Il n’y a pas que les propriétaires de yachts et les pêcheurs professionnels qui peuvent profiter des bienfaits d’une promenade sur l’eau. Pour seulement quelques euros, vous pouvez vous aussi temporairement devenir le propriétaire d’un bateau et naviguer comme bon vous semble.
Vous hésitez encore entre une croisière tout inclus et une location de bateau? Voici pour vous 5 bonnes raisons de considérer la location.
Pouvoir se baigner à volonté
Vivre en bord de mer est un luxe que peu de gens ne peuvent se permettre. Les coûts de résidence et de vie sont considérablement plus élevés, c’est donc impossible d’y séjourner pendant toute l’année.
Profiter des vacances est donc une façon avantageuse de réaliser ce rêve. Vous êtes en bord de mer et pouvez profiter au maximum de la magnifique température ainsi que de cette eau d’un bleu azur pour y nager à votre gré, avant de finalement rentrer chez vous en ville.
Des vacances abordables
Nous pouvons deviner que vous restez toujours sceptiques quant à cette idée… Par contre, nous aimerions vous laisser savoir que oui, il est tout à fait possible de louer un bateau de plaisance sans se ruiner financièrement. L’entreprise Nautal en est un excellent exemple. Ils ont tout mis en action afin de rendre la location de bateau tout à fait abordable.
Qu’il s’agisse d’un voilier, d’un catamaran ou d’un yacht, le bateau de vos rêves est à votre disposition plus facilement que vous ne le pensez. En louant un bateau, vous serez libre de découvrir les plus belles plages du monde à votre rythme et à votre convenance.
Vous offrir de vraies vacances
Il a été scientifiquement prouvé que le fait de se détendre de façon tout à fait confortable sur un yacht est une activité bien plus relaxante que la pêche. Admirer le paysage sans avoir à lever le petit doigt élimine bien plus de stress que de surfer, de nager ou de prendre un bain de soleil.
Vous pouvez bien sûr participer à toutes ces activités en étant tout d’abord confortablement assis sur votre bateau. Partez à la découverte des meilleurs spots de plongée ou explorez des endroits méconnus. Non seulement, vous passerez un temps merveilleux mais surtout, vous le ferez sans aucune interruption.
La possibilité de partir seul
Vous n’êtes pas tenu d’avoir un équipage afin de pouvoir explorer les eaux avoisinantes. Si vous êtes novice, sachez que ce n’est pas si compliqué.
Avant que vous ne puissiez prendre le contrôle du bateau, vous devrez vous occuper de certaines formalités. Celles-ci comprennent les pièces d’identité, obtenir les documents de l’entreprise de location afin de montrer que vous êtes autorisé à naviguer le bateau, mais aussi, il vous faudra signer une décharge de responsabilité.
Les entreprises de location sont préparées à cette éventualité. Elles savent que les escapades en solitaire peuvent être une source de stress et elles ont tout prévu afin de rendre votre expérience tout à fait extraordinaire.
Vous motiver à rester actif
Louer un bateau est l’occasion pour vous de faire du sport sans en ressentir l’effort physique.
Prenez de l’air frais marin avant de vous engager dans la réalisation de différentes activités. La natation, le ski nautique et la randonnée ne sont que quelques exemples d’activités que vous pouvez faire à proximité de votre bateau.
Après une première destination réussie pour les guinguettes de Montréal au parc de l’Ancienne-cour-de-triage dans le Sud-Ouest, c’est au tour de Griffintown d’accueillir cette fête estivale.
C’est l’organisme à but non lucratif (OBNL), le Village de Noël de Montréal, qui est derrière ce concept de fête gourmande, culturelle et artisanale sur le bord de l’eau.
Après de nombreux évènements préparés pendant la saison hivernale, comme au marché Atwater et au Quartier des spectacles de la Place des arts, le Village de Noël de Montréal souhaitait développer des activités pendant l’été.
«Au marché de Noël, c’est pas mal ça qu’on fait aussi. [On offre] une programmation culturelle variée et on met en relief l’artisanat et la gastronomie locale», explique la directrice générale de Village de Noël de Montréal, Line Basbous.
Ce nouvel évènement estival permet également à l’OBNL de conserver son personnel et de recruter de nouveaux employés tout au long de l’année.
Concept des guinguettes
Une guinguette est un cabaret populaire français, à l’image d’une station balnéaire estivale. À Montréal, quatre guinguettes mobiles sont prévues.
Le nouveau restaurant conçu pour l’événement, Merci Tata, accueille la population dans une ambiance décorée et festive sur le bord de l’eau, soit via le canal de Lachine, le fleuve Saint-Laurent et la rivière des prairies.
«C’est une conception alimentaire qui intègre l’événement. C’est la station gourmande qu’on retrouve dans toutes les guinguettes», précise la directrice générale.
Succès
Du 12 au 27 juin, le parc de l’Ancienne-cour-de-triage dans le Sud-Ouest a accueilli la première guinguette mobile.
«Quand on a commencé le montage [du site] la semaine qui a précédé le lancement, les gens s’arrêtaient pour poser des questions. On a senti qu’il y avait un certain enthousiasme pour le projet», note Mme Basbous.
