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Les 20 meilleures tables de 2018 à Paris

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Du grand bourgeois au vrai popu, du palace au bistrot malin, du petit nouveau à l’étoilé, Paris s’affirme cette fois encore comme la capitale de tous les possibles, de toutes les envies. La preuve en vingt adresses à forte personnalité. Faites marcher !

Meilleure «chic brasserie»: Girafe

Sûrement l’une des adresses les plus en vue de l’année, avec le Palais de Chaillot en chic de coulisses, le Trocadéro pour tremplin et la tour Eiffel qui s’invite en terrasse. Dans ce genre de circonstances, les restaus ne s’en sortent pas, asphyxiés par la superbe et le panorama. Et cette Girafe de ne pas s’en laisser conter. Un décor en boisé et velours, un bar saignant les veines de son marbre préfacent un belvédère glissant des tables comme au théâtre, des nappes comme au défilé, des serveurs en belle voltige et des comestibles invitant la mer au balcon. Coquillages, poissons, crustacés se livrent en chapitres clairs (gambero rosso crus, poulpe grillé), en recettes plus habillées (cabillaud rôti aux morilles, girolles et mousserons) et, au bon vouloir de la criée du jour, bar, daurade, turbot, pagre, rouget assurant cet autre spectacle d’être servis en salle et entiers.  

Le plat à ne pas laisser filer: tous les poissons grillés.

Girafe. 1, place du Trocadéro et du 11-Novembre (XVIe). Tél.: 01 40 62 70 61. Carte: entre 50 et 100 €.

Meilleure «Asie de comptoir»: Double Dragon

Double Dragon (XIe).
Double Dragon (XIe). Eugénie Ragot / Le Figaro

Devenues (à bon titre) coqueluches du Paris «fou-food», les deux sœurettes du Servan avancent d’un pion en leur fief de Saint-Ambroise, mutent une pizza traîne-la-Botte en une cantoche ludo-pop, s’adjoignent un kid des fourneaux (Antoine Villard) et, d’un coup de baguette, survoltent le tropisme comme le comptoir asiatique en lâchant des pépites décoiffantes.

Le plat à ne pas laisser filer: le concombre glacé à la citronnelle.

Double Dragon. 52, rue Saint Maur (XIe). Tél.: 01 71 32 41 95. Carte: 25-40 €.

Meilleur chef: David Bizet chez Taillevent

Taillevent (VIIIe).
Taillevent (VIIIe). Anne-Emmanuelle Thion

La haute adresse se retrouve une sacrée contenance en signant David Bizet, transfuge de l’Orangerie du George V. Lequel jeune chef installe, en un premier automne, une impeccable défense et illustration de ce style «à la française» où le produit aristocrate, la précision technique, les retours de chasse et le beau verbe s’imposent dans un mélange d’appétit et d’apparat. Service d’esprit «petit palais» et cave d’élite ravis de l’aubaine.

Le plat à ne pas laisser filer: la langoustine à la nage, tartare d’algues, crémeux iodé, consommé.

Taillevent. 15, rue Lamennais (VIIIe). Tél.: 01 44 95 15  01. Menus: 90 € (déj.) et 198 €. Carte: env. 200 €.

Meilleur «grand bourgeois»: La Poule au Pot

La Poule au Pot (Ier).
La Poule au Pot (Ier). Hervé Goluza

Piège donne sa leçon de bistrot, en reprenant cette belle endormie des Halles. Dans une valse années 1930 de mosaïques, de miroirs et de Moleskine, l’âge d’or se réveille, la vieille France sort l’argenterie et l’assiette trouve l’écho avec un Piège, ravi de renouer aux classiques. Ce n’est plus un menu, c’est une mémoire à laquelle on collerait bien une Légion d’honneur: escargots en coquilles, omelette aux girolles, quenelle sauce Nantua… La technique est virtuose, généreuse à remettre en bouche ce drôle de mot que l’on avait un peu oublié: gourmandise. 

Le plat à ne pas laisser filer: les cuisses de grenouille, blanquette, merlan en colère, etc.

La Poule au Pot. 9, rue Vauvilliers (Ier). Tél.: 01 42 36 32 96. Menu: 48 € (déj.). Carte: env. 100 €.

