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Trop nombreux, les ours polaires?

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Y aurait-il trop d’ours polaires ? La question peut paraître hérétique, étant donné que ces icônes des étendues gelées canadiennes ont obtenu en 2011 le statut d’espèce « préoccupante ». Pourtant, c’est bien le débat qui a cours ces jours-ci au Nunavut alors que les autorités concoctent un plan de gestion des populations d’ours polaires susceptible de déboucher sur une augmentation des prises permises.

Il y aurait entre 20 000 et 25 000 ours polaires dans le monde, dont 16 000 se trouvent en territoire canadien, répartis en treize sous-populations. Parce que l’espèce est considérée comme en danger, les cinq pays qui en accueillent ont signé en 1973 un accord sur sa conservation. Tous les avis scientifiques convergent vers une même conclusion : réchauffement climatique oblige, l’habitat des ours polaires est menacé et leur nombre décline. Pourtant, au Nunavut, les Inuits tiennent un autre discours : les ours étant aperçus plus souvent près des établissements humains, ils sont donc plus nombreux.

Le gouvernement du Nunavut a rédigé une proposition de plan de gestion qui a fait l’objet de consultations il y a deux semaines et dont l’approbation finale est prévue pour le printemps. On y déplore le peu de considération apportée au « savoir traditionnel inuit ».

« La pression pour conserver et protéger les ours polaires provenant des groupes environnementaux internationaux, des militants contre les changements climatiques et du public en général a créé des tensions à propos du statut des populations d’ours polaires, peut-on lire. Les Inuits croient qu’il y a désormais tellement d’ours que la sécurité publique est devenue une préoccupation majeure. »

Des douze sous-populations d’ours présentes au Nunavut, huit seraient en croissance, selon ce document ; seulement deux selon Environnement Canada (EC). Aucune ne serait en déclin alors qu’EC en compte une.

Spécialiste des ours polaires, Ian Stirling a longtemps été chercheur sur la faune au ministère fédéral de l’Environnement et est aujourd’hui professeur en biologie à l’Université de l’Alberta. Il se désole de l’orientation prise par le Nunavut. « C’est malheureux de manière générale », dit-il au Devoir. « Il n’y a aucune information qui permet de dire que la population augmente, et dans certains cas, les informations sont tellement vieilles et il y a eu tellement de changements dans l’environnement qu’on ne sait vraiment pas ce qui se passe. »

Il ne conteste pas que les Inuits voient probablement plus d’ours près de leurs villages, mais cela s’explique par le fait que les glaces polaires — d’où les ours chassent le phoque — fondent plus vite au printemps et se reforment plus tard à l’automne. Les ours restent donc sur les berges plus longtemps qu’avant : ils doivent vivre sur leurs réserves graisseuses jusqu’à cinq moins et demi par année, contre quatre auparavant. Ils maigrissent et, affamés, s’approchent des villages, où ils flairent les dépotoirs à ciel ouvert.

« Alors, c’est certainement vrai que vous voyez plus d’ours, mais ce n’est pas parce que la population augmente. Toute l’information scientifique indique plutôt qu’elle n’augmente pas. » Il déplore que le savoir traditionnel ne puisse pas être contesté comme l’est la science. « Si un scientifique blanc comme moi remet en question ces résultats, ce n’est généralement pas très bien reçu, et c’est parfois senti comme un manque de respect. »

L’ours, un voisin dangereux

En entrevue avec Le Devoir, le premier ministre du Nunavut, Joe Savikataaq, ne conteste pas le savoir scientifique, mais il lui reproche d’être détaché de la réalité des Inuits qui cohabitent avec les ours. « Les scientifiques n’ont jamais essayé de déterminer quelle est la capacité écologique d’accueil des ours polaires. À partir de combien y a-t-il trop d’ours et quand peut-on dire qu’il y en a assez ? » demande celui qui est aussi ministre de l’Environnement et qui porte ce chapeau pour l’entrevue.

« Si on maintient les niveaux de récolte permis aussi bas que possible afin de garder le plus grand nombre d’ours, mais qu’il n’y a pas assez de nourriture pour eux, on se retrouvera avec beaucoup d’ours polaires affamés, ce qui générera plus de conflits avec les humains et plus d’ours qui arrivent en ville pour trouver de la nourriture », continue M. Savikataaq.

