Santé Et Nutrition
Ban All Shared Plates! And Other Strong Opinions from the ‘Marvelous Mrs. Maisel’ Co-Creators

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Toddlers running around and screaming. Parents drunk on mimosas at 11 a.m. A shared plate with four crostini set down at a table of three. This is what hell looks like for Amy Sherman-Palladino and Dan Palladino, the award-winning writer-director-producers behind The Marvelous Mrs. Maisel, Gilmore Girls, and Bunheads. The pair eats out a lot, and they have plenty to say about what drives them insane—including small plates, molecular gastronomy, and the general lack of a decent salad. The two are about as fast-talking, quick witted, and animated as any one of their characters, trading punches (and punchlines) while the other holds. Here, in between bites of corned beef and turkey “Midge” sandwiches at the recent Marvelous Mrs. Maisel Carnegie Deli popup in New York, they kvetch about their most profound dining nightmares, and offer up one very simple suggestion to any chef who’ll listen.
Dan Palladino: I have not adjusted to the shared plate thing at all. It’s always awkward for me. Let’s say there’s four things on there and there’s three people—no one will take the fourth one because everyone’s too afraid to overstep the bounds. I never know what to eat, I’m always so nervous about sharing. I just always want my own thing.
Amy Sherman-Palladino: Your issue with that is because food was very competitive in your family. If you didn’t get to that thing that you liked quickly, it wasn’t going to be there and you were going to be stuck with the thing you didn’t like. Your brother and sister were hungry, and they would always come and take your food.
Dan: It was a little competitive. My mother wasn’t Italian, so she didn’t make an abundance of food. She made servings, so there were specific servings.
Amy: Yeah, I had friends like that. You’d go to their house and there’d be four people and there’d be four pork chops, and four perfect portions of peas.
When I make Thanksgiving dinner, I always make two turkeys in case I fuck up one. I believe in over-serving, in having an overabundance of food when people come over. Nobody should ever feel like they’re going to go home hungry or there’s not enough of the thing that they like.
By the way, shared plates are not my favorite thing either, because I’m an only child and I like my stuff. We try not to go to those restaurants.
Dan: It’s when other couples say, « Hey, let’s go to so-and-so, » and I don’t want to be a party pooper, so we do it. I’m very, very nervous. I try to make sure that the stuff ordered is what I will eat. That’s the other thing: Because I’m not a foodie, I’m very picky. I’m just always nervous about how to pick, when to pick, what to leave. It’s just nerve racking.
Amy: But we do tell people that we don’t do brunch. We hate brunch, we hate the concept of it.
Dan: It’s not a real meal.
Amy: It’s not a real meal! There’s either breakfast or lunch. It’s an excuse for people to get drunk at 11 o’clock in the morning, and assume that everyone’s going to be fine with their children screaming and running around a restaurant. That’s the only reason that brunch exists. So that is the one thing. When people are like, « Let’s do brunch. » We’re like, « We can’t, we don’t. We’ll have dinner with you, we’ll have drinks with you, we’ll have any legitimate meal that wasn’t made up, but we will not do brunch. »
Dan: Anthony Bourdain, I think, was the one who pointed out in his book [Kitchen Confidential], that it’s the “F You” meal—that’s the one that none of the chefs want to prepare, none of the waiters want to work at. It’s a room full of unhappy workers making food.
Amy: Just have a nice breakfast. Have some eggs and bacon.
Dan: Diners. We like diners. But any restaurant that tells you, “Order whatever you want, but it’s going to come out when we think it’s ready—”
Amy: I am paying for this. I should get the salad before the hamburger if I want the salad before the hamburger. We don’t do omakase or prix fixe. I don’t want them to tell me what I’m going to have. I don’t want one quail egg with a sprig in the middle of it. I don’t want anything that came out of a science lab. I don’t want things that smoke, or a strawberry that’s not really a strawberry. Just put a damn salad on the menu. It doesn’t need 15 different ingredients in it, it doesn’t need nuts and twigs and fruit, and flowers… just some nice lettuce, maybe a radish and a light dressing. Just have one damn salad on the menu that’s not terrifying. That’s it.
Dan: Yeah, because we often have to order them off the menu. Just put it on the menu.
Amy: Everybody likes a nice, small salad. And they feel like a schmuck asking for it. Oh, and I don’t understand the no bread thing, that you have to order bread or pay for a bread basket. Just give me the bread!
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Santé Et Nutrition
Démystifier la dyslexie

(EN) Les enfants entament une nouvelle année scolaire au cours de laquelle ils vont se faire des amis, s’adapter à leurs nouveaux enseignants et faire face à de nouveaux défis. Certains d’entre eux auront plus de difficultés que d’autres, mais comment savoir si un trouble d’apprentissage ne nuit pas à votre enfant et à sa capacité de réussir ?
L’un des troubles les plus fréquents est la dyslexie. Environ 15 % des Canadiens en sont atteints et pourtant, selon une étude récente, moins d’un tiers d’entre nous serait capable d’en reconnaître les signes.
Bien que la dyslexie ne se guérisse pas, il est possible de la contrôler grâce à une détection précoce et à un enseignement adéquat. C’est pourquoi il est important de pouvoir reconnaître la dyslexie.
Voici ce qu’il faut savoir :
Qu’est-ce que c’est ? La dyslexie est un trouble d’apprentissage qui se caractérise par des difficultés à identifier les sons produits en parlant et à reconnaître les lettres, les mots et les chiffres. Le cerveau interprète mal les sons, les lettres et les chiffres quand il les assemble et en arrive souvent à tout mélanger, ce qui est déroutant pour la personne. La dyslexie touche tout le monde de la même façon, sans considération de genre et peu importe le milieu socio-économique ou l’origine ethnique de la personne.
Que peut-on faire ? Si vous pensez que votre enfant peut être dyslexique, n’attendez pas pour réagir. Il existe de nombreux tests à passer en ligne qui peuvent vous aider à l’identifier. Si vous croyez que c’est le cas, demandez à accéder à des ressources supplémentaires à votre école ou communiquez avec un tuteur spécialisé en littératie structurée. Faites appel à des groupes d’entraide pour en apprendre davantage.
Comment favoriser la réussite ? « Ce n’est pas parce qu’une personne a reçu un diagnostic de trouble d’apprentissage qu’elle ne peut pas réussir dans la vie. Ses apprentissages se font tout simplement d’une manière différente », explique Christine Staley, directrice générale de Dyslexia Canada. « Une détection précoce et un enseignement adéquat en lecture sont essentiels pour contrôler la dyslexie et ouvrir la voie à un brillant avenir. »
Santé Et Nutrition
Les extincteurs portatifs améliorent la sécurité à domicile