Meilleur «come-back»: Le Train Bleu

Le Train Bleu (XIIe).
Le Train Bleu (XIIe). Claps.tv

Est-ce le goût des gares, aujourd’hui retrouvé par les grands chefs? Toujours est-il qu’en confiant à la famille Rostang le réaiguillage de ses fourneaux le glorieux et très classé Train Bleu n’a pas tardé à renouer avec le public, rappliquant à l’appel d’une confortable cuisine Paris-Lyon-Méditerranée dans les ors incendiaires, nostalgies de plafond et cocardières allégories d’un décor assumant la flamboyance.

Le plat à ne pas laisser filer: l’omelette surprise flambée à la Chartreuse épiscopale.

Le Train Bleu. Gare de Lyon. Place Louis-Armand (XIIe). Tél.: 01 43 43 09 06. Carte: 50-90 €.

Meilleur quatre mains: Yannick Alléno et Yasunari Okazaki à L’Abysse

L'Abysse (VIIIe).
L’Abysse (VIIIe). Sebastien Veronese

Des cimes de Courchevel au Beaupassage, de plateaux télé en bout du monde, Alléno court toujours. Là, à l’étage de son pavillon Ledoyen, sous un plafond en ciel de baguette, le chef star et une pointure nippone se partagent la vedette sans se la disputer et composent, à quatre mains, des menus «omakase» où le sensible, le précieux, l’intriguant et le bluffant inventent comme un dialogue entre France et Archipel.

 Le plat à ne pas laisser filer: le homard à la vanille, nage prise au sésame.

L’Abysse. Pavillon Ledoyen. 8, av. Dutuit (VIIIe). Tél.: 01 53 05 10 00. Menus: à 98 € (déj.), 170 € et 280 €.

Meilleure révélation: Substance

Substance (XVIe).
Substance (XVIe). Substances

Chaque année, on l’attend même si elle tarde, on l’espère sans toujours y croire et, chaque année, elle surgit là où on ne la cherchait pas vraiment. En 2018, la belle surprise s’appelle Substance, apparu aux derniers rayons de soleil, dans les convenances du XVIe et au petit bonheur d’un carré d’associés remontés à partager leur aventure. La cave en jette sans foutre les jetons, le service assure sans se départir d’un vrai sourire et les assiettes révèlent un minot des fourneaux que l’on suivra, yeux fermés, bouche ouverte, lorsqu’il laisse bruiner son Jura de cœur et de souche aux paysages de ses compositions. 

Le plat à ne pas laisser filer: les gnocchis poêlés, cresson fermenté, jus à la morteau et jaune d’œuf fermenté.

Substance. 18, rue de Chaillot (XVIe). Tél.: 01 47 20 08 90. Menus: à 35 et 39 €. Carte: env. 70 €.

Meilleure cheftaine: Hélène Darroze au Joia 

Joia (IIe).
Joia (IIe). NICOLAS BUISSON

On n’a pas toujours été tendre avec la Darroze, lui reprochant souvent une cuisine et des tables qui, à tellement vouloir prouver, en oubliaient de véritablement s’incarner. Tout l’inverse de cette dernière adresse qui, en convoquant la joie (joià en béarnais), la trouve tout entière au double étage de cette belle bâtisse du Sentier et aux quatre coins d’une carte pétillante, lâchant, avec le même entrain, guacamole tout en fruit, généreux plat de famille, raviolis au vert et gâteau mille-crêpes au thé matcha.

Le plat à ne pas laisser filer: le cou d’agneau allaiton confit au raz-el-hanout.

Joia. 39, rue des Jeûneurs (IIe). Tél.: 01 40 20 06 06. Menus: à 24 et 29 € (déj.). Carte: env. 40 €.

