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Le Québec en fait-il assez pour ses tout-petits?

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Au Québec, on compte près de 540 000 tout-petits. Dans quelles conditions de vie grandissent ces enfants de 0 à 5 ans ? Sommes-nous à la hauteur de ces tout-petits qui seront les grands de demain ? La majorité d’entre eux se portent bien et vivent dans un environnement propice à leur développement. Néanmoins, plusieurs vivent encore des situations difficiles.

Une mobilisation sans précédent pour faire de la petite enfance une priorité au Québec est déjà en branle et bien vivante, mais est-ce assez quand l’on sait qu’aujourd’hui un peu plus d’un enfant sur quatre est vulnérable à la maternelle dans au moins un domaine de développement ?

Ce sont beaucoup trop de petits citoyens qui sont laissés pour compte. L’impact des difficultés vécues par chacun de ces tout-petits dès la petite enfance, une période particulièrement importante, est bien réel. Les répercussions sur leur santé, leur bien-être et leur bon développement pourraient persister dans le temps et influencer les adultes qu’ils deviendront.

Mais nous pouvons y remédier. Ensemble, nous avons le pouvoir d’agir et d’assurer un avenir plus prometteur à chacun de nos tout-petits. Voilà un excellent moyen de réduire les inégalités sociales ici, au Québec.

Sachant que chaque dollar supplémentaire investi dans l’éducation à la petite enfance peut rapporter six dollars en bénéfices économiques, selon le Conference Board du Canada, pourquoi ne pas investir dans ce placement à très haut rendement ?

Un meilleur départ dans la vie pour les tout-petits favorise notamment une plus grande réussite éducative et une meilleure santé physique et mentale à l’âge adulte. Agir tôt, c’est offrir les meilleures conditions afin que tous les enfants du Québec développent leur plein potentiel et fassent bénéficier le Québec de leurs talents. Il n’y a aucun doute, investir collectivement en petite enfance, en commençant dès la grossesse, a des retombées positives des années durant, et ce, à tous les niveaux.

Alors que la Grande Semaine des tout-petits bat son plein, l’occasion est toute désignée pour réfléchir collectivement aux mesures à prendre afin que tous nos enfants démarrent dans la vie avec les mêmes chances, les meilleures chances.

Nous avons fait le choix de nous mobiliser afin de faire de la petite enfance une priorité.

Les leviers nous permettant d’offrir un meilleur départ aux tout-petits sont multiples. Que l’on pense aux services pour accompagner les parents dès la grossesse, à des services de garde éducatifs de qualité pour tous, aux actions des différents milieux pour favoriser la transition entre les services de garde et le milieu scolaire, à une meilleure conciliation famille-travail, à des logements abordables, à des milieux de vie de qualité, ou encore à des services sociaux et des soins de santé accessibles, il est possible d’agir maintenant et de faire encore mieux pour nos enfants.

Faisons du Québec un exemple à suivre en matière de petite enfance. N’y a-t-il pas plus beau et plus porteur projet de société que d’accompagner nos tout-petits, à chaque étape de leur vie, pour qu’ils deviennent des citoyens accomplis et engagés ? C’est à notre portée !

Ensemble, faisons grandir le Québec ! Soyons tous pour les tout-petits.

*Ce texte est cosigné par les alliés de Tous pour les tout-petits :

