TORONTO–(BUSINESS WIRE)–CanaDon, la plus importante plateforme de don et de collecte de fonds en ligne pour les organismes de bienfaisance canadiens, célèbre 20 années de croissance, d’innovation et de soutien pour le secteur caritatif. La mission de CanaDon est d’accroître les dons de bienfaisance au Canada en démocratisant l’accès à la technologie afin que les organismes de bienfaisance puissent facilement recueillir de l’argent en ligne. CanaDon est une fondation caritative dont la plateforme technologique est actuellement utilisée par plus de 23 000 organismes de bienfaisance afin d’amasser des fonds pour leur cause. C’est aussi une destination en ligne qui permet aux gens d’ici de rejoindre n’importe lequel des 86 000 organismes de bienfaisance canadiens en vue de faire des dons. Depuis son lancement, CanaDon a traité sur sa plateforme plus de 1,7 milliard de dollars en dons caritatifs offerts par près de 3 millions de donateurs. En l’honneur de son anniversaire et pour célébrer les étapes marquantes de ces 20 années, CanaDon publie une nouvelle docusérie vidéo consacrée à des organismes de bienfaisance et à leur impact dans des collectivités au Canada.
Depuis 20 ans, CanaDon est assimilé aux dons de bienfaisance. C’est avec beaucoup de fierté que nous songeons à tout ce que nous avons accompli et au rôle que nous avons joué pour susciter une transformation significative du secteur caritatif — mais notre travail est loin d’être terminé », a déclaré Marina Glogovac, présidente-directrice générale de CanaDon. « Grâce au rôle crucial des organismes de bienfaisance, les Canadiennes et les Canadiens ont accès à un solide filet de sécurité lorsqu’ils traversent une période difficile. C’est ce qui nous motive à développer sans cesse l’innovation, afin que les organismes de bienfaisance aient ce dont ils ont besoin pour aider les gens d’ici et leurs communautés, pendant des générations. »
Les organismes de bienfaisance touchent notre vie chaque jour, souvent sans que nous en ayons conscience
La docusérie vidéo qui est publiée aujourd’hui par CanaDon souligne comment les organismes de bienfaisance touchent notre vie chaque jour, souvent sans que nous en ayons conscience. Les courts documentaires montrent la diversité et l’impact du secteur caritatif au Canada en mettant en lumière l’environnement, la culture et les langues autochtones, la sécurité alimentaire, la santé communautaire, la protection et le sauvetage des animaux, etc. Visitez CanaDon pour explorer toute la gamme des organismes de bienfaisance canadiens qui utilisent CanaDon.
Soutenir la transformation numérique du secteur caritatif
En 2000, CanaDon a été fondé pour fournir des solutions technologiques visant à faciliter les dons en ligne et à simplifier la façon dont les organismes de bienfaisance communiquent avec les donateurs afin de recueillir un soutien et des fonds essentiels pour leur cause. Aujourd’hui, CanaDon continue d’innover et joue un rôle déterminant dans la transformation numérique des organismes de bienfaisance canadiens enregistrés. Parmi les exemples d’innovations apportées ces 20 dernières années, on relève la capacité pour les donateurs de faire des dons mensuels (2004), de faire cadeau d’un don en offrant des cartes-cadeaux de bienfaisance (2005), et de faire des dons de titres (2008); pour les organismes de bienfaisance, la possibilité de faire des collectes de fonds à partir de leur propre site Web (2012), et de lancer avec leurs sympathisants des campagnes entre particuliers, avec des équipes (2015). Nous avons publié le premier Rapport sur les dons, un guide qui fait autorité sur l’état du secteur caritatif canadien (2017). Et nous offrons la possibilité de soutenir facilement plusieurs organismes de bienfaisance dédiés à une même cause en faisant un seul don à un fonds pour une cause (2020).