Meilleur «ça, c’est Paris»: Astair

Astair (IIe).
Astair (IIe). vincent Leroux

S’il fallait d’ailleurs passer cette brasserie au check-up, celle-là cocherait les cases avec une heureuse désinvolture. Le quartier? Le passage des Panoramas, fidèle à sa réputation de solide garde-manger. Le décor? Épatant à inviter du côté d’aujourd’hui un esprit années 30. Les serveurs? Virevoltant à entrer en salle comme en scène. L’humeur? Au beau fixe. La cuisine? Sans complexe à assumer le bon sens bourgeois qu’un triple étoilé de province (Gilles Goujon) s’est amusé à décoincer comme on filerait un coup de main à des copains (artichaut vinaigrette, cuisses de grenouille, foie de veau déglacé, sole grillée, entrecôte béarnaise…). Quoi encore? Peut-être la joie de vivre et d’en être. 

Le plat à ne pas laisser filer: la caille fermière rôtie aux raisins, figues et garniture grand-mère.

Astair. 19, passage des Panoramas (IIe). Tél.: 09 81 29 50 95.Menus: à 20 et 25 € (déj.). Carte: env. 50 €.

Meilleure signature: Baieta

Baieta (Ve).
Baieta (Ve). Pierre Lucet Penato

À quoi reconnaît-on le talent d’une cuisine? Peut-être à ce qu’un plat dégusté au hasard d’un déjeuner vous suive loin, longtemps, au coin du palais, un jour, un mois, dix ans plus tard. Du côté de la précoce Julia Sedefjian, 23 ans, et dans la belle clarté d’une auberge citadine, il y aura eu cette «bouillabaieta», variation de bouillabaisse, inspirée, caressante, qui réveillait un terroir autant qu’elle révélait un tempérament de déjà grande cheffe.

Le plat à ne pas laisser filer: la bouillabaieta, rouille et croûtons.

Baieta. 5, rue de Pontoise (Ve). Tél.: 01 42 05 59 19. Menu: à 29 € (déj.). Carte: env. 80-100 €.

Meilleur «beaux quartiers»: Apicius

Apicius (VIIIe).
Apicius (VIIIe). Romain Laprade

On savait ce restaurant parmi les plus spectaculaires de Paris mais, sans chercher à minimiser une cuisine sûre de ses élégances, peut-être convient-il surtout de reconnaître un joli sens de la reprise à Mathieu Pacaud et Laurent de Gourcuff. Ces deux-là ont, en effet, su donner un scénario au décor en imaginant, ici, une petite vie de château, l’idée d’une résidence secondaire en cœur de ville et, lorsque les beaux jours s’en mêlent, le sentiment de prendre repas comme on squatterait une garden-party.

Le plat à ne pas laisser filer: l’œuf de poule, blanc à manger en cappuccino de cèpes et truffe blanche d’Alba.

Apicius. 20, rue d’Artois (VIIIe). Tél.: 01 43 80 19 66.Menus: à 180 et 280 €. Carte: env. 150-200 €.

Meilleur «un Japonais à Paris»: Pilgrim

Pilgrim (XVe).
Pilgrim (XVe). PILGRIM

Puisque désormais les années se suivent et se ressemblent à régulièrement révéler ces tables où des chefs japonais répondent à l’appel tricolore, avouons celle-ci comme la plus aboutie des douze derniers mois. Un feng shui de décor, minimal sans être mutique, une brigade que la cuisine grande ouverte sur la salle ne parvient pas à sortir de leur manière méditative et des compositions délicates, graciles, qui semblent venir se poser sur l’assiette comme un papillon sur un bouquet.

Le plat à ne pas laisser filer: le tourteau effiloché, granny smith et piment d’Espelette.

Pilgrim. 8, rue Nicolas-Charlet (XVe). Tél.: 01 40 29 09 71.Menus: à 45 € (déj.), 65 € (sam.) et 90 €.

Meilleur «nouveaux horizons»: Oxte

Oxte (XVIIIe).
Oxte (XVIIIe). Francois Bouchon/François Bouchon / Le Figaro

Avec énergie (et belle candeur), la nouvelle cuisine mexicaine infuse autant qu’elle épate la galerie mondiale en offrant quelques nouveaux soleils au ciel de nos assiettes. Parmi ses terrains de jeu, Paris, où Enrique Casarrubias joue les habiles artificiers, verse la salsa verde dans un oignon, givre le mezcal, biscuite le maïs dans une crème d’agave, convainc surtout à concilier, sans chromo ni folklo, des menus d’entre ici et aztèque.

