I love salad. Big fluffy green ones. Crunchy ones. Hearty ones. Every salad have a special place in my heart. If I’m being honest, I’ve been caught on many occasions making a midnight snack out of a head of lettuce and some leftover dressing, a time when any normal person would be munching on shredded cheese from the bag or jarred salsa and chips. (I’m just living my truth people!) But the hard reality is that most people don’t share this feeling with me—and it’s my mission in life to change their minds. And that starts with the dinner salad.
I get that a lot of folks are resistant to the idea of eating salad—and only salad—for dinner. But as a person who almost always has friends staying over at my place, and am therefore responsible for keeping them fed, I’ve had plenty of practice converting salad skeptics. Through much trial and error, I’ve come up with a formula for a dinner salad that will satisfy both my salad hater friends and my salad obsessed self. It produces a pile of veggies that is substantial, satisfying, and a main course in and of itself—no post-meal snacking required. Here’s how to do it.
Hearty Greens
A substantial base is the key to a proper dinner salad. This is no place for boxed « spring mix » or a head of delicate butter lettuce—you need something with some oomph. I love to use cabbage (red, green, savoy, napa), kale, collards, or mustard greens, which will be able to stand up to all the flavorful add-ins, toppings, and dressings that this salad wants without wilting. The trick to making these non-lettuce salad bases delicious is to massage them with some olive oil, lemon juice and salt after they’ve been cut up. This helps to break down the tough cell structure these veggies have, rendering them tender and ready to soak up flavor.
Protein
A dinner salad needs protein to make it really feel like dinner. Anything goes! Shredded rotisserie chicken. Last night’s roasted salmon. Jammy boiled eggs. But nobody’s saying you have to use leftovers—you can sizzle up a steak or a pork chop just for this salad endeavor if you want to make it feel less hodge-podge. And do not despair, vegans of the world: Crumbled tofu, frozen-then-thawed edamame, or crispy chickpeas are all welcome here, too.
Raw & Cooked Veg
Now that you’ve got a sturdy base and some protein in the mix, it’s time to incorporate some supplementary cooked and/or raw veggies. Again, this could be repurposed leftovers—roasted squash from a few nights ago, stir-fried broccoli—or some odds and ends from meal prep, like quick-pickled cukes or shaved radishes. You want to shoot for contrast, if at all possible—soft, sweet roasted carrots paired with crunchy raw cauliflower, for instance, or tender herbs and sprouts with steamed chunks of sweet potato. And don’t forget about fruit! Slivers of tart-sweet apple or Asian pear can bring both acidity and a bit of welcome sweetness to the party.
Dressing
This is not the time for light vinaigrettes and the like—you want a dressing that packs a punch, something that has a little heft to it. Remember: Because you started with hearty greens instead of delicate lettuces, this salad can handle it. Think yogurt-based dressings, a rich tahini sauce, or a garlicky homemade ranch. If you are inclined towards something closer to a classic vinaigrette, consider adding a bit of extra citrus, a healthy spoonful of Dijon mustard, or a bunch of chopped herbs, all of which will give it the extra something-something this salad wants.
Toppings
Starting to look like a pretty great salad, huh? Hearty base, protein, extra veg, a knockout dressing. Only one thing stands between you and the best salad you’ll eat all year: TOPPINGS! Don’t. Skip. This. Step! Toppings are what makes a dinner salad the crunchy-salty-creamy-craveable meal it should be. The more the merrier, but as a rule, I like to make sure to have something crunchy (think pita chips, fried shallots, croutons, nuts, seeds) and something cheesy (crumbled feta, grated Parm, nuggets of goat cheese) to really take that salad to the next level. Toppings are like the icing on a cake, or the star on the top of a Christmas tree: optional, but…not optional.
Want to see the formula in action? Try this dinner salad on for size:
(EN) Les enfants entament une nouvelle année scolaire au cours de laquelle ils vont se faire des amis, s’adapter à leurs nouveaux enseignants et faire face à de nouveaux défis. Certains d’entre eux auront plus de difficultés que d’autres, mais comment savoir si un trouble d’apprentissage ne nuit pas à votre enfant et à sa capacité de réussir ?
L’un des troubles les plus fréquents est la dyslexie. Environ 15 % des Canadiens en sont atteints et pourtant, selon une étude récente, moins d’un tiers d’entre nous serait capable d’en reconnaître les signes.
Bien que la dyslexie ne se guérisse pas, il est possible de la contrôler grâce à une détection précoce et à un enseignement adéquat. C’est pourquoi il est important de pouvoir reconnaître la dyslexie.
Voici ce qu’il faut savoir :
Qu’est-ce que c’est ? La dyslexie est un trouble d’apprentissage qui se caractérise par des difficultés à identifier les sons produits en parlant et à reconnaître les lettres, les mots et les chiffres. Le cerveau interprète mal les sons, les lettres et les chiffres quand il les assemble et en arrive souvent à tout mélanger, ce qui est déroutant pour la personne. La dyslexie touche tout le monde de la même façon, sans considération de genre et peu importe le milieu socio-économique ou l’origine ethnique de la personne.
