This story is part of the Healthyish 22, the people changing the way we think about wellness. Meet them all here.
I’ve met a Parisian jumpsuit designer, a performance poet, and a writer who hosts a sex and culture podcast on queer brown identity (called Food 4 Thot), and I’ve only been at DeVonn Francis’s pop-up for 30 minutes.
Francis, our cohost for the night, is standing at a marble kitchen counter garnishing a plate of charred okra strips and magenta pickled carrots. The tight curls of his dyed blond hair are piled high atop his head, adding another four inches to his six-foot-two frame. (Did I mention he’s basically a supermodel?) His voice is soft and gentle as he stops to chat with friends, and he’s way more zen than anyone cooking a meal for 50 should be.
There’s a long table set for dinner. Well, kind of. It looks more like an art installation, with platters of smoked tamarind chicken wings and fragrant turmeric rice nestled among miscellaneous objects I may or may not be supposed to eat. Among them: knobby whole yucca and cassava roots stuck with blades of dried grasses and mounds of what I thought was pink sand but later find out is kosher salt dyed with hibiscus powder.
There aren’t enough serving utensils—and actually, there aren’t even tables to sit at—but no one seems to mind using their hands to dig into the spread. And the meal is only the beginning. As the night goes on, new friends pass rum cocktails and thick slices of coconut cake while we listen to a panel led by Francis on the erasure of black lesbians from the AIDS movement. We go back for seconds of rice and wings before a spontaneous dance party strikes up, the room a blur of sequins and glitter and neon.
Francis throws pop-up dinners like these through his food and events company, Yardy, and he attracts a steady (and steadily growing) crowd of NYC creative types. The son of immigrants, Francis adopted the name Yardy from the patois word yaadie, a colloquial term of endearment that Jamaicans and Jamaican-born Americans call one another to acknowledge that they come from the same place. And although Yardy parties are a way for Francis, 26, to explore his own relationship to his Caribbean heritage through food, he also sees them as a platform to promote and support queer and migrant culture. “I think of Yardy as this house for people who are trying to find their way back home, figure out who they are, and learn about where they come from,” he says.
Francis has quickly become a prominent face of a new generation of chefs who are reshaping what it means to eat out right now. Pop-up dinners like Yardy, Savage Taste in L.A., and Babetown in New York are as much about creating welcoming community spaces as they are about the wildly creative food on your plate. Many of these events are run by people like Francis, who didn’t go to culinary school or spend years working the line in restaurant kitchens. They’re not obsessed with best-of lists or critics’ reviews. They’re cooking food that’s driven by a desire to honor their personal experiences.
Francis frequently collaborates with other chefs, makers, artists, and small-business owners who are committed to increasing queer visibility through food. Past Yardy affairs have included a dinner with Andre Springer, whose drag alter ego Shaquanda Coco Mulatta is the face of his Barbadian hot sauce brand, Shaquanda’s Hot Pepper Sauce, and a dance party with Papi Juice, a Brooklyn-based DJ collective that throws events for queer and trans people of color.
Even with dozens of dinners under his belt, Francis is still reluctant to call himself a chef. He likes to cook, sure, but he also likes to write, give talks, and make art. He’d much rather spend his free time making custom placemats printed with articles about Jamaican politics than learning about the differences between velouté and béchamel. Food will always be the lens of his work, but he doesn’t feel the need to be defined by his cooking.
“I don’t want to serve food that makes you feel like you have to focus so much on the actual food,” he says. “Forcing people to use their hands, walk around, pick up things—that’s what makes a dinner interesting.”
(EN) Les enfants entament une nouvelle année scolaire au cours de laquelle ils vont se faire des amis, s’adapter à leurs nouveaux enseignants et faire face à de nouveaux défis. Certains d’entre eux auront plus de difficultés que d’autres, mais comment savoir si un trouble d’apprentissage ne nuit pas à votre enfant et à sa capacité de réussir ?
L’un des troubles les plus fréquents est la dyslexie. Environ 15 % des Canadiens en sont atteints et pourtant, selon une étude récente, moins d’un tiers d’entre nous serait capable d’en reconnaître les signes.
Bien que la dyslexie ne se guérisse pas, il est possible de la contrôler grâce à une détection précoce et à un enseignement adéquat. C’est pourquoi il est important de pouvoir reconnaître la dyslexie.
Voici ce qu’il faut savoir :
Qu’est-ce que c’est ? La dyslexie est un trouble d’apprentissage qui se caractérise par des difficultés à identifier les sons produits en parlant et à reconnaître les lettres, les mots et les chiffres. Le cerveau interprète mal les sons, les lettres et les chiffres quand il les assemble et en arrive souvent à tout mélanger, ce qui est déroutant pour la personne. La dyslexie touche tout le monde de la même façon, sans considération de genre et peu importe le milieu socio-économique ou l’origine ethnique de la personne.
Que peut-on faire ? Si vous pensez que votre enfant peut être dyslexique, n’attendez pas pour réagir. Il existe de nombreux tests à passer en ligne qui peuvent vous aider à l’identifier. Si vous croyez que c’est le cas, demandez à accéder à des ressources supplémentaires à votre école ou communiquez avec un tuteur spécialisé en littératie structurée. Faites appel à des groupes d’entraide pour en apprendre davantage.
