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Taxe carbone: Mme McKenna ne changera pas de stratégie avant les élections

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Alors que plusieurs observateurs de la scène politique croient que la taxe sur le carbone pourrait bien être l’enjeu des prochaines élections fédérales, la ministre de l’Environnement, Catherine McKenna, dénonce la polarisation faite par les politiciens conservateurs à ce sujet et sur les changements climatiques, ce qui pourrait « faire reculer » le pays selon elle.

Cet enjeu délicat sera sur les épaules de la ministre McKenna.

Et le Parti conservateur s’en sert déjà pour miner le gouvernement libéral à l’aube des élections de 2019. Le chef Andrew Scheer a récemment brandi cette menace : selon lui, si Justin Trudeau est réélu cette année, il va augmenter la taxe fédérale sur le carbone. Il a l’aide d’autres politiciens, dont le premier ministre ontarien Doug Ford, qui vient de déclarer que cette taxe menait tout droit vers une récession.

Malgré cette opposition, Mme McKenna n’entend pas changer de stratégie sur la route vers les élections.

« On a un plan. On va continuer notre plan », a insisté la ministre lors d’un entretien avec La Presse canadienne, cette semaine, à Montréal. Elle souligne avoir mis un an à le développer en concertation avec les villes, les Premières Nations, les provinces et les entreprises.

Ainsi, il n’est pas question de déroger à la stratégie sur le carbone du fédéral, « qui met un prix sur la pollution ». Le gouvernement a fait part de son système de tarification — au départ 20 $ la tonne — pour « qu’il ne soit plus gratuit de polluer », dit-il. Toutes les provinces doivent mettre en place un système, sinon, Ottawa leur imposera cette taxe sur le carbone.

« Quand c’est gratuit de polluer, il y a plus de pollution ».

Mais l’argent retournera dans les poches des citoyens de chaque province visée, dès 2019, insiste depuis cette annonce le gouvernement Trudeau pour convaincre ceux qui craignent que tout coûte plus cher.

Le sujet divise déjà. L’Ontario s’est retiré de la bourse du carbone, et s’est joint à la poursuite intentée par la Saskatchewan contre le fédéral sur la taxe carbone, en plus de lancer sa propre contestation.

Mais la ministre McKenna déplore que les conservateurs qui s’opposent au plan fédéral — « ils veulent que ce soit gratuit pour polluer », dit-elle — s’en servent pour diviser les citoyens.

« Les conservateurs veulent polariser le débat. Quand vous faites cela, rien ne se fait. On recule », avait-elle lancé peu avant l’entrevue alors qu’elle présentait une allocution devant le Conseil des relations internationales de Montréal (CORIM).

Sa position est délicate : si l’on regarde les quatre provinces les plus populeuses — et celles comptant le plus de circonscriptions — elles n’ont pas la même approche par rapport à ce qui doit être fait : si le Québec et la Colombie-Britannique avaient mis des mesures en place sur le carbone avant même que le fédéral ne l’exige, l’Alberta et l’Ontario ont de bruyantes réticences.

Mme McKenna avait ce message à livrer cette semaine : « Les Canadiens auront un choix entre notre gouvernement et l’autre côté, le Parti conservateur [fédéral] qui n’a pas de plan sur le changement climatique, qui ne pense pas qu’il y a un réel problème et qui ne voit pas l’immense opportunité d’affaires ».

« Au XXIe siècle, si vous n’avez pas un plan pour le climat, vous n’avez pas de plan pour l’économie », tranche-t-elle.

Pour convaincre les Canadiens, la ministre de l’Environnement prévoit maintenir le cap sur ses mesures pour contrer le changement climatique : « les Canadiens savent qu’on doit agir et ils veulent savoir qu’on va faire ça d’une manière intelligente, d’une manière qui fait en sorte que la vie soit abordable ». Et ils ne veulent pas perdre leurs emplois, a-t-elle martelé.

Quand c’est gratuit de polluer, il y a plus de pollution

Elle entend faire valoir les opportunités d’affaires et la croissance économique qui va de pair, selon elle, avec le développement de solutions vertes pour le pays.

« Le Québec, la Colombie-Britannique, presque tout le pays met un prix sur la pollution. Ce sont seulement des politiciens conservateurs qui veulent faire de ça un enjeu politique, qui ne veulent pas dire la vérité ».

En entrevue, elle a cité à plusieurs reprises la situation qui prévaut en France, qui l’a manifestement marquée, et les manifestations des gilets jaunes, qui, inquiets du coût de la vie, ont forcé le gouvernement à reculer sur sa taxe sur le carburant.