« Le secteur caritatif a subi une transformation majeure, mais il y a encore tant à faire, affirme Marina Glogovac. Depuis la déclaration de la pandémie de la COVID-19, il y a un an, CanaDon concentre ses efforts et ses priorités au soutien des organismes de bienfaisance, pour les aider à recueillir de l’argent en ligne et à poursuivre leur travail vital en dépit des perturbations actuelles. Aujourd’hui, le secteur est à un point d’inflexion, alors que les organismes de bienfaisance reconnaissent qu’il leur faut investir dans leurs ressources technologiques pour garder les lumières allumées et les portes ouvertes, et continuer de fournir leurs services. »
Le secteur caritatif avait déjà mis en œuvre des stratégies de transformation numérique avant la pandémie, mais l’année 2020 a significativement accéléré le rythme de l’adoption des collectes de fonds en ligne. Presque du jour au lendemain, en raison de la distanciation sociale, il n’était plus possible de faire des collectes d’aliments et de vêtements, des galas et des ventes aux enchères silencieuses, et des activités pour les campagnes du temps des Fêtes. Beaucoup d’organismes peinaient à remplacer la perte de revenus due à l’annulation des événements en personne et à la baisse des recettes. Cette transition vers la collecte de fonds en ligne durant la pandémie a accru de façon importante les dons en ligne en 2020 :
En sa première année, CanaDon avait traité plus de 150 000 $ en dons. En 2020, plus de 480 MS ont été donnés aux organismes de bienfaisance canadiens via CanaDon — une augmentation de 116 % par rapport à 2019.
Plus de 1,1 million de Canadiens ont fait des dons à des organismes de bienfaisance via CanaDon (une augmentation de 95 % par rapport à 2019).
Plus de 29 900 organismes de bienfaisance ont reçu des dons via CanaDon (une augmentation de 22 % par rapport à 2019).
Plus de 6,9 M$ ont été recueillis pour les fonds pour une cause, un nouveau moyen novateur de faire un don à une cause qui nous tient à cœur tout en soutenant en même temps de nombreux organismes de bienfaisance.
« Tout comme pour les entreprises commerciales ayant pignon sur rue, la survie de nombreux organismes de bienfaisance dépend de leur transition réussie vers une économie numérique, soutient Marina Glogovac. Depuis longtemps, les organismes de bienfaisance hésitaient à investir dans leur propre infrastructure technologique numérique; il est temps pour eux d’investir dans leur avenir. »
CanaDon
Fondé en 2000, CanaDon est un organisme de bienfaisance enregistré dont la mission est d’accroître les dons de bienfaisance au Canada. CanaDon développe une technologie efficace et abordable pour la collecte de fonds, et offre aux organismes de bienfaisance une formation et une éducation gratuites afin que, quelle que soit leur taille, ils puissent augmenter leur impact et réussir à l’ère numérique. CanaDon.org fournit aux Canadiens un guichet unique, sécuritaire et de confiance, pour faire des dons ou des collectes de fonds, ou pour s’informer au sujet de n’importe quel organisme de bienfaisance canadien. Plus de 2,9 millions de Canadiens ont offert plus de 1,7 milliard de dollars aux organismes de bienfaisance sur CanaDon. Pour d’autres informations, visitez CanaDon.org ou rejoignez CanaDon sur Twitter, Facebook, Instagram et LinkedIn.
Vous êtes sur le point de prendre un vol ? Mais une fois arrivé à l’aéroport, on vous informe que votre vol sera retardé ? Saviez-vous que la compagnie aérienne a des responsabilités vis-à-vis des passagers ? En effet, cette dernière doit se plier à certaines réglementations légales lorsque le vol est retardé.
Les responsabilités incombant à la compagnie aérienne en cas de retard de vol
Dans le cas d’un retard de vol, la compagnie aérienne est dans le devoir de prendre ses passagers en charge. Elle est en réalité tenue de vous apporter son aide. Cela est indiqué dans le Règlement européen CE 2004/261.
Cependant, pour avoir droit à cette assistance, votre vol doit respecter certaines conditions. Ainsi, la compagnie aérienne vous assistera si le vol a un retard de 2 heures ou plus et si la distance du trajet est inférieure à 1 500 km.
Si le retard est de 3 heures ou plus pour tous les vols intracommunautaires ainsi que les vols dont le nombre de kilomètres varie de 1 500 à 3 500 km, vous pouvez également bénéficier d’une prise en charge de la compagnie. Il en est de même pour les vols de plus de 3 500 km ayant connu un retard de 4 heures et plus.
Vol retardé et ajourné : les obligations de la compagnie aérienne
Si votre vol a eu un retard et s’il est même différé, la compagnie aérienne devra obligatoirement assurer votre prise en charge. Et ceci, quand bien même les raisons du retard du vol ne proviennent pas d’elle. S’il y a une grève dans l’aéroport, si la situation politique est instable ou si les conditions météorologiques sont défavorables, la compagnie aérienne est responsable de ses passagers.