Comment favoriser la réussite ? « Ce n’est pas parce qu’une personne a reçu un diagnostic de trouble d’apprentissage qu’elle ne peut pas réussir dans la vie. Ses apprentissages se font tout simplement d’une manière différente », explique Christine Staley, directrice générale de Dyslexia Canada. « Une détection précoce et un enseignement adéquat en lecture sont essentiels pour contrôler la dyslexie et ouvrir la voie à un brillant avenir. »
(EN) Lorsqu’un incendie se déclare, chaque seconde compte. S’ils sont utilisés rapidement et de façon efficace, les extincteurs de feu portatifs peuvent aider à sauver des vies. C’est pourquoi ils font partie de ces éléments importants qui permettent d’assurer votre sécurité et celle de votre famille à domicile.
Suivez ces conseils concernant la façon d’utiliser un extincteur de feu et le meilleur endroit pour l’installer afin d’être prêt en cas d’urgence :
Comparez les caractéristiques. Choisissez un extincteur résidentiel doté d’une goupille de métal et d’un levier de commande, aussi durable qu’un extincteur de qualité commerciale, ainsi que d’un manomètre à code couleur facile à lire afin de vous assurer que l’appareil est chargé. Sachez qu’il n’est pas sécuritaire d’utiliser un extincteur qui a déjà été déchargé, surtout qu’il existe maintenant des extincteurs rechargeables qui peuvent être rechargés par un professionnel certifié si vous avez utilisé l’appareil.
Sachez comment vous en servir : Tous les extincteurs de feu sont vendus avec des instructions d’utilisation. Toutefois, plus de 70 % des consommateurs qui possèdent un extincteur affirment ne pas se sentir à l’aise de le faire fonctionner. Solution pratique et conviviale, le pulvérisateur d’incendie First Alert est une bombe aérosol au design simple qui constitue un dispositif supplémentaire efficace pour les incendies domestiques. Grâce à une buse précise qui permet de pulvériser sur une grande surface, l’utilisateur peut mieux contrôler l’application. De plus, comme il n’y a pas de goupille à tirer ni de levier à serrer, il est possible d’éteindre un incendie rapidement.
Gardez à portée de la main : Lorsque chaque seconde compte, il est essentiel d’avoir un extincteur de feu à proximité afin de réagir rapidement. Il est préférable de placer un extincteur à chaque étage de la maison et dans les pièces où le risque d’incendie est plus élevé, comme la cuisine et le garage. La National Fire Protection Association (NPFA) recommande d’installer des extincteurs à la sortie des pièces afin de les décharger et de vous sauver rapidement par la suite si l’incendie ne peut être maîtrisé.
Sachez quand quitter la maison. Une des composantes d’un plan d’intervention en cas d’incendie consiste à essayer d’éteindre un petit incendie avec un extincteur de feu, mais l’objectif principal doit être l’évacuation de la famille en toute sécurité. Un extincteur n’est pas un substitut à la mise en place d’un plan d’évacuation résidentielle en cas d’incendie, qui doit être pratiqué régulièrement, ni à l’installation d’avertisseurs de fumée fonctionnels dans toute la maison – un à chaque étage et dans chaque chambre, afin de permettre la détection rapide d’un incendie.
(EN) Un bébé qui n’est pas encouragé à manger une variété d’aliments dès son plus jeune âge aura de fortes chances à devenir un enfant difficile qui n’acceptera que ses plats préférés, comme des croquettes de poulet ou des hotdogs.
Pour faire en sorte que votre bébé soit ouvert et enthousiaste lorsque vient le moment d’essayer de nouveaux aliments, Nanny Robina, l’une des plus grandes expertes en matière d’éducation des enfants au Canada, vous propose des conseils pour faire de votre un enfant un gourmet aventureux :
Offrez de la variété. Restez constants et introduisez autant de nouveaux aliments que possible, ainsi que des collations colorées et attrayantes. Offrir au bébé une variété de saveurs et de textures et même des aliments qui fondent facilement dans la bouche est un excellent moyen de s’assurer qu’il demeure ouvert à une variété d’options.
Mangez avec lui. Asseyez-vous près de votre bébé et mangez à côté de lui. Les enfants imitent souvent ce qu’ils voient, alors manger avec eux et leur montrer à quel point vous appréciez le repas en lançant quelques exclamations du type « Hummm! C’est vraiment bon! » peut avoir d’excellentes répercussions. Nanny Robina ajoute que leur donner des collations faciles à saisir, comme des barres tendres faciles à mâcher, est une autre façon de les encourager à essayer des nouveautés et à manger seuls.
Soyez patients. Les goûts de votre bébé sont peut-être limités et difficiles à élargir, mais poursuivez son éducation sans baisser les bras. Il est utile de toujours avoir quelques options prêtes à manger sous la main comme les fondants de smoothie PC Biologique : Ils fondent facilement dans la bouche et sont offerts en deux délicieuses saveurs, dont banane, mangue et fruit de la passion, puis banane et fraise.