M. Savikataaq estime qu’il faut être réaliste. « Si la glace fond effectivement et qu’il y a moins de glace, alors je pense que peut-être la capacité écologique d’accueil des ours de cet écosystème n’est pas aussi élevée qu’avant. » Mieux vaut alors que l’humain diminue lui-même cette population jusqu’au point d’équilibre et tire profit de cette chasse au passage. « On les chasserait jusqu’à l’atteinte de ce niveau. » M. Savikataaq insiste : « Personne ne veut l’extinction de l’espèce au Nunavut. »

Cette garantie est précisément ce qui donne confiance à Brandon Laforest, spécialiste des espèces arctiques pour le Fonds mondial pour la nature (WWF). WWF se targue d’être l’unique groupe environnemental à avoir un bureau permanent à Iqaluit. M. Laforest a d’ailleurs assisté aux consultations publiques d’il y a deux semaines.

« Nous, au WWF, avons confiance en la capacité du système de cogestion [avec les Inuits] de préserver les ours polaires. [Leur nombre] ne sera peut-être pas au même niveau que nous avons actuellement — nous verrons ce que les gens décident —, mais la sécurité des gens est ce qui est le plus important. »

Il fait valoir qu’on pourrait répondre à la préoccupation sécuritaire inuite par d’autres moyens que la chasse, notamment en augmentant les patrouilles dissuasives pour éloigner les ours et en réduisant les éléments attrayants pour les ours, comme les restants de chasse.

M. Laforest fait confiance aux Inuits. « La perte de l’ours polaire est un concept abstrait pour le reste du monde dans le Sud. Nous apprécions le fait qu’ils existent. Mais pour les Inuits, la perte de l’ours polaire serait un désastre culturel. Cela m’amène à faire confiance aux Inuits pour gérer l’ours polaire de manière positive, parce qu’ils ont tellement plus à perdre que la communauté internationale. »

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Ces légendes du baccara vous dévoilent leurs secrets

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Akio Kashiwagi, John W. Gates, Tommy Renzoni, Phil Ivey, Kerry Packer ou encore Archie Karas… Ces noms ne vous évoquent rien? Ces légendaires joueurs de baccara ont brillé par leurs performances exceptionnelles. Multipliant les gains au fil des années, ils nous ont permis d’identifier quelques approches qui fonctionnent. Aujourd’hui, découvrez certains de leurs secrets:

Apprenez à marcher avant de courir

Premièrement, vous devez absolument connaître les règles du jeu. Avant de maîtriser les stratégies et autres astuces professionnelles du baccara, il faut vous familiariser avec les bases du jeu. Même les plus grands joueurs de l’histoire ont d’abord dû apprendre à jouer. Puis c’est à force de pratique et de stratégie qu’ils ont réussi à se perfectionner pour atteindre les sommets.

Commencez donc par étudier le but principal du jeu et la valeur des cartes. Découvrez aussi les différents types de paris (banquier, joueur ou égalité), apprenez à fixer et gérer votre bankroll, essayez de contrer l’avantage de la maison, etc. Ensuite, vous pourrez passer à une véritable stratégie de baccara. Il en existe beaucoup, à choisir selon les situations et vos aptitudes: systèmes 1-3-2-4, d’Alembert, Fibonacci, Labouchere ou encore Martingale.

Et contrairement à ces légendes qui jouaient dans des établissements physiques, vous avez la possibilité de tester des parties gratuites en ligne. Pratique pour vous exercer sans miser!

Gérez votre budget

Deuxièmement, vous devez fixer un budget et le respecter. Il est essentiel de jouer de manière responsable, afin d’éviter les situations délicates voire désastreuses. Par exemple, vous pouvez allouer 100 $ à votre session de jeu. Et une fois cette somme épuisée, quittez la table. Cela vous permettra de réduire vos pertes et même de protéger vos gains.

Si les grands joueurs de l’histoire du baccara ont pu multiplier leurs gains de façon aussi spectaculaire, ce n’est pas uniquement grâce à la chance. Même si elle a joué en leur faveur, une bonne gestion de leur bankroll leur a aussi permis d’optimiser leurs gains au fil des parties.

Misez sur le banquier

Comme expliqué, il existe trois types de paris au baccara: le joueur, la banque et l’égalité. De manière générale, vous ne pouvez pas vous tromper en misant sur le banquier. En effet, ce pari est gagnant dans plus de 50 % des cas. Toutefois, notez que l’établissement prélève alors une commission sur ces gains, afin de conserver un certain avantage.

De plus, il est important de capitaliser sur les séries. De ce fait, si vous gagnez en pariant sur le banquier, continuez à miser dessus. Mais attention, restez prudent et modéré. Sachez vous arrêter avant que ce pari ne devienne perdant. Ici encore, c’est un conseil que les joueurs légendaires ont eux-mêmes mis en pratique pendant leurs heures de gloire.