Si le vol est reporté au lendemain, vos frais d’hébergement seront à la charge de la compagnie aérienne. Celle-ci devra vous payer une nuit au sein d’un établissement hôtelier. En outre, elle devra se charger de vos frais de transport entre l’aéroport et l’hôtel et de l’hôtel à l’aéroport.
Dans le cas d’un vol retardé de plusieurs jours, toutes les charges entre le jour du retard et celui du prochain vol reviendront à la compagnie aérienne. Ceci, qu’elle soit en cause ou non du retard de votre vol.
Retard de vol prolongé : le passager peut-il exiger le remboursement de son billet ?
Si le retard de votre vol se prolonge sur une longue durée, vous pouvez demander un remboursement de votre billet d’avion. La compagnie doit alors vous informer de vos droits pour que vous puissiez choisir la solution qui vous convient le mieux.
Vous avez bien sûr la possibilité de patienter et de prendre tout de même le vol, malgré son retard. Vous pouvez aussi décider de vous faire rembourser. Dans le cas où le retard du vol serait supérieur à 5 heures, vous avez parfaitement le droit de ne plus prendre le vol et réclamer un remboursement total de votre billet d’avion. Si vous optez pour cette solution, la compagnie aérienne sera tenue de vous rembourser dans un délai de 7 jours.
Les Jeux olympiques d’été de 1976 qui se sont tenus à Montréal n’ont pas été seulement constitués de compétitions sportives. Pour les athlètes et pour les touristes, le séjour dans la métropole canadienne a aussi été une occasion de s’amuser, de fraterniser et de voir les beautés du Canada.
Le 24 juillet 1976, le journaliste Jean Dumas présente au Téléjournal animé par Gaétan Barrette un reportage qui montre comment se déroule la vie dans le Village olympique hors des compétitions.
Il faut se rappeler que quatre ans auparavant, lors des Jeux olympiques d’été tenus dans la ville de Munich, un attentat terroriste avait été perpétré. Onze athlètes israéliens et un policier allemand avaient été tués par un commando palestinien.
On comprend dans ce contexte que la sécurité ait été très présente lors des Jeux olympiques d’été de Montréal. Toute personne qui veut entrer dans le Village olympique est fouillée pour éviter tout problème.
L’aspect sécuritaire n’empêche cependant pas que tout est fait pour que les 6000 athlètes s’amusent et fraternisent. Une des activités les plus populaires parmi les athlètes consiste en l’échange d’insignes nationaux. Outre ce troc, des spectacles sont organisés et un bar est ouvert pour que les athlètes puissent se rencontrer. Le soir, une discothèque est programmée. Les athlètes de tous les coins de la planète y dansent et font plus ample connaissance.
Avec la pandémie, bien des milieux ont priorisé leur offre numérique. La Ville de Montréal ne fait pas exception à cette règle, mais jusqu’où vont les nouveautés offertes par la Ville-centre? Les permis de déneigement seront-ils offerts également en ligne cette année? Il semble que non.
Une forte connexion
De 2015 à 2018, le JDV suivait le dossier du Wi-Fi, qui n’était toujours pas accessible pour les citoyens participant aux séances du conseil d’arrondissement. Aujourd’hui, cependant, la connexion Wi-Fi est offerte à bien des endroits.
Selon la carte Couverture du réseau MTLWiFi, mise à la disposition des citoyens par la Ville de Montréal, le Wi-Fi gratuit est accessible dans 18 lieux d’Ahuntsic-Cartierville. À Montréal, cette tendance est à la hausse.
« Montréal a mis en place 342 nouvelles bornes Wi-Fi pour soutenir les différentes opérations et atténuer la fracture numérique durant la pandémie », a mentionné Gonzalo Nuñez, relationniste pour la Ville-centre.
La Ville de Montréal a aussi lancé des haltes-connexion dans les arrondissements de Montréal-Nord, Verdun et Ville-Marie, et des démarches sont en cours pour en installer dans Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, Sud-Ouest et LaSalle. Ces haltes-connexion permettent un accès gratuit à Internet et offrent une une gamme de services de soutien complémentaires, comme des services psychosociaux, du soutien pédagogique ou du soutien d’aide à l’emploi. Il n’y a toutefois pas de plan de mise en place de haltes-connexion du côté d’Ahuntsic-Cartierville.