Le plat à ne pas laisser filer: le poulpe, oignon farci à la salsa verde, mousseline de pommes de terre.

Oxte. 5, rue Troyon (XVIIe). Tél.: 01 45 75 15 15. Menus: 31 € (déj.) et 65 €.

Meilleur «culotté»: Boulom

Boulom (XVIIIe).
Boulom (XVIIIe). SEBASTIEN SORIANO/Le Figaro

Depuis sa bodega des villes (A Noste), on savait Julien Duboué en conquête et plutôt bien dans sa tête mais d’ici à tenter une relance du jusqu’alors très loufoque buffet à volonté, fallait oser! Voici pourtant le genre réhabilité, dans l’arrière-salle d’une boulangerie coquette où un public pas fatalement pansu se presse à verser dans les semi-marathons de gueule. Face à lui, dans l’ordre, le désordre, s’empressent salé, sucré, chaud, froid, coquillages, cochonnailles, grillades, mijoté, le tout copieux, bien échafaudé, paillard sans être ringard. 

Le plat à ne pas laisser filer: les terrines, boudins, rillettes.

Boulom. 181, rue Ordener (XVIIIe). Tél.: 01 46 06 64 20.Buffet à volonté: 29 € (déj.) et 39 €.

Meilleur «inclassable»: NE/SO

NE/SO (IXe).
NE/SO (IXe). Jean-Christophe Marmara/JC MARMARA / LE FIGARO

Découvert dans la posture du marlou tatoué le temps d’une télé casserole, enduré dans l’imposture et les pierres écorchées d’une première adresse pompe-l’air, on retrouvait Guillaume Sanchez, au printemps dernier, dans de nouveaux murs en clair-obscur. Et de pouvoir suivre le jeu de piste d’un chef qui, sans être complètement assagi, ne confond plus client et cobaye et partage enfin une réelle singularité autour de ses compositions à fleur de saveur.

Le plat à ne pas laisser filer: les ravioles de homard, fermentation de marc de café.

NE/SO. 6, rue Papillon (IXe). Tél.: 01 48 28 04 13. Menus: 55 € (déj.), 90 et 120 €.

Meilleur «du côté des palaces»: L’Orangerie

L'Orangerie (VIIIe).
L’Orangerie (VIIIe). Jean Clade Amiel

Passation de pouvoirs discrète (et donc réussie) pour la table bis du George V où Alan Taudon, l’ancien second de Le Squer, succède à David Bizet, parti du côté de Taillevent. Et le jeune chef de ne pas se laisser impressionner en signant une de ces cartes apaisées, tout à la fois studieuse à soutenir le niveau et sensible à imposer une griffe où, soudain, l’esprit vient à la fusion (aubergines fermentées aux herbes, daurade sur le gril, tapioca de concombre, jus pimenté, ris de veau croustillant à la citronnelle…). 

Le plat à ne pas laisser filer: le rouget en écaille aux gnocchis de tomate sauce amaretto.

,L’Orangerie à l’Hôtel Four Seasons-George V. 31, av. George-V (VIIIe). Tél.: 01 49 52 72 24. Menus: 75 € (déj.), 95 et 125 €. Carte: env. 170 €.

Meilleur «des environs»: L’Ours

L'Ours (Vincennes).
L’Ours (Vincennes). Julie Limont

Exception remarquée d’une triste règle selon laquelle l’extra muros parisien ne brille plus par sa superbe, Jacky Ribault signe, dans les discrétions de Vincennes, une étonnante adresse conçue en façon de petit conte. D’alcôve en salon, de touches oniriques en impressionnisme végétal, l’espace traverse son joli miroir. Sans que l’on sache vraiment qui de l’un l’emporte sur l’autre, la dégustation et la mise en table composent un climat singulier, caressant, précieux (souvenir ému d’un bar de ligne vapeur de lichen posé sur son granit). 

Le plat à ne pas laisser filer: le ris de veau, meunière d’algues, sabayon au gingembre et teriyaki.

L’Ours. 10, rue de l’Église à Vincennes (94). Tél.: 01 46 81 50 34.Menus: 45, 75 et 105 €.