Geneviève Bélisle, Association québécoise des centres de la petite enfance ; Zoé Bergeron, Réseau des instances régionales de concertation (IRC) sur la persévérance scolaire et la réussite éducative du Québec ; Nathalie Bondil, Musée des beaux-arts de Montréal ; Louise Boucher, Réseau des Centres de ressources périnatales du Québec ; Simon Boucher, maire de Sainte-Clodilde-de-Horton et représentant MAE à la MRC Arthabaska ; Hélène Bourgeois-Leclerc, comédienne ; Geneviève Brouillette, comédienne ; Jean-Marc Chouinard, Fondation Lucie et André Chagnon ; Louisane Côté, Fédération québécoise des organismes communautaires Famille ; Martin Damphousse, Carrefour action municipale et famille ; Simon De Baene, GSoft ; Louise Deschâtelets, comédienne et chroniqueuse ; Martine Desjardins, Mouvement national des Québécoises et Québécois ; Daye Diallo, Force Jeunesse ; Yves-Thomas Dorval, Conseil du patronat du Québec ; Maurice Dupont, Réseau FADOQ ; Sonia Ethier, Centrale des syndicats du Québec ; Rosannie Filato, conseillère de la Ville de Montréal, district de Villeray ; Alain Fortier, Fédération des commissions scolaires du Québec ; Pierre Fortin, économiste et auteur ; Jean-Pierre Gagnier, Ph. D., Département de psychologie de l’Université du Québec à Trois-Rivières ; Vincent Graton, comédien et chroniqueur ; Catherine Haeck, Ph. D., Département des sciences économiques de l’École des sciences de la gestion de l’Université du Québec à Montréal ; Jean-Pierre Hotte, Avenir d’enfants ; Jennifer Johnson, Réseau communautaire de santé et de services sociaux ; Dr Gilles Julien, Fondation du Dr Julien ; Joé Juneau, Programme de développement hockey-école ; Ève Lagacé, Association des bibliothèques publiques du Québec ; Guillaume Landry, Bureau international des droits des enfants ; Pierre Lavoie, Grand défi Pierre Lavoie ; Michel Leblanc, Chambre de commerce du Montréal métropolitain ; Elsie Lefebvre, La Ruche Montréal ; Monique Leroux, Investissement Québec ; Francine Lessard, Conseil québécois des services éducatifs à la petite enfance ; Jacques Létourneau, Confédération des syndicats nationaux ; Paul Lewis, Ph. D, École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal ; Maxim Martin, humoriste et chroniqueur ; David Morley, UNICEF Canada ; Myriam Nadeau, conseillère à la Ville de Gatineau, district de Pointe-Gatineau ; Laura O’Laughlin, Goupe d’analyse et Institut des générations ; Olya Ovtchinnikova, Comité olympique canadien ; Jean-François Parenteau, maire de l’arrondissement Verdun ; Caroline Perreault, GIRO ; Ghislain Picard, Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador ; Dr Alain Poirier, médecin spécialiste en santé publique ; Julie Poissant, Ph.D., Département d’éducation et de formation spécialisées de l’Université du Québec à Montréal ; Marie Rhéaume, Réseau pour un Québec Famille ; Jean-Louis Roy, Bibliothèque et Archives nationales du Québec ; Marjolaine Sioui, Commission de la santé et des services sociaux des Premières Nations du Québec et du Labrador ; Nibisha Sioui, Ph. D., Wendat, membre de la Nation anishinabe, psychologue clinicienne et communautaire ; Tanya Sirois, Regroupement des centres d’amitié autochtones du Québec ; Kim St-Pierre, BOKS Canada ; Alexandre Taillefer, XPND Capital ; Sandrine Tarjon, Association des haltes-garderies communautaires du Québec ; Diane-Gabrielle Tremblay, Ph. D., École des sciences administratives, TELUQ ; Fabrice Vil, Pour 3 points ; Raymond Villeneuve, Regroupement pour la valorisation de la paternité.

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Opinions

Même les jeunes RÉPUBLIQUES se lassent du capitalisme, selon les sondeurs américains — RT USA News

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Moins de la moitié des jeunes Américains ont une vision positive du capitalisme, selon un nouveau sondage. Même les jeunes républicains sont de plus en plus sceptiques – mais ne vous attendez pas à ce que l’Amérique devienne complètement socialiste pour l’instant.

Un sondage Axios publié vendredi a révélé qu’aux États-Unis capitalistes, seulement 49% des Américains âgés de 18 à 34 ans soutiennent réellement le capitalisme. Et 51% déclarent avoir une vision positive du socialisme.

Depuis plusieurs années, les sondages ont trouvé un soutien au socialisme croissant parmi les démocrates et les jeunes. En conséquence, les démocrates qui se présentent sur des plateformes explicitement socialistes – comme les membres des Democratic Socialists of America Alexandria Ocasio-Cortez (D-New York) et Rashida Tlaib (D-Michigan) – ont traduit ce mécontentement en succès électoral.

