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La demande de main-d’œuvre des startups canadiennes montre des signes de reprise au quatrième trimestre: rapport

Au quatrième trimestre de 2020, la demande de main-d’œuvre parmi les startups canadiennes a presque atteint les niveaux d’avant la pandémie, ce qui suggère que le marché montre des signes de reprise, selon le dernier rapport The State of Talent de Prospect.
Le rapport a souligné plusieurs signes encourageants pour le marché du travail canadien en démarrage, indiquant que la demande de main-d’œuvre est à la hausse par rapport aux deuxième et troisième trimestres de l’année.
Le rapport a révélé que huit pour cent des emplois du quatrième trimestre étaient répertoriés comme entièrement distants.
Le rapport fait partie d’une série trimestrielle de Prospect et de BDC Capital qui examine l’état de la demande de talents dans le secteur des startups technologiques au Canada et «établit une référence» pour les progrès réalisés et l’orientation du secteur.
Les données présentées dans le rapport sont basées sur les offres d’emploi publiées par une liste spécifique de startups canadiennes fournie par Prospect. Les offres d’emploi sont suivies par Getro, un logiciel d’agrégation et de suivi des emplois.
Au quatrième trimestre, la demande de main-d’œuvre a atteint huit pour cent, soit seulement un point de pourcentage de moins que le taux des startups au premier trimestre (avant les impacts de la pandémie COVID-19). Le rapport de Prospect a noté que la tendance à la hausse n’indique pas nécessairement que le marché du travail des startups canadiennes s’est complètement rétabli, car le nombre médian d’employés dans les startups est resté le même à environ 32.
Le rapport a également noté que l’augmentation de la demande au cours du quatrième trimestre pourrait s’expliquer par les startups cherchant à réembaucher des travailleurs licenciés au début de la pandémie.
Le rapport a également révélé qu’en 2020, les startups recrutaient activement près d’un cinquième (15 à 20%) de leurs effectifs actuels. Cela est resté relativement constant pour les petites et grandes entreprises tout au long de 2020. Au quatrième trimestre, les startups recrutaient 19% de leur main-d’œuvre, ce qui est supérieur au taux de 18% au premier trimestre 2020.
L’ingénierie logicielle représentait la majorité de la demande totale de talents au quatrième trimestre à 27%.
« Compte tenu du fait que nous ne pouvions tenir compte que des ouvertures qui ont été rendues publiques, le taux de location total, y compris le bouche-à-oreille, pour les startups peut potentiellement être encore plus élevé », indique le rapport. «Cela signifie à son tour que la disponibilité des meilleurs talents de sa catégorie et de vastes bassins de talents est cruciale pour la croissance de l’écosystème canadien des startups.
En outre, le rapport de Prospect a révélé que la demande de travailleurs de la technologie était «presque identique» au premier et au quatrième trimestre de 2020. La part des emplois désignés pour les travailleurs de la technologie a légèrement augmenté, passant de 53% au premier trimestre à 57% au quatrième trimestre.
Le génie logiciel est resté le vivier de talents le plus demandé, représentant 27% de la demande totale de talents au quatrième trimestre. Cela représente une augmentation de trois points de pourcentage par rapport à avant la pandémie.
Bien que les professionnels des ventes et du marketing aient été durement touchés par les licenciements précoces en cas de pandémie, les chiffres du quatrième trimestre indiquent que la demande pour les deux rôles a retrouvé son taux d’avant la pandémie de 17% et 10%, respectivement.
Ces résultats sur les rôles en demande concordent avec certaines tendances précoces du marché du travail observées au début de la pandémie. Les données de mars d’Indeed Canada ont révélé que la majorité des offres d’emploi étant en baisse, celles du secteur du développement de logiciels étaient à la hausse.
Une autre tendance clé pendant la pandémie COVID-19 est le passage au travail à distance. Alors que les restrictions en cas de pandémie ont forcé les employés à quitter le bureau, certaines entreprises décident d’adopter un modèle de travail à distance permanent, y compris la grande entreprise technologique canadienne Shopify.

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Lionbridge conclut la vente de sa division d’intelligence artificielle (IA) à TELUS International

WALTHAM, Massachusetts, 2 mars 2021 /PRNewswire/ — Lionbridge, leader mondial des solutions de traduction et de localisation, a confirmé aujourd’hui la clôture de la vente précédemment annoncée de sa division d’intelligence artificielle (IA), Lionbridge AI, à TELUS International (NYSE et TSX : TIXT), un innovateur en matière d’expérience client numérique qui conçoit, construit et fournit des solutions de nouvelle génération pour les marques internationales innovantes. TELUS International est une filiale de la société canadienne TELUS Corporation (T-TSX ; NYSE-TU), une entreprise de premier plan dans le domaine des communications et des technologies de l’information. La transaction a été clôturée le 31 décembre 2020.
Lionbridge AI enrichira le portefeuille de solutions numériques de prochaine génération de TELUS International, alors que les entreprises s’associent pour soutenir le domaine en plein essor de l’intelligence artificielle. La vente de Lionbridge AI renforcera l’engagement de Lionbridge à fournir des innovations à ses clients dans les domaines de la technologie, des sciences de la vie, des jeux, du commerce numérique, etc.
« L’association des activités d’IA de Lionbridge et de l’ensemble de plates-formes numériques de pointe de TELUS International donnera naissance à une nouvelle société dotée d’un ensemble unique de solutions de pointe. En plus d’améliorer la stratégie de commercialisation de TELUS International, nous pensons que cette fusion est une très bonne adaptation culturelle pour notre talentueuse équipe internationale, compte tenu de l’engagement commun de nos entreprises en faveur de l’embauche et du bien-être des employés », a déclaré John Fennelly, PDG de Lionbridge. « Je ne doute pas que notre équipe d’IA et sa communauté grandissante continueront à prospérer avec TELUS International. »
« 2021 marque le 25e anniversaire de Lionbridge et il n’y a pas de meilleur moment pour revenir à nos racines, montrer la voie en transformant l’espace linguistique et continuer à approfondir nos relations avec nos clients », a poursuivi J. Fennelly. « Je me réjouis des possibilités qui s’offrent à nous alors que nous entamons ce nouveau chapitre et que nous accélérons notre travail sur l’innovation, la technologie et la mise sur le marché de nouveaux produits et services. »
Morgan Stanley & Co. LLC a agi en tant que conseiller financier et Kirkland & Ellis LLP a servi de conseiller juridique à Lionbridge dans le cadre de la transaction.