Meilleur mondain: Beef Bar

Beef Bar (VIIIe).
Beef Bar (VIIIe). adrien daste

Exit cette vieille madame de Fermette Marbeuf remplacée par ce Beef Bar, venu de Monaco, Londres, ailleurs et qui, de décor flambant sans être totalement flambeur en addition ravageuse, dépose aux jolies mâchoires de la mondaine sa petite boutique carnassière.

Le plat à ne pas laisser filer: le chateaubriand (génisse de la vallée des Volcans) pour deux.

Beef Bar. 5, rue Marbeuf (VIIIe). Tél.: 01 44 31 40 00. Menu: 35 €. Carte: env. 80-200 €.

Meilleur «fashion»: Froufrou

Froufrou (IXe).
Froufrou (IXe). Sébastien SORIANO/Le Figaro

Allez savoir si, dans six mois, celui-ci sera encore aux premières loges du Paris qui sort, mais, en attendant, depuis la rentrée, c’est bien à ce boudoir revendiqué que revient le pompon de la table où il convient d’aller se faire voir. Aux coulisses du Théâtre Édouard-VII, la Fashion Week y a calé ses premiers rangs avant qu’entre rideaux et velours les petits oiseaux de nuit en fassent leur volière fétiche, méritante à disposer quelques comestibles italo-parisiens, faciles à picorer.

 Le plat à ne pas laisser filer: l’os à moelle des copains.

Froufrou. Théâtre Édouard-VII. 10, square Édouard-VII (IXe). Tél.: 01 47 42 92 55. Carte: env. 60-80 €.

Meilleur nautique:  Ducasse-sur-Seine

Ducasse-sur-Seine (XVIe).
Ducasse-sur-Seine (XVIe). P. Monetta

Pas toujours facile de suivre le boss ces derniers mois (un Spoon 2, un Benoît répliqué au Louvre, une brasserie à l’Arena de Nanterre) mais Ducasse enfin, Ducasse quand même, Ducasse ingénieux à donner un sens à la Seine, du moins à mettre en scène un appétit fluvial, en disposant une jolie figure de yacht électrique croisant à une plaisante cuisine de circonstance. 

Le plat à ne pas laisser filer: le cockpot de légumes racines et fruits de saison.

Ducasse-sur-Seine. Port Debilly (XVIe). Tél.: 01 58 00 22 08.Menus: 95 à 250 €.


Pour quelques assiettes de plus…

Dans la volupté du rab’, voici dix tables de plus qui, chacune à leur façon, méritent leur place au banquet final.

Meilleur de l’esprit dans le caviar: Petrossian (13, bd. de la Tour-Maubourg, VIIe).

Meilleur «retour au XVIe»: Zebra (3, place Clément Ader, XVIe).

Meilleur «popu-bobo»: le routier Aux Bons Crus (54, rue Godefroy Cavaignac, XIe).

Meilleurs «food-courts»: selon sa tribu, le Ground Control (81, rue de Charolais, XIIe), Beaupassage (VIIe) et le Printemps du Goût (IXe).

Meilleur tapas: Hugo & Co (48, rue Monge, Ve).

Meilleur bistronomique: Sauvage (55, rue du Cherche-Midi, Ve).

Meilleur plat de partage: Bien Ficelé (51, bd. Voltaire, XIe).

Meilleur déménagement: Gaya de Gagnaire (désormais 6, rue de Saint-Simon, VIIe).

Meilleur nouveau Sud: les Balkans d’Ibrik Kitchen (9, rue de Mulhouse, IIe).

Meilleur Costes: le restaurant du Théâtre Marigny (Carré Marigny, VIIIe).

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MAPEI Canada inaugure l’agrandissement de son usine à Laval, au Québec

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LAVAL, QC, le 15 sept. 2023 /CNW/ – MAPEI Inc., un renommé fabricant de produits pour l’industrie du bâtiment au Canada depuis 1978 faisant partie du Groupe MAPEI, a inauguré hier soir l’agrandissement de son installation phare à Laval, au Québec, lors d’une cérémonie qui célébrait l’ouverture officielle de la nouvelle usine de production de poudre et du nouvel entrepôt.

Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI, ainsi que Simona Giorgetta, actionnaire et membre du conseil d'administration. (Groupe CNW/MAPEI Inc.)
Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI, ainsi que Simona Giorgetta, actionnaire et membre du conseil d’administration. (Groupe CNW/MAPEI Inc.)

