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Le corps de la femme, un champ de bataille politique

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Je tiens à répondre aux réactions suscitées par mon appel vidéo à ne pas stigmatiser les femmes qui portent le foulard. Un argument revient fréquemment : les religions sont une déviance sociale.

Il faut lire Yuval Noah Harari pour comprendre pourquoi les humains ont de tout temps créé des religions et des mythes : « Toute coopération humaine à grande échelle repose en définitive sur notre croyance en un ordre imaginaire : un ensemble de règles que nous croyons aussi réelles et inviolables que la gravité, même si elles n’existent que dans notre imagination. » C’est ce que le grand historien appelle une « toile de sens intersubjective : une toile de lois, de forces, d’entités et de lieux qui n’existent que dans notre imagination commune ».

Aujourd’hui, en Occident, c’est l’économisme — ou l’obsession de la croissance économique — qui forme notre principal ordre imaginaire. Nous y croyons et travaillons en masse à renforcer cet ordre, parce que c’est autour de ce dogme-là que toute la vie s’est organisée. C’est notre plateforme commune, en quelque sorte. Pour l’instant.

Le préjugé anti-religion est souvent porté par des gens qui, comme certains Québécois issus de l’immigration ou comme plusieurs de nos grands-parents, ont souffert personnellement du pouvoir religieux. C’est le mot « pouvoir » qui est important ici. C’est lui qui a marqué et blessé, pas la religion en tant que telle. Des millions de gens à travers la planète pratiquent une religion sans que le pouvoir s’en mêle : c’est le cas de plusieurs pratiquants au Québec aujourd’hui, qu’ils soient chrétiens, musulmans, bouddhistes ou que leur spiritualité soit plus individuelle.

Puis-je aller jusqu’à affirmer qu’une certaine forme de spiritualité est essentielle à la santé des humains ? Quand j’entends une femme pratiquante me dire que la présence de Dieu dans sa vie lui donne de la force, je comprends. Il m’arrive de m’imaginer que mon grand-père Robert et mon père Louis, tous deux décédés, sont avec moi à me donner de la force et de l’amour. Suis-je pour autant déviante ?

À ceux qui répondront « Non ! C’est seulement l’islam politique qui est déviant », là encore, le mot à retenir, c’est « politique ». La politique a toujours instrumentalisé ce qui pouvait lui servir. Elle est d’ailleurs fortement présente dans la frange radicale du mouvement laïciste, qui instrumentalise la laïcité, jadis censée contrer l’exclusion des minorités, pour freiner l’immigration et désigner des boucs émissaires pratiques.

Discours islamophobe

Tout cela pour s’éviter de montrer du doigt le vrai pouvoir d’aujourd’hui, les vrais coupables de notre sentiment d’oppression. Nous ne sommes ni en Arabie saoudite ni dans le Québec des années 1940. Qu’est-ce que le pouvoir instrumentalise ici et maintenant pour nous faire rentrer dans le rang, pour nous écraser, nous, les femmes ? C’est ça, la véritable question.

Le discours islamophobe qui s’est tranquillement mais sûrement creusé une niche dans notre espace public — en plus d’être extrêmement dangereux — est farci d’illogismes. Quelle est la différence, par exemple, entre affirmer que celles qui portent le foulard sont des soumises niaiseuses qui n’ont rien compris et affirmer que celles qui ne le portent pas sont des mécréantes ?

Des deux côtés, il y a une tentative de domination des femmes qui m’écoeure profondément. Le problème n’est pas le foulard ; le problème, c’est de refuser de regarder toutes les femmes comme si elles étaient des adultes. À cet égard, les « fous de Dieu » et les islamophobes ont plus en commun qu’ils ne voudraient l’admettre.

À ceux qui se préoccupent de l’oppression des femmes : vous pouvez agir. Lâchez les femmes religieuses qui vous disent depuis des années qu’elles sont en paix avec leur foulard et tournez-vous vers les lieux de la réelle souffrance des femmes au Québec.

Exigez du gouvernement qu’il finance adéquatement le milieu communautaire, les centres de femmes, les groupes d’aide aux femmes battues : la première ligne de la lutte contre les violences faites aux femmes. Sortez en appui aux victimes d’agressions sexuelles qui n’arrivent pas à faire entendre leurs voix, ou dont les accusations tombent à l’eau pour de mauvaises raisons.

Quand vous tomberez sur ces milliers d’images de femmes qui envahissent chaque jour notre regard à travers des publicités de chars, de vêtements, de maquillage, tout cela pour que des investisseurs puissent « faire la piastre », pensez aux adolescentes anorexiques et boulimiques, à celles qui passent des heures devant le miroir à se dire « je suis tellement laide », pensez à ce manque d’estime qui suivra les femmes toute leur vie parce qu’un certain ordre du monde exige d’elles qu’elles ressemblent à une mannequin photoshoppée.