Alors le gouvernement libéral n’envisage pas pour l’instant de cibles plus ambitieuses de réduction de gaz à effet de serre (GES), a-t-elle mentionné. Le plan sera mis en oeuvre et « après on regardera ce qu’on peut faire ».

Quant aux conservateurs, ils prévoient dévoiler leur plan climatique avant la prochaine élection. Andrew Scheer a déjà révélé qu’il mettra notamment l’accent sur les technologies et l’énergie vertes.

Contourner les réticents

Mais comment aller de l’avant avec le plan sur le carbone lorsque des premiers ministres n’en veulent pas ?

« C’est un petit peu comme aux États-Unis, a expliqué la ministre. On a voulu travailler avec l’administration Trump sur les changements climatiques, mais ils ont voulu aller dans une direction très différente alors on travaille avec les gouverneurs, les États, les entreprises, avec les villes. On a signé un accord avec les gouverneurs des États qui représentent presque 50 pour cent de l’économie américaine ».

« On va faire la même chose au Canada ».

La ministre soutient qu’elle va travailler avec tous ceux qui veulent être sérieux sur les changements climatiques, dont les villes, les hôpitaux et les entreprises dans toutes les provinces.

Elle l’a déjà fait, dit-elle, citant l’entreprise — ontarienne — Enwave Energy, la première à recevoir de l’argent du « Fonds pour une économie à faibles émissions de carbone » pour développer son système de refroidissement d’édifices à l’aide de l’eau froide des Grands Lacs.

Et aux citoyens outrés — dont beaucoup au Québec — par le rachat par le gouvernement fédéral du pipeline Transmountain, elle leur souligne que la transition « ne se fera pas en une nuit ».

« Cela va prendre des décennies. Nous sommes dans une période de transition lors de laquelle les gens utilisent toujours le pétrole et le gaz, la plupart de gens, même au Québec, se servent de l’essence pour leurs voitures. Alors nous avons besoin de prendre nos ressources et les amener aux marchés, à un prix raisonnable ».

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Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

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Akio Kashiwagi, John W. Gates, Tommy Renzoni, Phil Ivey, Kerry Packer ou encore Archie Karas… Ces noms ne vous évoquent rien? Ces légendaires joueurs de baccara ont brillé par leurs performances exceptionnelles. Multipliant les gains au fil des années, ils nous ont permis d’identifier quelques approches qui fonctionnent. Aujourd’hui, découvrez certains de leurs secrets:

Apprenez à marcher avant de courir

Premièrement, vous devez absolument connaître les règles du jeu. Avant de maîtriser les stratégies et autres astuces professionnelles du baccara, il faut vous familiariser avec les bases du jeu. Même les plus grands joueurs de l’histoire ont d’abord dû apprendre à jouer. Puis c’est à force de pratique et de stratégie qu’ils ont réussi à se perfectionner pour atteindre les sommets.

Commencez donc par étudier le but principal du jeu et la valeur des cartes. Découvrez aussi les différents types de paris (banquier, joueur ou égalité), apprenez à fixer et gérer votre bankroll, essayez de contrer l’avantage de la maison, etc. Ensuite, vous pourrez passer à une véritable stratégie de baccara. Il en existe beaucoup, à choisir selon les situations et vos aptitudes: systèmes 1-3-2-4, d’Alembert, Fibonacci, Labouchere ou encore Martingale.

Et contrairement à ces légendes qui jouaient dans des établissements physiques, vous avez la possibilité de tester des parties gratuites en ligne. Pratique pour vous exercer sans miser!

Gérez votre budget

Deuxièmement, vous devez fixer un budget et le respecter. Il est essentiel de jouer de manière responsable, afin d’éviter les situations délicates voire désastreuses. Par exemple, vous pouvez allouer 100 $ à votre session de jeu. Et une fois cette somme épuisée, quittez la table. Cela vous permettra de réduire vos pertes et même de protéger vos gains.

Si les grands joueurs de l’histoire du baccara ont pu multiplier leurs gains de façon aussi spectaculaire, ce n’est pas uniquement grâce à la chance. Même si elle a joué en leur faveur, une bonne gestion de leur bankroll leur a aussi permis d’optimiser leurs gains au fil des parties.

Misez sur le banquier

Comme expliqué, il existe trois types de paris au baccara: le joueur, la banque et l’égalité. De manière générale, vous ne pouvez pas vous tromper en misant sur le banquier. En effet, ce pari est gagnant dans plus de 50 % des cas. Toutefois, notez que l’établissement prélève alors une commission sur ces gains, afin de conserver un certain avantage.

De plus, il est important de capitaliser sur les séries. De ce fait, si vous gagnez en pariant sur le banquier, continuez à miser dessus. Mais attention, restez prudent et modéré. Sachez vous arrêter avant que ce pari ne devienne perdant. Ici encore, c’est un conseil que les joueurs légendaires ont eux-mêmes mis en pratique pendant leurs heures de gloire.