« Maintenant que les lignes de poudres et d’adjuvants sont opérationnelles, MAPEI Laval figure parmi les usines les plus grandes et les plus technologiquement avancées du réseau de MAPEI Amérique du Nord », dit Marco Roma, directeur général de MAPEI Canada. « Cette nouvelle installation nous permet de répondre aux besoins croissants du nord-est du Canada en matière de matériaux de construction, d’adjuvants pour béton et d’agents de mouture pour ciment », ajoute-t-il.

Entre autres, l’augmentation de la production à Laval créera un effet d’entraînement qui permettra une production plus équilibrée au Canada.

« En améliorant notre capacité à déplacer la production en conséquence pour une plus grande localisation entre nos usines du Québec, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique, nous pouvons réduire notre empreinte carbone partout au pays en effectuant des livraisons plus rapides sur des distances plus courtes lors du transport des fournitures vers les chantiers de construction », dit M. Roma.

Maximiser l’utilisation de matériaux locaux fait partie du pilier MAPEI qui vise à améliorer la durabilité dans le domaine de la construction. Cela fait partie de la philosophie qui a permis à MAPEI de participer à la construction et à la rénovation de certains des bâtiments et infrastructures les plus remarquables du Canada, allant du Centre aquatique Minoru à Richmond, en Colombie-Britannique, au Centre Avenir à Moncton, au Nouveau-Brunswick, en passant par la station Union à Toronto, en Ontario, pour n’en nommer que quelques-uns.

« Notre présence au Canada est née d’une occasion liée aux Jeux olympiques de Montréal qui ont eu lieu en 1976 », disent Marco et Veronica Squinzi, PDG du Groupe MAPEI. « Nous avons été appelés à fournir des produits pour l’installation des pistes d’athlétisme olympiques. Nous avons eu un effet tellement positif au pays que nous avons décidé en 1978 d’investir et d’ouvrir, ici même à Laval, notre première usine hors de l’Italie. Ce fut le début de notre stratégie d’internationalisation qui définit toujours l’entreprise aujourd’hui. Au cours des cinq dernières années, nous avons décidé de diversifier les marchés en ajoutant des lignes de produits qui n’étaient pas offertes au Canada à l’origine, mais qui étaient déjà bien étendues et rigoureusement testées par MAPEI en Europe, comme les additifs et les revêtements de sol industriels. Voilà ce qui a mené au projet d’agrandissement. »

« MAPEI Amérique du Nord avance à grands pas », dit Luigi Di Geso, président-directeur général de MAPEI Amérique du Nord. « Cet ajout répondra à une croissance qui a commencé ici même, dans une installation alors modeste qu’on ne reconnaitrait pas aujourd’hui, et qui était pourtant à la fine pointe de la technologie il y a quelques années seulement. »

La nouvelle ligne de production de poudre produira annuellement 30 000 tonnes par quart de travail. La nouvelle ligne de production d’adjuvants produira annuellement 7 000 tonnes par quart de travail. L’agrandissement de l’espace d’entreposage pourra dorénavant rendre plus efficace la distribution de toute cette production : 4 715 m² (50,750 pi²) supplémentaires s’ajoutent aux 11 892 m² (128,000 pi²) que constituent l’usine de polymères, le centre d’excellence en R. et D. pour la construction en béton et le siège social canadien, qui sont également sur place.

« Avec 11 lignes de produits couvrant tous les aspects de la construction, MAPEI Inc. est prête à atteindre des sommets encore plus élevés que jamais en aidant à construire le Canada de manière plus durable, et ce pour de nombreuses années à venir », ajoute M. Di Geso.

Parmi les invités d’honneur qui ont pris la parole au cours de la cérémonie, Son Excellence Andrea Ferrari, Ambassadeur d’Italie au Canada, et l’Honorable Tony Loffreda, Sénateur au Sénat du Canada.