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Le rôle stratégique et essentiel des métaux rares pour la santé

La pandémie de Covid-19 a mis en évidence que la plupart des pays ne disposaient pas d’une souveraineté sanitaire suffisante pour faire face à une telle crise. Des pénuries de masques, de respirateurs, de médicaments et maintenant de vaccins se sont fait sentir dans de nombreux pays, même les plus avancés. Ces problèmes montrent que nos sociétés sont dépendantes de certains pays pour des produits essentiels.
Qu’en est-il pour les métaux ?
Notre équipe de recherche Franco-canadienne travaille depuis quelques années sur les interactions entre les sciences de la Terre et les sciences sociales, notamment autour du concept de géologie sociale et sur la dynamique des territoires riches en ressources.
Des métaux stratégiques
La notion de minerai critique et stratégique remonte aux guerres du 1IXe siècle. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont constitué des stocks de métaux. Toutefois, la surabondance de métaux de la fin du XXe siècle et la mondialisation ont conduit les états occidentaux à abandonner leur politique pro active dans ce domaine. La prise de conscience d’une dépendance aux ressources minérales importées ne revint qu’à la fin des années 1990, avec l’émergence des économies asiatiques et de nouveaux monopoles.
La liste des métaux critiques et stratégiques varie selon les pays, allant d’une douzaine pour la Défense nationale française aux 35 métaux répertoriés dans le décret de l’ex-président américain Donald Trump, en 2018.
Pourquoi ces listes de métaux ? Elles reflètent les grands enjeux du passé, ceux des guerres du XXe siècle et des conflits craints pour le futur. Plus généralement, elles marquent les crises technologiques et sociales qui ont frappé nos sociétés depuis 50 ans et qui ont mené à ce que le sociologue allemand Ulrich Beck a appelé la société du risque.
Ainsi, chaque crise a laissé dans son sillage de nouvelles solutions technologiques, une sécurisation des chaînes d’approvisionnement et une conscience accrue de la dépendance, à chaque fois différente, envers divers métaux. Voici quelques exemples.
Du pétrole à l’or
En 1973, la crise du pétrole a souligné la fragilité de la plupart des pays développés en matière d’énergie. Certains pays se sont tournés vers le nucléaire, d’autres vers l’hydro-électricité. Des mines d’uranium sont alors mises en production un peu partout, de la Saskatchewan au Niger ; le prix du minerai flambe en 1978 et le pic de production est atteint en 1980.
La crise terroriste de 2001 a accéléré à son tour le développement des technologies de l’information dans les industries de la défense et la consommation de métaux de haute technologie a augmenté en conséquence. Le prix du tantale connaît un pic en 2000 et sa production mondiale est maximale en 2004. Cette demande encourage la production artisanale dans l’est du Congo, au cœur d’un conflit depuis 20 ans.
La crise du nucléaire à la suite des accidents de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011) a encouragé le passage aux énergies renouvelables à forte intensité de métaux, notamment pour l’éolien. Le prix des terres rares a explosé pour atteindre un sommet en 2010, et la production a doublé depuis en 10 ans.
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«Crypto-art» : l’œuvre numérique de la chanteuse Grimes vendue 6 millions de dollars

C’est une vente aux enchères d’un genre nouveau. Des clips kitsch peuplés de chérubins flottants dans le vide de l’espace ou faisant face – façon 2001, L’Odyssée de l’espace – au globe terrestre ou à un décor martien irréel. Des créations numériques comme il en existe une quantité astronomique dans les niches du web consacrées à la création ou à l’hébergement d’images. Ceux-là, en revanche, appartiennent à Grimes, musicienne canadienne de 32 ans. Mis en vente lundi sur Nifty Gateway, les dix œuvres numériques de cette artiste – certaines uniques, d’autres tirées à plusieurs centaines de copies – se sont envolées en vingt minutes pour une somme totale de 5,8 millions de dollars.
Une vente presque parmi d’autres, au sein du marché de l’art, à ceci près que les œuvres en question sont toutes munies de leur certificat d’authenticité numérique 2.0 : le «non-fungible token» (jeton non-fongible), abrégé en NFT. Forgé à partir de la même technologie de la blockchain qui a fait le succès du Bitcoin, de l’Ethereum et des cryptomonnaies, le système sécurisé garanti l’authenticité et la traçabilité parfaite de l’objet numérique qui lui est associé ; une crypto-signature infalsifiable, en somme, pour ce que d’aucuns définissent d’ores et déjà comme du «crypto-art».

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