Lors des dix jours d’opération de la guinguette au parc de l’Ancienne-cour-de-triage, située le long du canal de Lachine, environ 7000 personnes ont profité des installations de la première édition.
Retour
La guinguette mobile reviendra dans le Sud-Ouest. Un peu plus à l’est, cette fois, elle prendra place jusqu’au 25 juillet à la place des Ouvriers au parc Lien Nord, en bordure du canal de Lachine, au début de Griffintown.
Plusieurs artisans locaux seront sur place afin de présenter leurs cosmétiques, décorations, vêtements, bijoux et produits alimentaires.
Même s’il est encore tôt pour se prononcer sur un possible retour des guinguettes et de son restaurant Merci Tata l’an prochain, l’intérêt se fait sentir par la population.
«On voit bien qu’il y a un enthousiasme pour ce projet. On espère pouvoir le faire durer année après année», souligne Mme Basbous.
Une guinguette stationnaire pour l’été est présente au parc Jean-Drapeau jusqu’au 3 octobre. Une guinguette mobile est également prévue à l’Îlot John Gallagher dans Verdun en août.
Claudia Bouvette et Luis Clavis ont composé à distance la chanson «Kodak jetable», qu’ils interpréteront à «La belle tournée», où la région montréalaise sera en vedette, lundi soir.
Un duo mitonné alors qu’elle séjournait chez sa mère, à Bromont, et que lui était dans son studio de Montréal, pendant le premier confinement du printemps 2020.
Outre cette langoureuse pièce, Bouvette et Clavis ont en commun d’être natifs de l’Estrie et des Cantons de l’Est, Bromont pour elle, Sherbrooke pour lui, d’avoir adopté Montréal au début de leur carrière… et d’en être tombés amoureux.
Luis Clavis s’y est établi après le cégep avec ses comparses de Valaire et Qualité Motel, tandis que Claudia Bouvette avait 15 ans quand elle a participé à «Mixmania 2» et a dû pour ce faire s’installer pendant deux mois dans un loft du Vieux-Montréal. Elle a ensuite décroché rôles et engagements qui l’ont amenée de plus en plus souvent dans la métropole.
Début vingtaine, elle louait un premier logis dans Villeray et, depuis cinq ans, l’artiste de 26 ans est une fière résidente d’Hochelaga-Maisonneuve, un quartier qu’elle estime de plus en plus tendance, tout en demeurant accessible.
«Je me souviens, au début, quand j’habitais dans le sous-sol de mon « chum », dans Ahuntsic, je ne pouvais pas passer plus qu’une semaine à Montréal, car je trouvais ça trop intense, a raconté Claudia. J’avais besoin de retourner à la campagne, d’être dans un train de vie un peu moins bruyant et rapide. Après, je suis devenue plus autonome, et j’ai vraiment eu la piqûre. Maintenant, c’est l’inverse: je dois me forcer pour aller voir ma famille à Bromont!»
« Quand je suis passé chez le notaire, mes genoux ont flanché. Je me suis dit : est-ce que je viens de faire la plus grande connerie de ma vie ? Mais finalement, ç’a été une bonne décision », raconte en riant Peter Balov, propriétaire du nouveau Bistro Sofia.
Quelques mois plus tard, assis devant son établissement, en plein cœur de la Petite-Patrie à Montréal, il savoure maintenant le moment. Le Québec est déconfiné, son bistro est sur le chemin de la rentabilité, mais le saut vers la restauration a été parsemé de doutes.
« Je suis foncièrement un nomade. J’ai toujours travaillé dans le monde du cirque et du théâtre, en sonorisation, puis comme directeur de production. Je voyageais partout dans le monde avec ma conjointe qui a été longtemps acrobate. Puis, la pandémie est arrivée, ma vie a basculé », raconte-t-il.
D’un dépanneur… à un restaurant !
Lors de cette semaine fatidique du 9 mars 2020, il est en tournée en Iowa. Le spectacle est annulé en quelques heures, il doit rentrer en catastrophe à Montréal et réinventer sa vie professionnelle.
« On a fait une réunion sur Zoom avec les collègues. Et là, un artiste m’a demandé : que vas-tu faire ? À la blague, j’ai dit, je vais m’acheter un dépanneur, on aura toujours besoin de dépanneurs ! Et c’est resté dans ma tête, c’est devenu une petite épicerie, puis un café, puis je suis arrivé avec l’idée d’un restaurant », dit-il.
Une cuisine typiquement bulgare
Il décide alors d’ouvrir un bistro qui va mettre en valeur une cuisine qui célèbre ses origines. « Je suis né en Bulgarie et je suis arrivé à Montréal en 1994. Donc, je voulais un restaurant qui représente ce que je suis », relate Balov.
Son but ? S’approvisionner avec des produits bulgares, mais aussi des aliments frais du Québec. « J’ai toujours aimé le marché Jean-Talon. Donc, on achète là-bas, mais on fait une grande place à la cuisine des Balkans ».
Sur le menu du restaurant qui a ouvert en décembre dernier, on retrouve des mezze, des grillades et salades. Après des mois d’incertitudes, la clientèle augmente de semaine en semaine. « Il y a eu un excellent bouche-à-oreille et je souhaite vraiment que les gens se sentent bien ici », dit-il.