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Troisième lien: des résidents de l’île d’Orléans s’inquiètent des projets routiers de la CAQ

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C’est maintenant clair : le gouvernement de François Legault n’exclut pas de faire passer le troisième lien par l’île d’Orléans. Sur place, on commence à peine à mesurer les implications d’un tel projet.

« On a été élevés en se faisant dire que l’île, c’était différent, c’était beau, c’était patrimonial, lance le préfet de l’île d’Orléans, Harold Noël, lors d’un entretien jeudi. Il ne faut pas, pour de quelconques fins, tasser ça. »

La veille, tous les élus de l’île avaient discuté, en réunion, des plus récents propos du ministre des Transports, François Bonnardel. Ce dernier avait annoncé que le projet du troisième lien routier et la réfection du pont seraient étudiés conjointement. La première pelletée de terre, a-t-on promis, se fera d’ici la fin du mandat.

Depuis que le gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ) a pris la décision de construire le lien routier à l’est de Québec et nulle part ailleurs, cela le rapproche beaucoup du pont de l’Île-d’Orléans, qui doit être remplacé. Pour le ministère, il s’agit dès lors de faire d’une pierre deux coups.

Troisième lien ou pas, les habitants de l’île sont pressés de voir leur pont remplacé. Le maire Noël, qui est également maire de Sainte-Pétronille, souligne qu’il a été rassuré d’entendre M. Bonnardel dire que le nouvel ouvrage serait construit entre 2021 et 2024. Vieux de plus de 80 ans, le pont à deux voies a atteint sa durée de vie utile depuis près de dix ans. Plusieurs automobilistes en ont même peur.

On l’a oublié, mais sa construction en 1935 avait entraîné une prise de conscience de la valeur du patrimoine au Québec. La même année, le gouvernement libéral de Louis-Alexandre Taschereau avait adopté la Loi concernant l’île d’Orléans afin de préserver les attributs ruraux du territoire désormais menacé par le trafic automobile. C’est dans le moule de cette législation que sera développé le concept d’arrondissement historique dans les années 1960.

Où pourrait-il passer ?

Le maire Noël, dont la famille est présente sur l’île depuis onze générations, prévient qu’on ne pourra pas faire n’importe quoi sur le territoire. « L’île d’Orléans est un arrondissement historique, et c’est évident qu’on est chatouilleux sur ça. »

La valeur patrimoniale de l’île d’Orléans découle d’abord de son parc immobilier, qui comprend plusieurs églises et maisons du Régime français. Le territoire orléanais se distingue également par ses paysages agricoles et sa valeur de symbole pour les descendants de 300 familles souches établies au Canada dans le courant du XVIIe siècle.

Mais encore, quelle forme pourrait prendre le raccordement du troisième lien à l’île ? « Il y a 172 options qui pourraient être analysées, mais pour nous, c’est évident, il ne faut pas toucher à l’intégrité de l’île », poursuit le maire Noël.

Certains se demandent si le troisième lien ne pourrait pas longer la côte ouest de l’île, sur le rivage. On parle aussi d’un tunnel que les gens emprunteraient une fois le nouveau pont de l’île traversé. C’est manifestement l’option que préfère le maire. « L’une des seules possibilités qu’on voit en ce moment, c’est de passer en dessous de l’île. Ça, si c’est bien fait, on va bien réagir. »

Quant à l’idée d’une grande route traversant l’île vers Lévis, « ça ne passera pas », croit-il. « Notre réseau routier ne peut pas endurer ça. Il ne faut pas arriver avec une desserte qui va multiplier par deux le nombre de voitures qui vont venir. »

À l’heure actuelle, une seule route permet de traverser l’isle de Bacchus du nord au sud : la route Prévost, qui permet d’accéder au pont actuel. Les deux autres sont fermées l’hiver.

Le resto-pub L’O2 L’île est situé sur le bord de cette route. Entre deux services aux tables, la serveuse, Céline Paquette, a bien voulu partager ses impressions sur le projet. « Ce ne serait pas une bonne chose pour l’île. Ça enlèverait tout le charme », dit-elle. « Moi la première, je la défendrais. » Un client assis au bar semblait du même avis. « Impossible », dit-il.