Jouez de courtes sessions

Enfin, il est mieux de jouer pendant de courtes sessions. Afin d’être plus performant au baccara, vous devez gérer votre temps correctement. Cela réduira aussi le phénomène d’accoutumance qui peut devenir néfaste s’il n’est pas maîtrisé.

Dans la mesure du possible, planifiez donc un certain nombre de parties à chaque session de jeu. Une fois ce nombre atteint, quittez la table de baccara. Même si vous êtes en train de gagner, soyez raisonnable et arrêtez de jouer.

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Denis Coderre propose un marché public dans le Vieux-Montréal

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Denis Coderre promet d’implanter un marché public au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, s’il est porté au pouvoir en novembre prochain. Cette proposition fait suite à une rencontre qu’il a eue la semaine dernière avec les commerçants du marché Bonsecours. Mais ceux-ci préviennent qu’ils ne souhaitent pas des étals de fruits et de légumes semblables à ceux des marchés Jean-Talon et Atwater.

« Ville-Marie a besoin d’un marché et le marché Bonsecours pourrait être un marché public, au même titre qu’Atwater et Jean-Talon », a soutenu Denis Coderre jeudi matin, alors qu’il présentait les candidats de son équipe dans les arrondissements de Rosemont–La Petite-Patrie et d’Outremont. Selon le candidat, ce projet permettrait de faire du marché Bonsecours un lieu de destination pour les touristes, mais aussi pour les Montréalais. Il a indiqué avoir rencontré l’ensemble des commerçants à ce sujet la semaine dernière.

Denis Coderre a précisé qu’il habitait non loin du marché Bonsecours et qu’il pourrait aller chercher ses fruits et légumes à pied. Au passage, il a affirmé que le bâtiment patrimonial était dans un état « pitoyable » et qu’il faudrait y voir.

Jointe par Le Devoir, Anne de Shalla, propriétaire de la boutique Signatures Québécoises du marché Bonsecours, confirme que les commerçants ont rencontré M. Coderre pour lui présenter leur vision d’avenir. Mais dans le plan d’affaire présenté au candidat à la mairie, il n’était pas envisagé que le marché Bonsecours devienne un marché de fruits et légumes uniquement, a-t-elle expliqué. Les commerçants souhaitent simplement que le marché Bonsecours soit doté de la même structure administrative que les marchés Atwater et Jean-Talon, a-t-elle indiqué.

« On voudrait gérer le marché Bonsecours nous-mêmes. On aimerait prendre la relève des fonctionnaires », a-t-elle dit en évoquant des lacunes telles que l’entretien des lieux et les heures d’ouverture jugées inadéquates par les commerçants. À l’heure actuelle, le marché Bonsecours abrite des boutiques de mode, d’artisanat et de bijoux.

« Notre vision, c’est de rendre le marché Bonsecours comme un marché public avec les mêmes droits que le marché Atwater ou le marché Jean-Talon », précise-t-elle. « On voudrait continuer avec les produits qu’on a déjà et ajouter des produits du terroir, mais on ne veut aucunement ressembler au marché Jean-Talon ou au marché Atwater pour ce qui est du contenu. »

Le marché Bonsecours, qui accueillait 15 commerces avant la pandémie, n’en compte plus que huit. Comme des espaces sont demeurés vacants, Mme de Shalla évoque la possibilité d’ajouter des boulangeries, charcuteries, des comptoirs de plats à emporter, des pop-up shops, ainsi que des boutiques proposant des produits du terroir. « On ne va pas se mettre à vendre des salades sur le parvis Bonsecours. Ce n’est pas ça l’objectif. »

En après-midi, Ensemble Montréal a soutenu que le projet de transformation du marché Bonsecours serait précisé à automne. « Quoi qu’il en soit, M. Coderre, qui a rencontré les marchands du marché Bonsecours, souhaite bien sûr répondre aux besoins exprimés par les commerçants », a indiqué Elizabeth Lemay, attachée de presse chez Ensemble Montréal.

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Nous sommes de retour»: les festivals d’été reprennent à Montréal

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Dans le quartier des spectacles, des tests de son étaient en cours vendredi soir sur la scène d’une comédie musicale — au deuxième jour du festival Juste pour rire. Les billets pour de nombreux spectacles en plein air gratuits du festival — limités par la réglementation COVID-19 — avaient trouvé preneurs.

Deux coins de rue plus loin, une centaine de personnes assistaient à une prestation acoustique du Isaac Neto Trio – dans le cadre du dernier week-end du Festival international Nuits d’Afrique, une célébration de la musique du continent africain et de la diaspora africaine.

