Il y a quelques temps on a parlé du cas des fringues de grossesse, de ce qui nous semblait indispensable (ou pas) et le moins que l’on puisse dire c’est que même si dans la globalité on était plutôt raccord, il reste indéniable que nous avons toutes une liste de must-have de grossesse qui nous est propre.
L’autre question qui s’est posée à moi après que j’ai répondu à « ai-je vraiment besoin de ces slips de maternité ? » (NON) était « merde, moi qui essaie d’éthiquiser ma penderie, comment je vais bien pouvoir m’en sortir avec ce corps qui n’est pas le même qu’hier, qui ne va pas revenir à la normale dans l’immédiat et qui sera peut-être même différent de ce qu’il était alors ensuite ? » (oui je me pose des questions longues et compliquées… Ne vous demandez pas pourquoi je suis épuisée !).
Alors cet été je me suis bien offert 2 jolies robes (l’une chez Eple&Melk et l’autre chez Mademoiselle D) mais je ne passe plus dans la première et la seconde est vraiment trop estivale pour que je continue à la porter, et dans la globalité j’ai décidé d’éviter autant que possible les investissements dans l’équation neuf x éthique.
C’est donc tout naturellement que je me suis tournée vers…le seconde main ! Aka les habits qu’ils ont déjà été portés avant mais qu’on en veut plus alors on les revend et ça fait le bonheur d’autrui.
Ma grossesse a vraiment révélé chez moi une passion pour le seconde main. Vous aviez bien compris que pour moi investir dans des vêtements estampillés « mama » ce n’était pas l’idéal et passé l’achat de quelques pantalons, de débardeurs bien longs (ce matin il faisait 4° quand je suis sortie de chez moi… 4 PUTAIN DE DEGRÉS ! Je ne peux pas me permettre de sortir avec ne serait-ce qu’une millimètre de peau de ventre à l’air sous peine de mourir instantanément) j’ai décidé d’arrêter les frais.
Alors je ne vais pas vous la faire à l’envers, ma garde robe devient de plus en plus limitée et régulièrement je m’enjaille en mode « ah allez je vais mettre ça aujourd’hui, youpi » pour finalement me rendre compte très (très très) rapidement que ah non désolée madame ça va pas être possible, revenez dans quelques mois. Mais j’ai réussi à trouver quelques pièces d’occasion qui ont fait mon bonheur absolu… dont ce petit pull.
Du côté de l’ootd nous avons donc :
Ce petit pull Helmut Lang qui fait mon bonheur de par sa maille douce et élastique et bump friendly. Acheté d’occasion une petite miette, donc, j’ai juste eu la surprise de découvrir un pull blanc au déballage au lieu du pull beige auquel je m’attendais. La balance des blancs et les couleurs fidèles à la réalité ce n’est pas toujours évident sur les sites de seconde main…ahem…
Mon slim noir Jamie de Topshop spécial mama… J’en ai déjà parlé sur instagram il me semble, ce n’est pas forcément un modèle que je recommande. La taille basse c’est super quand on n’a pas encore un ventre trop imposant mais avec mon bide de 7 mois d’âge je passe sensiblement toute la journée à remonter mon fut’. Néanmoins la coupe est vraiment super, bien slim, pas trop longue pour les modèles réduits comme moi et il ne se détend pas d’un iota. J’aurais adoré vous dire « oui bon au moins je l’ai payé une misère sur vinted » mais c’est faux, je l’ai acheté neuf.
Les Samo argentées de Good Guys…l’amour intersidéral ! Je vous en ai parlé (encore une fois)dans ma dernière vidéo, Good Guys c’est MA marque de pompes véganes, éthiques et engagées favorite de la vie. Elles sont faciles à enfiler (pas négligeable du tout), rapides à lacer (même si c’est toujours un peu la galère et que j’ai l’impression d’être en bois) et siiii confortables ! Les même avec scratch ou laçage automatique par la pensée et vous obtenez THE perfect paire de pompes.
Et mes jolis bijoux fabriqués en France merveilleux je les aime tant. De La Forge et Hellès, pas de surprise.
En bonus je porte le best débardeur de maternité du monde en dessous de mon joli pull : ces petites choses Asos Maternity. On sort clairement du cadre de l’#éthicootd mais tant pis, ces trucs sont trop géniaux et j’en ai quasi toujours un sur moi, de jour comme de nuit. Je lutte d’ailleurs activement pour ne pas recommander un deuxième lot…
Ces dernières saisons, les créateurs de mode popularisent les collections mixtes. Alors que le sac à main se fait de plus en plus unisexe, la maison Louis Vuitton dévoile sa première paire de baskets faites pour tous.t.e.s.