Originaire de Montréal, Mme Paquette est venue s’installer à l’île il y a une dizaine d’années. Avant cela, elle venait y visiter sa grand-mère chaque année. « Les gens viennent ici pour le cachet. Il n’y a aucune chaîne ici à part la station-service et la pharmacie. »

Mais tous ne l’entendent pas ainsi. La patronne du restaurant, Sonia Daudignon, pense que ce serait super. « L’île serait beaucoup moins isolée l’hiver », dit-elle spontanément. Et le cachet ? Y perdrait-il ? « Non, pourquoi ? Le cachet, ça se préserve. Ce n’est pas un problème. C’est grand, quand même. […] Nous, comme commerçants, c’est sûr qu’on ne dira pas le contraire. »

Un symbole

Pour les défenseurs du patrimoine, tout cela est évidemment très inquiétant. L’historien Pierre Lahoud, qui vit à l’île depuis 40 ans, craint le pire. « L’île, c’est un symbole. Dans l’imaginaire des Québécois, c’est exceptionnel, c’est unique. »

Pas de doute, dit-il, Félix Leclerc se retourne dans sa tombe. L’historien et photographe craint particulièrement que le troisième lien longe l’île à partir des berges à l’ouest (avec une voie de raccordement vers le pont, par exemple). « Ça serait catastrophique, parce qu’on est sur le bord de l’eau. Ce serait pire parce que là, on vient bloquer carrément le paysage. » Il songe par exemple aux panoramas comme celui de la rue Horatio-Walker, à Sainte-Pétronille, où la vue s’étend de Lévis jusqu’au mont Sainte-Anne. « Là, il n’y aurait plus de villégiature. Tout ce qu’on verrait, c’est une autoroute. » M. Lahoud croit qu’un tel projet pourrait être accepté par la population de l’île. Malgré le statut de site patrimonial de l’île, il ne voit pas non plus comment cela pourrait être stoppé. « Le ministère de la Culture pourrait s’opposer, mais on s’entend qu’il ne s’opposera pas. »

Questionné mercredi sur le patrimoine de l’île d’Orléans, le ministre François Bonnardel a dit que « pour lui, c’était important », tout comme « l’acceptabilité sociale ». « On va parler à tout le monde sur l’île quand on aura défini où passera ce futur troisième lien. Ils peuvent être assurés de ma collaboration. »

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Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

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Akio Kashiwagi, John W. Gates, Tommy Renzoni, Phil Ivey, Kerry Packer ou encore Archie Karas… Ces noms ne vous évoquent rien? Ces légendaires joueurs de baccara ont brillé par leurs performances exceptionnelles. Multipliant les gains au fil des années, ils nous ont permis d’identifier quelques approches qui fonctionnent. Aujourd’hui, découvrez certains de leurs secrets:

Apprenez à marcher avant de courir

Premièrement, vous devez absolument connaître les règles du jeu. Avant de maîtriser les stratégies et autres astuces professionnelles du baccara, il faut vous familiariser avec les bases du jeu. Même les plus grands joueurs de l’histoire ont d’abord dû apprendre à jouer. Puis c’est à force de pratique et de stratégie qu’ils ont réussi à se perfectionner pour atteindre les sommets.

Commencez donc par étudier le but principal du jeu et la valeur des cartes. Découvrez aussi les différents types de paris (banquier, joueur ou égalité), apprenez à fixer et gérer votre bankroll, essayez de contrer l’avantage de la maison, etc. Ensuite, vous pourrez passer à une véritable stratégie de baccara. Il en existe beaucoup, à choisir selon les situations et vos aptitudes: systèmes 1-3-2-4, d’Alembert, Fibonacci, Labouchere ou encore Martingale.

Et contrairement à ces légendes qui jouaient dans des établissements physiques, vous avez la possibilité de tester des parties gratuites en ligne. Pratique pour vous exercer sans miser!

Gérez votre budget

Deuxièmement, vous devez fixer un budget et le respecter. Il est essentiel de jouer de manière responsable, afin d’éviter les situations délicates voire désastreuses. Par exemple, vous pouvez allouer 100 $ à votre session de jeu. Et une fois cette somme épuisée, quittez la table. Cela vous permettra de réduire vos pertes et même de protéger vos gains.

Si les grands joueurs de l’histoire du baccara ont pu multiplier leurs gains de façon aussi spectaculaire, ce n’est pas uniquement grâce à la chance. Même si elle a joué en leur faveur, une bonne gestion de leur bankroll leur a aussi permis d’optimiser leurs gains au fil des parties.

Misez sur le banquier

Comme expliqué, il existe trois types de paris au baccara: le joueur, la banque et l’égalité. De manière générale, vous ne pouvez pas vous tromper en misant sur le banquier. En effet, ce pari est gagnant dans plus de 50 % des cas. Toutefois, notez que l’établissement prélève alors une commission sur ces gains, afin de conserver un certain avantage.

De plus, il est important de capitaliser sur les séries. De ce fait, si vous gagnez en pariant sur le banquier, continuez à miser dessus. Mais attention, restez prudent et modéré. Sachez vous arrêter avant que ce pari ne devienne perdant. Ici encore, c’est un conseil que les joueurs légendaires ont eux-mêmes mis en pratique pendant leurs heures de gloire.