Que peut-on faire ? Si vous pensez que votre enfant peut être dyslexique, n’attendez pas pour réagir. Il existe de nombreux tests à passer en ligne qui peuvent vous aider à l’identifier. Si vous croyez que c’est le cas, demandez à accéder à des ressources supplémentaires à votre école ou communiquez avec un tuteur spécialisé en littératie structurée. Faites appel à des groupes d’entraide pour en apprendre davantage.
Comment favoriser la réussite ? « Ce n’est pas parce qu’une personne a reçu un diagnostic de trouble d’apprentissage qu’elle ne peut pas réussir dans la vie. Ses apprentissages se font tout simplement d’une manière différente », explique Christine Staley, directrice générale de Dyslexia Canada. « Une détection précoce et un enseignement adéquat en lecture sont essentiels pour contrôler la dyslexie et ouvrir la voie à un brillant avenir. »
(EN) Lorsqu’un incendie se déclare, chaque seconde compte. S’ils sont utilisés rapidement et de façon efficace, les extincteurs de feu portatifs peuvent aider à sauver des vies. C’est pourquoi ils font partie de ces éléments importants qui permettent d’assurer votre sécurité et celle de votre famille à domicile.
Suivez ces conseils concernant la façon d’utiliser un extincteur de feu et le meilleur endroit pour l’installer afin d’être prêt en cas d’urgence :
Comparez les caractéristiques. Choisissez un extincteur résidentiel doté d’une goupille de métal et d’un levier de commande, aussi durable qu’un extincteur de qualité commerciale, ainsi que d’un manomètre à code couleur facile à lire afin de vous assurer que l’appareil est chargé. Sachez qu’il n’est pas sécuritaire d’utiliser un extincteur qui a déjà été déchargé, surtout qu’il existe maintenant des extincteurs rechargeables qui peuvent être rechargés par un professionnel certifié si vous avez utilisé l’appareil.
Sachez comment vous en servir : Tous les extincteurs de feu sont vendus avec des instructions d’utilisation. Toutefois, plus de 70 % des consommateurs qui possèdent un extincteur affirment ne pas se sentir à l’aise de le faire fonctionner. Solution pratique et conviviale, le pulvérisateur d’incendie First Alert est une bombe aérosol au design simple qui constitue un dispositif supplémentaire efficace pour les incendies domestiques. Grâce à une buse précise qui permet de pulvériser sur une grande surface, l’utilisateur peut mieux contrôler l’application. De plus, comme il n’y a pas de goupille à tirer ni de levier à serrer, il est possible d’éteindre un incendie rapidement.
Gardez à portée de la main : Lorsque chaque seconde compte, il est essentiel d’avoir un extincteur de feu à proximité afin de réagir rapidement. Il est préférable de placer un extincteur à chaque étage de la maison et dans les pièces où le risque d’incendie est plus élevé, comme la cuisine et le garage. La National Fire Protection Association (NPFA) recommande d’installer des extincteurs à la sortie des pièces afin de les décharger et de vous sauver rapidement par la suite si l’incendie ne peut être maîtrisé.
Sachez quand quitter la maison. Une des composantes d’un plan d’intervention en cas d’incendie consiste à essayer d’éteindre un petit incendie avec un extincteur de feu, mais l’objectif principal doit être l’évacuation de la famille en toute sécurité. Un extincteur n’est pas un substitut à la mise en place d’un plan d’évacuation résidentielle en cas d’incendie, qui doit être pratiqué régulièrement, ni à l’installation d’avertisseurs de fumée fonctionnels dans toute la maison – un à chaque étage et dans chaque chambre, afin de permettre la détection rapide d’un incendie.
(EN) Un bébé qui n’est pas encouragé à manger une variété d’aliments dès son plus jeune âge aura de fortes chances à devenir un enfant difficile qui n’acceptera que ses plats préférés, comme des croquettes de poulet ou des hotdogs.
Pour faire en sorte que votre bébé soit ouvert et enthousiaste lorsque vient le moment d’essayer de nouveaux aliments, Nanny Robina, l’une des plus grandes expertes en matière d’éducation des enfants au Canada, vous propose des conseils pour faire de votre un enfant un gourmet aventureux :
Offrez de la variété. Restez constants et introduisez autant de nouveaux aliments que possible, ainsi que des collations colorées et attrayantes. Offrir au bébé une variété de saveurs et de textures et même des aliments qui fondent facilement dans la bouche est un excellent moyen de s’assurer qu’il demeure ouvert à une variété d’options.
Mangez avec lui. Asseyez-vous près de votre bébé et mangez à côté de lui. Les enfants imitent souvent ce qu’ils voient, alors manger avec eux et leur montrer à quel point vous appréciez le repas en lançant quelques exclamations du type « Hummm! C’est vraiment bon! » peut avoir d’excellentes répercussions. Nanny Robina ajoute que leur donner des collations faciles à saisir, comme des barres tendres faciles à mâcher, est une autre façon de les encourager à essayer des nouveautés et à manger seuls.
Soyez patients. Les goûts de votre bébé sont peut-être limités et difficiles à élargir, mais poursuivez son éducation sans baisser les bras. Il est utile de toujours avoir quelques options prêtes à manger sous la main comme les fondants de smoothie PC Biologique : Ils fondent facilement dans la bouche et sont offerts en deux délicieuses saveurs, dont banane, mangue et fruit de la passion, puis banane et fraise.