Charlie, une chaussure qui fait attention à son empreinte
Il ne sera pas nécessaire de se tourner vers tel ou tel rayon genré pour la trouver. Charlie est une paire de baskets unisexe, donc destinée à être portée par tous.
La gamme de pointures est large, allant d’une taille 34 au 47, et son design est lui intemporel : ce sont d’élégantes baskets blanches, habillées d’un logo noir Louis Vuitton. Alors pour varier le style, Charlie est imaginée en deux versions : basket basse et basket montante.
Et si son look a vocation de séduire le plus grand nombre, les détails de sa conception pourraient en intéresser plus d’un. Car comme le précise l’enseigne, le processus de conception circulaire de Charlie « a été appliqué de manière holistique ». Autrement dit, la démarche éco-responsable a été respectée depuis l’étape de la création jusqu’au passage à la Manufacture de souliers Louis Vuitton de Fiesso d’Artico, en Italie.
Résultat ? Les lacets sont entièrement recyclés, et la semelle de la chaussure est composée à 94% de gomme recyclée au minimum, un record en la matière. De la semelle intérieure au patch de la languette réalisé en ECONYL®, tout a été éco-conçu.
Le calendrier du prêt-à-porter prévu pour septembre prochain, avec les collections printemps-été 2022, débutera avec l’événement EVENING DRESSES SHOW (Edshow), qui revient, pour la troisième saison consécutive, dans la somptueuse gare maritime Zaha Hadid de Salerno, portant à 60 le nombre d’exposants avec des propositions de prêt-à-porter « soirée » et « cocktail », produites dans les huit régions du sud de l’Italie (Abruzzo, Basilicata, Calabria, Campania, Molise, Puglia, Sardegna et Sicilia).
Déjà inscrit au programme des défilés internationaux de la Conférence des Régions et Provinces Autonomes publié sur le site Regioni.it, Edshow est une vitrine internationale dédiée exclusivement aux looks de soirée et cocktail pour femmes, hommes et enfants.
L’édition à venir a un sens bien particulier, qui se résume dans le slogan « Come back to life », choisi pour la nouvelle affiche : l’envie de recommencer et de revenir à la vie.
Le spectacle des tenues de soirée est conçu et organisé par l’association IFTA avec le soutien de l’ICE- Agence italienne pour le commerce extérieur qui a pour mission la promotion à l’étranger et l’internationalisation des entreprises italiennes au sein du Plan d’exportation du Sud (PES 2) et de la région Campania. Il implique une soixantaine d’entreprises du huit régions méridionales : Abruzzo, Basilicata, Calabria, Campania, Molise, Puglia, Sardegna et Sicilia.
Mais pas seulement ! Grâce à la plateforme Fiera Smart 365, lancée par l’Agence ICE et connectée à ses 78 bureaux à travers le monde, les entrepreneurs qui participeront au salon de Salerno auront l’opportunité d’avoir un premier contact avec des détaillants internationaux qui ne pourront pas assister à l’événement en présentiel.
Une autre nouveauté de l’édition 2021 sera la section spéciale dédiée à l’élégance vestimentaire masculine avec 12 marques sélectionnées parmi les marques Made in Italy les plus dynamiques et intéressantes.
Pendant les trois jours du salon, des rencontres B2B auront lieu avec des acheteurs étrangers invités par l’Agence ICE et avec les meilleurs distributeurs et showrooms basés à Milan.
Edshow débutera avec une exposition des collections présentées en revue, dirigée par Titti Baiocchi pour MB Agency, l’un des noms les plus connus et les plus importants dans le domaine des défilés de mode internationaux.
La soirée du 2 septembre, vous ne verrez sur le podium que les entreprises de vêtements et l’avant-première d’un nouveau projet signé IFTA et SOUTH ITALIAN FASHION, le consortium d’entreprises de mode indépendantes né dans la région Campania pour valoriser et promouvoir, dans le monde, la créativité, l’élégance et « la culture du savoir-faire» qui caractérisent l’unicité du tissu du Sud.
L’une des trois collections du spectacle sera dédiée à la mode musulmane.
Une avant-première visant à annoncer un projet commercial international qui présentera à l’étranger, dans un calendrier qui sera bientôt défini, 30 collections pour femmes musulmanes créées avec des critères, des goûts et des procédures de confection exclusivement italiens.
