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Améliorer la condition enseignante | Le Devoir

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Lettre adressée à Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation

D’entrée de jeu, je conviens que d’affirmer péremptoirement que les enseignantes et les enseignants sont aussi importants que les médecins est une façon un peu cavalière d’établir un premier contact. D’autant plus que cette assertion est à sa face même une utopie, du moins au Québec. Mais ne m’obligez pas à revenir une fois de plus sur le cas de la Finlande et des pays scandinaves […] En matière de considération sociale du personnel enseignant, ils font beaucoup mieux que nous. Là-bas, les enseignants bénéficient d’un statut social parmi les plus élevés.

Vous aurez compris que si l’assertion « les enseignants sont aussi importants que les médecins » est une utopie au Québec, elle ne l’est pas partout sur la planète. Voilà donc pourquoi je voudrais vous entretenir de la condition enseignante au Québec. Au passage, je vous suggère, pour garder le tempo de votre ancien métier, de ne pas manquer un épisode de la série 180 jours. Ce documentaire témoigne non seulement de la qualité de l’engagement des enseignantes et enseignants, ainsi que des directions et autres professionnels, mais aussi de l’ampleur et de la pesanteur des problèmes éducatifs auxquels ils et elles ont à faire face, à risque d’épuisement professionnel grave et trop souvent en suppléance à des parents débordés par trop d’engagements périphériques ou simplement dépassés par manque des ressources. Ne l’oubliez pas.

À l’annonce de votre nomination, j’ai pris connaissance de vos priorités. Fort de l’expérience que j’ai vécue comme sociologue de l’éducation avec les vingt-neuf ministres qui vous ont précédé (eh oui, j’ai assez d’âge !), je dois vous dire que je n’ai pas été très impressionné. Cela s’en va un peu dans toutes les directions ; aucune vue d’ensemble, aucune concertation des efforts visant à promouvoir l’école publique québécoise pour le mieux-être de nos enfants. Ainsi, des recherches récentes faites au Québec n’accordent pas à la maternelle 4 ans les vertus que vous lui supposez. De même, remplacer les commissions scolaires par des centres de services revient à changer « quatre trente sous pour une piastre ». Quant à l’idée de hausser à 18 ans l’âge de la fréquentation scolaire obligatoire, cela ne fait qu’accroître artificiellement les indicateurs nationaux à la gloire du ministère et ne règle en rien la réussite et la persévérance de tout un chacun. Enfin, la mise aux normes de nos écoles, que ce soit avec la collaboration des gens du LabÉcole et, mieux encore, celle du projet Schola, elle fait partie de la priorité que je vais vous proposer plus bas. Si on règle celle-ci, on règle forcément celle-là et toutes les autres par la même occasion.

Une seule priorité

Plutôt que de courir cinq ou six lièvres à la fois dans la poursuite d’une brochette de priorités sans suite dont le caractère électoraliste est évident, je vous suggère de vous en tenir pour le présent mandat à une seule priorité qui est à mon sens la clé des principales urgences du système scolaire québécois. L’expérience de la Finlande et de ses voisins est à cet égard fort éloquente. Il s’agit de la condition enseignante et de la considération sociale dont cette profession devrait être l’objet. Si l’enseignement devient une orientation prestigieuse et hautement recherchée, il s’ensuivra que l’on devra mettre à sa disposition toutes les ressources humaines et matérielles nécessaires à l’accomplissement sa mission, comme cela se fait pour les professions qui jouissent actuellement d’une considération sociale élevée. Les médecins n’ont pas à suggérer à leurs patients de vendre des tablettes de chocolat pour renflouer le compte de banque de l’hôpital !

Et comment peut-on en arriver à améliorer à ce point la condition enseignante ? Je propose qu’on débatte du train de trois mesures suivantes, dont la plupart ont déjà été expérimentées ailleurs avec succès. Et tout premier lieu, il faudra resserrer de façon appréciable les normes d’admission aux programmes de formation à l’enseignement, en haussant notamment la cote R, laquelle reste, tant qu’on ne l’aura pas fait disparaître de tous les programmes, la clé des admissions les plus prestigieuses. Les cotes R exigées pour les programmes d’enseignement restent parmi les plus basses, ce qui peut avoir pour effet que l’enseignement comme tel devienne pour plusieurs une orientation par défaut ou de 2e et 3e choix.

Il faudrait également remplacer le paradigme utilitariste et techniciste actuel de la formation à l’enseignement par un paradigme humaniste pour une culture générale solide comme la clé de voûte d’une véritable autonomie professionnelle et d’une action éducative émancipatrice auprès des élèves. Ce dont nos enfants ont besoin, ce ne sont pas de prestidigitateurs de socioconstructivisme ni de techniciens de l’approche par compétences. Ils ont besoin de personnes dont les attitudes éducatives de base en feront des maîtres d’humanité et dont la culture générale en fera des maîtres d’humanités capables de faire acquérir pour tous sans exception l’équipement de base d’une nouvelle citoyenneté québécoise.