L’année 2023 marque le 45e anniversaire de MAPEI au Canada, sous le nom de MAPEI Inc. En plus de l’emplacement à Laval, MAPEI Canada possède des installations de production à Maskinongé, au Québec, à Brampton, en Ontario, et à Delta, en Colombie-Britannique, ainsi qu’un centre de distribution à Calgary, en Alberta. Elle peut également se vanter de ses Services techniques, présents partout au pays et sans égal dans l’industrie. Pour plus de renseignements, consultez le www.mapei.ca.Au sujet de MAPEI

Fondée en 1937 à Milan, MAPEI est aujourd’hui l’un des principaux fabricants mondiaux de produits chimiques pour l’industrie du bâtiment et a contribué à la construction de certaines des créations architecturales et d’infrastructure les plus importantes au monde. Avec 102 filiales exerçant leurs activités dans 57 pays et 90 usines de fabrication dans 35 nations, le Groupe MAPEI emploie environ 11 900 personnes dans le monde. Les fondements du succès de l’entreprise sont la spécialisation, l’internationalisation, la recherche et le développement, ainsi que la durabilité.

MAPEI Amérique du Nord, dont le siège social est situé à Deerfield Beach, en Floride, compte les filiales MAPEI Corporation (pour les États-Unis), MAPEI Inc. (pour le Canada) et MAPEI Caribe (pour Porto Rico et les autres îles des Caraïbes). Celles-ci regroupent 28 installations où travaillent environ 1 800 employés. Les installations MAPEI sont certifiées selon les normes de qualité ISO 9001 et ISO 14001. MAPEI est un fabricant soucieux de l’environnement qui réinvestit 5 % de ses recettes dans la R. et D., et qui offre également de la formation aux architectes, aux entrepreneurs, aux installateurs et aux distributeurs par l’entremise de l’Institut technique MAPEI. Pour en savoir plus sur MAPEI, consultez le www.mapei.com ou composez le 1 800 42-MAPEI (1 800 426-2734).

SOURCE MAPEI Inc.

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Le Gala Elles reconnaissent célèbre les femmes remarquables de l’industrie de la construction

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MONTRÉAL, le 18 sept. 2023 /CNW/ – Les Elles de la construction sont fières d’annoncer le retour du Gala Elles reconnaissent, un événement destiné à célébrer les femmes exceptionnelles qui ont joué un rôle primordial dans l’industrie de la construction. Cette soirée promet glamour, réseautage et reconnaissance, offrant aux invitées une opportunité unique d’assister à une cérémonie de remise de prix spéciale mettant en valeur les femmes les plus remarquables et influentes du secteur. Le Gala aura le privilège de compter sur deux présidentes d’honneur : Lyne Laperrière, Directrice des ressources humaines chez Demospec Groupe, et Danièle Henkel, Présidente de Henkel Média et Fondatrice des entreprises Danièle Henkel Inc.

Le Gala Elles reconnaissent se tiendra le jeudi 5 octobre 2023, de 17h30 à 21h, au Théâtre Paradoxe situé au 5959 Boulevard Monk, Montréal, QC, H4E 3H5. Des discours mettront en lumière le parcours inspirant et les obstacles surmontés par des femmes pour réaliser leurs rêves dans le domaine de la construction.

« Le Gala Elles reconnaissent est une opportunité de favoriser le réseautage et de renforcer les liens au sein de notre industrie en rassemblant des professionnels influents et des entrepreneurs inspirants. Cet événement a pour objectif de reconnaître et de célébrer les réalisations exceptionnelles des femmes dans l’industrie de la construction. Depuis des décennies, elles ont joué un rôle significatif dans le succès et l’innovation de ce secteur, et il est grand temps de leur accorder la reconnaissance qu’elles méritent amplement. »
– Lyne Laperrière, Directrice des ressources humaines, Demospec Groupe

« Nous sommes fiers d’honorer ces femmes qui ont apporté une contribution inestimable au secteur de la construction et qui sont une source d’inspiration pour les générations futures. Le Gala Elles reconnaissent est une occasion unique de célébrer leurs réalisations et de se laisser inspirer par leurs brillants parcours. »
– Danièle Henkel, Présidente de Henkel média et Fondatrice des entreprises Danièle Henkel inc.

Le Gala Elles reconnaissent est soutenu par de nombreux commanditaires, dont Groupe RP. Pour de plus amples informations, rendez-vous sur le site web officiel de l’événement sur www.ellesdelaconstruction.com.