La prochaine fois que vous regarderez de la pornographie, dites-vous que c’est le principal lieu où les adolescents apprendront les codes de la sexualité, à partir de 12, 13 ans en moyenne. Militez pour un cours d’éducation sexuelle qui soit donné non pas par les profs, mais par des intervenants du milieu communautaire spécialisés dans la question. Ces gens sauvent des vies.

Écrivez des lettres dans les journaux sur l’exploitation des jeunes filles en milieu défavorisé, dans l’angle mort de la police. Ce n’est pas la faute de l’islam, ça. Mais le bulletin de nouvelles s’en fout. Il continue de nous montrer des burkas à l’autre bout du monde. Parce qu’ici, tout va bien, n’est-ce pas, le sujet est réglé.

Comme l’écrivait Zola, « il y a forcément là un poison caché qui nous fait délirer tous ». Comme lui, je sais que les insultes fuseront, mais je trouve lâche de me taire.

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Même les jeunes RÉPUBLIQUES se lassent du capitalisme, selon les sondeurs américains — RT USA News

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Moins de la moitié des jeunes Américains ont une vision positive du capitalisme, selon un nouveau sondage. Même les jeunes républicains sont de plus en plus sceptiques – mais ne vous attendez pas à ce que l’Amérique devienne complètement socialiste pour l’instant.

Un sondage Axios publié vendredi a révélé qu’aux États-Unis capitalistes, seulement 49% des Américains âgés de 18 à 34 ans soutiennent réellement le capitalisme. Et 51% déclarent avoir une vision positive du socialisme.

Depuis plusieurs années, les sondages ont trouvé un soutien au socialisme croissant parmi les démocrates et les jeunes. En conséquence, les démocrates qui se présentent sur des plateformes explicitement socialistes – comme les membres des Democratic Socialists of America Alexandria Ocasio-Cortez (D-New York) et Rashida Tlaib (D-Michigan) – ont traduit ce mécontentement en succès électoral.

Cependant, le dernier sondage a révélé que les jeunes républicains, généralement des défenseurs infatigables du capitalisme de libre marché, en ont marre du système qu’ils ont l’habitude de défendre. Parmi les républicains âgés de 18 à 34 ans, environ 66% ont désormais une vision positive du capitalisme, contre 81% en 2019. Mais 56% des jeunes républicains souhaitent que le gouvernement se concentre sur la réduction des inégalités de richesse, contre seulement 40% en deux ans. depuis.https://googleads.g.doubleclick.net/pagead/ads?us_privacy=1—&client=ca-pub-5390986774482540&output=html&h=280&adk=180704450&adf=4168993513&pi=t.aa~a.2874080257~i.7~rp.4&w=1092&fwrn=4&fwrnh=100&lmt=1628065615&num_ads=1&rafmt=1&armr=3&sem=mc&pwprc=5987108905&psa=1&ad_type=text_image&format=1092×280&url=https%3A%2F%2Fnews-24.fr%2Fmeme-les-jeunes-republiques-se-lassent-du-capitalisme-selon-les-sondeurs-americains-rt-usa-news%2F&flash=0&fwr=0&pra=3&rh=200&rw=1092&rpe=1&resp_fmts=3&wgl=1&fa=27&dt=1628065633854&bpp=2&bdt=2280&idt=-M&shv=r20210729&mjsv=m202108030101&ptt=9&saldr=aa&abxe=1&cookie=ID%3D5bc0ba73a725e77e-2207b6abaeca00da%3AT%3D1628065618%3ART%3D1628065618%3AS%3DALNI_MbfJtFs3LXLAMzQhf9X_KnK26CNWQ&prev_fmts=0x0%2C1092x280%2C1092x280%2C1092x280&nras=3&correlator=4582349290288&frm=20&pv=1&ga_vid=188329949.1628065617&ga_sid=1628065633&ga_hid=1441312153&ga_fc=0&u_tz=330&u_his=4&u_java=0&u_h=720&u_w=1280&u_ah=680&u_aw=1280&u_cd=24&u_nplug=0&u_nmime=0&adx=85&ady=1595&biw=1263&bih=567&scr_x=0&scr_y=416&eid=20211866&oid=3&pvsid=4333132958230926&pem=75&eae=0&fc=1408&brdim=-7%2C-7%2C-7%2C-7%2C1280%2C0%2C1295%2C695%2C1280%2C567&vis=1&rsz=%7C%7Cs%7C&abl=NS&fu=128&bc=31&ifi=5&uci=a!5&btvi=3&fsb=1&xpc=dqEjBFITRH&p=https%3A//news-24.fr&dtd=358

Axios attribue cette augmentation au fait que davantage d’Américains voient le « avantages tangibles de niveaux d’intervention gouvernementaux sans précédent » pendant la pandémie de coronavirus. En effet, le président de l’époque, Donald Trump, a critiqué les deux partis au Congrès pour avoir accepté d’envoyer « ridiculement bas » chèques de relance de 600 $ en décembre, au lieu des 2 000 $ qu’il a réclamés – une critique qui aurait été étrangère à un président républicain au cours des dernières décennies. Tout aussi rarement, Ocasio-Cortez et Tlaib étaient tous deux d’accord avec Trump sur la question.