On devrait enfin accroître la formation pratique pour en arriver à ce qu’elle occupe au moins la moitié du temps d’un programme de quatre ans, en utilisant des formules de compagnonnage du type de celles qu’on utilise pour la formation pratique des médecins. Cela aurait notamment pour effet qu’une enseignante ne serait jamais seule dans sa classe. Elle aurait toujours de l’aide d’un ou deux stagiaires qu’elle accompagne, sans compter les autres aides professionnelles.

Étant donné l’ampleur et l’importance de la question, il serait temps que la condition enseignante et la considération sociale du personnel enseignant fassent rapidement l’objet de rencontres de type états généraux dont les syndicats de l’enseignement assureraient la maîtrise d’oeuvre.

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Même les jeunes RÉPUBLIQUES se lassent du capitalisme, selon les sondeurs américains — RT USA News

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Moins de la moitié des jeunes Américains ont une vision positive du capitalisme, selon un nouveau sondage. Même les jeunes républicains sont de plus en plus sceptiques – mais ne vous attendez pas à ce que l’Amérique devienne complètement socialiste pour l’instant.

Un sondage Axios publié vendredi a révélé qu’aux États-Unis capitalistes, seulement 49% des Américains âgés de 18 à 34 ans soutiennent réellement le capitalisme. Et 51% déclarent avoir une vision positive du socialisme.

Depuis plusieurs années, les sondages ont trouvé un soutien au socialisme croissant parmi les démocrates et les jeunes. En conséquence, les démocrates qui se présentent sur des plateformes explicitement socialistes – comme les membres des Democratic Socialists of America Alexandria Ocasio-Cortez (D-New York) et Rashida Tlaib (D-Michigan) – ont traduit ce mécontentement en succès électoral.

Cependant, le dernier sondage a révélé que les jeunes républicains, généralement des défenseurs infatigables du capitalisme de libre marché, en ont marre du système qu’ils ont l’habitude de défendre. Parmi les républicains âgés de 18 à 34 ans, environ 66% ont désormais une vision positive du capitalisme, contre 81% en 2019. Mais 56% des jeunes républicains souhaitent que le gouvernement se concentre sur la réduction des inégalités de richesse, contre seulement 40% en deux ans. depuis.https://googleads.g.doubleclick.net/pagead/ads?us_privacy=1—&client=ca-pub-5390986774482540&output=html&h=280&adk=180704450&adf=4168993513&pi=t.aa~a.2874080257~i.7~rp.4&w=1092&fwrn=4&fwrnh=100&lmt=1628065615&num_ads=1&rafmt=1&armr=3&sem=mc&pwprc=5987108905&psa=1&ad_type=text_image&format=1092×280&url=https%3A%2F%2Fnews-24.fr%2Fmeme-les-jeunes-republiques-se-lassent-du-capitalisme-selon-les-sondeurs-americains-rt-usa-news%2F&flash=0&fwr=0&pra=3&rh=200&rw=1092&rpe=1&resp_fmts=3&wgl=1&fa=27&dt=1628065633854&bpp=2&bdt=2280&idt=-M&shv=r20210729&mjsv=m202108030101&ptt=9&saldr=aa&abxe=1&cookie=ID%3D5bc0ba73a725e77e-2207b6abaeca00da%3AT%3D1628065618%3ART%3D1628065618%3AS%3DALNI_MbfJtFs3LXLAMzQhf9X_KnK26CNWQ&prev_fmts=0x0%2C1092x280%2C1092x280%2C1092x280&nras=3&correlator=4582349290288&frm=20&pv=1&ga_vid=188329949.1628065617&ga_sid=1628065633&ga_hid=1441312153&ga_fc=0&u_tz=330&u_his=4&u_java=0&u_h=720&u_w=1280&u_ah=680&u_aw=1280&u_cd=24&u_nplug=0&u_nmime=0&adx=85&ady=1595&biw=1263&bih=567&scr_x=0&scr_y=416&eid=20211866&oid=3&pvsid=4333132958230926&pem=75&eae=0&fc=1408&brdim=-7%2C-7%2C-7%2C-7%2C1280%2C0%2C1295%2C695%2C1280%2C567&vis=1&rsz=%7C%7Cs%7C&abl=NS&fu=128&bc=31&ifi=5&uci=a!5&btvi=3&fsb=1&xpc=dqEjBFITRH&p=https%3A//news-24.fr&dtd=358

Axios attribue cette augmentation au fait que davantage d’Américains voient le « avantages tangibles de niveaux d’intervention gouvernementaux sans précédent » pendant la pandémie de coronavirus. En effet, le président de l’époque, Donald Trump, a critiqué les deux partis au Congrès pour avoir accepté d’envoyer « ridiculement bas » chèques de relance de 600 $ en décembre, au lieu des 2 000 $ qu’il a réclamés – une critique qui aurait été étrangère à un président républicain au cours des dernières décennies. Tout aussi rarement, Ocasio-Cortez et Tlaib étaient tous deux d’accord avec Trump sur la question.