Cependant, le dernier sondage a révélé que les jeunes républicains, généralement des défenseurs infatigables du capitalisme de libre marché, en ont marre du système qu’ils ont l’habitude de défendre. Parmi les républicains âgés de 18 à 34 ans, environ 66% ont désormais une vision positive du capitalisme, contre 81% en 2019. Mais 56% des jeunes républicains souhaitent que le gouvernement se concentre sur la réduction des inégalités de richesse, contre seulement 40% en deux ans. depuis.https://googleads.g.doubleclick.net/pagead/ads?us_privacy=1—&client=ca-pub-5390986774482540&output=html&h=280&adk=180704450&adf=4168993513&pi=t.aa~a.2874080257~i.7~rp.4&w=1092&fwrn=4&fwrnh=100&lmt=1628065615&num_ads=1&rafmt=1&armr=3&sem=mc&pwprc=5987108905&psa=1&ad_type=text_image&format=1092×280&url=https%3A%2F%2Fnews-24.fr%2Fmeme-les-jeunes-republiques-se-lassent-du-capitalisme-selon-les-sondeurs-americains-rt-usa-news%2F&flash=0&fwr=0&pra=3&rh=200&rw=1092&rpe=1&resp_fmts=3&wgl=1&fa=27&dt=1628065633854&bpp=2&bdt=2280&idt=-M&shv=r20210729&mjsv=m202108030101&ptt=9&saldr=aa&abxe=1&cookie=ID%3D5bc0ba73a725e77e-2207b6abaeca00da%3AT%3D1628065618%3ART%3D1628065618%3AS%3DALNI_MbfJtFs3LXLAMzQhf9X_KnK26CNWQ&prev_fmts=0x0%2C1092x280%2C1092x280%2C1092x280&nras=3&correlator=4582349290288&frm=20&pv=1&ga_vid=188329949.1628065617&ga_sid=1628065633&ga_hid=1441312153&ga_fc=0&u_tz=330&u_his=4&u_java=0&u_h=720&u_w=1280&u_ah=680&u_aw=1280&u_cd=24&u_nplug=0&u_nmime=0&adx=85&ady=1595&biw=1263&bih=567&scr_x=0&scr_y=416&eid=20211866&oid=3&pvsid=4333132958230926&pem=75&eae=0&fc=1408&brdim=-7%2C-7%2C-7%2C-7%2C1280%2C0%2C1295%2C695%2C1280%2C567&vis=1&rsz=%7C%7Cs%7C&abl=NS&fu=128&bc=31&ifi=5&uci=a!5&btvi=3&fsb=1&xpc=dqEjBFITRH&p=https%3A//news-24.fr&dtd=358

Axios attribue cette augmentation au fait que davantage d’Américains voient le « avantages tangibles de niveaux d’intervention gouvernementaux sans précédent » pendant la pandémie de coronavirus. En effet, le président de l’époque, Donald Trump, a critiqué les deux partis au Congrès pour avoir accepté d’envoyer « ridiculement bas » chèques de relance de 600 $ en décembre, au lieu des 2 000 $ qu’il a réclamés – une critique qui aurait été étrangère à un président républicain au cours des dernières décennies. Tout aussi rarement, Ocasio-Cortez et Tlaib étaient tous deux d’accord avec Trump sur la question.

Pourtant, l’abandon par la droite du capitalisme sans entraves est en cours depuis avant que la pandémie ne frappe. L’animateur de Fox News, Tucker Carlson, l’animateur de nouvelles du câble le plus regardé aux États-Unis et une influence sur Trump pendant son mandat à la Maison Blanche, a soutenu les propositions des démocrates visant à briser les monopoles technologiques de la Silicon Valley et a condamné « républicain grand public » se concentrer sur le « religion » de « capitalisme de marché ».