Jouez de courtes sessions

Enfin, il est mieux de jouer pendant de courtes sessions. Afin d’être plus performant au baccara, vous devez gérer votre temps correctement. Cela réduira aussi le phénomène d’accoutumance qui peut devenir néfaste s’il n’est pas maîtrisé.

Dans la mesure du possible, planifiez donc un certain nombre de parties à chaque session de jeu. Une fois ce nombre atteint, quittez la table de baccara. Même si vous êtes en train de gagner, soyez raisonnable et arrêtez de jouer.

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Denis Coderre propose un marché public dans le Vieux-Montréal

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Denis Coderre promet d’implanter un marché public au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, s’il est porté au pouvoir en novembre prochain. Cette proposition fait suite à une rencontre qu’il a eue la semaine dernière avec les commerçants du marché Bonsecours. Mais ceux-ci préviennent qu’ils ne souhaitent pas des étals de fruits et de légumes semblables à ceux des marchés Jean-Talon et Atwater.

« Ville-Marie a besoin d’un marché et le marché Bonsecours pourrait être un marché public, au même titre qu’Atwater et Jean-Talon », a soutenu Denis Coderre jeudi matin, alors qu’il présentait les candidats de son équipe dans les arrondissements de Rosemont–La Petite-Patrie et d’Outremont. Selon le candidat, ce projet permettrait de faire du marché Bonsecours un lieu de destination pour les touristes, mais aussi pour les Montréalais. Il a indiqué avoir rencontré l’ensemble des commerçants à ce sujet la semaine dernière.

Denis Coderre a précisé qu’il habitait non loin du marché Bonsecours et qu’il pourrait aller chercher ses fruits et légumes à pied. Au passage, il a affirmé que le bâtiment patrimonial était dans un état « pitoyable » et qu’il faudrait y voir.

Jointe par Le Devoir, Anne de Shalla, propriétaire de la boutique Signatures Québécoises du marché Bonsecours, confirme que les commerçants ont rencontré M. Coderre pour lui présenter leur vision d’avenir. Mais dans le plan d’affaire présenté au candidat à la mairie, il n’était pas envisagé que le marché Bonsecours devienne un marché de fruits et légumes uniquement, a-t-elle expliqué. Les commerçants souhaitent simplement que le marché Bonsecours soit doté de la même structure administrative que les marchés Atwater et Jean-Talon, a-t-elle indiqué.

« On voudrait gérer le marché Bonsecours nous-mêmes. On aimerait prendre la relève des fonctionnaires », a-t-elle dit en évoquant des lacunes telles que l’entretien des lieux et les heures d’ouverture jugées inadéquates par les commerçants. À l’heure actuelle, le marché Bonsecours abrite des boutiques de mode, d’artisanat et de bijoux.

« Notre vision, c’est de rendre le marché Bonsecours comme un marché public avec les mêmes droits que le marché Atwater ou le marché Jean-Talon », précise-t-elle. « On voudrait continuer avec les produits qu’on a déjà et ajouter des produits du terroir, mais on ne veut aucunement ressembler au marché Jean-Talon ou au marché Atwater pour ce qui est du contenu. »

Le marché Bonsecours, qui accueillait 15 commerces avant la pandémie, n’en compte plus que huit. Comme des espaces sont demeurés vacants, Mme de Shalla évoque la possibilité d’ajouter des boulangeries, charcuteries, des comptoirs de plats à emporter, des pop-up shops, ainsi que des boutiques proposant des produits du terroir. « On ne va pas se mettre à vendre des salades sur le parvis Bonsecours. Ce n’est pas ça l’objectif. »

En après-midi, Ensemble Montréal a soutenu que le projet de transformation du marché Bonsecours serait précisé à automne. « Quoi qu’il en soit, M. Coderre, qui a rencontré les marchands du marché Bonsecours, souhaite bien sûr répondre aux besoins exprimés par les commerçants », a indiqué Elizabeth Lemay, attachée de presse chez Ensemble Montréal.

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Nous sommes de retour»: les festivals d’été reprennent à Montréal

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Dans le quartier des spectacles, des tests de son étaient en cours vendredi soir sur la scène d’une comédie musicale — au deuxième jour du festival Juste pour rire. Les billets pour de nombreux spectacles en plein air gratuits du festival — limités par la réglementation COVID-19 — avaient trouvé preneurs.

Deux coins de rue plus loin, une centaine de personnes assistaient à une prestation acoustique du Isaac Neto Trio – dans le cadre du dernier week-end du Festival international Nuits d’Afrique, une célébration de la musique du continent africain et de la diaspora africaine.