Pourtant, l’abandon par la droite du capitalisme sans entraves est en cours depuis avant que la pandémie ne frappe. L’animateur de Fox News, Tucker Carlson, l’animateur de nouvelles du câble le plus regardé aux États-Unis et une influence sur Trump pendant son mandat à la Maison Blanche, a soutenu les propositions des démocrates visant à briser les monopoles technologiques de la Silicon Valley et a condamné « républicain grand public » se concentrer sur le « religion » de « capitalisme de marché ».

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« Aucune crise climatique ne causera la fin du capitalisme ! »

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Andreas Malm est un très sympathique quadragénaire suédois, militant de longue date contre le réchauffement climatique. Invité à Paris par son éditeur, La Fabrique, à l’occasion de la publication en France de son dernier ouvrage, il a par conviction traversé l’Europe en train, au départ de Malmö. Géographe spécialisé en écologie humaine de l’université de Lund, en Suède, il propose notamment une analyse du mouvement climat au sein de la vie politique suédoise (longtemps sous hégémonie sociale-démocrate), lui qui est originaire du même pays que Greta Thunberg. En septembre dernier, il a publié La Chauve-souris et le capital. Stratégie pour l’urgence chronique.

Andreas Malm est par ailleurs membre du collectif Zetkin, composé de chercheurs, d’enseignants et d’activistes de plusieurs nationalités œuvrant à la préservation du climat et de la biodiversité. Ce groupe s’intéresse notamment aux discours sur l’écologie politique de l’extrême droite européenne ou américaine. Malm a ainsi dirigé l’ouvrage collectif Fascisme fossile. L’extrême droite, l’énergie, le climat, qui met au jour la longue tradition de dénégation des enjeux climatiques due à l’engouement de l’extrême droite pour un développement fait de croissance économique constante grâce aux énergies fossiles.

Plus largement, il analyse ici la crise climatique, qu’il conçoit aujourd’hui comme intrinsèquement liée à la conjonction entre la crise sanitaire due au covid-19, source d’un effondrement de l’expansion capitalistique, et la destruction de la biodiversité, permettant la dispersion géographique des zoonoses. Le tout dans un mouvement incessant. En attendant la prochaine pandémie…

On parle généralement d’urgence climatique. Pourquoi lui préférez-vous celui d’« urgence chronique » ?

Andreas Malm : J’ai repris ce terme d’une étude de plusieurs scientifiques qui ont analysé la crise du covid-19 (notamment ses causes) et la crise climatique. Il traduit l’idée que ces deux désastres sont en train de devenir permanents, et non plus temporaires, l’un après l’autre : l’urgence apparaît donc comme chronique. Et la seule voie pour nous en sortir, c’est désormais d’agir contre les causes de ces crises, d’en modifier les conditions de développement.

Vous écrivez que le capitalisme, « survivant à tous ses hôtes », a longtemps semblé un « parasite qui ne meurt jamais », mais qu’il pourrait bien aujourd’hui avoir rencontré des « limites naturelles » à son « espérance de vie ». Que voulez-vous dire ?

Le capitalisme rencontre de réels problèmes, en raison de ce qu’il faut appeler ses « limites naturelles ». Toutefois, je ne crois pas que les problèmes environnementaux puissent causer son déclin avant qu’il ne parvienne à entraîner l’effondrement de la planète tout entière. Si le capitalisme a la possibilité de continuer ainsi dans la voie incontrôlée dans laquelle il se trouve, sans aucune régulation ni limitation, il ne pourra certainement causer – sans possibilité de retour – qu’un processus croissant vers une destruction incommensurable du climat, de la biodiversité et de tout le reste…

Je ne distingue aucune autre voie que la coercition pour obtenir des entreprises qu’elles changent leurs comportements.