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Opinions

« Aucune crise climatique ne causera la fin du capitalisme ! »

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Andreas Malm est un très sympathique quadragénaire suédois, militant de longue date contre le réchauffement climatique. Invité à Paris par son éditeur, La Fabrique, à l’occasion de la publication en France de son dernier ouvrage, il a par conviction traversé l’Europe en train, au départ de Malmö. Géographe spécialisé en écologie humaine de l’université de Lund, en Suède, il propose notamment une analyse du mouvement climat au sein de la vie politique suédoise (longtemps sous hégémonie sociale-démocrate), lui qui est originaire du même pays que Greta Thunberg. En septembre dernier, il a publié La Chauve-souris et le capital. Stratégie pour l’urgence chronique.

Andreas Malm est par ailleurs membre du collectif Zetkin, composé de chercheurs, d’enseignants et d’activistes de plusieurs nationalités œuvrant à la préservation du climat et de la biodiversité. Ce groupe s’intéresse notamment aux discours sur l’écologie politique de l’extrême droite européenne ou américaine. Malm a ainsi dirigé l’ouvrage collectif Fascisme fossile. L’extrême droite, l’énergie, le climat, qui met au jour la longue tradition de dénégation des enjeux climatiques due à l’engouement de l’extrême droite pour un développement fait de croissance économique constante grâce aux énergies fossiles.

Plus largement, il analyse ici la crise climatique, qu’il conçoit aujourd’hui comme intrinsèquement liée à la conjonction entre la crise sanitaire due au covid-19, source d’un effondrement de l’expansion capitalistique, et la destruction de la biodiversité, permettant la dispersion géographique des zoonoses. Le tout dans un mouvement incessant. En attendant la prochaine pandémie…

On parle généralement d’urgence climatique. Pourquoi lui préférez-vous celui d’« urgence chronique » ?

Andreas Malm : J’ai repris ce terme d’une étude de plusieurs scientifiques qui ont analysé la crise du covid-19 (notamment ses causes) et la crise climatique. Il traduit l’idée que ces deux désastres sont en train de devenir permanents, et non plus temporaires, l’un après l’autre : l’urgence apparaît donc comme chronique. Et la seule voie pour nous en sortir, c’est désormais d’agir contre les causes de ces crises, d’en modifier les conditions de développement.

Vous écrivez que le capitalisme, « survivant à tous ses hôtes », a longtemps semblé un « parasite qui ne meurt jamais », mais qu’il pourrait bien aujourd’hui avoir rencontré des « limites naturelles » à son « espérance de vie ». Que voulez-vous dire ?

Le capitalisme rencontre de réels problèmes, en raison de ce qu’il faut appeler ses « limites naturelles ». Toutefois, je ne crois pas que les problèmes environnementaux puissent causer son déclin avant qu’il ne parvienne à entraîner l’effondrement de la planète tout entière. Si le capitalisme a la possibilité de continuer ainsi dans la voie incontrôlée dans laquelle il se trouve, sans aucune régulation ni limitation, il ne pourra certainement causer – sans possibilité de retour – qu’un processus croissant vers une destruction incommensurable du climat, de la biodiversité et de tout le reste…

Je ne distingue aucune autre voie que la coercition pour obtenir des entreprises qu’elles changent leurs comportements.

Certains marxistes pensent que les problèmes environnementaux pourront être la cause d’une crise majeure du capitalisme et entraîner, à terme, sa chute. Même s’ils ne disposent pas vraiment de preuves à l’appui de cette thèse, on peut bien sûr interpréter le covid-19 (et la crise économique qu’il entraîne) comme un exemple potentiel de ce processus : celui d’un phénomène environnemental causant une maladie zoonotique ayant eu pour conséquence une crise économique majeure au début de la décennie 2020. Toutefois, le covid-19 n’a certainement pas tué le capitalisme. Et je ne pense pas que quelque chose puisse annihiler le système capitaliste, sauf certains processus sociaux précis par lesquels de nombreuses forces humaines s’organisent pour travailler ensemble dans les mêmes directions contre ce système. Mais je ne crois pas qu’une crise environnementale parviendra jamais à elle seule à causer la fin du capitalisme !