SOURCE Les Elles de la construction

Renseignements: Relations de presse ; Yasmina Wahdani, 514-209-0799, ywahdani@exponentielconseil.com ; Gaëlle Gilles, 438 404-3553, communications@ellesdelaconstruction.com

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Préparez votre maison pour l’hiver afin d’éviter les réclamations d’assurance

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(NC) Se prélasser au coin du feu. Construire un fort dans la cour enneigée. Regarder un bon film au chaud. Au Canada, on peut faire une foule de choses agréables quand on passe l’hiver à la maison. Mais présenter une réclamation d’assurance habitation n’en fait pas partie.

Suivez nos conseils pour bien préparer votre maison pour un autre hiver enneigé et en profiter pleinement sans vous inquiéter des imprévus.

Inspectez, dégagez et nettoyez l’extérieur de la maison
Vous assurer que l’extérieur est bien entretenu est une étape clé de la préparation de votre maison pour l’hiver. Avant que les températures glaciales ne deviennent une réalité quotidienne, débarrassez-vous des feuilles et autres débris qui se sont accumulés dans les gouttières pour empêcher la formation de barrières de glace pendant l’hiver. Videz et fermez les conduites d’eau extérieures pour éviter les dégâts d’eau causés par le gel et l’éclatement des tuyaux.

Il est maintenant temps d’inspecter les coupe-froid autour des portes et des fenêtres. Trouver et réparer les fissures et les interstices aide à prévenir les pertes de chaleur et la hausse de votre facture d’électricité, tout en préservant l’intégrité architecturale de votre maison.

Vérifiez la sécurité à l’intérieur de la maison
La sécurité incendie et la qualité de l’air à l’intérieur de la maison sont importantes tout au long de l’année, mais l’ajout d’une vérification à votre liste de préparation pour l’hiver peut vous assurer que tout est en parfait état.

Vérifiez le fonctionnement de vos détecteurs de fumée et de monoxyde de carbone. Et pendant que vous y êtes, prenez note de la date d’expiration de chaque détecteur. Selon le modèle, on devrait les remplacer tous les cinq à dix ans.

Ensuite, assurez-vous que vos extincteurs sont en bon état de fonctionnement et facilement accessibles. Si vous n’en avez pas, ajoutez-les en priorité à votre liste d’achats. En compagnie des autres membres de la famille, prenez le temps d’apprendre quand et comment vous en servir correctement.

Par souci de sécurité, vous pouvez également envisager de vous procurer une trousse de mesure du radon à long terme, qui comprend un détecteur. La ventilation, les points d’entrée, les drains et même la composition du sol peuvent avoir des répercussions sur votre exposition au radon, un gaz potentiellement cancérigène créé lorsque l’uranium présent à l’état naturel se désagrège. L’étage le plus bas de la maison est l’endroit idéal pour installer un détecteur de radon. Surveillez-le régulièrement pour votre sécurité et celle de votre famille.

Inspectez votre générateur d’air chaud et vos autres appareils de chauffage
Compte tenu de l’arrivée imminente de l’hiver et du temps froid, il est essentiel de faire des vérifications de routine et de voir à l’entretien de votre générateur d’air chaud pour vous assurer qu’il fonctionne efficacement et en toute sécurité, afin que vous puissiez rester bien au chaud pendant toute la saison froide.

Pour procéder vous-même à une inspection de base, vérifiez que la zone autour du générateur d’air chaud est exempte d’objets et de débris, examinez les tuyaux et les raccords pour déceler tout signe de dégradation et assurez-vous de remplacer les filtres selon le calendrier recommandé par le fabricant. Une inspection et un nettoyage annuels par une équipe technique d’entretien qualifiée sont aussi recommandés.

Si vous avez des appareils de chauffage au bois et des foyers dans votre maison, vous devriez retenir les services d’une équipe d’inspection de cheminée certifiée pour les examiner et les nettoyer avant de commencer à les utiliser. Cela réduit le risque d’incendie lié à une cheminée.

Découvrez d’autres conseils sur la façon de protéger votre maison tout au long de l’année au cooperators.ca.

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