Certains marxistes pensent que les problèmes environnementaux pourront être la cause d’une crise majeure du capitalisme et entraîner, à terme, sa chute. Même s’ils ne disposent pas vraiment de preuves à l’appui de cette thèse, on peut bien sûr interpréter le covid-19 (et la crise économique qu’il entraîne) comme un exemple potentiel de ce processus : celui d’un phénomène environnemental causant une maladie zoonotique ayant eu pour conséquence une crise économique majeure au début de la décennie 2020. Toutefois, le covid-19 n’a certainement pas tué le capitalisme. Et je ne pense pas que quelque chose puisse annihiler le système capitaliste, sauf certains processus sociaux précis par lesquels de nombreuses forces humaines s’organisent pour travailler ensemble dans les mêmes directions contre ce système. Mais je ne crois pas qu’une crise environnementale parviendra jamais à elle seule à causer la fin du capitalisme !

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Innovation : le capitalisme « responsable », faux problème et vraie diversion

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La critique du capitalisme est une sorte de passage obligé pour un homme politique en difficulté en France. Elle est pratique parce qu’elle séduit sur un assez large spectre, de gauche à droite. On pourrait donc considérer cette déclaration comme un simple exercice de rhétorique sans grande importance, mais ce faisant on commettrait une erreur, car cette expression révèle beaucoup sur la grande difficulté de l’Europe et surtout de la France à établir un diagnostic pertinent sur leur déclin accéléré.

En se trompant de diagnostic, on s’interdit de résoudre le problème. L’exercice se révèle donc dangereux.

L’appel à un capitalisme « responsable » par le président de la République est bien sûr avant tout une tactique politique. Nous sommes en période électorale et il s’agit probablement pour lui de parler à la gauche en essayant de faire oublier son image libérale, c’est de bonne guerre.

En critiquant un capitalisme devenu « fou », il est certain de marquer des points, même si cela ne repose sur aucun fait tangible. Mais au-delà d’agiter de vieux épouvantails, cette déclaration pose deux problèmes : le premier, c’est qu’elle sert à faire diversion sur les dysfonctionnements de l’État, et le second c’est qu’elle traduit un diagnostic erroné sur l’état du capitalisme en Europe.

Exiger un capitalisme « responsable », une diversion

Prôner un capitalisme responsable, c’est tenter de faire diversion pour éviter de poser la question de la responsabilité de l’État. Rappelons que celui-ci a abordé la crise de la Covid en ayant détruit les stocks de masques, puis a officiellement expliqué aux Français que le port du masque était inutile, et que de toute façon ils étaient trop bêtes pour savoir en mettre un.

Il a ensuite fallu près d’une année à cet État pour mettre en place une campagne de tests systématiques et les débuts de la campagne de vaccination ont été une série d’humiliants dysfonctionnements très largement constatés sur lesquels il n’est pas utile de revenir. La seconde vague a été abordée sans qu’aucune capacité supplémentaire n’ait été créée en réanimation, ce qui a nécessité un nouveau confinement pour éviter l’engorgement des services.

Après 18 mois de Covid, le collège public de mes enfants n’a pas organisé une seule heure d’enseignement à distance via un logiciel de téléconférence, et son application d’espace numérique de travail date visiblement des années 1990 ; elle s’est d’ailleurs effondrée dès les premiers jours d’arrêt des cours présentiels. Dès les premiers jours du confinement, la Poste a quasiment cessé de fonctionner.

Et ce ne sont là que les défaillances directement liées à l’épidémie. On comprend que le chef de l’État souhaite parler d’autre chose que la réforme de l’État, et faire diversion… Au Moyen-Âge, quand les choses tournaient mal, on brûlait des sorcières. En France, on brûle le capitalisme, éternel bouc émissaire.

Cette critique est particulièrement mal venue aujourd’hui, car si la crise de la Covid a montré une chose, c’est que le capitalisme est profondément responsable, au sens le plus large qu’on puisse donner à ce terme. Après des semaines de blocage résultant d’une gestion catastrophique des masques, et alors que des professionnels de santé mouraient de leur absence, l’État s’est finalement résolu à ouvrir leur approvisionnement et leur distribution au secteur privé, bref, au capitalisme, et la pénurie a disparu en moins de deux semaines.

Capitalisme irresponsable ? Quand est arrivé le confinement, tout le monde a craint les pénuries et certains n’ont pas hésité à prophétiser l’effondrement du système. Rien ne s’est effondré et il n’y a eu aucune pénurie. La grande distribution, victime traditionnelle des discours bien-pensants, a nourri la France malgré des conditions extrêmes.

Capitalisme irresponsable ? Puis à partir de décembre 2020, Pfizer, BioNTech et Moderna, purs produits du capitalisme spéculatif que l’on se plait à décrier, ont sauvé des millions de vies humaines avec leurs vaccins et permis à nos économies de repartir, un exploit que quelques mois auparavant, les bien-pensants – encore eux- au premier rang desquels notre Président, jugeaient impossible.

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