990 ; elle s’est d’ailleurs effondrée dès les premiers jours d’arrêt des cours présentiels. Dès les premiers jours du confinement, la Poste a quasiment cessé de fonctionner.

Et ce ne sont là que les défaillances directement liées à l’épidémie. On comprend que le chef de l’État souhaite parler d’autre chose que la réforme de l’État, et faire diversion… Au Moyen-Âge, quand les choses tournaient mal, on brûlait des sorcières. En France, on brûle le capitalisme, éternel bouc émissaire.

Cette critique est particulièrement mal venue aujourd’hui, car si la crise de la Covid a montré une chose, c’est que le capitalisme est profondément responsable, au sens le plus large qu’on puisse donner à ce terme. Après des semaines de blocage résultant d’une gestion catastrophique des masques, et alors que des professionnels de santé mouraient de leur absence, l’État s’est finalement résolu à ouvrir leur approvisionnement et leur distribution au secteur privé, bref, au capitalisme, et la pénurie a disparu en moins de deux semaines.

Capitalisme irresponsable ? Quand est arrivé le confinement, tout le monde a craint les pénuries et certains n’ont pas hésité à prophétiser l’effondrement du système. Rien ne s’est effondré et il n’y a eu aucune pénurie. La grande distribution, victime traditionnelle des discours bien-pensants, a nourri la France malgré des conditions extrêmes.

Capitalisme irresponsable ? Puis à partir de décembre 2020, Pfizer, BioNTech et Moderna, purs produits du capitalisme spéculatif que l’on se plait à décrier, ont sauvé des millions de vies humaines avec leurs vaccins et permis à nos économies de repartir, un exploit que quelques mois auparavant, les bien-pensants – encore eux- au premier rang desquels notre Président, jugeaient impossible.

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