Né pour aider les petites entreprises du Sud à franchir d’importants seuils commerciaux, le projet dédiée aux tenues musulmanes devient donc une prodigieuse rampe de lancement pour les entreprises prêtes à produire et commercialiser la nouvelle Couture musulmane conçue et réalisée dans leurs ateliers.
Quelques exemples : La robe-manteau crée par Sartoria 74 ; les petites robes noires de Simonetta Ricciarelli qui a lancé sa première collection de petites robes fourreau noires ; les caftans du soir aux couleurs de la côte amalfitaine de La Dolce Vita ; les chemisiers doux du soir de FMConcept ; les costumes fluides en soie bleu de Chine et rose shocking de Gianni Cirillo ; the grand soirée de Michele Miglionico, Nino Lettieri, Melina Baffa, Ferdinand, Valentina d’Alessandro, Maria Elena di Terlizzi, l’enfant prodige Arianna Laterza, jusqu’à la robe de soirée durable de Nanaleo et les longues chemises blanches à fermeture magnétique de Youareu.
L’étude du voile islamique avec les différentes options et usage dans différents pays, conçues pour harmoniser les tenues de soirée proposées est importante pour tout le monde.
Paris (awp/afp) – Le numéro un mondial du luxe LVMH continue son ascension en affichant un bénéfice de 5,3 milliards d’euros au premier semestre, soit nettement mieux qu’avant la pandémie, notamment grâce aux performances de sa branche Mode et Maroquinerie.
« LVMH réalise un excellent semestre », s’est réjoui le PDG de LVMH Bernard Arnault dans le communiqué diffusé lundi par le groupe, qui a ainsi décuplé son bénéfice net entre janvier et juin par rapport à l’année 2020, marquée par la pandémie de Covid, et qui le voit augmenter de plus de moitié (+62%) par rapport au premier semestre 2019, période de référence avant pandémie.
Les ventes du groupe de Bernard Arnault, première fortune française et deuxième mondiale selon Forbes, se sont établies au premier semestre à 28,7 milliards d’euros, en hausse de 53% (+11% par rapport à 2019).
« Dans le contexte actuel de sortie de la crise sanitaire et de reprise de l’économie mondiale, (…) LVMH est en excellente position pour poursuivre sa croissance et renforcer encore en 2021 son avance sur le marché mondial du luxe », a jugé M. Arnault.
Le résultat opérationnel courant du premier semestre 2021 est de 7,6 milliards d’euros, en croissance de 44% par rapport au premier semestre 2019 et plus de 4 fois supérieur à celui de 2020. La marge opérationnelle courante ressort à 26,6%, en hausse de 5,5 points par rapport à 2019.
Le groupe aux « 75 maisons » est notamment porté par une « performance remarquable de l’activité Mode et Maroquinerie », la division phare du géant du luxe qui a engrangé 13,9 milliards d’euros à elle seule, soit une progression de 38% par rapport à 2019 grâce aux performances de Louis Vuitton, Dior, Fendi, Loewe et Céline qui « gagnent partout des parts de marché et atteignent des niveaux records de ventes et de rentabilité ».
« Une croissance qui bénéficiera à la France »
Les ventes de vins et spiritueux augmentent de 12% par rapport à 2019 à 2,7 milliards d’euros (+44% par rapport à 2020) portées par une demande soutenue aux Etats-Unis et un fort rebond en Chine, explique le groupe qui a pris en début d’année une participation de 50% du capital de la Maison de champagne Armand de Brignac, marque de champagne du célèbre chanteur et producteur américain Jay-Z.
La division Montre et Joaillerie progresse de 5% à 4 milliards d’euros (+71% par rapport à 2020), à la faveur de l’acquisition de Tiffany’s.
Parfums et cosmétiques restent en recul (-3% par rapport à 2019) mais le groupe note des « avancées rapides de ventes directes ».
Dans la distribution sélective, Sephora montre une bonne performance mais DFS est encore pénalisé par la reprise limitées des voyages internationaux, et les ventes reculent globalement. Même chose pour les parfums et cosmétiques, même si les ventes directes avancent.
« La croissance de LVMH bénéficie aujourd’hui, et bénéficiera encore davantage dans l’avenir, à la France, premier bassin d’emploi, principal pays d’origine de nos produits, auquel nos maisons sont fières d’apporter leur contribution », assure Bernard Arnault qui a inauguré récemment la Samaritaine en présence du président de la République Emmanuel Macron.
Les résultats semestriels des concurrents français de LVMH sont attendus mardi soir pour Kering et vendredi matin pour Hermès.