Jouez de courtes sessions

Enfin, il est mieux de jouer pendant de courtes sessions. Afin d’être plus performant au baccara, vous devez gérer votre temps correctement. Cela réduira aussi le phénomène d’accoutumance qui peut devenir néfaste s’il n’est pas maîtrisé.

Dans la mesure du possible, planifiez donc un certain nombre de parties à chaque session de jeu. Une fois ce nombre atteint, quittez la table de baccara. Même si vous êtes en train de gagner, soyez raisonnable et arrêtez de jouer.

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Denis Coderre propose un marché public dans le Vieux-Montréal

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Denis Coderre promet d’implanter un marché public au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, s’il est porté au pouvoir en novembre prochain. Cette proposition fait suite à une rencontre qu’il a eue la semaine dernière avec les commerçants du marché Bonsecours. Mais ceux-ci préviennent qu’ils ne souhaitent pas des étals de fruits et de légumes semblables à ceux des marchés Jean-Talon et Atwater.

« Ville-Marie a besoin d’un marché et le marché Bonsecours pourrait être un marché public, au même titre qu’Atwater et Jean-Talon », a soutenu Denis Coderre jeudi matin, alors qu’il présentait les candidats de son équipe dans les arrondissements de Rosemont–La Petite-Patrie et d’Outremont. Selon le candidat, ce projet permettrait de faire du marché Bonsecours un lieu de destination pour les touristes, mais aussi pour les Montréalais. Il a indiqué avoir rencontré l’ensemble des commerçants à ce sujet la semaine dernière.

Denis Coderre a précisé qu’il habitait non loin du marché Bonsecours et qu’il pourrait aller chercher ses fruits et légumes à pied. Au passage, il a affirmé que le bâtiment patrimonial était dans un état « pitoyable » et qu’il faudrait y voir.

Jointe par Le Devoir, Anne de Shalla, propriétaire de la boutique Signatures Québécoises du marché Bonsecours, confirme que les commerçants ont rencontré M. Coderre pour lui présenter leur vision d’avenir. Mais dans le plan d’affaire présenté au candidat à la mairie, il n’était pas envisagé que le marché Bonsecours devienne un marché de fruits et légumes uniquement, a-t-elle expliqué. Les commerçants souhaitent simplement que le marché Bonsecours soit doté de la même structure administrative que les marchés Atwater et Jean-Talon, a-t-elle indiqué.

« On voudrait gérer le marché Bonsecours nous-mêmes. On aimerait prendre la relève des fonctionnaires », a-t-elle dit en évoquant des lacunes telles que l’entretien des lieux et les heures d’ouverture jugées inadéquates par les commerçants. À l’heure actuelle, le marché Bonsecours abrite des boutiques de mode, d’artisanat et de bijoux.

« Notre vision, c’est de rendre le marché Bonsecours comme un marché public avec les mêmes droits que le marché Atwater ou le marché Jean-Talon », précise-t-elle. « On voudrait continuer avec les produits qu’on a déjà et ajouter des produits du terroir, mais on ne veut aucunement ressembler au marché Jean-Talon ou au marché Atwater pour ce qui est du contenu. »

Le marché Bonsecours, qui accueillait 15 commerces avant la pandémie, n’en compte plus que huit. Comme des espaces sont demeurés vacants, Mme de Shalla évoque la possibilité d’ajouter des boulangeries, charcuteries, des comptoirs de plats à emporter, des pop-up shops, ainsi que des boutiques proposant des produits du terroir. « On ne va pas se mettre à vendre des salades sur le parvis Bonsecours. Ce n’est pas ça l’objectif. »

En après-midi, Ensemble Montréal a soutenu que le projet de transformation du marché Bonsecours serait précisé à automne. « Quoi qu’il en soit, M. Coderre, qui a rencontré les marchands du marché Bonsecours, souhaite bien sûr répondre aux besoins exprimés par les commerçants », a indiqué Elizabeth Lemay, attachée de presse chez Ensemble Montréal.

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Nous sommes de retour»: les festivals d’été reprennent à Montréal

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Dans le quartier des spectacles, des tests de son étaient en cours vendredi soir sur la scène d’une comédie musicale — au deuxième jour du festival Juste pour rire. Les billets pour de nombreux spectacles en plein air gratuits du festival — limités par la réglementation COVID-19 — avaient trouvé preneurs.

Deux coins de rue plus loin, une centaine de personnes assistaient à une prestation acoustique du Isaac Neto Trio – dans le cadre du dernier week-end du Festival international Nuits d’Afrique, une célébration de la musique du continent africain et de la diaspora africaine.