(EN) Lorsqu’un incendie se déclare, chaque seconde compte. S’ils sont utilisés rapidement et de façon efficace, les extincteurs de feu portatifs peuvent aider à sauver des vies. C’est pourquoi ils font partie de ces éléments importants qui permettent d’assurer votre sécurité et celle de votre famille à domicile.
Suivez ces conseils concernant la façon d’utiliser un extincteur de feu et le meilleur endroit pour l’installer afin d’être prêt en cas d’urgence :
Comparez les caractéristiques. Choisissez un extincteur résidentiel doté d’une goupille de métal et d’un levier de commande, aussi durable qu’un extincteur de qualité commerciale, ainsi que d’un manomètre à code couleur facile à lire afin de vous assurer que l’appareil est chargé. Sachez qu’il n’est pas sécuritaire d’utiliser un extincteur qui a déjà été déchargé, surtout qu’il existe maintenant des extincteurs rechargeables qui peuvent être rechargés par un professionnel certifié si vous avez utilisé l’appareil.
Sachez comment vous en servir : Tous les extincteurs de feu sont vendus avec des instructions d’utilisation. Toutefois, plus de 70 % des consommateurs qui possèdent un extincteur affirment ne pas se sentir à l’aise de le faire fonctionner. Solution pratique et conviviale, le pulvérisateur d’incendie First Alert est une bombe aérosol au design simple qui constitue un dispositif supplémentaire efficace pour les incendies domestiques. Grâce à une buse précise qui permet de pulvériser sur une grande surface, l’utilisateur peut mieux contrôler l’application. De plus, comme il n’y a pas de goupille à tirer ni de levier à serrer, il est possible d’éteindre un incendie rapidement.
Gardez à portée de la main : Lorsque chaque seconde compte, il est essentiel d’avoir un extincteur de feu à proximité afin de réagir rapidement. Il est préférable de placer un extincteur à chaque étage de la maison et dans les pièces où le risque d’incendie est plus élevé, comme la cuisine et le garage. La National Fire Protection Association (NPFA) recommande d’installer des extincteurs à la sortie des pièces afin de les décharger et de vous sauver rapidement par la suite si l’incendie ne peut être maîtrisé.
Sachez quand quitter la maison. Une des composantes d’un plan d’intervention en cas d’incendie consiste à essayer d’éteindre un petit incendie avec un extincteur de feu, mais l’objectif principal doit être l’évacuation de la famille en toute sécurité. Un extincteur n’est pas un substitut à la mise en place d’un plan d’évacuation résidentielle en cas d’incendie, qui doit être pratiqué régulièrement, ni à l’installation d’avertisseurs de fumée fonctionnels dans toute la maison – un à chaque étage et dans chaque chambre, afin de permettre la détection rapide d’un incendie.
Santé Et Nutrition
Comment aider un bébé à développer son goût

(EN) Un bébé qui n’est pas encouragé à manger une variété d’aliments dès son plus jeune âge aura de fortes chances à devenir un enfant difficile qui n’acceptera que ses plats préférés, comme des croquettes de poulet ou des hotdogs.
Pour faire en sorte que votre bébé soit ouvert et enthousiaste lorsque vient le moment d’essayer de nouveaux aliments, Nanny Robina, l’une des plus grandes expertes en matière d’éducation des enfants au Canada, vous propose des conseils pour faire de votre un enfant un gourmet aventureux :
- Offrez de la variété. Restez constants et introduisez autant de nouveaux aliments que possible, ainsi que des collations colorées et attrayantes. Offrir au bébé une variété de saveurs et de textures et même des aliments qui fondent facilement dans la bouche est un excellent moyen de s’assurer qu’il demeure ouvert à une variété d’options.
- Mangez avec lui. Asseyez-vous près de votre bébé et mangez à côté de lui. Les enfants imitent souvent ce qu’ils voient, alors manger avec eux et leur montrer à quel point vous appréciez le repas en lançant quelques exclamations du type « Hummm! C’est vraiment bon! » peut avoir d’excellentes répercussions. Nanny Robina ajoute que leur donner des collations faciles à saisir, comme des barres tendres faciles à mâcher, est une autre façon de les encourager à essayer des nouveautés et à manger seuls.
- Soyez patients. Les goûts de votre bébé sont peut-être limités et difficiles à élargir, mais poursuivez son éducation sans baisser les bras. Il est utile de toujours avoir quelques options prêtes à manger sous la main comme les fondants de smoothie PC Biologique : Ils fondent facilement dans la bouche et sont offerts en deux délicieuses saveurs, dont banane, mangue et fruit de la passion, puis banane et fraise.
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