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Innovation : le capitalisme « responsable », faux problème et vraie diversion

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La critique du capitalisme est une sorte de passage obligé pour un homme politique en difficulté en France. Elle est pratique parce qu’elle séduit sur un assez large spectre, de gauche à droite. On pourrait donc considérer cette déclaration comme un simple exercice de rhétorique sans grande importance, mais ce faisant on commettrait une erreur, car cette expression révèle beaucoup sur la grande difficulté de l’Europe et surtout de la France à établir un diagnostic pertinent sur leur déclin accéléré.

En se trompant de diagnostic, on s’interdit de résoudre le problème. L’exercice se révèle donc dangereux.

L’appel à un capitalisme « responsable » par le président de la République est bien sûr avant tout une tactique politique. Nous sommes en période électorale et il s’agit probablement pour lui de parler à la gauche en essayant de faire oublier son image libérale, c’est de bonne guerre.

En critiquant un capitalisme devenu « fou », il est certain de marquer des points, même si cela ne repose sur aucun fait tangible. Mais au-delà d’agiter de vieux épouvantails, cette déclaration pose deux problèmes : le premier, c’est qu’elle sert à faire diversion sur les dysfonctionnements de l’État, et le second c’est qu’elle traduit un diagnostic erroné sur l’état du capitalisme en Europe.

Exiger un capitalisme « responsable », une diversion

Prôner un capitalisme responsable, c’est tenter de faire diversion pour éviter de poser la question de la responsabilité de l’État. Rappelons que celui-ci a abordé la crise de la Covid en ayant détruit les stocks de masques, puis a officiellement expliqué aux Français que le port du masque était inutile, et que de toute façon ils étaient trop bêtes pour savoir en mettre un.

Il a ensuite fallu près d’une année à cet État pour mettre en place une campagne de tests systématiques et les débuts de la campagne de vaccination ont été une série d’humiliants dysfonctionnements très largement constatés sur lesquels il n’est pas utile de revenir. La seconde vague a été abordée sans qu’aucune capacité supplémentaire n’ait été créée en réanimation, ce qui a nécessité un nouveau confinement pour éviter l’engorgement des services.

Après 18 mois de Covid, le collège public de mes enfants n’a pas organisé une seule heure d’enseignement à distance via un logiciel de téléconférence, et son application d’espace numérique de travail date visiblement des années 1990 ; elle s’est d’ailleurs effondrée dès les premiers jours d’arrêt des cours présentiels. Dès les premiers jours du confinement, la Poste a quasiment cessé de fonctionner.

Et ce ne sont là que les défaillances directement liées à l’épidémie. On comprend que le chef de l’État souhaite parler d’autre chose que la réforme de l’État, et faire diversion… Au Moyen-Âge, quand les choses tournaient mal, on brûlait des sorcières. En France, on brûle le capitalisme, éternel bouc émissaire.

Cette critique est particulièrement mal venue aujourd’hui, car si la crise de la Covid a montré une chose, c’est que le capitalisme est profondément responsable, au sens le plus large qu’on puisse donner à ce terme. Après des semaines de blocage résultant d’une gestion catastrophique des masques, et alors que des professionnels de santé mouraient de leur absence, l’État s’est finalement résolu à ouvrir leur approvisionnement et leur distribution au secteur privé, bref, au capitalisme, et la pénurie a disparu en moins de deux semaines.

Capitalisme irresponsable ? Quand est arrivé le confinement, tout le monde a craint les pénuries et certains n’ont pas hésité à prophétiser l’effondrement du système. Rien ne s’est effondré et il n’y a eu aucune pénurie. La grande distribution, victime traditionnelle des discours bien-pensants, a nourri la France malgré des conditions extrêmes.

Capitalisme irresponsable ? Puis à partir de décembre 2020, Pfizer, BioNTech et Moderna, purs produits du capitalisme spéculatif que l’on se plait à décrier, ont sauvé des millions de vies humaines avec leurs vaccins et permis à nos économies de repartir, un exploit que quelques mois auparavant, les bien-pensants – encore eux- au premier rang desquels notre Président, jugeaient impossible.

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