Alors que la capacité des sites est limitée en raison de la pandémie de COVID-19, les organisateurs du festival se disent heureux d’être de retour, mais attendent avec impatience l’année prochaine en espérant que les restrictions aux frontières et les limites de capacité n’affecteront pas leurs plans.

Charles Décarie, le président-directeur général du Groupe Juste pour rire, a déclaré qu’il s’agissait d’une «année de transition» et que son équipe a conçu un festival en naviguant à travers les contraintes imposées par la Santé publique.

Lorsque la planification a commencé en février et mars, les organisateurs ont planché sur une multitude de scénarios avec différentes tailles de foule, allant de l’absence de spectateurs à la moitié de la capacité habituelle, a déclaré M. Décarie.

«Vous devez construire des scénarios, a-t-il expliqué. Vous devez planifier un peu plus que d’habitude parce que vous devez avoir des alternatives.»

Comme par le passé, les festivals incluent à la fois des spectacles en salle payants et des représentations en plein air gratuites. À l’extérieur, il y aura moins de scènes et des foules plus petites que dans les dernières années, a précisé M. Décarie. Les spectacles en salle fonctionneront à 30 % de leur capacité, tandis que les spectacles à l’extérieur auront environ 10 à 20 % de du nombre de spectateurs d’avant la pandémie.

«Normalement, nous accueillons environ un million de personnes pendant les festivals sur 15 jours, et cette année, nous serions heureux si 200 000 personnes nous rendent visite au cours des deux prochaines semaines», a indiqué M. Décarie.

Au Québec, les événements extérieurs ont une capacité maximale de 5000 personnes, qui doivent être divisées en sections distinctes de 500 personnes. Les événements en salle sont limités à 3500 spectateurs, qui doivent s’asseoir en sections de 250 personnes, avec des entrées et des toilettes séparées pour chaque section.

En raison des restrictions frontalières, que M. Décarie qualifie de «préoccupation majeure», certaines prestations sont filmées à New York et à Los Angeles et seront diffusées en ligne.

«C’est ainsi que nous avons pu joindre des talents internationaux, a-t-il déclaré. Nous avons décidé de changer notre façon de procéder, et nous sommes allés vers eux.»

Les spectacles en personne mettront pour leur part en vedette des artistes locaux, a-t-il déclaré.

D’autres festivals montréalais affirment également qu’ils prévoient de contourner les restrictions frontalières en se concentrant sur les artistes locaux.

Le Festival international Nuits d’Afrique présente des artistes locaux et des prestations enregistrées des années précédentes, a mentionné vendredi la directrice générale et co-fondatrice du festival, Suzanne Rousseau.

«Les premières nuits, en particulier, étaient incroyables», a-t-elle déclaré à propos du festival, qui a débuté le 6 juillet et se poursuit jusqu’à dimanche. Les artistes disaient: «C’est mon premier spectacle devant public depuis un an et demi».»

Le volet extérieur du festival consiste en deux petites scènes de style «cabaret», a commenté Mme Rousseau. Au lieu d’une scène principale, un spectacle son et lumière est projeté sur un bâtiment. Il présente des prestations filmées qui portent sur les 35 ans d’histoire du festival.

«Ce qui est important, c’est que les festivaliers puissent venir voir des spectacles en personne, a-t-elle déclaré. Et d’avoir des prestations en ligne pour les gens qui ne peuvent pas se rendre à Montréal ou qui ne peuvent pas voyager.»

Mme Rousseau a affirmé qu’elle espère conserver certains des volets en ligne dans les années à venir, mais qu’elle souhaite également organiser un festival plus important l’année prochaine.

«On est vraiment content d’avoir fait un festival cette année, ça nous prépare pour l’année prochaine, a-t-elle déclaré. Cela nous donne l’ambition d’être prêts à recevoir plus de monde, plus de performances et une expérience complète.»

Certains des grands festivals d’été de Montréal, dont le Festival international de Jazz de Montréal, ont été repoussés au mois de septembre. Mme Rousseau a toutefois soutenu qu’elle n’avait jamais envisagé de retarder l’édition de cette année du festival Nuits d’Afrique.

«C’est vraiment important d’être là pendant l’été. Il n’y avait aucun doute que nous allions le faire», a-t-elle déclaré.

Francis Bouchard, un porte-parole de Tourisme Montréal, un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du secteur touristique de la ville, a indiqué qu’avec les événements reportés, la période des festivals durera jusqu’en octobre de cette année. Il est encourageant, a-t-il dit, de constater que des festivals et des événements qui ont été reportés ou annulés l’année dernière soient de retour cet été et cet automne.

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