Pourtant, l’abandon par la droite du capitalisme sans entraves est en cours depuis avant que la pandémie ne frappe. L’animateur de Fox News, Tucker Carlson, l’animateur de nouvelles du câble le plus regardé aux États-Unis et une influence sur Trump pendant son mandat à la Maison Blanche, a soutenu les propositions des démocrates visant à briser les monopoles technologiques de la Silicon Valley et a condamné « républicain grand public » se concentrer sur le « religion » de « capitalisme de marché ».

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« Aucune crise climatique ne causera la fin du capitalisme ! »

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Andreas Malm est un très sympathique quadragénaire suédois, militant de longue date contre le réchauffement climatique. Invité à Paris par son éditeur, La Fabrique, à l’occasion de la publication en France de son dernier ouvrage, il a par conviction traversé l’Europe en train, au départ de Malmö. Géographe spécialisé en écologie humaine de l’université de Lund, en Suède, il propose notamment une analyse du mouvement climat au sein de la vie politique suédoise (longtemps sous hégémonie sociale-démocrate), lui qui est originaire du même pays que Greta Thunberg. En septembre dernier, il a publié La Chauve-souris et le capital. Stratégie pour l’urgence chronique.

Andreas Malm est par ailleurs membre du collectif Zetkin, composé de chercheurs, d’enseignants et d’activistes de plusieurs nationalités œuvrant à la préservation du climat et de la biodiversité. Ce groupe s’intéresse notamment aux discours sur l’écologie politique de l’extrême droite européenne ou américaine. Malm a ainsi dirigé l’ouvrage collectif Fascisme fossile. L’extrême droite, l’énergie, le climat, qui met au jour la longue tradition de dénégation des enjeux climatiques due à l’engouement de l’extrême droite pour un développement fait de croissance économique constante grâce aux énergies fossiles.

Plus largement, il analyse ici la crise climatique, qu’il conçoit aujourd’hui comme intrinsèquement liée à la conjonction entre la crise sanitaire due au covid-19, source d’un effondrement de l’expansion capitalistique, et la destruction de la biodiversité, permettant la dispersion géographique des zoonoses. Le tout dans un mouvement incessant. En attendant la prochaine pandémie…

On parle généralement d’urgence climatique. Pourquoi lui préférez-vous celui d’« urgence chronique » ?

Andreas Malm : J’ai repris ce terme d’une étude de plusieurs scientifiques qui ont analysé la crise du covid-19 (notamment ses causes) et la crise climatique. Il traduit l’idée que ces deux désastres sont en train de devenir permanents, et non plus temporaires, l’un après l’autre : l’urgence apparaît donc comme chronique. Et la seule voie pour nous en sortir, c’est désormais d’agir contre les causes de ces crises, d’en modifier les conditions de développement.

Vous écrivez que le capitalisme, « survivant à tous ses hôtes », a longtemps semblé un « parasite qui ne meurt jamais », mais qu’il pourrait bien aujourd’hui avoir rencontré des « limites naturelles » à son « espérance de vie ». Que voulez-vous dire ?

Le capitalisme rencontre de réels problèmes, en raison de ce qu’il faut appeler ses « limites naturelles ». Toutefois, je ne crois pas que les problèmes environnementaux puissent causer son déclin avant qu’il ne parvienne à entraîner l’effondrement de la planète tout entière. Si le capitalisme a la possibilité de continuer ainsi dans la voie incontrôlée dans laquelle il se trouve, sans aucune régulation ni limitation, il ne pourra certainement causer – sans possibilité de retour – qu’un processus croissant vers une destruction incommensurable du climat, de la biodiversité et de tout le reste…

Je ne distingue aucune autre voie que la coercition pour obtenir des entreprises qu’elles changent leurs comportements.