Alors que la capacité des sites est limitée en raison de la pandémie de COVID-19, les organisateurs du festival se disent heureux d’être de retour, mais attendent avec impatience l’année prochaine en espérant que les restrictions aux frontières et les limites de capacité n’affecteront pas leurs plans.

Charles Décarie, le président-directeur général du Groupe Juste pour rire, a déclaré qu’il s’agissait d’une «année de transition» et que son équipe a conçu un festival en naviguant à travers les contraintes imposées par la Santé publique.

Lorsque la planification a commencé en février et mars, les organisateurs ont planché sur une multitude de scénarios avec différentes tailles de foule, allant de l’absence de spectateurs à la moitié de la capacité habituelle, a déclaré M. Décarie.

«Vous devez construire des scénarios, a-t-il expliqué. Vous devez planifier un peu plus que d’habitude parce que vous devez avoir des alternatives.»

Comme par le passé, les festivals incluent à la fois des spectacles en salle payants et des représentations en plein air gratuites. À l’extérieur, il y aura moins de scènes et des foules plus petites que dans les dernières années, a précisé M. Décarie. Les spectacles en salle fonctionneront à 30 % de leur capacité, tandis que les spectacles à l’extérieur auront environ 10 à 20 % de du nombre de spectateurs d’avant la pandémie.

«Normalement, nous accueillons environ un million de personnes pendant les festivals sur 15 jours, et cette année, nous serions heureux si 200 000 personnes nous rendent visite au cours des deux prochaines semaines», a indiqué M. Décarie.

Au Québec, les événements extérieurs ont une capacité maximale de 5000 personnes, qui doivent être divisées en sections distinctes de 500 personnes. Les événements en salle sont limités à 3500 spectateurs, qui doivent s’asseoir en sections de 250 personnes, avec des entrées et des toilettes séparées pour chaque section.

En raison des restrictions frontalières, que M. Décarie qualifie de «préoccupation majeure», certaines prestations sont filmées à New York et à Los Angeles et seront diffusées en ligne.

«C’est ainsi que nous avons pu joindre des talents internationaux, a-t-il déclaré. Nous avons décidé de changer notre façon de procéder, et nous sommes allés vers eux.»

Les spectacles en personne mettront pour leur part en vedette des artistes locaux, a-t-il déclaré.

D’autres festivals montréalais affirment également qu’ils prévoient de contourner les restrictions frontalières en se concentrant sur les artistes locaux.

Le Festival international Nuits d’Afrique présente des artistes locaux et des prestations enregistrées des années précédentes, a mentionné vendredi la directrice générale et co-fondatrice du festival, Suzanne Rousseau.

«Les premières nuits, en particulier, étaient incroyables», a-t-elle déclaré à propos du festival, qui a débuté le 6 juillet et se poursuit jusqu’à dimanche. Les artistes disaient: «C’est mon premier spectacle devant public depuis un an et demi».»

Le volet extérieur du festival consiste en deux petites scènes de style «cabaret», a commenté Mme Rousseau. Au lieu d’une scène principale, un spectacle son et lumière est projeté sur un bâtiment. Il présente des prestations filmées qui portent sur les 35 ans d’histoire du festival.

«Ce qui est important, c’est que les festivaliers puissent venir voir des spectacles en personne, a-t-elle déclaré. Et d’avoir des prestations en ligne pour les gens qui ne peuvent pas se rendre à Montréal ou qui ne peuvent pas voyager.»

Mme Rousseau a affirmé qu’elle espère conserver certains des volets en ligne dans les années à venir, mais qu’elle souhaite également organiser un festival plus important l’année prochaine.

«On est vraiment content d’avoir fait un festival cette année, ça nous prépare pour l’année prochaine, a-t-elle déclaré. Cela nous donne l’ambition d’être prêts à recevoir plus de monde, plus de performances et une expérience complète.»

Certains des grands festivals d’été de Montréal, dont le Festival international de Jazz de Montréal, ont été repoussés au mois de septembre. Mme Rousseau a toutefois soutenu qu’elle n’avait jamais envisagé de retarder l’édition de cette année du festival Nuits d’Afrique.

«C’est vraiment important d’être là pendant l’été. Il n’y avait aucun doute que nous allions le faire», a-t-elle déclaré.

Francis Bouchard, un porte-parole de Tourisme Montréal, un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du secteur touristique de la ville, a indiqué qu’avec les événements reportés, la période des festivals durera jusqu’en octobre de cette année. Il est encourageant, a-t-il dit, de constater que des festivals et des événements qui ont été reportés ou annulés l’année dernière soient de retour cet été et cet automne.

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