Alors que la capacité des sites est limitée en raison de la pandémie de COVID-19, les organisateurs du festival se disent heureux d’être de retour, mais attendent avec impatience l’année prochaine en espérant que les restrictions aux frontières et les limites de capacité n’affecteront pas leurs plans.

Charles Décarie, le président-directeur général du Groupe Juste pour rire, a déclaré qu’il s’agissait d’une «année de transition» et que son équipe a conçu un festival en naviguant à travers les contraintes imposées par la Santé publique.

Lorsque la planification a commencé en février et mars, les organisateurs ont planché sur une multitude de scénarios avec différentes tailles de foule, allant de l’absence de spectateurs à la moitié de la capacité habituelle, a déclaré M. Décarie.

«Vous devez construire des scénarios, a-t-il expliqué. Vous devez planifier un peu plus que d’habitude parce que vous devez avoir des alternatives.»

Comme par le passé, les festivals incluent à la fois des spectacles en salle payants et des représentations en plein air gratuites. À l’extérieur, il y aura moins de scènes et des foules plus petites que dans les dernières années, a précisé M. Décarie. Les spectacles en salle fonctionneront à 30 % de leur capacité, tandis que les spectacles à l’extérieur auront environ 10 à 20 % de du nombre de spectateurs d’avant la pandémie.

«Normalement, nous accueillons environ un million de personnes pendant les festivals sur 15 jours, et cette année, nous serions heureux si 200 000 personnes nous rendent visite au cours des deux prochaines semaines», a indiqué M. Décarie.

Au Québec, les événements extérieurs ont une capacité maximale de 5000 personnes, qui doivent être divisées en sections distinctes de 500 personnes. Les événements en salle sont limités à 3500 spectateurs, qui doivent s’asseoir en sections de 250 personnes, avec des entrées et des toilettes séparées pour chaque section.

En raison des restrictions frontalières, que M. Décarie qualifie de «préoccupation majeure», certaines prestations sont filmées à New York et à Los Angeles et seront diffusées en ligne.

«C’est ainsi que nous avons pu joindre des talents internationaux, a-t-il déclaré. Nous avons décidé de changer notre façon de procéder, et nous sommes allés vers eux.»

Les spectacles en personne mettront pour leur part en vedette des artistes locaux, a-t-il déclaré.

D’autres festivals montréalais affirment également qu’ils prévoient de contourner les restrictions frontalières en se concentrant sur les artistes locaux.

Le Festival international Nuits d’Afrique présente des artistes locaux et des prestations enregistrées des années précédentes, a mentionné vendredi la directrice générale et co-fondatrice du festival, Suzanne Rousseau.

«Les premières nuits, en particulier, étaient incroyables», a-t-elle déclaré à propos du festival, qui a débuté le 6 juillet et se poursuit jusqu’à dimanche. Les artistes disaient: «C’est mon premier spectacle devant public depuis un an et demi».»

Le volet extérieur du festival consiste en deux petites scènes de style «cabaret», a commenté Mme Rousseau. Au lieu d’une scène principale, un spectacle son et lumière est projeté sur un bâtiment. Il présente des prestations filmées qui portent sur les 35 ans d’histoire du festival.

«Ce qui est important, c’est que les festivaliers puissent venir voir des spectacles en personne, a-t-elle déclaré. Et d’avoir des prestations en ligne pour les gens qui ne peuvent pas se rendre à Montréal ou qui ne peuvent pas voyager.»

Mme Rousseau a affirmé qu’elle espère conserver certains des volets en ligne dans les années à venir, mais qu’elle souhaite également organiser un festival plus important l’année prochaine.

«On est vraiment content d’avoir fait un festival cette année, ça nous prépare pour l’année prochaine, a-t-elle déclaré. Cela nous donne l’ambition d’être prêts à recevoir plus de monde, plus de performances et une expérience complète.»

Certains des grands festivals d’été de Montréal, dont le Festival international de Jazz de Montréal, ont été repoussés au mois de septembre. Mme Rousseau a toutefois soutenu qu’elle n’avait jamais envisagé de retarder l’édition de cette année du festival Nuits d’Afrique.

«C’est vraiment important d’être là pendant l’été. Il n’y avait aucun doute que nous allions le faire», a-t-elle déclaré.

Francis Bouchard, un porte-parole de Tourisme Montréal, un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du secteur touristique de la ville, a indiqué qu’avec les événements reportés, la période des festivals durera jusqu’en octobre de cette année. Il est encourageant, a-t-il dit, de constater que des festivals et des événements qui ont été reportés ou annulés l’année dernière soient de retour cet été et cet automne.

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