Certains marxistes pensent que les problèmes environnementaux pourront être la cause d’une crise majeure du capitalisme et entraîner, à terme, sa chute. Même s’ils ne disposent pas vraiment de preuves à l’appui de cette thèse, on peut bien sûr interpréter le covid-19 (et la crise économique qu’il entraîne) comme un exemple potentiel de ce processus : celui d’un phénomène environnemental causant une maladie zoonotique ayant eu pour conséquence une crise économique majeure au début de la décennie 2020. Toutefois, le covid-19 n’a certainement pas tué le capitalisme. Et je ne pense pas que quelque chose puisse annihiler le système capitaliste, sauf certains processus sociaux précis par lesquels de nombreuses forces humaines s’organisent pour travailler ensemble dans les mêmes directions contre ce système. Mais je ne crois pas qu’une crise environnementale parviendra jamais à elle seule à causer la fin du capitalisme !

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Innovation : le capitalisme « responsable », faux problème et vraie diversion

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La critique du capitalisme est une sorte de passage obligé pour un homme politique en difficulté en France. Elle est pratique parce qu’elle séduit sur un assez large spectre, de gauche à droite. On pourrait donc considérer cette déclaration comme un simple exercice de rhétorique sans grande importance, mais ce faisant on commettrait une erreur, car cette expression révèle beaucoup sur la grande difficulté de l’Europe et surtout de la France à établir un diagnostic pertinent sur leur déclin accéléré.

En se trompant de diagnostic, on s’interdit de résoudre le problème. L’exercice se révèle donc dangereux.

L’appel à un capitalisme « responsable » par le président de la République est bien sûr avant tout une tactique politique. Nous sommes en période électorale et il s’agit probablement pour lui de parler à la gauche en essayant de faire oublier son image libérale, c’est de bonne guerre.

En critiquant un capitalisme devenu « fou », il est certain de marquer des points, même si cela ne repose sur aucun fait tangible. Mais au-delà d’agiter de vieux épouvantails, cette déclaration pose deux problèmes : le premier, c’est qu’elle sert à faire diversion sur les dysfonctionnements de l’État, et le second c’est qu’elle traduit un diagnostic erroné sur l’état du capitalisme en Europe.

Exiger un capitalisme « responsable », une diversion

Prôner un capitalisme responsable, c’est tenter de faire diversion pour éviter de poser la question de la responsabilité de l’État. Rappelons que celui-ci a abordé la crise de la Covid en ayant détruit les stocks de masques, puis a officiellement expliqué aux Français que le port du masque était inutile, et que de toute façon ils étaient trop bêtes pour savoir en mettre un.

Il a ensuite fallu près d’une année à cet État pour mettre en place une campagne de tests systématiques et les débuts de la campagne de vaccination ont été une série d’humiliants dysfonctionnements très largement constatés sur lesquels il n’est pas utile de revenir. La seconde vague a été abordée sans qu’aucune capacité supplémentaire n’ait été créée en réanimation, ce qui a nécessité un nouveau confinement pour éviter l’engorgement des services.

Après 18 mois de Covid, le collège public de mes enfants n’a pas organisé une seule heure d’enseignement à distance via un logiciel de téléconférence, et son application d’espace numérique de travail date visiblement des années 1990 ; elle s’est d’ailleurs effondrée dès les premiers jours d’arrêt des cours présentiels. Dès les premiers jours du confinement, la Poste a quasiment cessé de fonctionner.

Et ce ne sont là que les défaillances directement liées à l’épidémie. On comprend que le chef de l’État souhaite parler d’autre chose que la réforme de l’État, et faire diversion… Au Moyen-Âge, quand les choses tournaient mal, on brûlait des sorcières. En France, on brûle le capitalisme, éternel bouc émissaire.

Cette critique est particulièrement mal venue aujourd’hui, car si la crise de la Covid a montré une chose, c’est que le capitalisme est profondément responsable, au sens le plus large qu’on puisse donner à ce terme. Après des semaines de blocage résultant d’une gestion catastrophique des masques, et alors que des professionnels de santé mouraient de leur absence, l’État s’est finalement résolu à ouvrir leur approvisionnement et leur distribution au secteur privé, bref, au capitalisme, et la pénurie a disparu en moins de deux semaines.

Capitalisme irresponsable ? Quand est arrivé le confinement, tout le monde a craint les pénuries et certains n’ont pas hésité à prophétiser l’effondrement du système. Rien ne s’est effondré et il n’y a eu aucune pénurie. La grande distribution, victime traditionnelle des discours bien-pensants, a nourri la France malgré des conditions extrêmes.

Capitalisme irresponsable ? Puis à partir de décembre 2020, Pfizer, BioNTech et Moderna, purs produits du capitalisme spéculatif que l’on se plait à décrier, ont sauvé des millions de vies humaines avec leurs vaccins et permis à nos économies de repartir, un exploit que quelques mois auparavant, les bien-pensants – encore eux- au premier rang desquels notre Président, jugeaient impossible.

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